Cela parait peut-être farfelu et pourtant, c’est un moyen efficace pour se sentir bien
Nuage
Heureux
Chaque jour, faites quelque chose qui vous rend heureux, jusqu’à ce que cela devienne une habitude
Inconnu
Cela parait peut-être farfelu et pourtant, c’est un moyen efficace pour se sentir bien
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Heureux
Chaque jour, faites quelque chose qui vous rend heureux, jusqu’à ce que cela devienne une habitude
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Qui aurait cru que la plasticine, mieux connue chez-moi sous le nom de pâte à modeler, avait une destiné tout autre que de servir de jeu aux enfants. Heureusement, que la belle soeur du fils de Monsieur Cleo McVicker a eu l’idée de se servir de la pâte à modeler pour la maternelle
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© anp.
Par: Deborah Laurent
La plasticine Play-Doh n’était pas destinée à devenir un jeu pour enfants. Lors de sa création, au milieu des années 30, la pâte servait en fait à nettoyer le papier peint.
On doit l’invention de cette pâte à modeler à Cleo McVicker, à la tête d’une société de savon. À l’époque, on chauffait la maison en brûlant du charbon et la plasticine servait à effacer les traces de suie sur le papier peint. Par la suite, le papier peint en vinyle s’est développé et on pouvait le nettoyer avec de l’eau et du savon. On a aussi commencé à se chauffer au pétrole et au gaz. La plasticine a donc perdu de son utilité.
Quand Cleo est mort dans un accident d’avion en 1949, son fils Joseph et son beau-fils Bille ont voulu relancer son entreprise. C’est là que la pâte est devenue un jouet pour enfants. La belle-soeur de Joseph était à la tête d’une école maternelle et elle avait besoin de matériaux peu coûteux pour faire des décorations de Noël avec ses élèves. Elle a eu l’idée d’amener la pâte dans la classe.
Les élèves ont fait usage d’emporte-pièces pour faire des formes et l’institutrice les a mis au four pour en faire des ornements durables. Elle a raconté à Joseph le succès de son activité. Et il a fait en sorte de réinventer le produit.
Play-Doh est né en 1956. La première pâte à modeler était blanc cassé et vendu dans des gros bidons. La pâte a ensuite été proposée en rouge, en jaune et en bleu et dans des contenants plus petits. Aujourd’hui, Play-Doh appartient à Hasbro et plus de 500 millions de pots sont produits chaque année.
La vitamine D et le calcium sont souvent prescrits pour les gens qui avancent en âge, cependant a moins d’être à risque pour l’ostéoporose, il est conseillé de prendre ces suppléments de vitamine. Par contre pour éviter les chutes qui peuvent en plus avoir de graves complications, ainsi que des maladies cardiaques, AVC, diabète, démence, et même certain cancer, il est plus utile de faire de l’exercice
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© thinkstock.
Par: rédaction
Faire de l’exercice est plus efficace pour éviter les chutes, principale cause de décès lié à une blessure chez les plus de 65 ans, qu’ingurgiter des compléments de vitamine D, selon des recommandations publiées mardi aux Etats-Unis.
Le groupe de travail des services préventifs – US Preventive Services Task Force (USPSTF) – a mis à jour les dernières recommandations en la matière qui remontaient à 2012, lorsque l’organisme consultatif médical indépendant avait préconisé la prise de vitamine D par les personnes âgées pour leur éviter de tomber.
Mais le groupe de travail a relevé cette année qu’à moins qu’une personne ne souffre d’une carence en vitamine D ou d’une faible densité osseuse comme l’ostéoporose, les essais cliniques menés sur le sujet « n’ont démontré aucun bénéfice » pour prévenir la chute des personnes vieillissantes et réduire le risque de fracture.
Calculs rénaux
L’USPSTF – qui a même constaté une hausse du risque de développer des calculs rénaux chez celles prenant des compléments de vitamine D et de calcium – a incité à faire de l’exercice, selon les nouvelles recommandations publiées dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).
Cela devrait inclure des séances « individuelles supervisées et des cours en groupe ainsi que de la thérapie physique« , précisent-elles.
Selon les données les plus récentes, près de 29% des adultes américains de 65 ans et plus ont signalé en 2014 être tombés. Près de 38% ont « nécessité un traitement médical ou ont dû restreindre leurs activités pendant au moins un jour », selon les éléments publiés dans le JAMA.
Quelque 33.000 personnes sont décédées aux Etats-Unis à la suite d’une chute en 2015.
Faire de l’exercice permet également de diminuer le risque de maladie cardiaque, d’accident vasculaire-cérébral, de diabète de type 2, de démence et de cancer, selon un éditorial accompagnant les recommandations.
Cependant, pour les personnes âgées présentant « un risque accru d’ostéoporose, celles souffrant d’une carence en vitamine D, ou les deux, il reste raisonnable de considérer la prise de complément en vitamine D (…) comme étant en adéquation avec les recommandations d’autres organismes professionnels comme la Société américaine d’endocrinologie et la Fondation nationale de l’ostéoporose », a-t-il poursuivi.
Incel pour célibataire involontaire avait été créé d’abord un soutien et d’entraide pour les hommes et femmes qui n’avaient jamais de rendez-vous. Mais certains hommes dans les réseaux sociaux, on reprit cette idée pour les hommes seulement qui n’arrivent pas avoir une satisfaction sexuelle. Alek Minassian avait des propos misogyne, de haine et il a tué avec un véhicule-bélier plusieurs personnes majoritairement des femmes. Il s’est inspiré Elliot Rodger qui en 2014 a fait 6 morts avant de se suicider. C’était pour lui un châtiment pour les femmes qui l’avaient rejeté
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Agence France-Presse
Misogynie froide ou frustration rageuse? Le mouvement « incel », dans le collimateur des enquêteurs après l’attaque au véhicule-bélier de Toronto, renvoie à des personnes animées d’un mépris des femmes, voire d’une haine, accusées d’être responsables de leur insatisfaction sexuelle.
Cette piste est explorée par la police canadienne qui a reconnu que les 10 morts et les 14 blessés de l’attaque lundi sont « majoritairement des femmes ».
Message énigmatique
Alek Minassian, 25 ans, le conducteur de la camionnette qui a foncé dans la foule lundi, faisant 10 morts et 14 blessés, « a posté sur Facebook un message énigmatique » quelques minutes avant d’ensanglanter la rue Yonge, a indiqué la police.
Facebook a reconnu avoir désactivé le compte de l’assassin présumé, mais des médias canadiens ont pu saisir une capture d’écran du dernier message qui dit notamment:
« La Rébellion Incel a déjà commencé! Nous allons renverser tous les Chads et les Stacys! Vive le Gentleman Suprême Elliot Rodger ».
Sous-culture web
Les termes employés dans ce message renvoient au lexique privilégié sur les sites internet de la sous-culture « incel », abréviation anglophone pour « involontairement célibataire », tels que certains forums Reddit ou 4chan, ou surtout Incels.me qui recense des milliers d’utilisateurs mais dont l’accès est interdit aux femmes.
Les hommes qui n’ont jamais eu –ou que très rarement– de relations sexuelles, « malgré de nombreuses tentatives » sont la quasi majorité, et il est strictement proscrit de raconter sur ces forums « ses expériences sentimentales ou sexuelles réussies ».
« Chads » et « Stacys » sont ainsi des termes utilisés dans cette communauté pour désigner respectivement un archétype d’hommes et de femmes épanouis sexuellement.
De manière générale, le langage employé y est cru, violent et souvent raciste.
La sous-culture « incel » s’inscrit dans un mouvement « masculiniste » et sexiste plus large sur internet, appelé « manosphère », se voulant une réponse au regain de popularité du féminisme.
Assassin misogyne
La référence dans le message à Elliot Rodger renvoie à l’auteur de la tuerie d’Isla Vista, en 2014 en Californie. Cet homme avait fait six morts sur le campus d’une université de Santa Barbara, avant de se suicider. Il avait expliqué dans une vidéo diffusée avant son crime que cette attaque planifiée était un « châtiment » pour les femmes qui l’avaient rejeté.
« Je massacrerai jusqu’à la dernière blonde gâtée pourrie et prétentieuse que je verrai (…) Toutes ces filles que j’ai tant désirées, elles m’ont toutes rejeté et regardé de haut comme si j’étais un sous-homme », disait cet Américain de 22 ans.
Selon l’avocat de la famille Rodger, le jeune homme souffrait du syndrome d’Asperger, une forme d’autisme comprenant des troubles des interactions sociales ou de la communication. Alek Minassian souffrait de la même maladie, selon sa mère.
Idéologie
Le terme « incel » a été inventé à la fin des années 1990 par une Canadienne qui voulait que son site internet serve de plateforme « de soutien et d’entre-aide » pour les hommes et les femmes qui comme elle « étaient célibataires ou seuls et qui n’avaient jamais de rendez-vous galants« , a-t-elle expliqué au Globe and Mail, horrifiée que son concept ait été dévoyé de la sorte.
Aujourd’hui, « incel » et la manosphère en général constituent une idéologie à part entière dont le but est de « terroriser les femmes et les normies« , ceux qui ont une vie sentimentale et sexuelle normale, estime le journaliste Arshy Mann qui a longuement enquêté sur le sujet.
S’il est avéré que Minassian a rédigé le « message énigmatique » sur son profil Facebook, et qu’il faisait bien partie de la communauté « incel », son attaque au véhicule-bélier découlerait d’une idéologie haineuse bien énoncée et condamnée devant les tribunaux comme telle, note M. Mann sur Twitter.
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Des poignards fait avec un fémur humain qui était soit le père du guerrier ou un autre membre de la communauté respecté aurait selon l’époque le pouvoir de la personne dont l’os avait servi à la fabrication en Nouvelle-Guinée. Le but était donc de tuer des gens en vue d’un festin cannibalisme.
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Longues et pointues, les armes étaient finement décorées, incisées de dessins abstraits et figuratifs, pour susciter un sentiment de respect et d’admiration.
PHOTO AGENCE FRANCE-PRESSE
En Nouvelle-Guinée, les hommes fabriquaient avec le plus grand soin des armes à partir des fémurs de leur père ou «d’un autre membre de la communauté très respecté», selon une étude publiée mercredi dans Royal Society Open Science.
Ces poignards (ou dagues) étaient utilisés jusqu’au XXe siècle pour frapper l’adversaire «lors de corps à corps», pour «achever des victimes blessées», voire pour immobiliser les prisonniers en vue du prochain banquet cannibale.
Longues et pointues, les armes étaient finement décorées, incisées de dessins abstraits et figuratifs, pour susciter un sentiment de respect et d’admiration.
Pour les armes les plus prestigieuses, celles à partir d’os humains, le guerrier pouvait revendiquer les pouvoirs de l’homme dont l’os avait été utilisé, explique l’étude.
Ces dernières armes, rares et précieuses, avaient droit à une attention toute particulière lors de leur fabrication pour résister à bien des combats.
Car la dague servait non seulement à perforer les artères de la victime, mais également, en faisant pression, à lui briser le cou, précise l’étude.
D’autres poignards, réalisés en os de casoar (des volatiles qui peuplent actuellement l’Australie, connus pour leur capacité à abattre un homme d’un seul coup de patte), ne présentent pas une fabrication aussi soignée. Pourtant les chercheurs ont démontré que les os de casoar offraient la même robustesse que les os humains, mais sans la dimension symbolique.
Pour éviter que les poignards en os humain ne se brisent lors du combat, «les hommes leur donnaient une forme légèrement différente, avec une plus grande courbure» que ceux en casoar, explique le coauteur de l’étude, Nathaniel J. Dominy, du Dartmouth College aux États-Unis.
Pour avoir perdu mes deux parents, mon père il y a environs 26 ans et ma mère y a près de 3 ans, je trouve que ce billet exprime bien les étapes des sentiments que nous pouvons connaitre. Pour ma part, je me sens orpheline surtout après le départ de ma mère, c’est le point final de mes parents. De plus la lignée de mon père s’arrête a ma génération, même si moi et ma soeur nous avons enfants et petits-enfants, c’est un choc qui s’était ajouter à tout cela
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Quel que soit l’âge auquel on perd ses parents, le choc n’en est pas moins grand. On a beau être un adulte responsable, devenu soi-même parent, on reste toujours au fond de nous un enfant qui a besoin d’être protégé par ses parents. Si bien que quand l’un d’eux disparaît, on se sent livré à nous-mêmes. La douleur et le sentiment de solitude sont d’autant plus poignants qu’ils sont irrémédiables.
Entre parler de cette mort et la vivre, il y a un monde : Rien ne nous prépare à la mort, encore moins à celle de ses parents. La mort nous est incompréhensible. Nous vivons un décès différemment s’il survient à l’issue d’une longue maladie ou s’il est subi, comme après un accident ou un meurtre. Dans ces derniers cas, le choc de la surprise s’ajoute à la douleur de la perte.
Autre facteur : le laps de temps entre le décès des deux parents. S’il est court, le deuil sera difficile. S’il est long, nous sommes plus préparés, comme à quelque chose d’inéluctable. Dans tous les cas, l’adieu est une déchirure. Car, avec ses parents, ce sont des millions de souvenirs qui s’en vont. Ce sont des mots, des odeurs, des gestes, des baisers et des caresses. Ce sont eux qui vous ont créé, physiquement et psychologiquement.
Quand ils sont là et plus là : On avait beau savoir que ça arriverait un jour, vient le moment où on voit notre parent dans son cercueil, corps immobile et rigide. Il est toujours là, mais déjà parti. C’est alors que l’on comprend que tout est fini. Et qu’on se souvient du vivant, de ses réactions et opinions qu’on n’avait pas comprises alors mais pour lesquelles, soudain, nous éprouvons de l’indulgence. C’est aussi le moment des remords et des regrets, voire de la culpabilité. Il faut lutter contre ce sentiment, ne pas le laisser nous envelopper, car il ne fait qu’ajouter à notre chagrin. Dans la vie, le moment des adieux est souvent celui où l’on pardonne. Il doit en être de même à ce moment-là. On doit pardonner à ce parent et nous pardonner à nous-mêmes.
Profitez d’eux tant qu’ils sont là : La mort de ses parents est très différente de celle des autres personnes, même celles qu’on a aimé profondément. Car, à ce moment-là, nous nous sentons abandonnés. Nos parents sont les premières personnes que nous avons aimées. Même si nous avons eu de nombreux conflits avec eux, nous en restons toujours dépendants, que nous le voulions ou non. Quand ils disparaissent, nous voilà privés de leur protection. Vous connaissez peut-être des personnes qui se sont éloignées de leurs parents pour une raison ou une autre : vous avez sans doute constaté qu’il est difficile de vivre avec « le poids » de cette absence.
La leçon de tout cela est que vous devez réaliser que vos parents vont disparaître un jour ou l’autre et qu’il est donc indispensable d’en profiter tant qu’ils sont là.
Qui aurait eu l’idée de recycler la gomme à mâcher ? Pourtant, au Pays-Bas, ils le font. Avec des gommes ramassées sur les trottoirs d’Amsterdam, ils ont fait des semelles d’espadrilles. Il parait même qu’ils en font des porte-clés, des poubelles, et même des bottes.
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Crédits : Gumshoe
par Nicolas Prouillac
Les dessous de tables de classe et les trottoirs des villes sont les cimetières des chewing-gums, c’est bien connu et cela coûte des millions d’euros aux mairies des grandes villes à nettoyer. Que voulez-vous, on adore ça. La fin de vie de la pâte à mâcher est pourtant souvent dégoûtante, irrespectueuse des autres et surtout de l’environnement.
Mais comment recycler ces délicieuses boules gluantes ? La réponse est venue d’une collaboration entre l’organisation néerlandaise Iamsterdam, le designer Explicit Wear et l’entreprise Gumdrop : ils en font des sneakers. Présentée par The Verge ce 24 avril, la semelle de la Gumshoe est intégralement faite en chewing-gum recyclé – et recyclable. Sans coller.
Crédits : Gumshoe
Gumdrop n’en est pas à son premier coup d’essai en matière de recyclage de chewing-gum, c’est même le leitmotiv de la compagnie. Ils ont inventé une technologie baptisée Gum-Tec qui permet de déconstruire les éléments de la pâte à mâcher pour les recomposer en un matériau durable, dont ils ont fait jusqu’ici des bottes, des poubelles ou des porte-clés d’un rose bubble gum du meilleur effet.
« Nous avons découvert que le chewing-gum est constitué de caoutchouc synthétique. En exploitant ses propriétés, nous avons réussi à créer un nouveau type de caoutchouc », explique la designeuse Anna Bullus, directrice de Gumdrop.
Le chewing-gum recyclé qui compose la semelle de la Gumshoe vient directement des trottoirs d’Amsterdam. Les lignes tracées sur le plat de la semelle ? C’est un plan schématique de la ville. Jonathan Van Loon, un membre de l’équipe, a confié à The Verge que tout est parti d’une volonté d’attirer le regard des habitants de Dam sur le problème.
« C’est comme ça que nous avons eu l’idée de créer un objet auxquels ils tiennent », dit-il.
Quoi de plus populaire auprès des jeunes urbains que des sneakers ?
L’équipe de Gumdrop assure que la semelle de la Gumshoe est intégralement faite en chewing-gum recyclé – le reste étant du cuir. Il paraîtrait même qu’elle en aurait l’odeur, sans la viscosité. Elles seront mises en vente en juin prochain pour 190 € la paire, en rose, noir ou rouge.
Source : The Verge