Abandon


Bonne question ! Un moment donné, il faut faire un choix, soit de vivre dans le passé, ou de tourner la page pour avancer
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Abandon

 

« La question n’est pas toujours de savoir si on est prêt à être heureux, mais plutôt si l’on est prêt à abandonner notre souffrance. »

Inconnu

Le Saviez-Vous ► 10 faits incroyables sur Donald Trump


Franchement, je ne comprends pas comment ce genre de guignol a pu se rendre à la élection présidentielle et gagner la présidence des États-Unis. C’est connu que Donald Trump a l’art de se mettre les pieds dans les plats, et cela ne date pas d’hier. Dans sa vie d’entrepreneur, ses émissions de télévision, il a fait des remarques vraiment idiotes. Il n’aime pas les femmes, ni les personnes âgées, ni personnes autre que lui.. Aux dernières nouvelles, seulement 24 % croient encore en lui …
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10 faits incroyables sur Donald Trump.

 

Il a essayé de détruire la maison d’une vieille femme à l’aide d’un bulldozer.

En 1994, Donald a décrété que le Trump Plaza Hotel & Casino avait désespérément besoin d’un parking conçu spécifiquement pour les limousines. Une veuve âgée du nom de Vera Coking vivait à l’emplacement envisagé pour accueillir ce parking. Trump a utilisé le droit de préemption pour condamner sa maison, mais finalement l’Institut national pour la justice est intervenu et Donald Trump ne faisait pas le poids.

Il a déclaré que l’école militaire l’avait mieux formé que les soldats.

Les antécédents de Donald Trump avec les soldats américains ne sont pas bons et cette déclaration résume assez bien sa vision de l’armée américaine. Il a confié à son biographe que la période qu’il a passée à l’Académie militaire de New York lui avait apporté

« une formation militaire de meilleure qualité que celle dont disposent beaucoup de types qui rentrent dans l’armée ».

Je suis plutôt convaincu qu’un certain nombre de membres des différents corps de l’armée américaine serait en total désaccord avec cette affirmation stupide.

Il a dit un jour qu’il sortirait avec sa propre fille.

Donald Trump est apparu dans un épisode de l’émission « The View » en 2006 et s’est exprimé ouvertement sur sa fille et si oui ou non elle devait poser pour le magazine Playboy. C’était un peu bizarre de voir Donald dire qu’elle avait « un très beau visage ». Il a ensuite ajouté :

« Si Ivanka n’était pas ma fille, peut-être que je sortirais avec elle ».

Bien sûr, il n’a pas dit directement qu’elle souhaitait sortir avec elle, mais il l’a fortement sous-entendu. Beurk.

Il a créé une épouvantable marque de vodka.

Donald Trump a l’habitude de faire des déclarations incroyablement bavardes sur ses propres produits et c’était aussi le cas au sujet de la vodka Trump. En 2006, il a affirmé que tous les bars du pays serviraient bientôt des « Trump Tonic » et des « Martinis Trump ». Il a également déclaré qu’il rivaliserait avec la vodka française Grey Goose et

« demanderait le même respect et inspirerait la même admiration en tant que marque et patrimoine internationaux de Donald Trump lui-même ».

Elle était imbuvable et a connu un échec cuisant.

Il a créé un jeu de société et c’était le pire jeu jamais créé.

En 1989, le jeu de société Donald Trump a été annoncé. Il existait déjà un jeu d’immobilier à succès, vous avez sans doute entendu parler de lui : le Monopoly. Le fait d’adapter le mode de vie extravagant de Trump, selon lequel vous « payez pour tout ce que vous souhaitez posséder », n’a sans doute pas aidé.

Voici l’horrible publicité qui préfigurait à quel point le jeu allait être mauvais.

Il a passé en revue toutes les participantes du concours Miss USA pour sélectionner celles qui étaient les plus attirantes à son avis.

Donald Trump pensait que les participantes au concours Miss USA devaient se conformer à sa propre vision de la beauté. Selon Carrie Prejean, une ancienne participante, Trump évaluait personnellement le caractère séduisant des femmes. Cela s’appelait apparemment la Règle Trump, et elle a fait pleurer plus d’une femme.

Il a poursuivi Bill Maher en justice pour une plaisanterie.

Lorsque Donald Trump a déclaré qu’il donnerait 5 millions de dollars à un organisme de bienfaisance du choix du président Obama si celui-ci fournissait un certificat de naissance ou des titres de voyage prouvant qu’il était américain, beaucoup de personnes ont réagi.

Bill Maher a plaisanté, disant

 qu’il donnerait 5 millions de dollars à l’organisme de bienfaisance du choix de Trump s’il pouvait fournir un certificat de naissance montrant qu’il n’était pas la « progéniture de sa mère ayant eu une relation sexuelle avant un orang-outan ».

Il a demandé l’exécution de cinq hommes innocents.

En 1989, Trump a acheté des pages entières de publicité dans quatre journaux importants de New York pour demander le retour de la peine de mort. Trump souhaitait que l’État punisse cinq hommes déclarés coupables d’avoir violé un jogger de Central Park. Il s’est avéré que les cinq hommes étaient innocents. Il a ensuite considéré que l’accord reçu par les hommes après plus d’une décennie d’emprisonnement injustifié était une « honte ».

Il considérait que Mike Tyson ne devait pas être incarcéré pour viol.

Le boxeur Mike Tyson a été condamné en 1992 pour le viol de Desiree Washington qui avait 18 ans. Donald Trump a déclaré que, plutôt que d’aller en prison, Tyson aurait dû pouvoir payer « des millions et des millions de dollars » à la victime. Trump s’est justifié en annonçant que

« de nombreuses personnes tireraient davantage de sa proposition plutôt que d’envoyer un homme en prison, pratiquement sans argent, car à la fin de sa peine il n’en aura plus… »

Il voulait reformer Party Girls grâce à la télé-réalité.

En 2007, Donald Trump a essayé de concevoir une émission de télé-réalité avec la chaîne Fox appelée « Lady or a Tramp » (« Dame ou trainée »).

De grosses fêtardes devaient être envoyées dans une école de charme pour apprendre « les moindres détails de compétences telles que la composition florale et la broderie ».

Il a déclaré que l’émission serait comme une version réelle de « My Fair Lady ».

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Étouffement alimentaire: plus de 120 décès en trois ans au Québec


Ben moi, je m’étouffe à chaque fois que je croque une carotte, donc je mange soit râpée ou cuite. Avec les gens qui vivent plus vieux, il arrive plus souvent des cas d’étouffement avec des aliments. Il important de prévoir les personnes qui peuvent souffrir de dysphagie
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Étouffement alimentaire: plus de 120 décès en trois ans au Québec

Six morts par étouffement alimentaire sur dix (58 %)... (PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE)r

Six morts par étouffement alimentaire sur dix (58 %) sont survenues dans un CHSLD, un hôpital, une famille d’accueil ou une résidence privée de soins.

PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

STÉPHANIE BÉRUBÉ
La Presse

Il fait beau. Guy mange son poulet au centre où il réside. Il s’étouffe. Meurt. À l’autopsie, on trouvera des morceaux de viande dans ses voies respiratoires. La nourriture s’est engagée du mauvais côté.

Le scénario est nettement plus répandu qu’on pourrait le croire : durant les trois dernières années, 121 personnes sont mortes étouffées par de la nourriture au Québec. Six morts sur dix (58%) sont survenues dans un CHSLD, un hôpital, une famille d’accueil ou une résidence privée de soins. Dans deux cas, des personnes sont mortes dans des camps de vacances spécialisés.

Si la viande est en cause dans une vingtaine de cas d’étouffement alimentaire, l’aliment qui tue le plus est le pain. Presque une personne sur quatre (23%) qui est morte étouffée venait de manger différents types de sandwichs ou la rôtie du matin, qui revient sur plusieurs rapports de coroner. Cette statistique inclut la pizza, mais exclut les gâteaux et les crêpes, ainsi que les cas où l’étouffement survient après le déjeuner, sans que l’on sache pourquoi précisément.

Devrait-on sortir tous les grille-pain des résidences de soins?

Pas du tout, répond Amélie Giroux, présidente par intérim de l’Association professionnelle des nutritionnistes experts en dysphagie.

La clé, dit-elle, tient dans «un bon dépistage à l’admission» et un suivi constant de la condition du patient qui évoluera.

Les fruits, qui sont souvent montrés du doigt, sont mis en cause dans cinq morts au Québec : deux personnes sont mortes après avoir mangé des oranges, et les trois autres cas impliquaient des raisins, un melon et des pruneaux.

Pas de données

Le Bureau du coroner du Québec ne tient aucune statistique sur ce sujet. C’est par La Presse que la coroner en chef, Catherine Rudel-Tessier, a appris que le pain est responsable d’une sérieuse proportion des morts par étouffement, que l’on appelle aussi la fausse route alimentaire.

Les rapports consultés ont été obtenus à la suite d’une demande faite par la Loi sur l’accès à l’information afin d’obtenir les documents des morts accidentelles par inhalation et ingestion d’aliments provoquant une obstruction des voies respiratoires. On y détaille les décès de 116 personnes en 2014, 2015 et 2016. Cinq cas sont survenus cette année. Les rapports ne contiennent pas tous précisément les aliments qui ont causé la mort.

La coroner en chef admet que son bureau devrait avoir plus de données en main sur l’asphyxie alimentaire et espère pouvoir travailler davantage sur la prévention à l’avenir, dans ce dossier comme dans d’autres. Des comités sont actuellement mis en place, mais rien sur l’étouffement alimentaire n’est prévu pour le moment. La coroner fait toutefois beaucoup de présentations auprès des partenaires, comme le personnel des résidences de personnes âgées, et souhaite que les cas d’étouffement alimentaires soient plus déclarés.

 «On a un problème de sous-déclaration avec les personnes âgées», avoue Catherine Rudel-Tessier.

«C’est un phénomène qui va en augmentant», estime Yvon Garneau, coroner pour la région du Centre-du-Québec, qui a eu à se pencher sur des cas d’étouffement alimentaire. «En trois ans, c’est beaucoup de décès», calcule-t-il. 

Yvon Garneau croit qu’il est temps qu’on s’intéresse à ce phénomène méconnu. Surtout dans une société où l’on vit plus vieux et où l’on voit plus de cas de dysphagie.

La dysphagie, explique la nutritionniste Amélie Giroux, est la difficulté de faire passer la nourriture de la bouche à l’estomac. Ce n’est pas une maladie, mais souvent une conséquence d’une autre maladie – la sclérose en plaques, par exemple. 

«Si on se rend compte qu’au Québec, de plus en plus de personnes âgées décèdent [après s’être étouffées], il va falloir que le corps médical se penche sur la question», dit le coroner Yvon Garneau.

De tous les rapports du coroner consultés par La Presse, seulement une dizaine se terminent par des recommandations. On y note, par exemple, que le personnel doit connaître et maîtriser la technique Heimlich, cette pression faite sur l’abdomen, par une personne qui se trouve derrière celle qui s’étouffe. Le personnel de résidences a aussi été montré du doigt pour ne pas avoir reconnu un problème de dysphagie ou respecté la diète prescrite pour un patient. Dans un rapport, la coroner Catherine Rudel-Tessier note aussi le manque de communication dans une résidence.

Toutefois, les cas de mort par étouffement après qu’un résidant a mangé de la nourriture qui n’était pas recommandée pour son état de santé ou parce qu’il avait mangé un plat préparé à l’extérieur de sa résidence sont extrêmement rares. Idem pour les erreurs : contrairement à ce qu’on pourrait penser, les morts surviennent rarement quand une diète liquide ou adaptée à un cas de dysphagie n’est pas respectée.

Les erreurs fatales existent néanmoins : une dame de 87 ans s’est étouffée à Québec avec un sachet de thé que l’on avait laissé dans sa tasse, en 2016. Le coroner a recommandé au centre où elle résidait que le personnel serve uniquement du thé infusé à toute sa clientèle.

– Avec William Leclerc, La Presse

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Lèvres gercées? Le coupable se trouve peut-être dans votre salle de bain


Les lèvres gercées sont souvent une conséquence de l’hiver, sauf qu’il peut avoir d’autres causes, comme le dentifrice dont certains ingrédients peuvent être irritant pour les lèvres
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Lèvres gercées? Le coupable se trouve peut-être dans votre salle de bain

 

© thinkstock.

Si les baumes à lèvres n’ont aucun effet sur vous, le dentifrice pourrait bien être le coupable de tous vos maux.

© thinkstock.

Été comme hiver, vous avez toujours vos lèvres gercées et toutes les lotions que vous y appliquez n’y changent rien? Alors dans ce cas, le coupable se trouve peut-être dans votre salle de bain.

Car selon nos confrères de Refinery29, le dentifrice que vous utilisez pourrait bien être la cause de tous vos maux. Et plus précisément le sodium laureth sulfate (SLS) qu’il contient.

Ce composant permet de faire mousser le produit mais peut également être très irritant pour vos lèvres.

« Si vous avez les lèvres tout le temps sèches, des sensations de brûlure ou d’irritation ou même une éruption cutanée autour de la bouche, vous devriez penser à changer de dentifrice », a expliqué le dermatologue Joshua Zeichner à nos confrères.

Il conseille alors d’utiliser des dentifrices qui ne contiennent pas de sodium laureth sulfate. Mais ce n’est pas tout. Car, toujours selon le spécialiste, d’autres composants, comme la cannelle ou la menthe, peuvent également provoquer cette réaction.

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Un satellite européen et son carburant toxique pourraient s’écraser au Canada


Bien que la plupart des débris spatiaux se désintègrent complètement en rentrant dans l’atmosphère de la Terre, il y a quand même un risque que certains passent au travers et tombent dans l’eau ou sur le sol. Le fait d’utiliser un carburant hautement toxique (moins cher) pour la faune marine dans l’Arctique canadien est inadmissible. L’écosystème de cette région est trop fragile pour risquer une telle catastrophe écologique
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Un satellite européen et son carburant toxique pourraient s’écraser au Canada

 

La banquise arctique... (PHOTO Michael Studinger, ARCHIVES REUTERS/NASA)

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La banquise arctique

PHOTO MICHAEL STUDINGER, ARCHIVES REUTERS/NASA

 

BOB WEBER
La Presse Canadienne

Des leaders et des chasseurs inuits sont en colère contre les projets européens de lancer un satellite qui propulserait une fusée qui contiendrait probablement un carburant fortement toxique dans certaines des eaux les plus sensibles dans l’Arctique canadien.

Nancy Karetak-Lindell, présidente du Conseil inuit circumpolaire, a dit croire que le fait que des agences spatiales sont «prêtes à utiliser le Pikialasorsuaq comme une décharge toxique souligne le besoin pressant pour une gestion locale de l’écosystème sensible».

Elle a fait valoir que ces eaux marines étaient en fait «la source de vivres» pour les populations.

Vendredi prochain, l’Agence spatiale européenne prévoit lancer le satellite Sentinel 5P, conçu pour surveiller les traces de gaz dans l’atmosphère. Un second lancement d’un satellite similaire est prévu pour 2018.

Les deux satellites doivent être lancés à partir de la Russie en utilisant des fusées de l’ère soviétique propulsées par de l’hydrazine. L’hydrazine est tellement toxique que pratiquement tous les programmes d’activités dans l’espace dans le monde – incluant ceux de la Russie – l’ont abandonné.

Le deuxième étage de la fusée contenant jusqu’à une tonne d’hydrazine non brûlé doit tomber entre le Groenland et l’île de Baffin, dans un secteur qui fait partie de la zone économique exclusive du Canada.

La polynie des eaux du Nord est un secteur océanique d’une superficie de 85 km carrés libre de glace pendant toute l’année. Elle abrite la plupart des espèces marines, dont environ 14 000 bélugas et 1500 morses. La baleine boréale, l’ours polaire et quatre types de phoque nagent dans ses eaux. Des dizaines de millions d’oiseaux de mer la survolent.

«Ces eaux sont le jardin des espèces que nous chassons, a dit Larry Andlaluk. de Grise Fiord au Nunavut, une des communautés situées le plus près de polynie. Ce qui peut se produire est apeurant.»

Un universitaire canadien, Michael Byers, a étudié l’impact environnemental de l’hydrazine.

Le carburant est carcinogène. Il peut s’attaquer au système nerveux, aux reins et au foie. Son impact sur les écosystèmes marins demeure inconnu, mais si on sait que l’hydrazine a tué un grand nombre de poissons nageant en eaux douces.

«Il faut agir», soutient M. Byers.

Selon lui, les Européens devraient cesser immédiatement à utiliser de l’hydrazine comme carburant. Il a souligné qu’un satellite similaire au Sentinel 5 a été lancé par une fusée utilisant un carburant plus sûr.

Le Canada a insisté auprès de la Russie pour être averti longtemps à l’avance de chaque lancement spatial afin de pouvoir adopter les mesures de précaution appropriées, a dit Brendan Sutton d’Affaires mondiales Canada.

«Comme la plupart des débris spatiaux se désintègrent et brûlent complètement au moment de leur rentrée dans l’atmosphère terrestre, les risques de voir un débris ou du carburant non brûlé atteindre l’environnement marin sont très bas, a-t-il expliqué. Le Canada s’attend à ce que tous les efforts soient déployés pour éviter qu’un débris ne tombe sur le sol ou dans les eaux du pays.»

L’amerrissage doit se dérouler à l’extérieur des eaux territoriales dans un secteur que le Canada entend contrôler et régir.

«L’omission de la zone économique exclusive dans cette déclaration doit être intentionnelle, a souligné M. Byers, qui est un professeur de droit international. Cela représenterait une abdication des responsabilités du Canada. Nous avons une juridiction jusqu’à 200 milles nautiques de nos côtes pour empêcher la pollution. On a mené de chaudes luttes pour l’obtenir.»

Il souligne que l’Agence spatiale européenne compte le Canada parmi ses membres affiliés.

«Elle est une leader dans l’utilisation de satellite dans le domaine des sciences environnementales, mais elle utilise une vieille technologie et ce vieux carburant. Elle n’a aucune raison crédible pour aller de l’avant avec ce lancement, à l’exception de la volonté d’économiser de l’argent.»

Un porte-parole de l’agence n’était pas disponible dans l’immédiat pour commenter.

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Comment l’être humain en est arrivé à ce point?


C’est une réflexion sur notre façon d’agir face à la nature. Il y a plusieurs années, nous vivions selon les saisons, avec notre environnement. Aujourd’hui, nous préférons tout contrôler, faire de l’argent avec cette nature, même si nous risquons l’extinction des espèces que ce soit de la faune ou de la flore. Un exemple donné, on prévoit la chasse aux écureuils, non pas qu’elle soit un danger, mais pour des raisons économiques, de création d’emplois. C’est tombé bien bas !
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Comment l’être humain en est arrivé à ce point?

 

GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO

N’est-il pas fabuleux de pouvoir observer et vivre en harmonie avec les écureuils?

 

Laissons nos écureuils en paix et repensons notre place dans le cycle de la Nature.

Il était une fois l’Homme…fort de son intelligence (cela reste à vérifier) et de sa propension à se croire le meilleur, n’ayant peur de rien. Il ne cessa jamais de défier la nature et ses vertus.

Au début de son existence, il connaissait les rythmes de Dame Nature. La nuit succédait au jour. Le soleil se levait et se couchait. Il sentait les doux parfums des fleurs des champs. Le parfum de Dame Nature lui plaisait et le ressourçait. Après la pluie, il sentait la brise légère et le parfum de l’herbe humide. Une odeur particulière lui rappelant qu’il est un être vivant, comme les autres.

La technologie avançant et la science évoluant, l’Homme quitta ses villages pour aller dans les villes, parfois même, en créer. Dame Nature fut reléguée au statut d’ennemie quotidienne. Il fallait la dominer. L’Homme coupa et coupa encore les arbres pour détruire progressivement des pans entiers de forêts ou de bois. L’Homme devint étranger à Dame Nature.

Dame Nature devint parfois un endroit paradisiaque ou de grandes aventures. L’Homme décida alors de camper avec sa tente, son petit-réchaud, son sac gonflable et son petit couteau de survie. Pensant renouer avec le passé aventurier et animal de son humaine condition.

Il remarqua que certaines espèces animales pouvaient être exploitées à des fins économiques.

Mais cela est sans compter sur des actions néfastes. Dame Nature était celle qu’il fallait maîtriser. Se croyant le meilleur, il relégua toutes les autres espèces animales dans un statut d’utilité ou inutilité publique. Il remarqua que certaines espèces animales pouvaient être exploitées à des fins économiques. Le papier « argent » prit la place de la Nature et de la richesse de la vie. Il enferma les vaches, les veaux, les moutons, les poules, les canards et bien d’autres animaux. Il en mangea mais il en commercialisa aussi. Le pouvoir de l’argent faisant, l’Homme confina les animaux dans des usines. Les vaches ne virent jamais l’herbe, les prairies verdoyantes. Les veaux quittèrent leurs mères dès les premières heures de leurs existences. Ils naissaient pour finir dans l’assiette touffue de l’Homme.

Jadis, les ancêtres de l’Homme contemporain respectaient le cycle de la vie. Ce temps est révolu. De l’Homme, partie de la Nature, il est devenu l’Homme prédateur sans vertus et scrupules. Il ne chasse plus pour se nourrir avec sa famille. Il chasse pour ce bout de papier, peut-être recyclé, appelait « argent ». L’Homme ne pense plus en termes de rythmes des saisons, des espèces et de Dame Nature. L’Homme a dans les yeux ce petit symbole de richesse éphémère.

***

Ce texte est en lien avec une actualité des plus étranges et devant nous interroger sur nos actions en tant qu’humain. Depuis plusieurs décennies maintenant, nous avons conscience que nous faisons partie d’un Tout puissant. Ce n’est pas Dieu mais la Nature. La nature se divise souvent en deux grands champs : la faune et la flore. La faune concerne les animaux alors que la flore est du domaine des végétaux et de l’environnement. La faune et la flore existait avant l’espèce humaine. Cependant, nous détruisons la faune et la flore depuis des décennies. Nous sommes devenus notre pire ennemi.

Ne croyez pas que je suis un écologiste acharné. Non, je suis un être vivant ayant conscience qu’il vit dans un espace vivant aussi. Les arbres, les plantes, les arbustes, les animaux ou encore le cycle des saisons existent et répondent à des impératifs plus grands que ceux créés par l’espèce humaine. Nous devons en prendre conscience.

Récemment, une pétition a été déposée par un député de la Coalition Avenir Québec (CAQ) demandant de permettre la chasse aux écureuils au Québec. Nous pourrions croire qu’il s’agit d’un impératif de protection des êtres humains qui se voient menacés. Nullement. Si nous regardons le texte, nous voyons que les deux premiers motifs (donc plus important selon l’instigateur de la pétition) sont d’ordres économiques (création d’emplois et de retombées économiques de l’industrie de la chasse).

Comment l’être humain en est arrivé à ce point?

L’humain, espèce vivante parmi d’autres, pense en termes économique à la place de la nature. Sans la planète, la nature, nous ne serions pas présents. Il suffit pour cela de regarder la menace du réchauffement climatique. Il est temps que nous prenions conscience de notre place dans la nature. Si nous sommes menacés, nous devons nous défendre mais sommes-nous menacés par les écureuils ? Aucunement.

Arrêtons de penser par le biais des rentes pécuniaires mais renouons avec la Nature. N’est-il pas fabuleux de pouvoir observer et vivre en harmonie avec les écureuils ? N’est-il magnifique d’entendre le chant des oiseaux le matin au réveil ? N’est-il pas d’une grande beauté de voir des fleurs ou des arbres en fleurs grâce aux butinages des abeilles ?

Laissons nos écureuils en paix et repensons notre place dans le cycle de la Nature.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Des recherches en Allemagne sur l’origine de plus de 1 000 crânes africains


Pendant l’empire allemand, les colonies ont étendu leur territoire à plus endroits en Afrique. Des restes humains ont été rapatrié pendant cette période de l’histoire. Aujourd’hui, on cherche à savoir l’origine de 1000 crânes qui peuvent venir du Rwanda, Tanzanie et autres pays. Moi, la question que je me demande : pourquoi ces crânes se retrouve en Allemagne
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Des recherches en Allemagne sur l’origine de plus de 1 000 crânes africains

 

ANTONY NJUGUNA / REUTERS

Ces restes humains avaient été ramenés principalement du Rwanda, mais aussi de Tanzanie et du Burundi, dans l’ancien Empire allemand.

Un projet international de recherche de deux ans a été lancé jeudi en Allemagne pour découvrir l’origine de plus de 1 000 crânes provenant des anciennes colonies allemandes en Afrique.

Ces restes humains avaient été ramenés principalement du Rwanda, mais aussi de Tanzanie et du Burundi, dans l’ancien Empire allemand (1871-1918) par l’anthropologue allemand Felix von Luschan à des fins « d’études scientifiques ».

Coordonnées par la Fondation des possessions culturelles prussiennes (FPCP), ces recherches pourraient permettre de restituer in fine ces crânes aux pays d’origine

« Nous allons d’abord chercher à déterminer quelle est l’histoire de ces crânes (…) puis nous réfléchirons avec les pays concernés à ce que nous en ferons », a expliqué lors d’une conférence de presse à Berlin Hermann Parzinger de la FPCP.

L’ambassadeur rwandais en Allemagne Igor Cesar a admis que son pays n’avait appris que récemment, en 2016, l’existence de ces restes humains.

« Quand on entend dire qu’il y a 1 000 crânes, on se demande d’abord d’où ils viennent. Comment peut-on parvenir à récolter 1 000 crânes? », s’est-il demandé, précisant qu’à cette époque les cimetières n’existaient pas au Rwanda. Les corps des défunts étaient simplement enterrés près des maisons familiales.

Selon lui, il est « encore trop tôt » pour que Kigali exige leur restitution: « ces crânes ont attendu 100 ans et à présent ils sont ici (…) quand nous saurons plus précisément ce qu’il en ressort, nous verrons ce qu’il en adviendra ».

La Fondation des possessions culturelles prussiennes avait récupéré ces crânes « en très mauvais état » de l’hôpital berlinois de la Charité. Parmi eux, 986 seraient issus du Rwanda, 41 de Tanzanie, 4 du Burundi et 54 autres ne sont pour le moment identifiés que par « Afrique de l’est ».

Depuis, ils faisaient l’objet d’un important travail de rénovation et d’inventaire.

Mais en l’absence de toute documentation, le travail préliminaire des scientifiques s’est avéré jusqu’à présent très compliqué: les notes griffonnées à même les crânes ont constitué jusqu’à présent leurs meilleurs indices.

C’est pourquoi les chercheurs allemands vont travailler en collaboration avec leurs homologues africains pour faciliter leur tâche.

« Nous allons désormais former un réseau avec nos collègues de Tanzanie, du Rwanda, du Burundi pour rechercher ensemble les origines de ces objets », a affirmé Bernhard Heeb qui coordonne l’étude globale.

Jusqu’au traité de Versailles à la fin de la Première Guerre mondiale, l’Empire allemand possédait plusieurs colonies en Afrique: l’Afrique orientale allemande s’étendait sur les territoires actuels du Rwanda, du Burundi et d’une partie de la Tanzanie, le sud-ouest africain recouvrait l’actuelle Namibie et l’ouest avec les actuels Cameroun et Togo

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