Réunir la géométrie à la politique donne des résultats surprenant
Nuage
Géométrie politique
Géométrie politique : le carré de l’hypoténuse parlementaire est égal à la somme de l’imbécilité construite sur ses deux côtés extrêmes.
Pierre Dac
Réunir la géométrie à la politique donne des résultats surprenant
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Géométrie politique
Géométrie politique : le carré de l’hypoténuse parlementaire est égal à la somme de l’imbécilité construite sur ses deux côtés extrêmes.
Pierre Dac
J’admire ce genre d’artiste, cette Japonaise a beaucoup de talent pour faire ces choses miniatures, des maisons avec tous les détails de décorations, de nourritures et meubles
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Kiyomi est une artiste japonaise qui se consacre à la création de miniatures pour des maisons de poupée et des dioramas, dans le style du XVIIIème siècle. Elle est passionnée à la fois par cette période et par ses créations, si bien qu’elle leur donne un très haut niveau de détail.
Le soin qu’elle porte aux textures et à la justesse de rendu est impressionnant.
Vous pouvez voir plus du travail de cette artiste sur son site et sur Instagram.
Il se peut qu’un jour la Terre ai encore une météorite qui changera le visage de notre planète. Il tomberait en moyenne des tonnes de matière extraterrestre à tout les jours, mais cela n’as pas d’impact. Pourtant, dans le passé, des météorites sont tombées et on laissé leur trace sur le sol terrien
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Nathalie Mayer
Journaliste
Nos ancêtres les Gaulois craignaient que le ciel leur tombe sur la tête. Une crainte peut-être pas si folle que cela au regard de l’inventaire des météorites qui ont frappé notre Terre au fil des millénaires.
Rappelons avant tout que le terme de météorite désigne un corps rocheux d’origine extraterrestre ayant survécu — peu ou prou — à sa traversée de l’atmosphère et qui se retrouve au sol. Les scientifiques estiment ainsi à des dizaines de tonnes la quantité de matière extraterrestre qui tombe chaque jour ! La plupart du temps, ces météorites nous parviennent sous forme de poussières. Mais parfois, il en tombe des morceaux plus impressionnants.
Ce fragment de la météorite Hoba est le plus gros jamais trouvé sur Terre. © PeterJupke, Pixabay, CC0 Public Domain
Hoba, le plus gros fragment de météorite retrouvé sur Terre
Le plus gros fragment de météorite retrouvé sur Terre à ce jour est celui issu d’un corps de 10 km de diamètre nommé Hoba. Ce morceau a été retrouvé en Namibie, en 1920 et ne pèse pas moins de 66 tonnes.
El Chaco est réputé être le deuxième plus gros fragment de météorite retrouvé sur Terre à ce jour. Carlos Zito, Wikimedia Commons, CC by-SA 3.0 Unported
Deux fragments de météorite classés sur l’incroyable site de Campo Del Cielo
Campo Del Cielo, c’est le nom qui a été donné à une zone d’impact située en Argentine. On y trouve une vingtaine de cratères, résultant des impacts d’une seule et même météorite fragmentée. Celle-ci aurait frappé la Terre il y a 5.000 ans et la somme de ses fragments pèserait plus de 100 tonnes. Le plus imposant des morceaux, El Chaco, ne pèse pas moins de 37 tonnes. Il a été découvert tardivement, en 1969, enterré sous cinq mètres de terre. Mais elle pourrait être détrônée par un autre fragment du site, baptisé Gandeco et déterré fin 2016. En attendant confirmation, son poids est estimé à 30 tonnes
Le fragment Ahnighito de la météorite de Cape York est exposé au Museum américain d’histoire naturelle. © Mike Cassano, Wikimedia Commons, CC 2.0
La météorite fragmentée de Cape York
C’est au Groenland que les restes de la météorite de Cape York — déjà connue des Inuits — ont été redécouverts à la fin du XIXe siècle. Le plus gros des morceaux, baptisé Ahnighito, pèse, à lui seul, plus de 30 tonnes. Mais au total, la masse des fragments de cette météorite dépasserait les 58 tonnes. De fer et de nickel, essentiellement. Elle serait entrée en collision avec la Terre il y a quelque 10.000 ans.
Le fragment de la météorite Armanty a été découvert en Chine en 1898. © Woreczko Jan & wadi, Encyclopedia of Meteorites
Armanty, une météorite tombée sur la Chine
En 2011, une équipe de chercheurs chinois a découvert, au nord-ouest du pays, un fragment de météorite pesant au moins 25 tonnes. Mais déjà en 1898, un morceau baptisé Armanty, avait été débusqué dans la même région. Sa masse avait été estimée à pas moins de 28 tonnes.
Aux États-Unis, Meteor crater est un site accessible au public. Dans les années 1960, il a servi à l’entraînement aux astronautes de la Nasa. © D. Roddy, US Geological Survey, domaine public
Des cratères témoins d’impacts hors normes
Le cratère de Chicxulub, dans la péninsule du Yucatan, mesure entre 170 et 300 km. Il serait le résultat d’un impact d’astéroïde de 10 km de diamètre, vieux de 65 millions d’années. Il aurait contribué à l’extinction de 75 % des espèces animales vivant sur Terre à cette époque, y compris les dinosaures.
Mais il pourrait ne pas être le plus grand cratère d’impact identifié sur Terre. En Australie, des chercheurs affirment avoir trouvé une structure de 400 kilomètres de diamètre… formée toutefois de deux cratères de quelque 200 km chacun. L’impact en question a dû se produire entre -300 et -420 millions d’années, mais aucune crise biologique majeure n’a pu lui être associée.
On croit devoir prolongé l’adolescence de 10 à 24 ans pour plusieurs raisons, la puberté apparaît plus jeune, le cerveau n’a pas fini de se développer avant l’âge de 20 ans, voir même 30 ans, les études durent plus longtemps, et les responsabilités se prennent plus tard …
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La période de l’adolescence semble s’allonger.
La période de transition entre l’enfance et l’âge adulte semble de plus en plus longue pour beaucoup de monde : il est temps de la redéfinir.
Ma fille a eu ses règles à l’âge de 10 ans ; Louis se comporte déjà comme un adolescent depuis qu’il est entré en 6e ; mon fils fait encore ses études à 25 ans et vit toujours à la maison… Voilà, pour les jeunes d’aujourd’hui, des comportements assez classiques qui reflètent une évolution de nos sociétés depuis un siècle. De sorte que Susan Sawyer, de l’hôpital pour enfants à Melbourne en Australie, et ses collègues, après analyse de la littérature scientifique, suggèrent qu’il est temps de redéfinir la durée de l’adolescence, la phase de transition entre l’enfance et l’âge adulte : elle s’étendrait désormais entre 10 et 24 ans.
De 14 à 19 ans en moyenne : c’est la période officielle de l’adolescence (avant que vous lisiez cet article). Mais elle est trop restrictive aujourd’hui. Plusieurs facteurs expliquent sa prolongation. D’abord, la puberté arrive bien plus tôt dans presque toutes les populations, à l’âge de 10 ans environ et non plus à partir de 14 ans. En moyenne, les filles britanniques ont ainsi leurs premières règles dès 12 ans. En cause : une alimentation plus importante dans les pays développés et un meilleur niveau de vie qui accélèrent le développement biologique. Ensuite, d’autres paramètres physiologiques ont évolué. Les dents de sagesse apparaissent souvent après l’âge de 25 ans et le cerveau n’a pas fini sa maturation avant l’âge de 20 ans, voire 30 ans selon certains neuroscientifiques. D’où un développement cognitif prolongé.
Enfin, des facteurs sociaux sont en jeu. On entre dans l’âge adulte, avec son lot de responsabilités, plus tard, car on réalise souvent de plus longues études supérieures. On vit en couple ou on se marie donc souvent après 30 ans, de sorte que l’arrivée du premier enfant est aussi repoussée. Les jeunes restent ainsi plus longtemps sous le même toit que leurs parents.
En tenant compte de tous ces changements, Susan Sawyer et ses collègues estiment que l’on peut biologiquement et socialement considérer que l’adolescence dure de 10 à 24 ans. Est-ce une bonne nouvelle ? Chacun se fera son opinion. Mais il faudrait peut-être adapter certaines lois, politiques sociales et services publics pour tenir compte du fait qu’à 20 ans, on n’est pas encore adulte…
Le crayon est l’outil qui relit la parole par l’écriture ou dessin. Il y a plus ou moins 10 000 ans que semblant de crayon en ocre a été utilisé. Le début de la connaissance partagé qui a franchit le temps
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Ce caillou d’ocre taillé pourrait être un des tous premiers crayons utilisés par un humain.
PAUL SHIELDS/UNIVERSITY OF YORK
Par Joël Ignasse
Ce petit morceau d’ocre taillé aurait servi de crayon il y a plus de 10.000 ans.
C’est près de la ville de Scarborough, dans le nord-ouest de l’Angleterre que des archéologues de l’université de York ont découvert, sur un site connu pour ses vestiges préhistoriques, ce petit bout d’ocre rouge de 22 mm de long sur 7 de large. Il a été extirpé près d’un ancien lac recouvert de tourbe et a tout de suite attiré l’attention des spécialistes. Ils y voient en effet l’un des tous premiers crayons de l’histoire !
Il est vrai que sa forme (un peu grossière) rappelle fortement cet instrument et plus encore une de ses extrémités en facette « qui était arrondie au départ et qui est devenue extrêmement aiguisée suggérant qu’elle a été utilisée » souligne Andy Needham du département d’archéologie de l’Université de York, dans un communiqué.
Selon le chercheur, ce crayon aurait pu être utilisé il y a un peu plus de 10.000 ans pour colorer ou orner des peaux d’animaux. Dans la même zone mais sur un site situé de l’autre côté du lac, les chercheurs ont aussi retrouvé un gros caillou, toujours en ocre, présentant une surface fortement striée. Elle a sans doute été grattée pour en extraire de la poudre d’ocre.
Ce caillou d’ocre a été gratté pour récolter de la poudre rouge. Crédit : Paul Shields / Université de York
L’ocre est un pigment minéral important utilisé par les chasseurs-cueilleurs préhistoriques à travers le monde. Les dernières découvertes suggèrent que les humains ont collecté de l’ocre et l’ont traité de différentes manières pendant la période mésolithique, entre 10.000 et 5.000 ans avant notre ère. L’ocre est une roche composée d’argile qui peut être rouge quand elle contient un pigment d’origine minérale, l’hématite.
Une mauvaise surprise pour les scientifiques des conséquences sur les ours polaires face aux changements climatiques. Ils ont besoin de beaucoup plus de chasse et de se nourrir de leurs proies pour satisfaire leur métabolisme. Avec la fonte des glaces en Arctique, cela n’augure rien de bon pour ces ours majestueux qui règnent sur la banquise de l’Arctique
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L’Arctique se réchauffe deux fois plus rapidement que le reste de la planète et la fonte des glaces contraint les ours à parcourir de plus grandes distances pour trouver les jeunes phoques qui sont leur nourriture de prédilection.
Agence France-Presse
Miami
Les ours polaires ne trouvent plus assez de phoques pour se rassasier et le problème va aller en s’empirant avec le changement climatique d’après une étude jeudi montrant que le métabolisme du roi de la banquise est plus élevé qu’estimé.
«Nous avons découvert que les ours polaires ont en réalité des besoins énergétiques beaucoup plus élevés que prévu», a expliqué Anthony Pagano, le principal auteur de cette étude publiée dans la revue Science.
«Ils ont besoin d’attraper beaucoup de phoques» pour satisfaire un métabolisme 1,6 fois plus important que celui avancé par de précédentes estimations, selon ce scientifique de l’université de Santa Cruz en Californie.
Les biologistes ont suivi neuf femelles en Arctique dans la mer de Beaufort, équipant les plantigrades de caméras-colliers et comparant leur urine et prise de sang à plusieurs jours d’intervalle.
L’étude s’est déroulée «au début de la période allant d’avril à juillet lorsque les ours polaires chassent le plus activement et emmagasinent la graisse dont ils ont besoin pour subsister toute l’année», a expliqué M. Pagano qui travaille également pour l’Institut d’études géologiques des États-Unis (USGS).
Et malgré cela, cinq spécimens ont perdu de la masse corporelle en l’espace de 8 à 11 jours.
«Quatre ours ont perdu 10% ou plus de leur masse corporelle», précise le rapport.
De précédentes hypothèses avaient induit les scientifiques en erreur sur le métabolisme de ces énormes mammifères.
Des chercheurs pensaient ainsi que leur technique de chasse, qui consiste essentiellement à attendre la proie, les conduisait à dépenser peu d’énergie pour se nourrir. Ou encore qu’ils pouvaient ralentir leur métabolisme lorsqu’ils n’attrapaient pas assez de phoques.
L’Arctique se réchauffe deux fois plus rapidement que le reste de la planète et la fonte des glaces contraint les ours à parcourir de plus grandes distances pour trouver les jeunes phoques qui sont leur nourriture de prédilection.
«La glace à travers l’Arctique diminue de 14% par décennie, ce qui va probablement réduire l’accès des ours à leurs proies», détaille l’étude.
La population d’ours polaires a diminué d’environ 40% au cours de la décennie écoulée, selon l’USGS.
Mais «nous disposons désormais de la technologie pour étudier leurs déplacements sur la glace, leurs activités et leurs besoins énergétiques, et nous pouvons ainsi mieux comprendre les implications des changements que nous observons sur la glace», rassure Anthony Pagano.
Un jeu virtuel pour apprendre a géré une fusillade pour survivre, en fait, c’est pour s’exercer à une évacuation pour limiter le nombre de victimes. Cela est probablement une bonne idée tant que les professeurs ne seront pas armé, car je vois mal un prof se remettre de tuer un jeune ado, ou même un enfant armée ou même des tirs perdus vers un innocent
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Capture d’écran de la simulation via Youtube
Repéré par Claire Levenson
Repéré sur New York Times
Grâce à la réalité virtuelle, les enseignants sont censés apprendre à protéger leurs élèves en cas de fusillade.
L’armée américaine et le Département de la sécurité intérieure ont développé une simulation informatique pour entraîner les enseignants à bien réagir en cas de fusillade. Les utilisateurs peuvent choisir de «jouer» en tant qu’enseignant, élève, membre des forces de l’ordre ou tireur. Afin de recréer une atmosphère de panique réaliste, les créateurs du logiciel ont étudié les enregistrements audio des fusillades de Virginia Tech et Sandy Hook. Le logiciel sera disponible gratuitement dans les écoles à partir du printemps prochain.
De nombreux établissements scolaires américains organisent déjà des exercices d’évacuation en cas de fusillade, mais la simulation est censée apporter un degré de préparation supplémentaire:
«Plus vous avez d’expérience, plus vos chances de survie sont grandes, a expliqué une des ingénieures du projet à Gizmodo. Cela vous permet de vous entraîner et d’avoir plusieurs expériences afin de voir ce qui marche et ce qui ne marche pas.»
Par exemple, dans la simulation, l’enseignant doit diriger des élèves paniqués et choisir entre plusieurs ordres à donner:
«Sortez par la fenêtre»,«Trouvez un endroit où vous cacher» ou «Suivez moi!»
Un des buts de la simulation, qui a coûté 5,6 millions de dollars, est de pouvoir être répétée gratuitement (contrairement aux exercices d’évacuation) afin que le personnel scolaire soit exposé à plusieurs scénarios possibles. Le jeu recrée un établissement scolaire avec vingt salles de classe, une bibliothèque, une cafétéria et un gymnase.
Depuis le début de l’année scolaire 2017-2018, près de 50 fusillades ont déjà éclaté dans des établissements scolaires aux États-Unis.
Si le gouvernement réfléchit au moyen d’entraîner la population à «gérer» ces fusillades, peu d’efforts sont faits pour tenter de limiter l’accès aux armes. La ligne du gouvernement et de la majorité républicaine est en effet que ce sont les «gens mauvais», pas les armes qui posent problème, et qu’au contraire, les fusillades pourraient être contenues si plus de «gens biens» étaient armés.
Un vol assez inusité ! Voler en une seule nuit un tronçon de route équivalent à 500 tonnes de béton et en plus avoir un acheteur pour réussir à se faire un peu d’argent
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Un Chinois dérobe 800 mètres de route… pour les revendre ©AFP/Archives / STR
Un audacieux voleur a dérobé en Chine environ 800 mètres d’une route pavée de béton pour les revendre et gagner un peu d’argent, un méfait accompli en l’espace d’une nuit, a rapporté un média chinois.
Ce sont des habitants du village de Sankeshu, dans la province du Jiangsu (est), qui ont appelé la police le 24 janvier pour signaler la disparition mystérieuse du tronçon, selon l’agence China News Service.
Des villageois pensaient que des travaux de rénovation étaient en cours. Mais la police a vite découvert un scénario bien différent.
Un homme avait loué une pelleteuse pour découper la chaussée, avant de charger les morceaux de béton dans des camions, et enfin de les acheminer vers une usine de matériaux de construction qui les a achetés, a indiqué jeudi soir China News Service.
L’ambitieux voleur cherchait un moyen de gagner de l’argent. Pour lui, récupérer et vendre le béton était une bonne « opportunité commerciale » et la construction d’une nouvelle route à proximité avait de toute façon fortement réduit le passage sur le lieu du forfait.
« Plus personne ne roulait ici. Alors pourquoi ne pas récupérer les morceaux de béton pour se faire un peu d’argent ? », a-t-il déclaré, selon China News Service.
Le voleur a récupéré au total 500 tonnes de béton. L’usine les lui a achetés pour 5.000 yuans (640 euros).
Cette histoire cocasse a généré vendredi sur les réseaux sociaux chinois des dizaines de milliers de commentaires.
« La pauvreté l’a vraiment rendue créatif », a écrit un internaute admiratif sur la plateforme de microblog Weibo. Un autre se montrait plus féroce: « La sanction la plus appropriée serait de lui faire réparer la route ».
Shanghai (AFP) –