Cette chienne est la reine de la luge


Pour certains, l’hiver est une saison difficile à apprivoiser. Ce n’est pas un problème pour les amateurs de sport d’hiver. Et les chiens ? Ce Berger Australien en tout cas, il aime particulièrement la luge. Et elle se débrouille comme une pro
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Cette chienne est la reine de la luge

 

Le Saviez-Vous ► 8 signes qu’on essaie de vous manipuler


Nous avons tous connus un manipulateur dans notre entourage. Il y a des signes qui ne trompe pas et qu’il faut être attentif
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8 signes qu’on essaie de vous manipuler

Les manipulateurs sont rusés quand vient le moment d’obtenir ce qu’ils veulent. Faites attention de ne pas subir leur influence. Repérez ces 8 signes qui montrent qu’on essaie de vous manipuler.

1. On vous fait sentir coupable.

Jouer avec vos émotions est l’arme ultime des manipulateurs. Ceux-ci excellent dans l’art de vous faire sentir coupable pour des trucs (ou des pensées!) que vous n’avez même pas faits. Si vous réussissez à ne pas plier à leurs demandes, ils s’arrangent pour vous faire sentir coupable pendant des heures… voire des jours! Ils peuvent même vous lancer des phrases comme

« Qu’est-ce que j’ai pu faire pour mériter que tu me traites ainsi… ».

Et vous voilà partie pour cohabiter avec la culpabilité! Soyez ferme et convaincu dans vos décisions. Au besoin, écrivez pourquoi vous avez tenu tête à un manipulateur et relisez-vous pour ne pas que la culpabilité vous ronge.

2. Vous doutez de vous.

Quand on vous manipule, on joue sur votre esprit. On vous fait constamment douter de vous. Vous n’arrivez plus à prendre une décision simple sans penser aux conséquences ou aux commentaires qu’on vous dira. Devant un manipulateur (avouez que vous avez déjà un visage en tête!), vous perdez tous vos moyens alors qu’habituellement, vous étiez plus sûr de vous. C’est signe qu’on vous manipule quand vous devez ultra-vulnérable au point de ne plus avoir confiance en votre jugement. Appliquez quelques-uns de ces 20 gestes pour augmenter votre confiance en vous et vous libérez du joug des manipulateurs qui vous entourent.

3. Vos paroles sont déformées.

Discuter avec un manipulateur est une chose difficile… presqu’impossible. Vous ne voulez même pas avoir le dernier mot, mais bien pouvoir en glisser un seul. Quand vous le faites, vous êtes surpris de voir que l’autre déforme vos paroles. Parfois même, tout se retourne contre vous. Vous avancez un propos puis BANG, sans vous en rendre compte, on vous accuse de quelque chose d’autre. Et évidemment, on vous fait passer pour le « méchant », car le manipulateur fait tout en son pouvoir pour être le parfait souffre-douleur! C’est son rôle de prédilection.

4. Vous n’avez pas l’esprit en paix.

Quand un manipulateur rôde autour de vous, vous n’avez jamais l’esprit tranquille. Vous êtes constamment tourmenté. Vous ressassez le passé, vos actions, vos paroles (et les siennes) et vous angoissez pour la suite. On note aussi une baisse de votre estime de vous : vous craignez de décevoir tout le monde (pas juste le manipulateur!). Si votre calme intérieur a disparu, il faudrait examiner vos relations personnelles et professionnelles pour déterminer si quelques-unes ne seraient pas toxiques pour vous.

5. On use de flatterie envers vous.

Pour arriver à ses fins, un manipulateur est prêt à tout. Il sait quelles sont vos cordes sensibles sur lesquelles jouer pour obtenir ce qu’il désire. Attention! Ces flatteries ne sont qu’un tissu de mensonges : vous le savez, mais avez de la difficulté à résister. Ces faux compliments vous éblouissent parfois et vous réussissent à vous faire flancher. Ensuite, vous regrettez. Car une fois qu’il a gagné, plus rien de ceci ne subsiste. Fini! Basta! Protégez-vous et ne soyez pas trop naïf. Sans perdre toutes vos illusions, vous ne devez pas accorder une trop grande confiance aux manipulateurs.

6. On vous menace.

Quand un manipulateur sent que vous lui résistez, il peut aller jusqu’à vous faire des menaces. C’est l’un des enjeux les plus pernicieux de la manipulation. Un des derniers retranchements de ces êtres capables de bien des bassesses. En effet, les manipulateurs sont capables de vous dire des phrases comme « Si tu fais (ceci), je vais faire (cela)… » (ou son contraire « Si tu ne fais pas [ceci], ne pense pas que je ferai [cela]… »), « Voilà comment tu me montres que tu m’aimes/que tu me remercies/que tu m’aides » ou autres phrases pleines de sous-entendus menaçants. Voilà une spirale inquiétante dans laquelle ne jamais mettre les pieds (ou s’en sortir le plus vite possible) : personne n’a le droit de s’en prendre à votre intégrité. N’acceptez pas les menaces. Allez chercher de l’aide dans votre entourage ou dans une ligne d’écoute si vous sentez que vous perdez pied dans cette spirale.

7. On change les faits.

Pour fabriquer des excuses, pour trouver des preuves de tout ce qu’ils avancent, pour inventer des faits ou pour avancer toutes sortes d’arguments (parfois farfelus ou exagérés), les manipulateurs sont les champions! Ils seraient même assez hardis pour prétendre que 2+2=3. Sans hésiter, ils prétendent être des experts et sont capables de faire (et dire!) n’importe quoi pour vous convaincre qu’ils ont raison. Dans leur discours, on retrouve souvent des termes catégoriques comme « jamais », « toujours, “tout le monde”, “personne”, etc. Et s’ils ont tort et s’en aperçoivent, ils remettent la faute sur les autres, bien sûr! Ne croyez pas tout ce que les gens manipulateurs avancent. Questionnez-les, remettez en question leur parole et osez vous affirmer. Vous n’êtes pas dupe et n’avez pas à subir leurs grands discours.

8. Vous avez changé.

Parfois, à force de côtoyer des manipulateurs au quotidien, il se pourrait que plusieurs pans de votre vie aient souffert de ces relations. Votre sommeil est perturbé. Votre niveau de stress ne descend que rarement. Vous avez du mal à décrocher. Vous arrivez difficilement à vous détendre. Vous êtes plus nerveux. Voilà des signes que vous subissez physiquement et mentalement des contrecoups de la manipulation. Aussi, soyez attentif aux commentaires de ceux qui vous connaissent le mieux. Si, autour de vous, on vous dit que vous avez changé, que vous n’êtes plus comme avant ou que vous semblez différent, il serait temps de faire un petit examen sur ce qui a causé ces changements probablement non volontaires. Est-ce que vous subiriez une forme de manipulation qui vous force, sans vous en rendre compte, à modifier votre comportement? Faites une mise au point et, au besoin, allez consulter un thérapeute ou un psychologue pour vous dégager de cet engrenage étouffant.

http://selection.readersdigest.ca/

Neige au Sahara, grand froid aux États-Unis : la météo devient-elle folle ?


On a fini l’année et commencé la nouvelle année par des froids extrême d’une part, et des chaleur extrême à d’autres endroits dans le monde. Neige au Sahara, froid aux États-Unis, tempête en Europe, chaleur extrême en Australie avec des incendies incontrôlables. Au Québec, nous avons connu des froids polaires et un redoux avec des averses de pluies et on prévoit un froid extrême par la suite. Si ce n’est pas les changements climatiques qui cause ces désordres météorologiques, alors ce serait quoi ?
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Neige au Sahara, grand froid aux États-Unis : la météo devient-elle folle ?

 

 

 

Xavier Demeersman
Journaliste

2018 vient à peine de commencer et l’année est déjà marquée par plusieurs épisodes météorologiques extrêmes dans divers endroits du monde.

Que ce soit dans l’hémisphère nord, où l’hiver qui vient de commencer sévit durement en Amérique du Nord ; ou dans l’hémisphère sud, particulièrement en Australie où l’été commence sous une chaleur écrasante (47,3 °C près de Sydney). Caprices de la météo ou conséquences du dérèglement climatique ?

La France a essuyé une redoutable tempête les premiers jours de 2018. Eleanor a fait au moins sept victimes et laissé dans son sillage des inondations et d’importants dégâts matériels causés par des rafales de vent à plus de 100 km/h. Plusieurs de nos voisins européens ont aussi été frappés.

Ces derniers jours, il est tombé dans les Alpes jusqu’à 1,90 mètre de neige fraîche en quelques heures près de la frontière italienne. En Savoie, la neige arrivait jusqu’aux épaules, avec une couche atteignant 1,60 mètre. Les photos et les vidéos partagées sur les réseaux sociaux sont impressionnantes.

La neige est tombée dans la région de Aïn Sefra, dans le Sahara algérien, à 1.500 mètres d’altitude. © Météo-France

La neige est tombée dans la région de Aïn Sefra, dans le Sahara algérien, à 1.500 mètres d’altitude. © Météo-France

La neige du Sahara

De la neige, il en est tombé dans un endroit où l’on n’a pas l’habitude d’en voir…, un environnement connu pour son aridité : le Sahara. Bien sûr, il n’a pas neigé partout dans le plus grand désert de sable du monde, ce weekend, mais en particulier dans le Sahara algérien. C’est toujours avec étonnement et un certain émerveillement que l’on découvre ces images de dunes de sable rouge orangé qui ondulent à perte de vue, et recouvertes, une fois n’est pas coutume, d’un léger manteau blanc.

Quoique ce ne serait pas si exceptionnel dans cette région située au pied de l’Atlas. La neige n’y aurait tenu qu’une journée. La dernière fois que les habitants de la région ont vu de la neige, c’était il y a un peu plus d’un an, en décembre 2016. Faut-il s’attendre à davantage de précipitations et de neige dans le Sahara avec le changement climatique ? Ce ne serait pas impossible selon une étude de 2016. Le désert pourrait reverdir.

La vague de froid descendant de l’Arctique sur l’Amérique du Nord. Des études suggèrent que le changement climatique affaiblit le jet-stream ce qui fait plonger l’air arctique vers le sud. © NOAA

La vague de froid descendant de l’Arctique sur l’Amérique du Nord. Des études suggèrent que le changement climatique affaiblit le jet-stream ce qui fait plonger l’air arctique vers le sud. © NOAA

Un froid extrême dans l’est de l’Amérique du Nord

Ce début d’hiver 2017-2018 se montre féroce et même meurtrier dans la moitié est de l’Amérique du Nord où une vague de grand froid sévit depuis le 28 décembre dernier. Le Canada a plusieurs fois lancé des alertes au froid extrême. Aux États-Unis, le Minnesota a enregistré des -45 °C ! Le 2 janvier, à Sioux City dans l’Iowa, la température est descendue jusqu’à -33 °C. New York a battu des records : -15 °C ; Chicago aussi pour le Nouvel An : -17 °C. Heureusement, un redoux est annoncé dans les prochains jours.

Le froid a touché aussi la Floride où il a neigé pour la première fois depuis 30 ans. Des iguanes sont tombés des arbres, gelés. D’autres animaux ont souffert, comme des requins retrouvés sur des plages de Cape Cod, dans le Massachusetts, saisis par le froid. Des scientifiques ont pu sauver des tortues marines, également surprises par les basses températures dans cette région. Une vidéo devenue virale montre comment des alligators survivent dans les eaux gelées d’un étang en Caroline du Nord. Ils ne sont pas morts mais dans un état de « brumation ».

Les équipes du Shallotte River Swamp Park craignaient que les alligators soient morts. Mais non, ils respirent à travers la glace et se sont mis en mode hibernation. © Swamp Park, Youtube

Une énorme tempête hivernale surnommée bomb cyclone par les Américains s’est abattue sur l’est des États-Unis le 4 janvier. Sur le littoral, des vagues géantes ont provoqué des inondations historiques dans la région de Boston où le froid n’a rien arrangé à la situation. Le froid fut ressenti jusque dans les Caraïbes. Certes pas avec la même intensité qu’au Québec.

Pendant ce temps, l’Arizona, au contraire, connaissait son plus doux début d’année. La Californie, qui a fait face en décembre 2017 au plus terrible incendie de son histoire, vient d’être frappée par des coulées de boue dévastatrices qui ont fait 17 morts et détruit des centaines de maisons.

Plusieurs centaines de chauve-souris sont tombées du ciel, mourantes, en Australie le 7 janvier alors que les températures à l’ombre étaient supérieures à 44 °C. © Help Save the Wildlife and Bushlands

Plusieurs centaines de chauve-souris sont tombées du ciel, mourantes, en Australie le 7 janvier alors que les températures à l’ombre étaient supérieures à 44 °C. © Help Save the Wildlife and Bushlands

    Une chaleur extrême en Australie

    Dans l’hémisphère sud, c’est plutôt l’été qui fait parler de lui et fait des victimes. En particulier en Australie où le 7 janvier, des records historiques ont été enregistrés près de Sidney : 47,3 °C. Une vague de chaleur brutale qui a déjà provoqué la mort par hyperthermie de centaines de chauves-souris. 

    « Leur cerveau frit et elles deviennent incohérentes » a déclaré Cate Ryan, présente sur place dans le parc de Saint Helens et interrogée par la presse locale.

    De nombreux volontaires ont avec elle essayé d’en sauver en les hydratant. 90 % des victimes recensées étaient de jeunes sujets.

    Une catastrophe écologique à laquelle s’ajoutent des incendies. Malheureusement, ce n’est pas la première fois qu’une canicule frappe l’Australie. Le 10 janvier, on apprenait que 2017 fut sa troisième année la plus chaude jamais recensée. Et ce n’est pas près de s’arrêter car les températures continuent d’augmenter. Les animaux et aussi les plantes sont en première ligne du dérèglement climatique en cours.

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Plusieurs évènements météorologiques extrêmes se sont produits entre décembre 2017 et début janvier 2018.

  • Ils concernent les deux hémisphères, avec des niveaux exceptionnels de chaleur, de froid et de précipitations.

 

https://www.futura-sciences.com

Découverte d’un fossile de chauve-souris géante en Nouvelle-Zélande


Une chauve-souris qui vivait il y a 16 à 19 millions d’années, 3 fois plus grande que les chauves-souris d’aujourd’hui à été découverte en Nouvelle-Zélande. Son régime alimentaire était différent car vivant sur le sol, elle mangeait probablement des végétaux ainsi que de petits vertébrés
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Découverte d’un fossile de chauve-souris géante en Nouvelle-Zélande

 

Les dents et les os de l'animal, qui... (ALAN TENNYSON, TE PAPA MUSEUM VIA AFP)

Les dents et les os de l’animal, qui vivait il y a 16 à 19 millions d’années, ont été découverts près de St Bathans, au centre de l’Ile-du-Sud de la Nouvelle-Zélande, sur un site dans lequel travaillent les chercheurs depuis 16 ans, comme on peut le voir sur cette photo.

ALAN TENNYSON, TE PAPA MUSEUM VIA AFP

 

Agence France-Presse

Les restes fossilisés d’une chauve-souris fouisseuse qui vivait il y a des millions d’années ont été retrouvés en Nouvelle-Zélande, a annoncé jeudi une équipe internationale de scientifiques.

Ils appartiennent à une « super famille de chauve-souris qui vivait jadis sur les territoires méridionaux d’Australie, de Nouvelle-Zélande, d’Amérique du Sud et peut-être de l’Antarctique », a déclaré Sue Hand, de l’Université de Nouvelle-Galles-du-Sud, auteure de l’étude.

Les dents et les os de l’animal, qui vivait il y a 16 à 19 millions d’années, ont été découverts près de St Bathans, au centre de l’Ile-du-Sud de la Nouvelle-Zélande, sur un site dans lequel travaillent les chercheurs depuis 16 ans.

L’animal faisait trois fois la taille d’une chauve-souris contemporaine et pesait 40 grammes, estiment-ils dans cette étude publiée par le journal Scientific Reports.

Cette chauve-souris est particulière, car elle volait, mais elle parcourait aussi le sol à quatre pattes, fouissant la couverture végétale à la recherche de nourriture.

Ses « dents spécialisées et sa grande taille suggèrent qu’elle avait un régime différent, qu’elle était capable de manger des végétaux, mais aussi de petits vertébrés, un régime qui ressemble plus à celui de certaines de ses cousines sud-américaines. On ne voit pas cela aujourd’hui chez les chauve-souris d’Australasie », ajoute Mme Hand.

L’animal a été baptisé Vulcanops jennyworthyae, du nom de Jenny Worthy, la scientifique qui a retrouvé le fossile et Vulcain, dieu romain des volcans et du feu, en référence au caractère tectonique de la Nouvelle-Zélande.

« L’animal étrange figure parmi les fossiles les plus bizarres qu’on ait trouvés », a déclaré Alan Tennyson, membre néo-zélandais de l’équipe qui compte aussi des scientifiques australien, britannique et américain.

« Cette nouvelle chauve-souris est apparentée à la chauve-souris à queue courte de Nouvelle-Zélande, à des espèces australiennes disparues et aux vampires américains, ce qui suggère que les chauves-souris vivant au sol étaient auparavant plus répandues », a-t-il ajouté.

D’autres animaux disparus ont été retrouvés sur le site de St Bathans comme des espèces de sphénodon (reptiles), de moas (oiseaux non volants), des grenouilles, des perroquets, des pigeons, des tortues ou des crocodiles.

Il y a environ 500 millions d’années, les territoires d’Australie, de Nouvelle-Zélande, d’Amérique du Sud et de l’Antarctique étaient reliés, derniers vestiges du supercontinent Gondwana. Lorsque Gondwana s’est fragmenté, le rafraîchissement du climat et la formation de glace dans l’Antarctique ont fait que les chauves-souris fouisseuses d’Australasie se sont séparées de leurs soeurs sud-américaines, d’après les chercheurs.

http://www.lapresse.ca/

«Pays de merde»: les médias du monde entier cherchent la bonne traduction


Les médias du monde entier ont voulu traduire une des grossièretés du Président des États-Unis qui cette fois-ci démontre clairement son côté raciste. Certains médias étrangers ont traduit le plus près possible « shithole countries », d’autres par contre ont voulu cacher cette vulgarité que Donald Trump s’est permis d’énoncer. J’aimerais tellement que sa généalogie soit faire grâce à l’ADN, il y aurait sûrement des surprises, car une chose de sûr, c’est que ces ancêtres ont immigré en Amérique à une époque reculée
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«Pays de merde»: les médias du monde entier cherchent la bonne traduction

 

Pas toujours facile de traduire les vulgarités..

Le président américain Donald Trump a posé une colle inhabituelle aux médias du monde entier, tenus de puiser dans leurs lexiques les plus fleuris pour traduire ses propos, rapportés, sur les « pays de merde » (« shithole countries » en version originale).

Terme très vulgaire, « shithole » se réfère aux latrines extérieures pour désigner un endroit particulièrement repoussant.

Toute la difficulté pour les traducteurs consiste à reproduire au mieux la grossièreté du langage mais aussi, parfois, à ménager la sensibilité du public, selon un florilège rapporté par les bureaux de l’AFP.

En français, de nombreux médias, dont l’AFP, ont retenu la formule très crue de « pays de merde », proche du sens littéral et conforme au style souvent sans fioritures de M. Trump – qui a toutefois laissé entendre vendredi ne pas avoir utilisé l’expression incriminée -.

Des dictionnaires bilingues comme le Harrap’s suggèrent toutefois des alternatives moins grossières, comme « porcherie », « taudis » ou « trou paumé« .

La presse espagnole est à l’unisson de la française avec « paises de mierda », des médias grecs introduisant quant à eux une nuance : « pays de chiottes ».

Aux Pays-Bas, le grand quotidien Volkskrant et une bonne partie de la presse néerlandophone esquivent la vulgarité en utilisant le terme « achterlijke », ou « arriéré ».

En Russie Ria Novosti parle de « trou sale », mais Troud (journal syndical) va plus loin avec « trou à merde ».

‘Trous à rats’

En Italie, le Corriere della Sera avance « merdier » (merdaio), et l’agence tchèque CTK choisit de son côté de parler de « cul du monde ».

Les médias allemands optent souvent pour l’expression « Dreckslöcher », qui peut se traduire par « trous à rats ». L’allégorie animalière est aussi de mise dans la presse serbe, avec l’expression « vukojebina », à savoir « l’endroit où les loups copulent ».

En Asie les médias semblent davantage à la peine pour trouver le mot juste en langue locale, tout en évitant parfois de choquer.

Au Japon, la chaîne NHK a choisi de parler de « pays crasseux », l’agence Jiji utilisant un terme familier mais pas forcément injurieux pouvant de traduire par « pays ressemblant à des toilettes ».

Les médias chinois se contentent en général de parler de « mauvais pays », évitant de reproduire l’expression originale dans sa grossièreté.

La version la plus allusive et la plus imagée revient sans conteste à l’agence taïwanaise CNA, qui évoque des « pays où les oiseaux ne pondent pas d’oeufs ».

http://quebec.huffingtonpost.ca

Testostérone : les effets néfastes de l’ibuprofène


Les médicaments vendus sans ordonnance peuvent avoir aussi des effets secondaires insoupçonnés. L’ibuprofène pris massivement peut avoir un impact pour l’homme sur la testostérone, nuire à la fertilité par la fabrication des spermatozoïdes. Bref, il mieux de suivre les indications, s’en servir à bon escient et non pour les maux de tête
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Testostérone : les effets néfastes de l’ibuprofène

 

Testostérone : les effets néfastes de l’ibuprofène

Le 10 janvier 2017.

Selon une étude franco-danoise, coordonnée par Bernard Jégou, chercheur à l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), l’ibuprofène peut perturber la production de testostérone et la fertilité.

Des effets néfastes sur la production de testostérone

On ne connaît jamais tous les effets secondaires des médicaments que nous prenons, même pour un simple mal de tête. On apprend aujourd’hui, dans une étude publiée dans la revue américaine Proceedings of the national academy of sicences, que l’ibuprofène peut avoir des effets néfastes sur la production de testostérone et la fertilité. Pour rappel, l’ibuprofène est un antalgique non stéroïdien, disponible sans ordonnance.

Cette étude risque de faire beaucoup de bruit car l’ibuprofène est utilisé par de très nombreux patients dans le traitement de la fièvre et de douleurs comme les maux de tête, les courbatures ou les règles. On savait déjà qu’il était déconseillé aux enfants en cas de varicelle et chez la femme enceinte au-delà de six mois. On apprend aujourd’hui qu’il peut également être néfaste pour les hommes.

La fabrication des spermatozoïdes est également perturbée

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont suivi une trentaine d’hommes sportifs de 18 à 35 ans. Certains suivaient un traitement à base d’ibuprofène (1 200 mg par jour), les autres prenaient un placebo. Au bout de 6 semaines, les chercheurs ont pu observer que l’ibuprofène agissait directement sur les hormones responsables de la fabrication de la testostérone, mais également sur celles qui gèrent la fabrication des spermatozoïdes.

« L’ibuprofène a un vrai rôle pour les personnes atteintes par exemple de rhumatismes chroniques », notent les auteurs de cette étude.

« Mais nous démontrons clairement qu’en dehors de ces indications, sa consommation massive est à éviter. »

En clair, ce médicament ne doit être réservé qu’aux sportifs ou en cas de courbatures intenses, mais ne doit en aucun cas être pris pour un simple mal de tête. 

https://www.passeportsante.net

Voici Aibo, le robot chien plus vrai que nature


On remplace des emplois par des robots et des animaux aussi. Alors si les chiens robots envahissent le marché que deviendront les chiens qui sont abandonnés, dans les refuges ? Nous sommes en train de changer notre âme pour de la mécanique, la robotique et vivre dans un environnement artificiel
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Voici Aibo, le robot chien plus vrai que nature

 

« Le chien que nous avions est mort, donc nous avons acheté ce robot »:

Naohiro Sugimoto, garçonnet de 7 ans, était un des premiers, jeudi à Tokyo, à prendre possession d’Aibo, officiellement lancé par Sony.

Le petit Naohiro Sugimoto, 7 ans, et son nouveau compagnon. © afp

Au cours d’une très sérieuse « cérémonie d’anniversaire », des dirigeants du géant japonais de l’électronique ont dévoilé la créature d’un blanc ivoire, précieusement gardée dans un écrin dont elle est sortie en dodelinant de la tête et en remuant la queue, avant de s’étirer comme si elle se réveillait d’une sieste. Avec ses adorables yeux ronds, le chien robot, haut de 30 centimètres, a rapidement conquis ses maîtres, tels le petit Naohiro qui l’a décrit comme « lourd mais mignon ».

Un compagnon pas à la portée de toutes les bourses

Aibo, capable de développer sa propre personnalité et d’exprimer des émotions, est truffé d’une batterie de capteurs, caméras et micros, et sa connexion internet permet à son propriétaire d’interagir avec lui à distance, via un smartphone. Une technologie qui n’est pas à la portée de tous: il faut débourser plus de 2.100 euros (288.000 yens), via un forfait de trois ans, pour s’offrir sa compagnie. Sony, qui prévoit de le commercialiser à l’étranger, n’a pas donné de détails ni d’objectifs chiffrés, mais il espère rencontrer le même succès qu’avec son premier Aibo, lancé en juin 1999: les 3.000 premières unités s’étaient arrachées en seulement 20 minutes, en dépit d’un prix tout aussi élevé (250.000 yens). Au total, le groupe en avait vendu plus de 150.000 dans le monde jusqu’en 2006, quand des difficultés financières l’avaient contraint d’arrêter la production.

Yasuyuki Nakamura, 46 ans, un autre heureux possesseur d’Aibo (son troisième chien robot), attendait avec impatience que Sony conçoive une nouvelle version. Parmi les acheteurs, un couple disait avoir décidé cette petite folie pour son 25e anniversaire de mariage. Il ne faut cependant pas attendre d’Aibo qu’il fasse causette ou vous aide dans vos tâches ménagères, mais là n’est pas sa finalité, insiste Izumi Kawanishi, chargé du projet.

« Quand vous achetez un chien, vous ne vous demandez pas ce qu’il est capable de faire, si? L’important, c’est qu’il touche une corde sensible chez les gens », estime-t-il.

Sony retente le coup de la robotique

Sony, qui a retrouvé le chemin de la croissance sous la houlette de son PDG Kazuo Hirai, renoue ainsi avec la robotique qu’il semblait avoir abandonnée avec l’arrêt du développement d’Aibo il y a plus de dix ans. Il a à cette fin investi en 2016 dans une entreprise américaine, Cogitai, spécialiste de l’intelligence artificielle (AI).

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Le CEO de Sony Kazuo Hirai présente la nouvelle version du robot chien Aibo, Las Vegas, le 8 janvier 2018. © afp.

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