La santé


On veut bien des choses, sauf que souvent, il faut faire des sacrifices pour réussir à améliorer notre condition
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La santé

 

Si quelqu’un désire la santé, il faut d’abord lui demander s’il set prêt à supprimer les causes de sa maladie, alors seulement il est possible de l’aider

Hippocrate

Le Saviez-Vous ► Quelles différences y a-t-il entre les propriétaires de chats et les propriétaires de chiens ?


Généralement on choisi un animal qui va de paire avec nos goûts, nos activités et ils rendent à leur tour des bienfaits sur nous que ce soit le chien en étant plus actif ou le chat qui agit plus sur le stress
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Quelles différences y a-t-il entre les propriétaires de chats et les propriétaires de chiens ?

 

Une grande étude menée par Mars Petcare révèle les caractéristiques des propriétaires de chiens et des propriétaires de chats, et ce qui les oppose.

Menée auprès de 1000 propriétaires de chiens et 1000 propriétaires de chats, l’étude de Mars Petcare tend à démontrer l’influence que les animaux de compagnie peuvent avoir sur nous. En voici la preuve :

Les différences d’activités

Les « personnes à chats » sont quatre fois plus créatives que les « personnes à chiens » d’après l’étude. Les « personnes à chiens » sont deux fois plus nombreuses à travailler dans le domaine de la finance.

En ce qui concerne leurs goûts télévisuels, les personnes à chiens sont fans des films d’action et d’horreur, tandis que les personnes à chats aiment surtout regarder des documentaires.

De manière générale, lorsqu’il s’agit de loisirs, les personnes à chiens aiment l’action : elles font du sport, du yoga, de la danse et voyagent. Plus calmes et casanières, les personnes à chats aiment lire, écrire, et faire du jardinage.

Les chats et les chiens font du bien… différemment !

Il est prouvé depuis longtemps que les animaux de compagnie nous font du bien. Mais leurs effets ne sont pas tous les mêmes selon les espèces : les chiens encouragent leurs maîtres à faire de l’exercice, notamment à courir (25% des propriétaires de chiens disent courir), ce qui contribue à entretenir leur cœur.

Les chats, eux, ont le pouvoir de réduire le stress de leurs propriétaires (70% pour les chats contre 66% pour les chiens) et sont de parfaits confidents. Ce sont des oreilles attentives prêtes à entendre tous nos secrets et à apaiser nos peines. 

Chiens et chats influencent notre quotidien

Le point commun entre les propriétaires de chiens et de chats ? Leur amour ! Un propriétaire sur cinq emmène son animal en vacances avec lui, qu’il s’agisse d’un toutou ou d’un matou. Un quart mange avec son animal, et plus d’un tiers lui offre des cadeaux (pour Noël et son anniversaire). Ceci dit, les propriétaires de chiens sont plus nombreux à organiser des fêtes pour leurs anniversaires que les propriétaires de chats (19% contre 9%).

Au-delà des vacances et des grands événements, les animaux de compagnie entretiennent un lien si fort avec leurs propriétaires qu’ils influencent leur vie. C’est surtout le cas des chiens qui contribuent à la prise de décision de leurs propriétaires : 67% de ces derniers affirment que leur chien est un facteur important dans leur planification de leur quotidien. 

Par Elisa GorinsCrédits photo :

Shutterstock (image d’illustration)

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Le risque nucléaire fait avancer l’horloge de l’apocalypse


L’horloge de cataclysme a été avancée de 30 secondes à deux minutes avant minuit de peur que le monde connaitrait des événements désastreux mondialement. Bien sûr, il y a les changements climatiques, mais aussi l’imprévisibilité du Président des États-Unis, d’une possible course aux armements et la Corée du Nord qui ne laisse pas sa place dans ses menaces
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Le risque nucléaire fait avancer l’horloge de l’apocalypse

 

Depuis sa création en 1947, l'horloge de l'apocalypse... (PHOTO AP)

Depuis sa création en 1947, l’horloge de l’apocalypse a été ajustée 20 fois, de minuit moins deux minutes en 1953 à minuit moins 17 minutes en 1991, à la fin de la Guerre froide.

PHOTO AP

 

JEAN-LOUIS SANTINI
Agence France-Presse
Washington

L’horloge de l’apocalypse, qui symbolise l’imminence d’un cataclysme planétaire, a été avancée de 30 secondes à deux minutes avant minuit en raison surtout d’un risque accru de conflit nucléaire mondial et de «l’imprévisibilité» du président américain.

L’aiguille de l’horloge du Bulletin of Atomic Scientists n’avait pas été aussi proche de minuit depuis 1953, en pleine Guerre froide quand les États-Unis et l’Union Soviétique testaient la bombe à hydrogène.

«Pour sûr, l’année 2017 a été périlleuse et chaotique… avec des déclarations irresponsables dans le domaine nucléaire qui ont enflammé des situations déjà dangereuses», a indiqué jeudi à la presse Rachel Bronson, présidente et éditrice du Bulletin of the Atomic Scientists qui ajuste chaque année l’heure de cette horloge symbolique.

«La question nucléaire est ainsi revenue au centre des préoccupations», a-t-elle ajouté, citant les essais nucléaires de la Corée du Nord, un engagement accru de la Chine, du Pakistan et de l’Inde envers leurs arsenaux nucléaires et «l’imprévisibilité» qui ressort des tweets et des déclarations de M. Trump.

«En 2017, les dirigeants mondiaux ne sont pas parvenus à répondre efficacement aux menaces grandissantes de guerre nucléaire et de changement climatique qui rendent le monde plus dangereux qu’il ne l’a été depuis la Seconde guerre mondiale», a écrit ce groupe d’intellectuels représentant les sciences, les affaires internationales, l’environnement et la sécurité.

«Les principales puissances nucléaires sont sur le point de relancer une nouvelle course aux armements qui sera très coûteuse et augmentera le risque d’accidents et d’erreurs», ont craint ces experts, pointant également «les progrès remarquables» du programme nucléaire nord-coréen en 2017.

En même temps, «une rhétorique enflammée et des actions provocatrices à la fois de la part des États-Unis et de la part de la Corée du Nord ont accru la possibilité d’un conflit nucléaire», déplorent-ils.

Robert Rosner, professeur d’astronomie et d’astrophysique à l’université de Chicago, a surtout épinglé durant la conférence de presse l’administration Trump dont les «incohérences» accroissent les risques de confrontation nucléaire et «constituent un défi majeur pour la dissuasion et la stabilité mondiale.»

Course aux armements

La Maison-Blanche «cherche probablement à accroître le rôle des armes nucléaires dans les plans de défense américain abaissant de ce fait le seuil de leur utilisation», a-t-il relevé.

Le Pentagone doit dévoiler la semaine prochaine la nouvelle stratégie nucléaire de Donald Trump. Les fuites jeudi d’un document de travail de la Nuclear Posture Review montrent que le ministère américain de la Défense souhaite le développement d’un nouveau type d’arme nucléaire d’une puissance assez faible pour être employée sur le champs de bataille plutôt que de servir à vaporiser une mégalopole.

M. Rosner a ajouté que les intellectuels avaient «constaté que les principaux pays investissent davantage dans leur arsenal nucléaire pour le moderniser et en accroître les capacités».

Les tensions dans les relations américano-russes représentent également une menace pour la sécurité planétaire, a renchéri Sharon Squassoni, professeure à l’Institute for International Science and Technology Policy de l’université George Washington.

«Pour la première fois depuis très longtemps, il n’y a aucune négociation entre Washington et Moscou sur le contrôle des armes nucléaires», a-t-elle relevé, ajoutant qu’«on pourrait voir un retour d’une course aux armements nucléaires».

Depuis sa création en 1947, l’horloge de l’apocalypse a été ajustée 20 fois, de minuit moins deux minutes en 1953 à minuit moins 17 minutes en 1991, à la fin de la Guerre froide.

En 2017, l’aiguille avait déjà été avancée de trente secondes à minuit moins deux minutes et trente secondes, les scientifiques invoquant notamment la rhétorique et les actions de Donald Trump.

En 2015, l’horloge avait été reculée de deux minutes, à 23h57, et laissée inchangée en 2016.

Les scientifiques avaient alors cité comme facteurs encourageants l’accord sur le nucléaire iranien ainsi que sur le climat à  Paris fin 2015.

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La Maison Blanche voulait un Van Gogh, le Guggenheim propose des toilettes en or


Ce matin, je l’avais vu aux nouvelles télé, mais mon cerveau devait être encore endormie, ce n’est que plus tard que je comprend la nuance de l’offre de la toilette en or à la Maison Blanche au lieu d’une toile de Van Gogh. En tout cas, espérons que Donald Trump a compris le message
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La Maison Blanche voulait un Van Gogh, le Guggenheim propose des toilettes en or

  • La Maison Blanche voulait un Van Gogh, le Guggenheim propose des toilettes en or

    La Maison Blanche voulait un Van Gogh, le Guggenheim propose des toilettes en or © AFP / William EDWARDS

    La Maison Blanche voulait emprunter au Guggenheim un tableau de Van Gogh, le musée new-yorkais lui a proposé plutôt des toilettes en or, de l’artiste iconoclaste Maurizio Cattelan, dans un pied de nez de la conservatrice de l’institution.

    Dans un courrier électronique envoyé mi-septembre, la directrice artistique et conservatrice du Guggenheim, Nancy Spector, a décliné la demande de prêt du « Paysage enneigé » (1888) du peintre néerlandais, a indiqué le Guggenheim au Washington Post.

    Nancy Spector a fait valoir que la toile allait être exposée au Guggenheim Bilbao, avant de revenir à New York et d’y rester « dans un avenir prévisible ».

    Elle a proposé, à la place, les toilettes en or massif conçues par Maurizio Cattelan, exposées au Guggenheim de septembre 2016 à l’été 2017.

    L’oeuvre, intitulée « America », qui comprend siège, cuvette et chasse d’eau opérationnels, a été utilisée par quelque 100.000 personnes pendant son exposition au musée, situé face à Central Park.

    L’artiste « voudrait l’offrir à la Maison Blanche moyennant un prêt à long terme », écrivait la directrice artistique du Guggenheim, selon le Washington Post. « Elle est, bien sûr, d’une valeur exceptionnelle et assez fragile, mais nous vous fournirions toutes les instructions pour l’installation et l’entretien. »

    « Nous sommes désolés de ne pouvoir satisfaire votre demande initiale », concluait-elle, « mais nous gardons l’espoir que cette offre exceptionnelle puisse vous intéresser. »

    Sollicité par l’AFP, le Guggenheim s’est refusé à tout commentaire. La Maison Blanche elle n’a pas donné suite.

    La conservatrice a critiqué publiquement Donald Trump à plusieurs reprises depuis son élection, décrivant une présidence « marquée par le scandale et définie par la réduction volontaire d’un nombre incalculable de libertés individuelles ».

    En août, dans un blog, elle avait expliqué que si l’oeuvre de Maurizio Cattelan pouvait être différemment interprétée, c’est « la référence à Trump qui a trouvé le plus d’écho » durant son séjour au Guggenheim.

    La quantité de métal précieux utilisée pour la confection de l’oeuvre n’a pas été révélée, mais Nancy Spector avait indiqué qu’elle avait été réalisée avec des « millions de dollars d’or ».

    Maurizio Cattelan avait lui présenté ces toilettes comme une oeuvre égalitariste, « de l’art du 1 % (comprenant les personnes les plus riches de la planète) pour les 99 autres pour cents ».

    Les demandes de prêt d’oeuvres par la Maison Blanche sont une pratique qui remonte à plusieurs décennies. Sous l’administration Obama, plusieurs tableaux de Mark Rothko ou d’Edward Hopper, entre autres, avaient été prêtés par des musées à la présidence.

         New York (AFP) –

    http://www.lepoint.fr

  • Des dromadaires éliminés d’un concours de beauté pour cause de… Botox!


    Quand tu es rendu à vouloir à tout prix gagner des concours de beauté d’animaux en utilisant du botox, c’est de descendre bien bas. C’est animaux ont rendu tant de service en Afrique pour l’humain depuis des milliers d’années, ils n’ont pas a souffrir pour l’orgueil de leur maitre
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    Des dromadaires éliminés d’un concours de beauté pour cause de… Botox!

     

    Par: Deborah Laurent

    Le King Abdulaziz Camel Festival se déroule pendant un mois en Arabie Saoudite. Les propriétaires de dromadaires utilisent des méthodes douteuses pour qu’on remarque la beauté de leur animal.

    Une douzaine de dromadaires ont été disqualifiés d’un concours de beauté en Arabie Saoudite. La raison? Les bêtes avaient subi des injections de Botox dans les lèvres. Certains dromadaires avaient également eu le nez et la mâchoire gonflées artificiellement.

    Nick Stewart, de l’association World Animal Protection, un groupe de défense des animaux, a exprimé son indignation.

    « Il n’y a aucune raison d’utiliser du Botox sur les chameaux », confie-t-il au New York Times. « C’est un acte inutile, cruel et humiliant. Les chameaux sont un trésor national en Arabie Saoudite mais on ne doit pas abuser des animaux en vue de divertir. »

    Le King Abdulaziz Camel Festival rassemble jusqu’à 30.000 dromadaires et dure un mois. Les dromadaires participent également à des courses. L’ensemble des prix attribués aux gagnants s’élève à plusieurs dizaines de millions de dollars.

    © reuters.

    © afp.

    © reuters.

    © reuters.

    © afp.

     

    http://www.7sur7.be/

    Quand le stress atteint les cheveux, les poils et les ongles


    Le stress a des effets sur le corps plus que l’on pense. En effet, cela peut causer des problèmes multiples pour les cheveux, ainsi que les ongles et le poil
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    Quand le stress atteint les cheveux, les poils et les ongles

     

    Paulik/shutterstock.com

    Tous composés de kératine (protéine naturelle protectrice), les cheveux, les poils et les ongles sont sensibles au stress. Poussée, chute, fragilité… l’anxiété peut en effet s’exprimer de différentes façons.

    Lors d’un stress, le message d’anxiété circule vers le cerveau, la glande de l’hypophyse puis les glandes surrénales libèrent ensuite le cocktail hormonal composé de cortisol, d’adrénaline et d’androgènes surrénaliens.

    Quand les cheveux tombent

    En cas de stress ou de traumatisme, une séborrhée, des pellicules et des démangeaisons peuvent survenir.

    Le cycle des cheveux est raccourci chez les personnes dont  le cuir chevelu est hormono-sensible : les phases de croissance, de repos et de chute sont accélérées. Un phénomène d’autant plus important que le stress provoque la contraction des vaisseaux sanguins sur la zone des racines. S’en suit un affinement du cheveu alors plus fragile et donc plus propice à tomber.

    Protéine naturelle constitutive du cheveu, la kératine est aussi malmenée en période de stress. Sa composition s’en trouve altérée et la structure des cheveux transformée : en cas de stress ponctuel, les cheveux sont fins à certains endroits, épais à d’autres. Et dans les situations de stress chronique, la chevelure devient bosselée. Des shampoings enrichis en kératine, une alimentation enrichie en magnésium (fruits secs, chocolat noir, légumes verts, céréales complètes…) et un travail sur la gestion du stress et de ses origines peut améliorer la situation.

    Et pourquoi les cheveux peuvent-ils devenir blancs en cas de stress ? En fait l’anxiété accrue aurait le pouvoir d’impacter la production des mélanocytes, hormones qui pigmentent les cheveux. Mécanisme à l’origine de la teinte blanche.

    Poils et ongles marqués au stress

    Autres phanères riches en kératine, les poils et les ongles !

    En plus d’être rongés en cas de stress, les ongles peinent souvent à pousser en cas d’angoisse chronique. Conséquence d’une difficulté d’assimilation des nutriments sous l’effet des émotions négatives. Autre point, les lignes horizontales appelées « lignes du beau » sont très visibles en cas d’anxiété. Des crêtes verticales, comme des petites perles transparentes en colonnes, peuvent aussi apparaître. Enfin, sous l’effet du stress, une stimulation hormonale peut aussi provoquer la pousse soudaine de poils.

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    Contre le diabète, quelles protéines consommer… et lesquelles éviter ?


    Le diabète du type 2 apparaît généralement vers après 40 ans, chez certaines personnes, mais avec le problème de surpoids, d’une mauvaise alimentation et de sédentarité, ce type de diabète augmente aussi chez les plus jeunes. L’alimentation est importante à considérer avec les lipides et glucides. Des chercheurs sont intéressés aux protéines, certaines protéines peuvent augmenter le risque de diabètes, alors que d’autres protéines sont neutres, et enfin, il y a celles qui diminuent les risques
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    Contre le diabète, quelles protéines consommer… et lesquelles éviter ?

     

    margouillat-photo/Shutterstock.com

    Ce n’est plus un mystère, dans la prévention du diabète de type 2, le contenu de l’assiette (et plus généralement l’hygiène de vie) a son rôle à jouer. Et les protéines ne sont pas dénuées d’intérêt. Du moins quelques-unes d’entre elles. Car si certaines protègent, d’autres augmentent le risque. Afin de savoir quels produits privilégier, une équipe chinoise a enquêté.

    Le diabète de type 2 apparaît généralement chez les plus de 40 ans. Cependant de plus en plus d’adolescents et de jeunes adultes sont touchés. En cause, des facteurs génétiques bien sûr, mais aussi une alimentation déséquilibrée, un surpoids, un manque d’activité physique…

    Notre nourriture présente donc une importance capitale. Si de nombreuses études se sont attardées sur la consommation de glucides et de lipides, qu’en est-il des protéines ? Leur consommation permet-elle de réduire le risque de développer un diabète de type 2 ? Des chercheurs de l’hôpital de Longgang en Chine ont cherché à répondre à ces questions en passant en revue plusieurs travaux conduits sur le sujet.

    Il y a protéines… et protéines

    Premier constat, il semble que les protéines végétales – présentes notamment dans les légumineuses, le soja ou les oléagineux – réduisent le risque de développer la maladie. Du moins chez les femmes uniquement.

    Autre observation, et non des moindres, les protéines d’origine animales, prises dans leur ensemble, augmentent le danger. Mais il y a protéines et protéines. Dans le détail, certaines seraient à limiter, et d’autres non.

    Ainsi, comme l’avait déjà révélé une étude française en 2013, certains aliments acidifiants, comme les viandes, augmentent le risque de diabète. D’autant plus lorsqu’il s’agit de viande rouge et de viandes transformées de façon industrielle.

    A l’opposé, les produits laitiers apparaissent comme protecteurs. Pour ce qui est des œufs ou encore du poisson, la relation semble neutre. En clair, ils ne préviendraient pas la pathologie, pas plus qu’ils ne l’augmenteraient.

    Pour les scientifiques, ces observations devraient être considérées  avec intérêt dans une démarche de prévention du diabète de type 2.

    • Source : Dietary Protein Consumption and the Risk of Type 2 Diabetes: A Systematic Review and Meta-Analysis of Cohort Studies, Nutrients, Septembre 2017
    • Ecrit par : Vincent Roche – Edité par : Emmanuel Ducreuzet

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