Tout ce que tu as traversé


On trouve parfois que la vie, parfois, ne nous gâte pas, pourtant la nuit tombe et le soleil se lève à chaque jour et nous encore debout avec toutes ses années entremêler d’épreuves , bonheurs, d’échecs et aussi des réussites
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Tout ce que tu as traversé

 

Regarde tout ce que tu as traversé jusqu’à présent, tout ce que tu as enduré, ce que tu as réussi et les épreuves par lesquelles tu es passé. Regarde ton passé et sois fier de toi. Si tu es encore là, c’est parce qu’à chaque fois, tu as su te relever.

Inconnu

Des chats font des tours incroyables dans un numéro


Dans l’émission America’s got talent deux candidates ont présenté un numéro avec des chats. Septique, car les chats ne font qu’à leur tête. Pourtant …. Elles ont réussi à dresser les chats pour sauter dans un cerceau, joué les équilibristes. Certains parlent de maltraitance, mais à mon avis, ces chats le font parce qu’ils veulent bien. Cela a sûrement pris du temps et beaucoup de patience.
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Des chats font des tours incroyables dans un numéro

 

Le Saviez-Vous ► France : Quand les parents exigeaient à la cantine des menus avec…alcool !


Heureusement que cette habitude de donner de l’alcool aux enfants a été interdit. On donnait de l’alcool aux jeunes enfants, que ce soit du vin, du cidre ou de la bière. Vous imaginez les problèmes d’alcoolismes qu’on pu souffrir ces enfants ?
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France : Quand les parents exigeaient à la cantine des menus avec…alcool !

Dans les années 1950, l’État s’attaque fortement à l’alcoolisme infantile qui sévit dans les foyers mais aussi dans les écoles! Certains parents s’y opposent…

 

Retour  en février 1956. Et il y a près de soixante ans en France, l’enjeu n’était pas encore la présence ou non de menus de substitution dans les cantines. Non, à l’époque certains parents exigeaient autre chose pour leurs enfants le midi à l’école:

« Un certain nombre de parents mettent dans le panier de l’enfant la boisson de leur choix et qui est souvent 1/2 litre de vin, ou de cidre, ou de bière suivant la région. J’ai eu vent récemment, dans la région parisienne, d’un petit drame: les parents insistant pour que la boisson soit donnée aux enfants, le discours s’y refusant, les parents ont décidé que les enfants boiraient leur vin avant d’aller à l’école. Les enfants arrivent à l’école rouges, suant et dorment à moitié toute la matinée… »

Cette voix est celle du docteur Suzanne Serin, chef de clinique en hôpital psychiatrique, qui évoque à la radio le problème de l’alcoolisme infantile.

Un problème dont on rigole encore quelques années plus tard, en 1962, dans le formidable film d’Yves Robert, La Guerre des Boutons, dans une scène mémorable :

« C’est bon la goutte ! »

Au-delà des rires, un problème bien réel au point que le gouvernement Mendes France a pris en 1954, un décision radicale afin d’éradiquer la présence de l’alcool à l’école. Direction une école primaire de Boulogne-Billancourt, en mai 1955:

« J’aperçois un jeune homme, véritablement passionné par l’absorption du lait qui lui a été distribué. Il suce sa paille avec ardeur ! »

La décision d’offrir du lait à chaque écolier n’avait pas uniquement comme motivation d’aider les éleveurs français, il s’agissait aussi et, peut-être même d’abord, de lutter contre l’alcoolisme infantile, un fléau véritable à une époque où l’on avait encore largement tendance à considérer l’alcool comme un bon moyen de lutter contre les microbes.

En 60 ans, les cantines sont ainsi passées d’un débat de santé publique à un débat politique

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À Hawaï, il pleut des fils de verre


C’est un étrange phénomène des conséquences de l’éruption du volcan Kilauea. Des gouttes de lave changer en fils très minces coupant comme de verre.. Elles peuvent causer des irritations aux yeux et aux poumons. Il ne faut donc pas y toucher.
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À Hawaï, il pleut des fils de verre

 

© epa.

Sarah Winkel

L’éruption du volcan Kilauea a provoqué l’apparition de « cheveux de Pélé », des fils de verre qui tombent du ciel et qui peuvent être extrêmement dangereux.

En plus des coulées de lave et des vapeurs acides, l’éruption du volcan Kilauea a entraîné des pluies de fils de verre, appelés « cheveux de Pélé » du nom de la déesse hawaïenne du feu et des volcans.

Ces particules sont en fait des gouttes de lave qui se sont étirées en long filaments très fins sous l’action du vent. En moyenne, elles mesurent à peine 0,5 mm de diamètre et peuvent atteindre jusqu’à 2 mètres de long.

S’ils ne se sont pas étirés complètement, les « cheveux de Pélé » peuvent alors ëtre accompagnés d’une goutte de lave solidifiée appelée « larme de Pélé ». 

Dangereux pour les yeux et les poumons

Si, de prime abord, ils semblent inoffensifs, ces « cheveux de Pélé » sont pourtant dangereux.

L’USGS, l’organisme américain qui surveille l’éruption du volcan, conseille aux habitants de l’île de ne pas toucher ces particules « qui peuvent causer des irritations aux yeux et à la peau similaire aux cendres volcaniques ».

Elles pourraient même endommager le pare-brise des voitures: pas question donc d’essayer de s’en débarrasser en utilisant les essuie-glaces.

De nombreux Hawaïens ont posté des photos de ce phénomène sur les réseaux sociaux. L’un d’entre eux a par exemple découvert des « cheveux de Pélé » dans le récupérateur d’eau placé sur le toit de sa maison.

Un autre internaute a conseillé aux habitants de l’île de porter un masque.

« Des cheveux de Pélé tombent sur Pahoa… En d’autres termes, des éclats de verre volcanique pleuvent sur toute la ville. Ce type de lave est très tranchant et peut s’incruster dans vos poumons si vous le respirez. Les masques sont fortement recommandés ».

 

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Pendant 25 ans, elle n’a jamais ôté son mascara: voilà le résultat dégoûtant


C’est plus que dégoutant, l’hygiène du visage est important encore plus quand il y a du maquillage. Elle devait finir par avoir des cils épais, c’est incroyable de passer 25 ans à se mettre du mascara sans jamais l’enlever.
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Pendant 25 ans, elle n’a jamais ôté son mascara: voilà le résultat dégoûtant

 

Elle a failli perdre la vue.

On répète sans arrêt que nettoyer sa peau convenablement est indispensable quand on se maquille. Theresa Lynch, 50 ans, n’a jamais suivi les conseils des experts. Pendant 25 ans, elle n’a jamais pris la peine d’ôter son mascara.

Souffrant d’une irritation des yeux persistante, elle a consulté un médecin qui lui a découvert des petites bosses calcifiées sous les paupières, connues sous le terme de concrétions.

Le docteur a été horrifié de constater des années de maquillage incorporées dans ses paupières.  Image: Caters

Le docteur a été horrifié de constater des années de maquillage incorporées dans ses paupières. Photo: Caters Source: Agence de Nouvelles Caters

Theresa a failli perdre la vue. Elle a été opérée pendant 1h30 sous anesthésie générale

« J’avais pris la mauvaise habitude de me maquiller et de ne pas me démaquiller. Je n’aurais jamais dû laisser les choses aller aussi loin. Vous devez vous démaquiller tous les jours », insiste-t-elle aujourd’hui.

Le Dr Robaei qui a pris Theresa en charge a confié n’avoir jamais rien vu de tel.

« Chaque fois que Theresa clignait des yeux, ces bosses frottaient la surface de l’oeil et mettaient sa vision en danger. »

 Le docteur rappelle l’importance d’ôter soigneusement son mascara.

« C’est un risque que peu de gens connaissent. »

Theresa avait besoin d'une intervention chirurgicale pour enlever les bosses calcifiées dans ses paupières.  Image: Caters

Theresa avait besoin d’une intervention chirurgicale pour enlever les bosses calcifiées dans ses paupières. Photo: Caters Source: Agence de Nouvelles Caters

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Combien faut-il d’humains dans un vaisseau spatial pour aller coloniser une autre planète?


Combien de personnes pour aller coloniser l’espace tout en tenant compte des risques une surpopulation pendant le voyage et la consanguinité, ainsi que les maladies, contaminations, catastrophe. Comment transporter ces personnes avec l’alimentation nécessaire en ajoutant des serres pour des cultures, et même des animaux. Sans parler du transport qui dura des centaines d’années pour se rendre à une destination.
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Combien faut-il d’humains dans un vaisseau spatial pour aller coloniser une autre planète?

 

Vue d'artiste de l'intérieur d'un cylindre O'Neill, un projet d'habitat spatial théorique proposé dans les années 1970 | NASA Ames Research Center via Wikimedia Commons License by

Vue d’artiste de l’intérieur d’un cylindre O’Neill, un projet d’habitat spatial théorique proposé dans les années 1970 | NASA Ames Research Center via Wikimedia Commons License by

Frédéric Marin

En l’état actuel de la science, seul un équipage se reproduisant durant le trajet spatial de plusieurs centaines d’années pourrait avoir des chances d’arriver à destination.

En 1995, les astrophysiciens Michel Mayor et Didier Quelozm découvraient la toute première exoplanète orbitant autour d’une étoile autre que notre Soleil: 51 Pegasi b. La découverte de ce monde extraterrestre inaugura la quête d’un monde habitable pouvant abriter la vie.

Vingt-trois ans plus tard, le nombre d’exoplanètes à l’existence confirmée dépasse les 3700; la possibilité de trouver un monde semblable au nôtre se rapproche.

Destination Proxima Centauri b

La détection récente de Proxima Centauri b, l’exoplanète la plus près de la Terre que nous puissions trouver, puisqu’elle orbite autour de l’étoile la plus proche de notre Soleil, ouvre une autre possibilité intéressante pour nous autres, habitants de la planète Terre.

Ce corps céleste très probablement rocheux et ayant une masse proche de celle de notre planète est d’un très grand intérêt, car sa température d’équilibre implique que l’eau pourrait être liquide à sa surface.

Située à 1.295 parsecs (40.000 milliards de kilomètres), Proxima Centauri b est une destination idéale. Un court voyage interstellaire ayant pour but l’exploration et la colonisation est théoriquement possible: nous pourrions ainsi implanter l’espèce humaine sur une autre planète.

Vue d’artiste de Proxima Centauri b | ESO / M. Kornmesser via Wikimedia Commons

Mais même si une fusée pouvait se propulser à un pour cent de la vitesse de la lumière, vitesse déjà bien plus rapide que celle de nos engins spatiaux habités actuels, le voyage vers Proxima Centauri b durerait plus de 423 ans.

La solution des navires géants autonomes

Dans ces conditions, pas de voyage vers les exoplanètes possible dans le temps d’une vie humaine. Les chercheurs doivent donc trouver une solution pour que l’équipage survive des centaines d’années dans l’espace lointain.

Pourrait-on, par exemple, congeler les corps? Malgré les avancées dans le domaine, les technologies de cryogénie ne sont pas encore viables: une fois les cellules congelées, des cristaux de glace se forment au niveau des parois cellulaires (vitrification), menant à la destruction du corps une fois qu’il est réchauffé.

Quid alors de l’hibernation? Des scénarios d’animation suspendue, où les fonctions physiologiques des membres d’équipage sont ralenties jusqu’à l’arrivée du vaisseau, doivent encore être explorées.

Une autre hypothèse est celle d’une maternité volante, où des embryons humains en phase précoce chouchoutés par des robots mûriraient tranquillement jusqu’à destination. Le problème majeur est l’absence de parents humains pour élever les enfants. Et il n’y a en outre jamais eu de population entièrement issue de la fécondation in vitro: il n’est peut-être pas souhaitable, dans ces conditions, que la mission s’appuie sur cette méthode.

La meilleure option pourrait être de compter sur des navires géants autonomes, qui voyageraient dans l’espace pendant que leur population serait active. On vivrait et on mourrait à bord, jusqu’à arriver à destination.

Plusieurs idées de structures et de conceptions ont été présentées dans le recueil de textes Islands in the Sky: Bold New Ideas for Colonizing Space en 1996, mais leurs hypothèses mathématiques et statistiques ne sont plus adaptées à notre technologie actuelle.

Un équipage de 150 à 44.000 membres

L’anthropologue John Moore a été le premier à utiliser un outil ethnographique dénommé Ethnopop pour estimer numériquement le nombre minimum de personnes pour un voyage multigénérationnel.

Ethnopop simule la situation matrimoniale et démographique de petits groupes de colons et utilise des modules externes pour créer épisodiquement des épidémies et des catastrophes. Mais ces modules n’ont jamais été utilisés dans le contexte d’un vol spatial, puisque le programme a été conçu pour calculer et analyser les migrations historiques des premiers groupes humains.

Considérant un voyage spatial où l’immigration et l’émigration sont impossibles, Moore a conclu qu’une mission de 200 ans devrait avoir un équipage initial de 150 à 180 personnes.

Selon lui, l’équipage devrait être jeune et autorisé à ne procréer que tardivement durant le cycle de reproduction des femmes, afin de retarder l’apparition de la première génération aussi longtemps que possible. Ces conditions permettent d’éviter une surpopulation et un taux élevé de consanguinité.

Des calculs plus récents réalisés par l’anthropologue Cameron Smith tendent à réviser ces chiffres à la hausse. Selon lui, un équipage initial de 14.000 à 44.000 membres est bien plus optimisé pour assurer une transmission saine du patrimoine génétique humain.

Selon son étude, un équipage de 150 personnes serait toujours au bord de l’extinction dans le cas d’une catastrophe de grande ampleur. Smith préconise un échantillon génétique initial beaucoup plus important, ce qui se traduit par de plus grands équipages.

La variation importante de l’estimation de la taille minimale est due aux hypothèses sous-jacentes utilisées par l’auteur, qui a calculé le nombre de colons arrivant à destination en utilisant une approche statistique simple.

Il semble que l’estimation d’un nombre optimal pour la population initiale est difficile, même sans prendre en compte les effets psychologiques que la perte de la planète mère peut avoir sur l’équipage.

Les calculs du projet Heritage

C’est dans ce contexte qu’en 2017, j’ai créé Heritage, un nouvel outil statistique de simulation de type Monte-Carlo. La physicienne des particules Camille Beluffi, l’astrophysicien Rhys Taylor et l’ingénieur en recherche et développement Loïc Grau sont aujourd’hui associés à cette initiative, qui vise à fournir des simulations réalistes en vue de l’exploration spatiale future.

Notre projet est multidisciplinaire: il utilise en autres l’expertise de physiciens, d’astronomes, d’anthropologues, d’ingénieurs en aéronautique, de sociologues et de médecins.

Heritage est le premier code entièrement dédié au calcul de l’évolution probabiliste d’un équipage à bord d’un navire interstellaire. Il doit permettre, entre autres, de savoir si un groupe humain avec une taille proposée peut survivre plusieurs générations sans aucun stock artificiel de matériel génétique supplémentaire.

La détermination de la taille minimale de l’équipage est, on l’a compris, une étape essentielle dans la préparation de toute mission multigénérationnelle, affectant les ressources et le budget requis pour une telle entreprise, mais ayant également des implications sociologiques, éthiques et politiques. Ces éléments sont essentiels pour étudier la création d’une colonie autosuffisante, afin que des humains puissent établir des implantations planétaires.

Vue d’artiste de l’intérieur d’un Tore de Stanford, un design imaginé en 1975 par la Nasa pour la colonisation spatiale | NASA Ames Research Center via Wikimedia Commons

Les premiers résultats de notre collaboration ont été publiés dans le Journal of the British Interplanetary Society, et un autre article est sous presse. Une présentation publique de nos travaux a été proposée durant le colloque Transmission, à Strasbourg, lors de laquelle nous avons montré que les chiffres d’équipages proposées par Moore et Smith ne peuvent être viables sur des voyages de très longue durée.

Il s’agit de déterminer les principes et règles de vie nécessaires pour qu’un équipage de la plus petite taille possible puisse assurer une mission multigénérationnelle viable et résistante à l’apparition de catastrophes et maladies graves.

Le code est actuellement en train d’être développé pour pouvoir prédire les besoins nutritionnels de l’équipage et déterminer la surface nécessaire à réserver à une agriculture spatiale à l’intérieur même du vaisseau; les serres hydroponiques sont probablement les meilleures options actuelles. Nos calculs donneront bientôt des contraintes sur la taille minimale d’un vaisseau.

Les premières études étayées d’exploration spatiale commencent à peine à voir le jour. Le sujet est encore vaste et de nombreux facteurs humains, spatiaux, culturels, psychologiques ou sociaux doivent être inclus dans le code informatique. La minutie est indispensable si nous voulons que notre espèce puisse investir de nouveaux mondes extrasolaires.

http://www.slate.fr

Des chercheurs ont trouvé un vieil ancêtre aux lézards et aux serpents


Les archéologues on trouver un ancêtre des lézard qui change encore la date de leur apparition sur terre. Il aurait existé au moins 240 millions d’années et qui serait probablement des ancêtres encore plus vieux qui aurait connue l’extinction massive ce qui aurait ouvrir la voie de la diversification
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Des chercheurs ont trouvé un vieil ancêtre aux lézards et aux serpents

 

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Photo AFP

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Quatre pattes, un corps recouvert d’écailles et un long museau: des chercheurs annoncent mercredi avoir identifié un ancêtre des lézards et des serpents, vieux de 240 millions d’années.

«Notre étude montre que les lézards habitent la planète depuis au moins 240 millions d’années et que leur origine est bien plus ancienne que nous le pensions», explique à l’AFP Tiago Simoes de l’Université de l’Alberta au Canada, coauteur de l’étude.

Au commencement de ces travaux publiés dans la revue Nature, un fossile découvert il y a déjà une vingtaine d’années dans les Dolomites en Italie et un zeste de nouvelles technologies.

«Quand j’ai vu le fossile pour la première fois, j’ai réalisé que certaines de ses caractéristiques pouvaient le rapprocher des premiers lézards», explique le chercheur.

Avec ses collègues, ils ont donc passé le fossile, appelé Megachirella wachtleri, au CAT-scan, un scanner très haute définition capable de fournir une image à 360 degrés.

Les chercheurs ont alors débusqué un petit os de la mâchoire inférieure de l’animal que les squamates (un groupe qui comprend les lézards et les serpents) sont les seuls à avoir.

«De l’iguane au gecko en passant par le scinque, ils descendent tous d’un animal qui ressemble à Megachirella wachtleri, le plus vieux lézard fossilisé que nous connaissons aujourd’hui», explique Tiago Simoes.

Pour les chercheurs, si un lézard était déjà sur Terre il y a 240 millions d’années, cela implique que son origine est encore plus ancienne et qu’elle pourrait donc dater d’avant l’extinction du Permien-Trias, il y a quelque 252 millions d’années.

Cette extinction massive avait emporté 90 à 95% des espèces dans les océans et 75% sur le continent.

«Cette extinction aurait pu ouvrir la voie à la diversification des lignées préexistantes de reptiles qui avaient survécu à l’extinction», avance le chercheur.

http://fr.canoe.ca/

Contaminés par les déchets plastiques, les océans pourraient nous réserver une mauvaise surprise…


Dans une action, il y a toujours une réaction ou encore des conséquences bonnes ou mauvaises. Le plastique dans les océans n’a que des conséquences malheureuses, qui font tort autant à la vie marine, et sur les humains par l’absorption de métaux lourds toxiques, sans parler des micros particules.
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Contaminés par les déchets plastiques, les océans pourraient nous réserver une mauvaise surprise…

 

plastique océan

Crédits : iStock

par Yohan Demeure

Une étude a enfin prouvé que les déchets plastiques présents dans les océans peuvent contaminer la chaîne alimentaire par le biais de métaux lourds toxiques. Le fait est que les humains se trouvent au bout de cette chaîne et que les risques réels pour notre santé restent encore méconnus.

Les déchets plastiques sont de plus en plus présents dans les océans et impactent la vie marine. Nous savons également que des particules de plastique se retrouvent dans certains poissons et fruits de mer que nous consommons. De leur côté, les chercheurs du Département de biologie de la Simon Fraser University (Canada) sont allés plus loin dans leur étude parue dans la revue PLOS One le 14 février 2018.

Bertrand Munier, un français diplômé de cet établissement, a indiqué que des métaux toxiques s’accrochent à la surface des déchets plastiques, s’insèrent dans l’environnement marin et la chaîne alimentaire et peuvent donc finalement pénétrer l’organisme des consommateurs de produits issus de la mer. Pour les besoins de l’étude, l’intéressé a ramassé pas moins de 144 déchets plastiques sur les plages près de Vancouver (Canada). Ces déchets ont ensuite été classés en onze catégories comme l’explique un communiqué de la Simon Fraser University.

Un acide faible a été utilisé afin de séparer les métaux des déchets. Ce type de méthode est souvent utilisé pour faire une estimation du niveau de toxines pouvant pénétrer dans les tissus de la faune en cas d’ingestion. L’expérience a également été menée avec des plastiques neufs, car le but était d’identifier quels métaux étaient issus du plastique lui-même et ceux qui se sont adsorbés aux déchets provenant des océans. L’accent a été mis sur quatre métaux pour ces recherches : le cadmium, le zinc, le cuivre et le plomb.

Crédits : Wikimedia Commons

Sur les éléments collectés, pas moins de cinq échantillons ont présenté des taux extrêmement élevés de métaux (avec notamment le cas d’un applicateur de tampon en plastique présentant des taux élevés de zinc) et tous présentaient les quatre métaux testés. Le plastique le plus commun, le PVC, présentait des taux élevés de plomb et de cuivre. Par ailleurs, les tests sur les échantillons ont montré qu’avec le temps, des produits chimiques liés à la fabrication du plastique comme le cadmium, utilisé pour plus de rigidité et de résistance face aux UV) peuvent se libérer.

Le fait est qu’un biofilm chargé de métaux toxiques peut être à la fois un danger pour l’environnement et la santé humaine. Le chercheur a évoqué la potentialité d’une croissance bactérienne sur ce même biofilm capable de rassembler des agents pathogènes. Par ailleurs, puisque les plastiques ont tendance à se décomposer en petits morceaux, ceux-ci sont ingérés par les poissons et autres fruits de mer que nous sommes susceptibles de manger.

Pour l’heure, les conséquences réelles pour la santé humaine des métaux toxiques liés aux plastiques sont encore inconnues, mais selon Leah Bendell, le professeur d’écologie marine et écotoxicology de l’Université Simon Fraser qui a dirigé l’étude, il s’agit d’un énième avertissement :  il serait grand temps de stopper la pollution des océans et de changer nos habitudes de consommation en bannissant le tout jetable.

Sources : Simon Fraser UniversityPacific Standard

http://sciencepost.fr/