La mondialisation


C’est une triste réalité, pourtant nous pourrions changer les choses, si nous refusons toutes exploitations des êtres humains, partage des richesses … L’orgueil, le pouvoir est un choix qui est trop souvent mit de l’avant. Je me souviens d’un voyage au Mexique, alors qu’après quelques jours, nous voulions manger quelque chose que notre palais connaissait. On a choisi un Mc Do, les employés n’avaient pas les moyens de manger du fast-food, car leur salaire était trop bas
Nuage

La mondialisation

 

Sur la balance de la mondialisation, une tête d’enfant du tiers-monde pèse moins lourd qu’un hamburger

Fatou Diome

28 occasions lors desquelles la nature nous fait dire « NON »


La nature est magnifique, parfois, elle peut être assez glauque. Elle fait ses propres scènes d’horreur.
Nuage

 

28 occasions lors desquelles la nature nous fait dire « NON »

Dans la nature, tout n’est pas nécessairement aussi beau ou hilarant que ce à quoi nous sommes habitués. Elle a un côté obscur.

D’une mère mille-pattes protégeant ses petits en passant par une colonie de guêpes en construisant un nid autour d’une poupée désarticulée, ces images montrent les choses les plus effrayantes que mère nature a à offrir. Faites défiler la page pour mettre votre courage à l’épreuve et votez pour vos préférées.

N° 1 – Ce cratère de lave semble aspirer les âmes des damnés en enfer.

N° 2 – Un bernard-l’hermite utilisant la tête d’une poupée en guise de coquille.

3 – Des guêpes ayant construit un nid autour d’une poupée désarticulée.

N° 4 – Cette grenouille a été trouvée un matin toute sèche et flétrie à l’extérieur d’un magasin. Le gérant s’est dit : « essayons de la mettre dans de l’eau », et mince, elle est revenue à la vie.

N° 5 – Un nid de frelons abandonné que mon père a trouvé dans son abri de jardin alors qu’il n’y était pas entré pendant quelques années. La tête appartient à une statue en bois avec laquelle le nid abandonné a fusionné.

– Publicité –

N° 6 – Une mère mille-pattes protégeant ses petits.

N° 7 – Une personne en charge du lac a trouvé le renard (qui s’est noyé) dans la glace, a extrait le bloc et l’a posé sur la glace afin d’éloigner les gens de celle-ci.

N° 8 – Le cymothoa exigua est un type de parasite qui pénètre par les branchies des poissons, dévore leur langue, et la remplace.

N° 9 – Des enveloppes de fleurs mortes dans mon jardin. Elles ressemblent à des masques de mort.

N° 10 – Le champignon les doigts du diable.

N° 11 – Quelle tête !

N° 12 – Il y a tellement d’abeilles dans le mur que leur miel dégouline d’une prise

N° 13 – Un ver originaire d’Antarctique appelé Eulagisca gigantea.

N° 14 – Une chenille à tête de serpent.

N° 15 – Cette chouette occupée a tué plus de 70 lemmings et a entouré son nid de leurs dépouilles fraîches.

N° 16 – Un mille-pattes dévoré par une vipère a trouvé le chemin de la sortie.

N° 17 – Cet arbre dans le Nebraska a été frappé par la foudre la veille.

N° 18 – Une nouvelle patte pousse sur la queue de ce lézard ?

N° 19 – Des fourmis rouges ont créé une île flottante avec leurs corps pour échapper à l’inondation de Houston.

N° 20 – J’étais sur le point de montrer à mes enfants que les carapaces de cigales ne sont ni dégoutantes ni effrayantes, lorsque…

N° 21 – Ces pythons réticulés se sont séparés d’eux-mêmes selon leur couleur juste après l’éclosion.

– Publicité –

N° 22 – Un renne (Rangifer Tarandus) présentant des bois qui perdent leur velours, en Amérique du Nord.

N° 23 – Une ruche construite autour de carillons éoliens chez un ami.

N° 24 – Le rondeau mouton a des dents ressemblant à celles des humains.

N° 25 – La mouche sans ailes Penicillidia se fixe à la tête d’une chauve-souris et ne la quitte jamais.

N° 26 – Ce gecko à trois queues.

N° 27 – Une souris sur mon porche qui porte la tête de son ennemie vaincue.

N° 28 – Un éboulement à Taïwan.

https://bridoz.com/

Le Saviez-Vous ► Cette tapisserie du XIᵉ siècle serait la première BD au monde


 

Cette tapisserie est une broderie qui raconte l’histoire d’un combat entre deux hommes pour avoir accès au trône d’Angleterre On la considéré comme la première bande dessinée a cause des 58 scènes accompagné de 2 000 mots en latin
Nuage

 

 

Cette tapisserie du XIᵉ siècle serait la première BD au monde

 

capture 2017-02-23 à 20.37.30

Nous sommes nombreux à avoir chéri les histoires de nos héros préférés en relisant encore et encore les pages écornées de nos bandes dessinées ultra-colorées. Peut-être avez-vous une magnifique collection de BD Tintin ou Superman qui campe encore fièrement sur une étagère et qui vous inspire un tendre sentiment de nostalgie. Mais vous êtes-vous déjà demandé à quand remontent les débuts du « neuvième art » ? Pour certains, une broderie du XIᵉ siècle inscrite au patrimoine de l’UNESCO en 2007 en serait l’ancêtre !

Cette broderie, c’est la Tapisserie de Bayeux que certains aiment également appeler la Tapisserie de la reine Mathilde. Bien que les origines de cette œuvre en laine restent encore troubles, une légende voudrait en effet que ce soit la reine Mathilde et ses dames de compagnie qui se soient attelées à ce travail titanesque. Car là où une bande dessinée tient aisément dans un cartable d’écolier, la tapisserie en question affiche des dimensions pour le moins impressionnantes : 68,30 mètres de long sur 50 centimètres de haut (le tout pour pas moins de 350 kg). Mais les historiens spécialistes de la période médiévale se posent encore la question de son origine, notamment suite à des recherches menées par l’université de Caen dont les conclusions penchent plutôt pour une création anglaise faisant suite aux événements qui y sont narrés.

En effet, le sujet de cette œuvre didactique souvent considérée comme de la propagande raconte la conquête héroïque de l’Angleterre entre 1064 et 1066 par Guillaume duc de Normandie accompagné d’Odon, son demi-frère et évêque de Bayeux qui aurait commandité cette tapisserie. Guillaume est en effet celui qui a été désigné pour prendre le trône d’Édouard le Confesseur (1004-1066), le roi d’Angleterre. Mais le beau-frère du roi et comte de Wessex, Harold, est son rival et souhaite également devenir le nouveau roi. La tapisserie retrace cette histoire et la confrontation entre les deux hommes.

La broderie est découpée en 58 scènes qui se suivent avec dynamisme et accompagnées de légendes en latin (2000 mots). C’est pour ces raisons qu’on la considère comme la première bande dessinée de l’histoire.

1

Vue d’ensemble d’une partie de la tapisserie. (Crédit : Bayeux.fr)

La scène 51 : la célèbre bataille de Hastings (octobre 1066)

La scène 51 : la célèbre bataille de Hastings (octobre 1066) au cours de laquelle Harold meurt.

Sources : MarieLebert ; BayeuxMuseum ; Wikipédia

http://lesavaistu.fr

Exploitation de l’Amazonie: le Brésil fait marche arrière


Le renversement d’un décret au Brésil qui aurait mit en danger l’Amazonie, la biodiversité ainsi que les tribus ethniques serait grâce à la pression publique. Reste qu’il aura sans doute d’autres moyens que le gouvernement essaiera de faire sortir les Brésiliens de récession. Sauf que pour les ethnies, ils risquent de perdre beaucoup
Nuage

Exploitation de l’Amazonie: le Brésil fait marche arrière

 

La réserve de Renca recèle d'importants gisements d'or,... (ARCHIVES REUTERS)

La réserve de Renca recèle d’importants gisements d’or, de fer, de cuivre ou de manganèse.

ARCHIVES REUTERS

Agence France-Presse
Brasilia

 

Face aux critiques internationales, le gouvernement du Brésil a finalement décidé d’annuler le décret visant à laisser des compagnies privées exploiter les réserves minières d’une gigantesque réserve de l’Amazonie, précieuse pour sa biodiversité et ses ethnies indigènes.

La présidence va publier mardi un nouveau décret qui «rétablit les conditions de la zone, conforme au document qui a créé la réserve en 1984», a indiqué le ministère des Mines et de l’Energie (MME) dans un communiqué.

Le décret qui avait déclenché l’ire de plusieurs ONG environnementales, signé le 23 août par le président conservateur Michel Temer, visait à supprimer la Réserve nationale de cuivre et associés (Renca), d’une superficie de 47 000 km2 (plus grande que la surface du Danemark) située dans la jungle amazonienne des États du Para et de l’Amapa.

La réserve de Renca recèle d’importants gisements d’or, de fer, de cuivre ou de manganèse. Des minerais pratiquement inexploités jusqu’à présent, dans la mesure où le statut de réserve limitait cette activité à des entreprises publiques.

Michel Temer avait alors déclaré que l’objectif de son décret était de contrôler et de dynamiser l’activité minière dans la réserve, sans affecter les zones protégées, dans le cadre de ses mesures libérales pour sortir le Brésil de la pire récession de son histoire.

Mais les critiques avaient immédiatement fusé au Brésil et à l’étranger, les opposants au décret expliquant que l’exploitation privée allait aggraver la déforestation de cette réserve «poumon du monde», faire reculer la biodiversité et nuire aux ethnies indigènes.

Protestations internationales

Des ONG de défense de l’environnement telles que Greenpeace, Survival International et le World Wildlife Fund (WWF), des partis politiques, des célébrités comme le mannequin brésilien Gisele Bundchen ou l’acteur américain Leonardo DiCaprio et le clergé catholique étaient montés au créneau contre ce décret, critiqué au sein même du parti du président Temer.

«C’est une tragédie annoncée qui peut entraîner la déforestation et la pollution des fleuves», avait alerté Mauricio Voidovic, directeur exécutif de WWF au Brésil. «C’est la pire attaque contre l’Amazonie des cinquante dernières années», avait fulminé le sénateur Randolfe Rodrigues, du parti de gauche Rede.

Face au tumulte provoqué, M. Temer avait d’abord supprimé le décret initial et, quelques jours plus tard, signé un nouveau décret très similaire avec quelques détails sur la protection de l’environnement. Le Ministère des mines avait ensuite suspendu les effets du décret pendant 120 jours, promettant un large débat sur la question et assurant que la population avait mal interprété la décision.

Saisie, la justice avait fin août suspendu ce décret abrogeant le statut de la Renca en motivant sa décision par des raisons constitutionnelles et par la défense de l’environnement. M. Temer avait alors annoncé le dépôt d’un recours.

ONG prudentes 

Plusieurs ONG se sont félicitées lundi de la marche arrière du gouvernement, quoique avec une certaine prudence.

«L’annulation du décret montre (…) qu’aucun gouvernement n’est absolument à l’abri de la pression publique», s’est satisfait Marcio Astrini, coordinateur des politiques publiques de Greenpeace Brésil.

«C’est une victoire pour la société sur ceux qui veulent détruire et vendre notre forêt», a-t-il ajouté, avant d’avertir: «La Renca n’est qu’une bataille. La guerre contre l’Amazonie et ses populations, promue par Temer et la banque rurale, se poursuit».

Depuis sa nomination au pouvoir en 2016 après la destitution de Dilma Rousseff, M. Temer a pris une série de mesures environnementales controversées: il a récemment réduit à néant un sanctuaire naturel et gelé le transfert des titres fonciers aux peuples autochtones.

Les opposants au décret dénonçaient le fait que Temer -poursuivi en justice pour des allégations de corruption- avait cédé aux pressions de groupes agro-industriels ou liés à la déforestation.

Or, selon le Ministère de l’Environnement, les superficies déboisées en Amazonie ont augmenté depuis 2012.

Les autorités brésiliennes affirment cependant que cette tendance pourrait s’inverser cette année.

Néanmoins, le communiqué du MME annonçant l’annulation du décret n’oublie pas de souligner que «le pays doit croître et créer des emplois, attirer des investissements dans le secteur minier, notamment pour exploiter le potentiel économique de la région».

http://www.lapresse.ca/

Un certain état de conscience rétabli grâce à un implant


Aurait-il un espoir pour ceux qui sont dans un état végétatif, même permanent ? Il semble qu’avec un stimulateur pour donner des impulsions électromagnétiques à un endroit précis à la poitrine …
Nuage

 

Un certain état de conscience rétabli grâce à un implant

 

Une personne dans un état végétatif ne répond à aucune stimulation verbale ou visuelle, et ne présente aucun signe d’émotion. Photo : Getty Images

Un Français de 35 ans qui était dans un état végétatif depuis 15 ans après un accident de la route a montré des signes de conscience après que des neurochirurgiens lui eurent implanté un stimulateur électrique du nerf vague au niveau de la poitrine.

Un texte d’Alain Labelle

La stimulation par impulsions électriques de ce nerf crânien, situé dans le tronc cérébral de la base du cerveau à l’aorte, a permis au patient de suivre des objets avec ses yeux et de rester éveillé lorsqu’on lui lit un livre. Il réagit aussi à des questions simples, telles que tourner la tête lorsqu’on le lui demande – même si cela prend environ une minute.

En outre, il réagit à des stimuli menaçants. Il ouvre grand les yeux lorsque quelqu’un place soudainement son visage près du sien.

Il est possible d’améliorer la présence d’un patient dans le monde qui l’entoure. Angela Sirigu, de l’Institut des sciences cognitives – Marc Jeannerod

    Ce nouveau traitement remet en question l’idée largement répandue selon laquelle il n’y a pas de perspective de rétablissement de la conscience d’un patient s’il est dans un état végétatif depuis plus de 12 mois.

    L’état végétatif en bref

  • L’état végétatif permanent se caractérise par un état d’inconscience à long terme dû à des lésions du cerveau.

  • La personne peut ouvrir ses yeux, se réveiller et s’endormir, et présenter des réflexes de base. Elle a un battement de cœur régulier et respire sans assistance.

  • Elle ne répond à aucune stimulation verbale ou visuelle, et ne présente aucun signe d’émotion.

  • Un état végétatif persistant peut s’étendre jusqu’à 4 semaines.

  • Un état végétatif est jugé permanent lorsqu’il dépasse 6 mois pour un accident vasculaire cérébral, et 12 mois s’il est causé par une blessure à la tête.

    Un état de conscience minimale

    Le traitement ne lui a pas permis de retrouver son état de conscience initial. Le patient est passé d’un état végétatif à un état de conscience minimale, une amélioration qui peut également être constatée à la lecture des examens par imagerie cérébrale. Ces derniers montrent une plus grande activité dans les zones du cerveau impliquées dans le mouvement, la sensation et la conscience.

La conscience demeure sévèrement altérée, mais contrairement à l’état végétatif, il existe des signes comportementaux minimums, mais confirmés de la conscience de soi et de son environnement. Tom Manly, un expert en sciences de la connaissance et du cerveau à l’Université de Cambridge

« Ces observations montrent qu’une bonne intervention peut mener à des changements du niveau de conscience, et ce, même dans les cas les plus sévères », explique Angela Sirigu.

La plasticité cérébrale et la réparation du cerveau sont possibles même lorsque l’espoir semble avoir disparu. Angela Sirigu

Pour le moment, les bénéfices de l’implant sont basés sur un seul patient, mais les chercheurs envisagent d’étendre le traitement à d’autres personnes.

La stimulation du nerf vague est déjà utilisée pour traiter les personnes atteintes d’épilepsie et de dépression.

Le détail de ces travaux est publié dans le journal Current Biology.

http://ici.radio-canada.ca

80 000 Rohingyas ont fui le Myanmar vers le Bangladesh


On se plaint qu’il y a trop de réfugiés à tort ou à raison qui viennent chercher un lieu sûr. Bien sûr, il faut faire attention de ne pas accepter des gens dangereux. Cependant, ailleurs aussi, dans des pays plus pauvres qui ont des réfugiés qui ont tout laissé pour trouver la sécurité alors qu’on veut faire une épuration ethnique par l’armée birmane et des bouddhistes (surprenant que ces derniers participent à ce genre d’horreur)
Nuage

 

80 000 Rohingyas ont fui le Myanmar vers le Bangladesh

 

Une femme transporte un enfant malade dans un camp de réfugiés au Bangladesh.

Une femme transporte un enfant malade dans un camp de réfugiés au Bangladesh. Photo : Reuters/Cathal McNaughton

Un nouveau décompte des Rohingyas ayant quitté le Myanmar (ex-Birmanie) vers le Bangladesh a été publié par l’Organisation des Nations unies (ONU), mardi. Depuis août, 480 000 réfugiés ont passé la frontière nord-ouest, soit 44 000 de plus que la dernière estimation disponible.

L’ONU a précisé que le bond considérable par rapport à son dernier décompte s’expliquait par le recensement de réfugiés rohingyas qui avaient échappé aux calculs précédents.

Au cours des deux derniers jours, les Nations unies ont aussi rapporté plusieurs centaines de nouvelles entrées au Bangladesh en provenance du Myanmar.

Avant même ce nouvel exode, au moins 300 000 Rohingyas persécutés avaient déjà trouvé refuge au Bangladesh.

Les camps de réfugiés sont submergés par l’arrivée massive de Rohingyas et les conditions de vie se dégradent au point de devenir inhumaines.

Les réfugiés de la minorité musulmane fuient les violences dans l’État de Rakhine (également appelé Arakan), dans l’ouest du pays, où ils font face à une campagne de répression de l’armée birmane à la suite d’attaques de la jeune rébellion rohingya survenues le 25 août.

Des réfugiés rohingyas attendent de l'aide à Cox's Bazar au Bangladesh.

Des réfugiés rohingyas attendent de l’aide à Cox’s Bazar au Bangladesh. Photo : Reuters/Cathal McNaughton

L’ONU considère que l’armée birmane et les milices bouddhistes de cet État font preuve d’ostracisme et que leur opération contre les Rohingyas relève de l’épuration ethnique.

Privés de toilettes, les réfugiés doivent faire leurs besoins en plein air. Les points d’eau auxquels s’abreuvent d’autres personnes pourraient être contaminés. L’insalubrité des lieux pourrait entraîner l’apparition d’épidémies de choléra, de dysenterie ou de diarrhées.

Les autorités et les organisations non gouvernementales (ONG) craignent que la crise humanitaire ne fasse exploser une bombe sanitaire.

Des enfants dans l’insalubrité totale

Ali Hossain a perdu sa fille, une jeune Rohingya de huit ans, en raison d’une infection intestinale qu’elle a contractée dans un camp de réfugiés antihygiénique. La maladie l’a carrément foudroyée.

« Elle n’avait presque rien mangé depuis deux jours et a avalé un pickle à un étal en bord de route dimanche soir », raconte le père essuyant ses larmes.

Le père avait emmené l’enfant à toute vitesse à la clinique locale et ensuite à l’hôpital public Sadar de Cox’s Bazar après qu’elle eut commencé à vomir. Elle est morte lundi.

Les docteurs nous ont dit que nous arrivions trop tard. Ali Hossain

Ayant peu d’argent, M. Hossain doit maintenant choisir entre aller enterrer sa fille dans la zone des camps ou rester au chevet de sa mère octogénaire, soignée dans le même hôpital.

Les conditions offertes aux patients dans cet établissement débordé sont pitoyables. Certains sont placés sur des matelas installés au sol dans les chambres ou les couloirs.

Nous avons des ressources limitées, des médicaments limités, de la main-d’oeuvre limitée, de la nourriture limitée. Abdur Rahman, porte-parole de l’hôpital

Les forces de l’ordre essaient d’empêcher que les Rohingyas se rendent dans le reste du Bangladesh.

« On nous a demandé de bloquer les Rohingyas allant dans les autres régions du pays. Mais nous n’arrêtons pas les réfugiés malades et blessés qui vont dans les hôpitaux », a fait savoir un policier gardant un barrage.

Devant l’impasse politique, les équipes humanitaires mettent en place des plans à long terme. Des préservatifs et des pilules contraceptives ont été distribués pour prévenir les avortements dangereux, 4500 personnes ont été soignées pour des diarrhées en un mois et 80 000 enfants ont été vaccinées contre la rougeole et la polio.

L’organisation de défense des droits de l’homme Human Rights Watch (HRW) a accusé mardi la Birmanie de commettre des crimes contre l’humanité.

HRW demande au Conseil de sécurité des Nations unies d’imposer au pays dirigé par la Nobel de la paix Aung San Suu Kyi des sanctions et un embargo sur les armes.

Définition d’un crime contre l’humanité de la Cour pénale internationale

Un crime contre l’humanité qualifie des actes tels que le meurtre, la réduction en esclavage, la torture, le viol ou la déportation lorsqu’ils sont commis dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique lancée contre toute population civile et en connaissance de cette attaque.

Depuis dimanche, l’armée birmane dit quant à elle avoir déterré les cadavres de 45 membres d’une petite communauté hindoue qui auraient été tués par des insurgés rohingyas après les attaques du mois d’août.

L’Armée du salut des Rohingyas de l’Arakan (Arakan Rohingya Salvation Army) soutient ne pas avoir tué ces villageois, contrairement aux accusations des autorités birmanes envers elle.

Le premier ministre du Canada a estimé lundi qu’Aung San Suu Kyi devait condamner publiquement les atrocités commises au Myanmar contre les Rohingyas.

Il doit y avoir un débat d’urgence mardi soir à la Chambre des communes sur la situation.

http://ici.radio-canada.ca/

Les Chinoises rêvent de scalpel


Une mentalité qui est comme une épidémie, chez les Chinoises, J’aime les visages asiatiques, et de voir qu’elles veulent ressembler plus aux européens, c’est vraiment dommage. La chirurgie esthétique fait des affaires d’or dans ce pays. Ce qui est le plus demandé est de débrider les yeux .. C’est pourtant si joli. Ces femmes apprennent donc que pour être jolie, il faut changer le changer le visage pour devenir une autre personne, malgré les risques qu’une chirurgie esthétique peut engendrer
Nuage

 

Les Chinoises rêvent de scalpel

 

Elle n'a que 35 ans mais est assaillie... (PHOTO AFP)

Elle n’a que 35 ans mais est assaillie par la peur de vieillir. Comme toutes ses amies, cette jeune Chinoise a décidé de s’en remettre à la chirurgie esthétique: il est temps pour Chen Yan de s’offrir un nouveau nez.

 

PETER STEBBINGS, MORGAN HUANG
Agence France-Presse
SHANGHAI

Elle n’a que 35 ans mais est assaillie par la peur de vieillir. Comme toutes ses amies, cette jeune Chinoise a décidé de s’en remettre à la chirurgie esthétique: il est temps pour Chen Yan de s’offrir un nouveau nez.

«Une fois qu’on est mariée, devenue maman et trentenaire, on est considérée comme une femme mûre», soupire Chen Yan, qui vient de se faire opérer.

«Moi, je n’ai pas envie d’être une femme mûre aussi jeune», confie-t-elle.

Le secteur de la chirurgie esthétique connaît un boom en Chine, alimenté par la hausse des revenus, l’occidentalisation de la société et la volonté d’augmenter ses chances de décrocher un emploi.

Les candidats sont légion et à mesure qu’ils affluent pour venir consulter, des cabinets et cliniques spécialisés fleurissent, en particulier dans les grandes villes du pays.

Pas moins de 14 millions de Chinois devraient avoir recours à la chirurgie esthétique en 2017, un bond de 42% sur un an, selon l’application spécialisée SoYoung, qui compile des statistiques de plusieurs sources dont celles du cabinet de conseil Deloitte.

Chen Yan, patronne d’un commerce dans la province du Hunan, a parcouru plusieurs centaines de kilomètres pour venir se faire opérer à la clinique Huamei de Shanghai, la capitale économique chinoise. Coût total: 52 515 yuans (9800 $).

Cinq étoiles

L’établissement compte quatre étages, surmontés d’un paisible toit-jardin réservé à la détente des convalescents passés sous le bistouri.

Au catalogue des prestations pour Monsieur ou pour Madame: augmentation mammaire, modelage de l’oreille, implantations de favoris, opération pour réduire la sudation des aisselles, voire… ajout de poils pubiens.

Cet hôpital privé ressemble davantage à un hôtel 5 étoiles qu’à un établissement de soins.

Dans le majestueux hall d’entrée, les patients sont accueillis par des hôtesses vêtues de blouses à rayures et de courtes jupes noires, au son d’une musique d’ambiance.

Dehors, un panneau indique une alléchante promotion de 20%, réservée aux professeurs et aux étudiants.

Selon le chirurgien Li Jian, qui opère dans l’établissement, 90% des clients sont des femmes âgées de 16 à 70 ans.

Les opérations les plus populaires sont le retrait de volume du visage et du corps, ainsi que le remodelage du nez, que beaucoup de Chinoises souhaitent plus fin, plus «occidental».

Jolie pour Instagram

Si un nombre croissant d’adolescents se soumettent au bistouri, l’hôpital n’accepte que les plus de 16 ans, avec autorisation parentale pour les mineurs.

«La plupart des Chinois estiment être d’autant plus beaux que leur visage ou leur nez est fin», explique M. Li, le chirurgien.

«Certaines personnes veulent aussi être plus belles lorsqu’elles se prennent en photo pour les réseaux sociaux. Elles veulent avoir un style plus européen», ajoute-t-il.

La jeune Sun Yibing, 22 ans, est passée sur la table d’opération pour la première fois à l’âge de 17 ans. Depuis, elle est devenue une petite célébrité en Chine après avoir subi… 12 autres interventions.

Une revanche pour celle qui était autrefois moquée par ses camarades de classe pour son look et son surpoids.

Mlle Sun s’est fait refaire le nez, les mâchoires et les tempes. Et elle arbore désormais des yeux plus grands, un corps affiné et un nez et un menton selon elle mieux taillés.

Si son apparence s’est métamorphosée, sa vision de la chirurgie esthétique s’est modifiée aussi.

«J’étais devenue accro aux opérations et je n’étais jamais entièrement satisfaite. Je ne suis pas contre la chirurgie esthétique, mais on doit rester soi-même et ne pas devenir quelqu’un d’autre», dit la jeune femme à l’AFP.

«Je suis la dernière»

Pour elle, l’afflux d’argent dans le secteur a entraîné l’apparition de nombreux chirurgiens peu scrupuleux et surtout insuffisamment formés.

«Il y a quelques années, les gens étaient encore réticents à recourir à la chirurgie esthétique. Mais désormais, j’ai bien peur que ce soit devenu un vrai bazar. Au point que les consommateurs ont du mal à faire la différence entre les bonnes et les mauvaises cliniques», dit-elle.

À l’hôpital de Shanghai, une femme qui vient d’être opérée tente péniblement d’ouvrir les yeux, entravés par des bandages. Une autre, semblant souffrir, se tient la tête à deux mains.

Chen Yan, elle, a déjà subi deux opérations: un léger remodelage du nez et le rajout d’un faux pli à la paupière pour «débrider» les yeux. Cette dernière intervention est l’une des plus populaires en Chine, où les grands yeux ronds sont particulièrement appréciés.

Mais il a fallu six ans à la jeune femme pour se décider à faire modifier son nez en profondeur… comme toutes ses amies.

«Je suis une retardataire. Je suis la dernière à le faire», dit-elle.

Après l’opération, elle raconte que l’hôpital lui a recommandé une nouvelle intervention: le rabotage de l’os du menton.

Beaucoup de Chinoises désirent avoir un visage moins rond et en forme de «V». Mais ces procédés ne sont pas sans danger, avec des risques d’infection ou de paralysie faciale.

«J’ai juste envie d’être plus jolie», justifie Mme Chen. «Peu importe l’âge d’une femme, elle devrait toujours chercher à s’embellir.»

http://www.lapresse.ca/

Se nourrir au Nunavut quand la boîte de céréales coûte 19 $


Le Nunavut est au Nord du Canada, les Inuits (qu’on appelle encore à tort les esquimaux) vivent dans un environnement difficile. À part que la viande de phoque, de poisson ou autres, ils faut faire venir par avion des produits de tous les jours, que ce soit du lait, du savon, des céréales etc .. et le coût de l’épicerie est exorbitant dans un endroit ou le taux de chômage est plus haut qu’ailleurs. Il est difficile de nourrir une famille et encore plus de donner des petits extras. Certains groupes essaient de changer les choses pour les aider à survivre grâce à Internet
Nuage

 

Se nourrir au Nunavut quand la boîte de céréales coûte 19 $

 

Des boîtes 1,12 kg de Rice Krispies sur une étagère

Des céréales à 19 $ dans une épicerie du Nunavut Photo : Radio-Canada/Marie-Laure Josselin

Le coût de l’alimentation au Nunavut est si élevé qu’il est difficile pour de nombreuses familles de joindre les deux bouts. Pour s’en sortir, elles trouvent toutes sortes de moyens, dont l’échange sur Internet.

Un texte de Marie-Laure Josselin

Sonny Natanine, jeune mère monoparentale de Clyde River, sur l’île de Baffin, voulait bien raconter son quotidien et le coût de la vie au Nunavut.

La rencontre s’était faite grâce à Facebook, un réseau social particulièrement utilisé dans les communautés inuites. Sauf que Sonny ne donnait plus de nouvelles depuis quelques jours. En fait, elle ne pouvait plus payer sa facture et n’avait donc plus Internet.

Il a alors fallu trouver sa maison, en posant des questions à gauche, à droite.

« C’est ici. Mais surtout, ne frappe pas à la porte. Ici, on ne frappe pas. Seule la GRC le fait, et c’est rarement pour une bonne nouvelle. »

Faire ses bottes soi-même pour économiser

Sonny sort de chez elle et m’invite du haut des escaliers :

« Entre, je vais te montrer mes bottes faites en peau de phoque ».

La jeune femme montre une botte en peau de phoque doublée de feutre.

Sonny Natanine a pris 20 jours pour fabriquer ces bottes. Photo : Radio-Canada/Marie-Laure Josselin

Sonny a terminé la veille ses bottes noir et blanc avec des touches de rouge et de vert. Cette première paire qu’elle a confectionnée représente bien plus qu’un moment de couture. C’est l’assurance d’avoir les pieds au chaud tout l’hiver et surtout plus d’argent à consacrer à autre chose qu’à l’achat de bottes.

Car Sonny Natanine ne travaille pas, raconte-t-elle, en montrant les meubles de sa maison.

« Que du seconde main, parce que je ne peux me payer que ça », glisse cette mère de deux filles âgées de 8 et 14 ans.

La fillette est assise par terre.

Alissa, 8 ans, la plus jeune fille de Sonny Natanine Photo : Radio-Canada/Marie-Laure Josselin

Vivre au jour le jour

Au Nunavut, le taux de chômage est deux fois et demie supérieur à celui du Canada. Sonny a repris les études pour devenir professeure. Alors, en attendant cette précieuse paye, elle essaie de vivre au quotidien.

Aujourd’hui, elle regarde son calendrier et annonce qu’il lui reste neuf jours avant de recevoir son chèque à l’enfance et qu’elle ne sait pas trop comment faire.

Son réfrigérateur est peu garni. Dans le congélateur, un mélange de fruits, un paquet de légumes, de la viande gagnée la veille. Dans le reste, des œufs, du jus, quelques aliments.

La jeune femme a ouvert la porte du congélateur, qui est peu garni.

Sonny Natanine montre le contenu de son réfrigérateur. Photo : Radio-Canada/Marie-Laure Josselin

C’est tout ce que j’ai. Je n’ai pas beaucoup plus, mais c’est comme ça qu’on fait, qu’on survit, jour après jour. Sonny Natanine

Des jours, elle n’a pas à manger, et ces jours arrivent souvent à la fin du mois, avoue cette femme toute menue. L’épicerie, c’est le plus gros trou dans son budget.

La nourriture deux fois plus chère qu’ailleurs

Des bouteilles de 2 litres de lait à 7 $

Le lait coûte plus cher au Nunavut. Photo : Radio-Canada/Marie-Laure Josselin

Au supermarché de Clyde River, comme à celui de Pond Inlet ou Qikiqtarjuaq, deux autres communautés de l’île de Baffin, on trouve un paquet de céréales de 1,12 kg pour 19 $, du glaçage fouetté pour 12,79 $, du dentifrice à 11 $, sans compter le prix des fruits et légumes.

Des contenants de glaçage de 450 g qui coûte près de 13 $

Le glaçage coûte très cher au Nunavut. Photo : Radio-Canada/Marie-Laure Josselin

Un habitant du Nunavut va payer, de manière générale, 2,2 fois plus cher un article ou un aliment qu’un autre Canadien.

Du dentifrice à 11 $

Le dentifrice coûte cher au Nunavut. Photo : Radio-Canada/Marie-Laure Josselin

Selon une étude de 2014, les coûts d’épicerie pour une famille de quatre au Nunavut sont d’environ 19 750 $ par année, alors que la moitié des adultes inuits gagnent moins de 20 000 $ par année.

Conséquence : selon un rapport d’experts sur la sécurité alimentaire dans le nord du Canada, publié en 2014, au moins 35 % des ménages du Nunavut n’ont pas assez à manger. D’autres rapports parlent de 70 %. Et trois enfants inuits d’âge préscolaire sur quatre sautent régulièrement des repas.

Des enfants jouent près du supermarché.

Un supermarché de Pond Inlet, au Nunavut Photo : Radio-Canada/Marie-Laure Josselin

Faire venir des articles du sud

Alors tous les moyens sont bons pour essayer de trouver des solutions. Il y a ceux, avec des moyens, qui vont dans le sud et se font expédier des marchandises. Un père de famille inuite, qui travaille, raconte qu’il paie chaque année environ 700 $ pour se faire expédier des affaires achetées chez Costco, et que le coût des achats – de la boîte pour les mettre dedans et l’envoi – est de 1500 $ au total.

Plusieurs sites proposent des solutions pour expédier de la marchandise moins chère grâce à des commandes en ligne.

L’échange, par l’entremise d’Internet par exemple, est aussi une autre solution. L’un des groupes de vente et d’échange, Iqaluit Sell-Swap, compte plus de 24 000 membres, alors que la population du Nunavut est d’un peu plus de 37 000 personnes.

Partager le poisson et le phoque

Il y a bien sûr le partage. Les chasseurs et les pêcheurs offrent une partie de ce qu’ils ont attrapé. Comme le morceau de phoque enveloppé dans un sac plastique que Sonny garde dans son réfrigérateur. Elle l’a eu la veille et a déjà commencé à en frire une partie.

« Mes enfants mangent mieux que moi, c’est sûr. »

Pourtant, cette notion de partage, ancrée dans les traditions inuites, tend à diminuer. Et cela désole le vieux Levi Mutaralak, 80 ans, de Clyde River.

Levi Mutaralak

Levi Mutaralak Photo : Radio-Canada/Marie-Laure Josselin

On nous a toujours appris à donner et à partager la nourriture sans la vendre. Mais maintenant, avec l’économie actuelle, on a besoin d’argent, et les gens se mettent à vendre la nourriture qu’ils attrapent plutôt que de la partager.

Levi Mutaralak

Autre initiative, celle du groupe Feeding My Family, qui dénonce, grâce à des photos notamment, les prix exorbitants dans le nord et qui essaie d’encourager des changements chez les décideurs gouvernementaux.

Un colis pour l’anniversaire d’un enfant du nord

Le Northern Birthday Box Project compte 10 000 membres dans un groupe fermé sur Facebook. Son but : mettre en relation, au hasard, des personnes du sud prêtes à envoyer un colis pour l’anniversaire d’un enfant du nord. Le répondant reçoit l’information sur l’âge, le sexe, le nom de l’enfant ainsi que ses goûts. Tous les frais, y compris ceux de transport, sont couverts par le répondant.

En août, 190 boîtes ont été envoyées. La moyenne, chaque mois, tourne autour de 150. Cent cinquante enfants qui fêtent leur anniversaire avec un thème de hockey, de princesse ou de Minions.

Tammy Scott, une résidente de Chelsea de passage à Qikiqtarjuak, sur l’île de Baffin, n’en revient pas. Elle jette un regard derrière elle et pense avoir reconnu l’enfant à qui elle a envoyé la boîte d’anniversaire. Mais, même si on lui parle en inuktitut, l’enfant, visiblement timide, part avec son vélo.

Tammy Scott et un garçon à bicyclette

Tammy Scott et, en arrière-plan, le garçon à qui elle pense avoir envoyé une boîte. Photo : Radio-Canada/Marie-Laure Josselin

« Un mélange à gâteau que je paie 2 $ à Chelsea, ici c’est entre 15 $ et 20 $. Je savais qu’il aimait beaucoup le thème Star Wars, alors je lui ai préparé des choses en lien avec ça », précise la mère de famille.

En voyant le village en personne, je m’aperçois à quel point ce n’est pas farfelu comme projet. Tammy Scott

Sur la page Facebook du projet, les photos s’enchaînent, avec toujours, dessus, des gâteaux très travaillés, des sourires et des remerciements à la personne qui a envoyé la boîte.

Pour Sonny Natanine, le projet aide beaucoup, car pour préparer un anniversaire pour un enfant, il faut prévoir une centaine de dollars, juste pour la décoration, la préparation à gâteau, les assiettes.

Cela aide vraiment les enfants à bien célébrer leur anniversaire, car ici, si tu veux décorer selon le thème que ton enfant aime, tu ne trouves rien. Mon cousin a reçu sa boîte et c’était un anniversaire magnifique.

Sonny Natanine

http://ici.radio-canada.ca/