La violence


Il est plus facile d’être violent que de chercher des compromis, des ententes. C’est une forme de paresse intellectuelle. Pourtant, physiquement, tout le corps réagit négativement.. C’est aussi une preuve de lâcheté, d’imbécilité et le reste
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La violence

 

La violence est le dernier refuge de l’incompétence

Isaac Asimov

Chaque jour, son chien s’assoit au même endroit sans bouger


A chaque jour, vers la même heure, un Golden Retriever s’installe sur le bord de la route au bout du terrain de son maitre. Il attend a fixant la rue. Puis, il devient existé quand le camion de la poste amène le courrier vers les boites postales. À la hauteur du chien, il lui donne le courrier et le chien ramène à son maitre. Il est brillant !
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Chaque jour, son chien s’assoit au même endroit sans bouger

 


Le Saviez-Vous ► Un laboratoire américain aurait créé un hybride humain-chimpanzé il y a un siècle


À prendre avec un grain sel. Je doute vraiment qu’un humanzee aurait été créé surtout dans les années 1920, même si nous partageons avec les chimpanzés quelque chose comme 99% de notre ADN. Bref, je crois plus que c’est une rumeur qu’autre chose
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Un laboratoire américain aurait créé un hybride humain-chimpanzé il y a un siècle

 

Crédits : DR

 

par  Mehdi Karam

L’humanzee est un hybride entre le chimpanzé et l’humain tout aussi terrifiant qu’hypothétique.

Physiquement, il possède donc la morphologie d’un primate adulte avec des traits plus ou moins humanoïdes, et une faculté supérieure à celle de ses semblables à se tenir droit. Qu’on se le dise, l’humanzee (prononcer human-zée) a tout d’une lubie de savant fou, et met sur la table de sacrées questions d’éthique. Alors qu’on pensait une telle création impossible, des scientifiques auraient pourtant réussi à en créer le premier spécimen, dans les années 1920, prétend le psychologue américain Gordon Gallup, de l’université d’Albany, dans un entretien accordé au Sun. Sous le coup de la panique, ses créateurs, membres d’un obscur laboratoire de Floride, l’auraient tué sur le champ.

« Ils ont inséminé un chimpanzé femelle avec du sperme humain provenant d’un donneur non divulgué, et les chercheurs ont affirmé non seulement que la grossesse avait eu lieu mais qu’elle était arrivée à terme et avait donné lieu à une naissance », raconte le Pr Gallup face à la noirceur d’une telle expérience.

Ces détails, le professeur les a appris au cours des années 1970, de la bouche d’un grand professeur dont il tient à préserver l’anonymat. Si ses propos apparaissent ainsi comme conjecturaux, ils ont bon d’attirer de nouveau l’attention sur une rumeur datant d’il y a un siècle.

Quant à l’humanzee supposément créé, il n’aurait pas vécu longtemps.

Car « après quelques jours ou semaines, ils ont commencé à prendre en compte les implications morales d’une telle création et le nourrisson a été euthanasié », affirme le Dr Gallup.

Ce n’est pas la première fois que cet éminent scientifique aborde le sujet. En 2009, il avait déjà évoqué la même « source crédible » qui lui aurait confirmé l’authenticité de l’expérience avant de se rétracter, la même année. Reste à voir si cette fois-ci également, il se rétractera.

Sources : The Sun / Florida Times-Union

http://www.ulyces.co

Le « typosquatting » revient en force


Il y a des pirates qui continue a utiliser un piratage qui n’est pas nouveau. Celui de faire un site fictif en donnant l’impression d’être sur un site de confiance. Il faut toujours faire attention sur des liens qui contiennent des fautes frappes.
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Le « typosquatting » revient en force

 

heso59

Les pirates informatiques redoublent d’ingéniosité pour détourner les fautes de frappe des Internautes.

(CCM) — Le « typosquatting », ce n’est pas nouveau. Mais une étude vient remettre à l’honneur ce détournement des coquilles et autres fautes de frappe. En la matière, l’imagination des pirates n’a pas de limite…

Les experts en sécurité informatique de Menlo Security viennent de publier un rapport alarmiste sur la recrudescence du « typosquatting ». Pour les pirates, il suffit de rediriger les Internautes vers des sites fictifs, qui ressemblent comme deux gouttes d’eau au site original. Bien sûr, ces techniques utilisées sont extrêmement simples, voire simplistes, mais elles sont particulièrement redoutables selon l’étude. La raison d’une telle efficacité ? Tout simplement le fait que les Internautes croient être sur un site de confiance.

Comme le détaillent nos confrères du Figaro, les façons d’exploiter la crédulité des utilisateurs de pièges sont variées. Certaines copies de sites web se contentent de générer des revenus publicitaires, aux dépens des sites légitimes. D’autres pirates profitent du « typosquatting » pour installer des logiciels malveillants sur les ordinateurs de visiteurs. Mais selon Menlo Security, la principale exploitation de ce filon est la récupération des identifiants des visiteurs. En toute confiance, un Internaute croit se connecter à son compte Facebook, Amazon, Google ou des sites d’administrations, et se fait usurper son identité en ligne. Selon le rapport, 19 % des visiteurs des faux sites issus du « typosquatting » croient naviguer sur le véritable site web. Et une fois les informations confidentielles récupérées, les pirates peuvent s’en servir à leur guise.

http://www.commentcamarche.net

La parole comme moyen pour prévenir le suicide


Dans les médias à travers le monde, on parle du suicide. Au Québec aussi, l’Association québécoise de prévention du suicide incite les gens à parler aux personnes vulnérables, et même demander si la personne pense au suicide, cela pourrait changer vraiment les choses.
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La parole comme moyen pour prévenir le suicide

 

Le Québec a enregistré 1128 suicides en 2015.

Le Québec a enregistré 1128 suicides en 2015. Photo : iStock/Adam Petto

Trois personnes s’enlèvent la vie chaque jour au Québec. Pour éviter ces drames, il faut mieux communiquer et, surtout, se parler franchement, soutient l’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS).

À l’occasion de la 28e édition de la Semaine nationale de prévention du suicide (SPS), l’AQPS lance la campagne « Parler du suicide sauve des vies ».

Elle vise à sensibiliser la population québécoise à la nécessité d’ouvrir le dialogue sur le sujet.

La campagne met l’accent sur un élément fondamental de la prévention, soit la prise de parole, mais il accorde aussi une place importante à l’écoute attentive.

Le directeur général de l’AQPS, Jérôme Gaudreault, indique que parler est à la portée de tous, que chacun d’entre nous peut faire une différence auprès des personnes vulnérables.

Lorsqu’on est en détresse, parler de ses idées suicidaires à un proche ou à un intervenant est un pas important pour diminuer sa souffrance. Jérôme Gaudreault, porte-parole de l’AQPS

« C’est aussi vrai quand on s’inquiète pour quelqu’un : prendre le temps de l’écouter, lui rappeler qu’on est là pour lui et lui poser la question « Penses-tu au suicide? » peut véritablement aider », ajoute-t-il.

Besoin d’aide pour vous ou un proche?

Ligne québécoise de prévention du suicide: 1 866 APPELLE (277-3553).
Ce service est disponible partout au Québec, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.
Le nouveau site
commentparlerdusuicide.com outillera les Québécois qui veulent parler du sujet.

Un témoignage touchant

L’animateur télé et ancien joueur de hockey, Dave Morissette, a été touché par le suicide d’un membre de sa famille. À titre d’ambassadeur de la SPS, il a livré un témoignage dans une vidéo de sensibilisation.

« Mon frère s’est enlevé la vie il y a 22 ans. J’aurais aimé qu’il me dise qu’il souffrait, qu’il avait mal en dedans, qu’il ne reste pas seul avec son mal-être. Ensemble, nous aurions pu trouver des solutions, passer au travers. Nous aurions dû pouvoir en parler », a relaté Dave Morissette.

Le Québec a enregistré 1128 suicides en 2015, selon des données provisoires diffusées par l’Institut national de santé publique. Ce nombre était de 1125 en 2014.

Selon l’organisme, la légère baisse du taux de suicide amorcée au début du siècle s’est atténuée au cours des dernières années, suggérant qu’un plateau a été atteint.

La Semaine nationale de prévention du suicide est soulignée partout au Québec.

Des statistiques inquiétantes 

  • Le taux de suicide augmente avec l’âge : il atteint son maximum entre 45 et 64 ans.
  • Les hommes de 45 à 64 ans présentent le taux de suicide le plus élevé au Québec, selon les données de 2013 à 2015.
  • Les jeunes de 15 à 24 ans et de 10 à 14 ans affichent le taux le plus faible.
  • Pour les femmes, le taux de suicide le plus élevé est observé, comme pour les hommes, auprès des 45 à 64 ans.
  • De 2011 à 2014, le suicide représentait près du tiers des décès chez les jeunes hommes de 15 à 24 ans, tandis que chez les femmes, cette proportion était d’environ 22,1 %.

http://ici.radio-canada.ca/

Les caisses automatiques des supermarchés incitent-elles au vol?


Les supermarchés qui veulent éliminer le nombre d’employer mettent des caisses automatiques que le client lui-même scanne les produits acheter. Bien, il semble que ce soit un super moyen pour augmenter le vol dans ces épiceries. Les gens sont plus enclins de voler devant une machine que devant un être humain
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Les caisses automatiques des supermarchés incitent-elles au vol?

 

Une cliente à une caisse automatique. | 
Marcel Mochet / AFP

Une cliente à une caisse automatique. | Marcel Mochet / AFP

Repéré par Léa Polverini

Repéré sur The Atlantic

De nouvelles façons de voler ont fait leur apparition depuis l’instauration de caisses automatiques.

En anglais, on appelle ça le «banana trick»: le tour de la banane. Au rayon fruits et légumes, ça consiste tout simplement à apposer sur un produit coûteux l’étiquette d’un produit plus bas de gamme: en gros, payer ses girolles au prix de Granny Smith, ou plus humblement, son kilo de tomates grappes contre celui de rondes d’Espagne.

Les plus audacieux décollent carrément les étiquettes avec les codes-barres à scanner d’un produit pour les recoller sur un autre, histoire par exemple de troquer le prix du caviar avec celui du surimi –jolie économie. Plus radical encore, le tour de passe-passe qui consiste à ne pas scanner du tout un article.

Ce type de vols est assez répandu, et d’autant plus depuis que les supermarchés se sont mis à installer des caisses automatiques, sur lesquelles le client scanne lui-même tous ses articles avant de régler la facture.

Voucher Codes Pro, une compagnie britannique offrant des coupons de réduction pour les achats en ligne, a lancé un sondage auprès de 2.634 clients: près de 20% affirmaient avoir déjà fraudé aux caisses automatiques au moins une fois.

En 2015, une étude conduite par le département de criminologie de l’université de Leicester, en Angleterre, sur l’utilisation de scanners manuels relevait que sur six millions d’articles inspectés pour une valeur totale de 21 millions de dollars, près de 850.000 dollars passaient à la trappe à cause d’articles non passés au scan, ce qui réprésente une perte de 3,97%. Ce taux est largement supérieur à ceux enregistrés pour les autres vols, qui oscillent entre 1,21% et 1,47% dans les commerces britanniques.

Pour les auteurs, cela semblait impliquer que la plupart des gens volant des marchandises en s’abstenant de les scanner à la caisse ne les auraient pas volées autrement.

«Plutôt que d’entrer dans un magasin en ayant l’intention de prendre quelque chose, un client pourrait soudainement, à la fin de ses courses, décider qu’une réduction est de mise», résume The Atlantic.

Les supermarchés responsables?

À ce titre, les chercheurs avancent que les commerçants utilisant ce système de scan et paiement autonome, principalement les supermarchés, pourraient bien être tenus finalement non pour victimes, mais pour responsables de ces dérives.

Trop zélés dans leur entreprise de réduction des coûts de la main d’œuvre, ils ont ainsi créé un «environnement générateur de criminalité», favorisant «le profit avant la responsabilité sociale en “permettant” aux voleurs de se servir eux-mêmes sans mettre de contrôles suffisants en place».

Des supermarchés comme Albertsons, Big Y Supermarket, Pavilions et Vons ont fini par supprimer ces caisses automatiques de leurs enseignes, relève The Atlantic. D’autres continuent de les y installer.

«À travers le monde, on estime que les caisses automatiques atteindront le nombre de 325.000 d’ici à l’année prochaine, alors qu’elles étaient 191.000 en 2013. Dans quelques endroits, cependant, la probabilité d’être puni pour des vols insignifiants diminue. Même si un gérant voulait porter plainte, de nombreux services de police n’ont pas les moyens d’être dérangés pour du vol de supermarché, écrit le magazine. En 2012, par exemple, le département de police de Dallas a adopté une nouvelle politique: les policiers ne répondraient plus systématiquement aux appels concernant des vols de moins de 50$. En 2015, le seuil a encore été relevé à 100$.»

Le fait d’être confronté à une machine plutôt qu’à une personne au moment de payer peut également apparaître décomplexant pour les kleptomanes improvisés. Barbara Staib, la directrice de la communication de la National Association for Shoplifting Prevention, déclarait ainsi que les machines «donnent la fausse impression d’un anonymat», alors que la plupart des clients «vous courraient après pour vous rendre le billet de 20$ que vous avez laissé tombé, parce que vous êtes une personne et que ces 20$ vous manqueront».

http://www.slate.fr

L’araignée qui avait une queue


Aujourd’hui, il y a 80 000 d’arachnides. Les scorpions et les araignées sont apparues, il y a 250 millions d’années. Une araignée ayant une queue a été immortalisée dans l’ambre et serait daté de 100 000 d’années, elle avait comme particularité une queue qui peut-être servait à explorer son environnement
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L’araignée qui avait une queue

 

Représentation artistique d'une Chimerarachne yingi.

Illustration de la Chimerarachne    Photo : Dinghua Yang

 

Des spécimens d’une espèce d’arachnide inconnue à ce jour, qui ressemble à une araignée dotée d’une queue couverte de poils, ont été découverts très bien conservés dans de l’ambre datant de 100 millions d’années.

Un texte d’Alain Labelle


Les bestioles décrites par une équipe internationale de paléontologues vivaient donc au Crétacé dans le territoire correspondant à l’actuel Myanmar.

Un spécimen de Chimerarachne

Un spécimen de Chimerarachne   Photo : Dinghua Yang

Les quatre fossiles d’araignées primitives sont décrits dans la revue Nature Ecology & Evolution.

Ces spécimens sont plutôt petits. Leur corps mesure environ 2,5 millimètres, à l’exclusion de la queue, longue de 3 millimètres.

Ces arachnides ressemblent en tout point à une araignée, avec des crocs, des pédipalpes mâles (appendices), quatre pattes et des filières de soie à l’arrière. Fait étonnant, elles possèdent aussi de longs flagelles, ou queues, rappelant ceux des scorpions.

Illustration de Chimerarachne

Illustration de Chimerarachne   Photo : Dinghua Yang

Aucune espèce actuelle d’araignée ne possède une telle queue, bien que certains cousins des araignées, les uropyges (Uropygi) par exemple, possèdent un flagelle anal.

Selon Paul Selden, de l’Institut de paléontologie et du Département de géologie de l’Université du Kansas, l’appendice de cette nouvelle espèce appelée Chimerarachne yingi lui permettait d’explorer son environnement.

Cet appendice flagelliforme jouait en quelque sorte un rôle d’antenne et servait donc à des fins sensorielles.Paul Selden

Chimerarachne yingi serait entre les araignées modernes équipées de filières, mais sans queue, et les très vieilles Uraraneida (un ordre éteint d’arachnides, cousines des araignées) qui vivaient il y a entre 380 et 250 millions d’années et qui possédaient une queue, mais pas de filières.

La nouvelle espèce serait, selon Paul Selden, l’arachnide archaïque « la plus semblable aux araignées » et certains de ses descendants à queue pourraient être présents dans les forêts asiatiques.

Une conclusion que ne partage pas l’un de ses collègues de l’Université d’Harvard, Gonzalo Giridet. Selon lui, Chimerarachne yingi serait elle-même une Uraraneida, et serait disparue sans laisser de descendants.

Quoi qu’il en soit, ces créatures partagent certainement un ancêtre commun avec les araignées. Elles ressemblent d’ailleurs au groupe le plus primitif d’araignées actuelles.

Le saviez-vous?

Les premiers arthropodes sont apparus il y a environ 540 millions d’années. Et il y a 440 millions d’années, apparurent les premiers spécimens connus de scorpions et d’araignées. De nos jours, il existe 80 000 espèces d’arachnides, dont plus de 1500 espèces de scorpions et 50 000 espèces d’araignées.

http://ici.radio-canada.ca