Ce que j’aime moins


Au lieu de regarder ce qu’on n’aime pas chez les autres, c’est peut-être que nous n’aimons pas en nous et donc il faut  se corriger et non corriger les autres pour avancer
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Ce que j’aime moins

 

 

 

Ce que j’aime le moins en toi, je le corrige chez moi et cela me permets d’évoluer

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Pendant son absence, il laisse la tv allumée, filme ses chiens


Un maitre curieux installe une caméra pour savoir ses deux Bulldogs et laisse la télé allumée lors de son absence. Il croyait que ses chiens se détendraient, mais il n’a pas pensé que le film a l’affiche ce jour-là rendrait les chiens très actifs sur l’un des deux
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Pendant son absence, il laisse la tv allumée, filme ses chiens

 

Le Saviez-Vous ► Au XVIᵉ siècle, ces gravures servaient à repousser les sorcières


Je plains cette époque où l’on craignait des forces maléfiques, de sorcières et magie noire. Croire qu’un symbole pouvait aider a chasser les mauvais esprits était sans doute une sorte de placébo
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Au XVIᵉ siècle, ces gravures servaient à repousser les sorcières

Crédits : Historic England

L’organisme gouvernemental Historic England s’est lancé dans une sorte de chasse aux sorcières.

À un détail près : la cible n’est pas humaine. Il s’agit de trouver, sur les murs d’Angleterre, des gravures ressemblant à des rosaces. Comme l’explique CNN, celles-ci dateraient du XVIe siècle (époque où la croyance en la magie noire et le surnaturel étaient communes) et on leur prêtait le pouvoir de repousser les sorcières ainsi que les mauvais esprits.

 

Pendant tout le XVIe siècle, ces gravures ont joué un rôle apotropaïque (qui détourne les puissances maléfiques). De nombreux murs et portes des villes en possédaient.

Dans un communiqué, Duncan Wilson, l’un des dirigeants d’Historic England, explique que « ces marques faisaient partie du quotidien de l’époque, ce qui les rendait, par la force des choses, invisibles. Et cette négligence a fait que les rapports les mentionnent peu. Aujourd’hui, nous avons besoin de l’aide du public pour toutes les recenser et mieux les comprendre. »

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La peur des serpents et des araignées serait inscrite dans notre ADN


Il semble que depuis des millénaires, l’être humain a toujours eu une peur innée des serpents et des araignées. Déjà, les jeunes bébés ont réagi à des photos de ces animaux. Bien que cela soit inné, en grandissant beaucoup apprennent à ne plus en avoir peur, surtout si les parents n’alimentent cette peur
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La peur des serpents et des araignées serait inscrite dans notre ADN

 

© thinkstock.

Sarah Winkel

Ne luttez plus contre votre phobie. Selon une récente étude publiée dans la revue Frontiers in Psychology, la peur des serpents et des araignées serait innée.

Dilatation des pupilles en millimètres selon le temps en secondes. À partir de 5 secondes, l’image disparaît pour être remplacée par un écran blanc. © Max Planck Institute for Human Cognitive and Brain Sciences (MPI CBS).

Si le simple fait de penser à une araignée, ou de voir un serpent filer entre vos pieds vous effraie, ce n’est sans doute qu’une question de génétique. La peur de ces petites bêtes serait en effet ancrée dans le cerveau humain dès le plus jeune âge.

Quatre chercheurs de l’institut Max Planck de Leipzig, en Allemagne, de la faculté de psychologie de Vienne, en Autriche et du département de psychologie d’Uppsala, en Suède, ont travaillé avec 32 bébés de six mois afin de déterminer si la peur des araignées et des serpent était innée ou acquise. Etonnement, ils ont observé des signes de stress face à ces animaux.

Lors de leur expérience, les scientifiques ont montré aux nourrissons des images d’araignées, de serpents, mais aussi de fleurs et de poissons, toutes de la même taille et de la même couleur. Face aux images de serpents et d’araignées, les pupilles des bébés s’élargissaient significativement – signe de l’activation du système noradrénergique du cerveau lié au stress et à la vigilance.

« Cette réaction de stress héritée nous prédispose à percevoir ces animaux comme dangereux ou dégoûtants. Quand ce phénomène est accompagné d’autres facteurs plus éloignés, il peut vite se transformer en une vraie peur voire une phobie », explique Stephanie Hoel, l’une des auteurs de cette étude.

L’appréhension innée ressentie face à ces animaux pourrait donc ensuite être accentuée par la phobie d’un parent.

Une peur vieille de plusieurs millénaires

La peur de ces animaux en particulier se serait transmise au fil des millénaires, les serpents et les araignées vivant aux côtés des Hommes depuis toujours. En effet, de précédentes études ont prouvé que les enfants ne présentent aucun mécanisme de réaction automatique face à des images d’animaux dangereux plus « récents », comme les rhinocéros ou les ours, ou à des objets (couteaux, seringues). La preuve que le cerveau humain n’a pas encore intégré ces éléments comme étant dangereux.

« Pour les risques modernes comme les couteaux, les seringues ou les prises, c’est le même problème. Ces objets n’existent que depuis peu de temps, et il n’y a pas encore eu assez de temps pour établir des mécanismes de réaction dans le cerveau depuis la naissance », explique-t-on dans l’étude.

La peur instinctive des araignées et des serpents découlerait donc de celle de nos ancêtres.

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Sotheby’s met en vente la villa d’une meurtrière du XIXᵉ siècle


Moi qui ne crois pas aux maisons hantée, même si une meurtrière y est habitée. Un mort pour moi, ne peut pas revenir sous forme d’esprit ou autre sur Terre, j’aimerais bien cette maison, elle est grande et éclairée, mais pour la décoration, ce sera sûrement autre chose que ces tapisseries
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Sotheby’s met en vente la villa d’une meurtrière du XIXᵉ siècle

Crédits : Mott & Chace

Friands d’histoires sordides et de maisons hantées par le souvenir glauque d’un double meurtre, cette demeure, mise en vente par Sotheby’s, est faite pour vous. Elle a abrité jusqu’à la fin de ses jours Lizzie Borden, après que la jeune femme fut accusée des morts successives, le 4 août 1892 à Fall River dans le Massachusetts, de sa belle-mère Abby et de son père Andrew J. Borden. Quarante coups de hache pour madame, quarante-et-un pour monsieur. Au terme d’un procès retentissant, la jeune femme de 32 ans fut néanmoins acquittée : une tragédie qui demeure irrésolue cent ans plus tard.

Ce drame fut un sacré casse-tête pour les enquêteurs, puisque les propos de Lizzie Borden sur son alibi évoluèrent largement au cours de leurs investigations. À l’époque, cette jeune femme avait avec son père et sa belle-mère une relation très conflictuelle, puisque Lizzie était convaincue de la vénalité d’Abby vis-à-vis de l’immense fortune d’Andrew – qui s’élevait de fait à 8 000 000 de dollars. Quelques jours avant le drame, l’oncle maternel de Lizzie, John Morse, vint parler argent avec son ex-beau-frère.

Mais le matin des meurtres, Andrew, Abby et leur employée de maison se sentirent soudainement malades après le petit-déjeuner, alors que John et sa nièce se sentaient en pleine forme. Andrew se rendit malgré tout au travail, et avant qu’il revienne faire une sieste en milieu de matinée, sa femme fut sauvagement massacrée. Quarante minutes après son retour, il y passait à son tour dans le salon, pendant que Bridget, la domestique, se reposait dans sa chambre.

Les policiers notèrent immédiatement l’étrange calme dont faisait preuve Lizzie. Ils ne vérifièrent néanmoins pas ses affaires et deux jours plus tard, lorsque la femme apprit qu’elle était suspectée, elle fut surprise par une de ses amies en train de déchirer une robe. Elle lui expliqua qu’elle s’apprêtait à la laver car le vêtement était couvert de peinture.

Elle se comporta de manière étrange tout au long du procès – notamment parce qu’elle avait alors été placée sous morphine. Ses versions changeaient continuellement, et malgré cela, après treize jours de procès et une heure et demie de délibération, le jury décida le 20 juin d’acquitter la fille des victimes. Bridget et John Morse furent aussi brièvement envisagés comme suspects, mais aucune charge ne pesa jamais contre eux.

Quant à Lizzie, elle resta vivre à Fall River, malgré le rejet social qu’elle dut affronter. Avec sa sœur, elles achetèrent grâce à l’argent de feu Papa une nouvelle maison nommée Maplecroft, jusqu’à ce qu’Emma déménage dix ans plus tard, après une dispute à la suite de laquelle elles ne se reverraient plus jamais. Lizzie mourut le 1er juin 1927 à Maplecroft.

C’est cette somptueuse maison vient d’être mise en vente par l’agence Mott & Chace Sotheby’s International Reality pour 849 000 dollars : huit chambres, plusieurs salles de bain et six cheminées et… potentiellement hantée par un fantôme qui sera néanmoins d’excellent conseil en décoration d’intérieur.

Source : Sotheby’s

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La moitié des vertébrés menacés d’extinction vivent sur des îles


61 % des espèces éteintes depuis 1500 sur les îles qui représentent 53 % des terres émergées. C’est beaucoup ! Les causes : L’homme bien entendue mais aussi des espèces invasives comme des chats et des rats. Il est clair que nous ne devrions pas amener des animaux qui ne sont pas originaires d’un territoire pour éviter ce désastre de la biodiversité
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La moitié des vertébrés menacés d’extinction vivent sur des îles

 

La quasi-extinction du Moqueur de Floreana a résulté... (PHOTO WIKICOMMONS)

La quasi-extinction du Moqueur de Floreana a résulté de l’introduction d’espèces invasives sur les Îles Galápagos.

PHOTO WIKICOMMONS

Agence France-Presse
Washington

 

Près de la moitié des vertébrés menacés d’extinction dans le monde vivent sur des îles, où il est plus facile de contrôler les espèces invasives à l’origine de leur éventuelle disparition, selon une étude publiée mercredi dans la revue Science Advances.

Les chercheurs à l’origine de cette étude ont identifié et localisé la totalité des 1189 espèces terrestres d’amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères figurant sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) se reproduisant sur 1288 îles.

Ils ont pu déterminer si des espèces nuisibles à ces vertébrés avaient été introduites sur ces îles comme des rats et des chats.

«Cette nouvelle banque de données sur la biodiversité insulaire permettra de mieux cibler et de nettement améliorer les efforts de conservation dont a besoin notre planète», se réjouit Dena Spatz, une biologiste de l’ONG Island Conservation, principale auteure de ces travaux.

Un grand nombre des espèces les plus menacées de la planète vivent ainsi sur des îles, comme le Moqueur de Floreana, un oiseau des Îles Galápagos disparu de l’île dont il porte le nom au 19e siècle, quelques décennies seulement après l’arrivée des humains.

Sa quasi-extinction a résulté de l’introduction d’espèces invasives sur l’île, dont des rongeurs et des chats sauvages. Les quelques centaines de Moqueurs de Floreana qui restent sont désormais confinés sur des îlots proches où il n’y pas de prédateurs.

Les îles ne représentent que 5,3% des terres émergées mais ont abrité 61% de toutes les espèces éteintes connues depuis 1500.

Les chats sauvages et les rongeurs ont été au cours des derniers siècles responsables d’au moins 44% des extinctions d’oiseaux, petits mammifères et reptiles.

Dans certaines îles il est possible d’empêcher l’arrivée de ces nuisibles et dans la grande majorité d’éliminer les intrus invasifs. Cela a permis la résurgence de nombreuses espèces autochtones en voie d’extinction, selon l’étude.

À titre d’exemple, la petite île d’Anacapa, au large de la Californie, où l’élimination réussie des rats a contribué à la reconstitution des populations de Guillemot de Scripps (Synthliboramphus scrippsi) et de la récente découverte d’Océanites tempête, une autre espèce d’oiseau menacé.

Alors que les vertébrés menacés représentent près de la moitié de toutes les espèces terrestres les plus en danger d’extinction, ils ne sont présents que sur une fraction des terres du globe et moins d’1% des îles, selon l’étude.

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L’histoire de la Russie moderne vue par une centenaire


Elle a beaucoup de mémoire pour une centenaire qui a été témoin de l’histoire de la Russie. C’est un cours de la vie d’une personne qui a vécu la misère et travaillé toute sa vie. Elle a aussi de simple bonheur que d’avoir de l’eau chaude et du chauffage centrale. Et comme elle dit : quoi demander de mieux ?. C’est là qu’on peut constater que notre propre vie n’est pas parfaite, mais nous sommes choyés
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L’histoire de la Russie moderne vue par une centenaire

 

 

Maria Riabtseva, cent ans au compteur mais une mémoire et un humour intacts. © afp.

Source: AFP

RUSSIE: 1917-2017 Maria Riabtseva avait à peine trois mois lorsque la révolution d’Octobre 1917 a bouleversé la Russie, faisant d’elle un témoin ordinaire d’un siècle d’événements exceptionnels, de la naissance et la mort de l’Union soviétique jusqu’à l’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine.

Née le 14 juin 1917 au nord de Moscou, Maria Riabtseva était trop jeune pour se souvenir de la Révolution, prévient-elle avec un sourire.

« Mes premiers souvenirs remontent aux années 1920 », ajoute-t-elle.

En un siècle de vie, elle a survécu à deux guerres, celle entre l’Armée blanche, fidèle au Tsar Nicolas II, et l’armée bolchevique, et la Seconde guerre mondiale, qui lui a ravi deux de ses enfants. Elle a aussi assisté à la collectivisation forcées des campagnes, dans les années 1920, aux purges staliniennes des années 1930, ainsi qu’à la perestroïka ayant mené à la chute de l’URSS en 1991.

Mais ce dont se souvient surtout la vieille dame, c’est d’avoir « travaillé toute (sa) vie ».

« J’ai travaillé depuis mon plus jeune âge », raconte à l’AFP celle qui fut tour à tour paysanne, infirmière et ouvrière.

« Notre famille était composée de cinq enfants, nous étions des paysans normaux », se souvient-elle. « On nous a saisis nos deux chevaux et une vache pour le kolkhoze (ferme collective). Que pouvions-nous faire? On a rejoint le kolkhoze », dit-elle.

Le vrai bonheur: de l’eau chaude, le chauffage central

Pendant la Seconde guerre mondiale, où ont été tués plus de 20 millions de Soviétiques, Maria Riabtseva devient infirmière à l’hôpital de Rostov-Iaroslavki, à 200 km au nord de Moscou.

« C’était dur, il n’y avait pas grand-chose à manger… Il fallait travailler, il y avait tant de soldats blessés, les lits étaient pleins », soupire-t-elle. « Mais comme nous étions heureux le jour de la Victoire, comme tout le monde chantait et dansait! », s’exclame-t-elle ensuite, les yeux s’illuminant de joie à ce souvenir.

De la mort de Staline, survenue en mars 1953, Maria Riabtseva ne conserve que peu de souvenirs.

« Ce n’était pas une catastrophe », dit-elle en haussant les épaules. « Mais tout le monde était triste. »

Ce qui a marqué la mémoire de cette vieille dame à l’humour intact, c’est surtout son emménagement en 1961 dans un appartement de deux-pièces situé à l’est de Léningrad (aujourd’hui Saint-Pétersbourg, ancienne capitale impériale de la Russie).

« Ca c’était le vrai bonheur: de l’eau chaude, le chauffage central… De quoi d’autre peut-on encore rêver ? », lance-t-elle.

© afp.

Une qualité de vie améliorée depuis l’arrivée de Poutine

Ce logement lui paraissait un véritable paradis après avoir vécu une dizaine d’années dans une baraque rustique et glaciale l’hiver avec sa famille pendant la dure période qui a suivi la Seconde guerre mondiale.

Les temps difficiles de la Perestroïka, précédant la chute de l’URSS, « n’ont pas vraiment changé (sa) vie, sauf que c’était plus dur qu’avant », tandis que l’arrivée de Vladimir Poutine, au pouvoir depuis fin 1999, a considérablement amélioré son quotidien, raconte cette dame, veuve depuis plus de quarante ans.

« Il faut vivre »

Maria Riabtseva partage désormais son appartement avec la famille d’un de ses petits-fils. Elle qui affirme ne pas s’intéresser à la politique, assure ne pas avoir l’intention de fêter le centenaire de la révolution d’Octobre qui aura lieu le 7 novembre.

« Je pense que j’aurais vécu la même vie, avec ou sans révolution. De toute façon, on ne peut rien changer », philosophe-t-elle. « Est-ce que j’ai été heureuse? Je ne sais pas. Je vivais. Si tu es né, il faut vivre, n’est-ce pas? Surtout que la vie passe très vite », sourit-elle.

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Des papillons monarques pourraient rester coincés dans le Nord


Avec les températures bizarres que nous avons eu, les vents violents cela pourrait affecter la migration des papillons monarques vers le Mexique, ce qui serait désastreux étant donné que depuis les dernières années leurs nombres ont beaucoup diminués
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Des papillons monarques pourraient rester coincés dans le Nord

 

Une grappe de Monarques suspendus sur un conifère.

Une grappe de Monarques suspendus sur un conifère.   Photo : iStockphoto/David Gomez

 

Les papillons monarques ont tardé à partir vers le Sud cette année, un phénomène qui inquiète certains experts qui craignent que les insectes ne restent coincés dans le Nord avec l’arrivée du temps froid.

RADIO-CANADA AVEC LA PRESSE CANADIENNE

Darlene Burgess, bénévole pour l’organisme Monarch Watch, s’occupe du dénombrement nocturne des papillons au parc de la Pointe-Pelée, dans le sud-ouest de l’Ontario. Jusqu’à récemment, elle a vu des milliers de spécimens, alors qu’à cette période de l’année, la grande majorité de ces papillons devraient déjà avoir pris le chemin du Mexique.

Ce n’est pas inhabituel d’en voir à cette époque, c’est leur nombre qui est rare. J’en ai encore compté 1000 après l’Action de grâces.

Darlene Burgess, bénévole pour l’organisme Monarch Watch

Et il n’y a pas qu’au Canada que des essaims ont été observés. Des milliers de papillons ont également été vus dans le New Jersey.

Les températures inhabituellement chaudes et les vents forts qu’ont connus le nord des États-Unis et le sud du Canada ces dernières semaines expliquent en partie le phénomène qui inquiète les scientifiques.

« J’ai vu plusieurs papillons se battre contre les vents forts et tomber dans le lac Érié », note Mme Burgess.

En outre, certains papillons sont nés plus tard que d’habitude.

« Le risque, c’est que les papillons monarques soient surpris par l’hiver et restent coincés dans le Nord », estime Elizabeth Howard, directrice de l’organisme Journey North.

Selon elle, les muscles des monarques ne fonctionnent pas lorsque les températures sont inférieures à 10 °C. Et s’ils ne gèlent pas, ils risquent de mourir de faim, car la plupart des plantes dont ils se nourrissent ont disparu pour la saison.

Mme Burgess affirme toutefois qu’elle n’a vu qu’une cinquantaine de papillons jeudi, un signe que bon nombre d’entre eux sont parvenus à prendre leur envol vers leur destination finale.

http://ici.radio-canada.ca