Vos pensées


C’est ce qui prouve, selon moi, qu’il est important de prendre le temps de voir le bon côté des choses. Il n’est jamais trop tard pour changer notre attitude et voir le positif malgré les difficultés
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Vos pensées

 

 

« Vous êtes aujourd’hui où vos pensées vous ont menés ; vous serez demain où vos pensées vous mèneront. »   

James Allen

Un baiser au lion


Cette jeune fille est venue visiter le zoo, et ce lion, est tout à fait impressionnant. Elle colle son visage sur la vitre, pour lui donner un bisou. Le lion est tente de griffer la vitre pour attaquer l’enfant. C’est mignon ? Pourtant en plus d’enlever la liberté aux animaux sauvages et en plus font face à des provocations. Pourquoi tenir ses animaux en cage alors qu’ils seraient si bien en liberté
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Un baiser au lion

La sonde Cassini s’est désintégrée en plongeant vers Saturne


La sonde Cassini a fait son plongeon pour l’éternité sur Saturne. Cassini a quitter la Terre en 1997 et est arrivée autour de Saturne en 2004. Cassini pendant toutes ses années a envoyé plus 453 000 images … Une belle épopée et de découvertes des plus intéressantes
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La sonde Cassini s’est désintégrée en plongeant vers Saturne

 

Image prise avec des filtres CL1 et RED... (Photo NASA/JPL-Caltech/Space Science Institute via AP)

Image prise avec des filtres CL1 et RED montrant les anneaux de Saturne vus de Cassini.

PHOTO NASA/JPL-CALTECH/SPACE SCIENCE INSTITUTE VIA AP

La sonde spatiale Cassini s’est désintégrée vendredi matin en plongeant vers Saturne, a annoncé l’agence spatiale américaine.

La confirmation de sa destruction a toutefois pris 83 minutes avant de rejoindre la Terre, qui se trouve à 1,6 milliard de kilomètres de distance. Les transmissions radio provenant de la sonde ont cessé abruptement vers 7 h 55, heure locale.

 

Cassini est la seule sonde à avoir jamais visité Saturne. Ses images ont révélé en détail les lunes ainsi que les célèbres anneaux de la planète.

Cassini et son compagnon, le module atterrisseur Huygens, ont ainsi découvert que deux de ces lunes, Titan et Encelade, abritent des océans liquides – et donc, potentiellement, des formes de vie.

Cassini a capté ses derniers clichés du système saturnien jeudi. Fidèle jusqu’au dernier moment, la sonde a aussi échantillonné l’atmosphère de Saturne vendredi matin, avant d’être pulvérisée.

Sa destruction a été annoncée par le responsable de la mission, Eric Maize.

« Ça a été une mission incroyable, une sonde incroyable, et vous êtes une équipe incroyable, a-t-il dit. J’annonce la fin de la mission. »

Des contrôleurs de vol vêtus de chemises mauves se sont alors levés pour s’échanger des poignées de main et des félicitations.

Plus de 1500 personnes, dont plusieurs employés actuels et anciens de la mission, s’étaient rassemblées au Jet Propulsion Lab (JPL), en Californie, pour ce qui était décrit à la fois comme une vigie et une célébration. D’autres s’étaient réunis à l’Institut de technologie de la Californie, qui gère le JPL pour le compte de la NASA.

Cassini était sur le point de manquer de carburant et les chercheurs avaient décidé de la propulser dans l’atmosphère de Saturne à plus de 120 000 kilomètres/heure pour éviter que des microbes terriens qui pourraient se cacher à bord n’aillent contaminer Titan et Encelade, si jamais la sonde s’abîmait sur leur surface.

Cassini était arrivée autour de Saturne en 2004 après avoir été lancée en 1997. Huygens s’est posé sur Titan en 2005. Au total, Cassini a renvoyé plus de 453 000 images et parcouru près de huit milliards de kilomètres. Vingt-sept pays ont collaboré à la mission.

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Quelques faits saillants:

– Trop loin du Soleil pour exploiter l’énergie solaire, Cassini utilisait du plutonium pour générer l’électricité dont avaient besoin ses instruments. Son réservoir de carburant principal était toutefois presque vide.

Cassini a découvert de multiples petites lunes rocheuses dans les anneaux de Saturne.

– Cassini a aussi déterminé que les anneaux de Saturne semblent moins massifs qu’on ne le croyait, ce qui pourrait vouloir dire qu’ils sont relativement jeunes et qu’ils se sont formés il y a environ 100 millions d’années quand une comète ou une lune s’est désintégrée autour de Saturne. Des anneaux plus massifs pourraient s’être formés en même temps que la planète il y a plus de quatre milliards d’années.

Cassini a découvert six des 62 lunes en orbite autour de Saturne.

– Cassini a aussi découvert que des geysers de vapeur d’eau et de glace jaillissent du pôle sud d’Encelade. Si leur existence avait été connue avant le départ de la sonde, Cassini aurait possiblement été munie d’appareils capables de détecter la vie.

– Les scientifiques espèrent maintenant partir à la conquête de Titan et d’Encelade à la recherche de formes de vie. Les lacs de méthane liquide de Titan pourraient contenir une forme de vie différente de celle que nous connaissons, mais la vie dans les océans d’Encelad (si elle existe) pourrait ressembler à la vie terrestre.

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Maladies mentales : tous concernés ?


En Nouvelle-Zélande, ils ont fait une étude très intéressante sur la maladie mentale, ils ont suivi pendant 50 ans une génération, environs 1041 individus, tous nés dans la même ville. Le résultat est édifiant que 80 % ont souffert à un moment ou un autre une maladie mentale, certains étaient passager d’autres non, et seulement 17 % semble immuniser contre les maladies mentales. Il serait judicieux de faire un dépistage comme certaines autres maladies
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Maladies mentales : tous concernés ?

 

Une nouvelle étude révèle que nous souffrirons presque tous d’une maladie psychiatrique à un moment de notre vie. Heureusement, ce sera souvent temporaire.

Aaron Reuben et Jonathan Schaefer.

 

Nous connaissons presque tous quelqu’un dans notre entourage qui a déjà fait face à une dépression, un stress post-traumatique ou un autre trouble psychologique. Malgré leur banalité, cependant, ces épisodes sont souvent considérés comme exceptionnels et même honteux.

De nouvelles études, de notre laboratoire et d’ailleurs dans le monde, montrent que les maladies mentales sont si communes que presque tout le monde développera au moins un de ces troubles à une période de sa vie. Cependant, la plupart de ces personnes ne recevront jamais de traitement, alors que leur vie sociale, professionnelle ou familiale sera perturbée. Et que dire des individus jamais malades ? Ces individus « anormaux » durablement en bonne santé mentale permettront peut-être aux chercheurs de trouver les clés du bien-être, en tout cas de la stabilité mentale.

Selon les études épidémiologiques, environ 20 à 25 % de la population souffrent d’une maladie mentale à un instant donné. Mais une vaste enquête conduite du milieu des années 1990 au début des années 2000 aux États-Unis a suggéré que ce pourcentage était beaucoup plus élevé : près de la moitié de la population serait concernée. Cette étude impliquait des milliers d’Américains représentatifs de la population générale selon l’âge, le sexe, la classe sociale et l’origine ethnique. Elle était aussi rétrospective : on demandait aux sujets de se souvenir de leurs émotions et comportements des derniers mois, années, voire décennies. Mais la mémoire humaine est faillible et la science a montré que nous sommes particulièrement mal placés pour parler de notre propre santé mentale. En outre, jusqu’à un tiers des personnes contactées par l’institut chargé de l’enquête avaient refusé de participer. Un interrogatoire plus poussé avait alors révélé que ces non-répondants avaient plus tendance à souffrir d’un trouble trouble mental.

Pour notre étude, publiée cette année dans le Journal of Abnormal Psychology, nous avons donc utilisé une approche différente, dite longitudinale, afin d’estimer la proportion de personnes souffrant de maladies psychiatriques. Plutôt que d’interroger les sujets sur leurs souvenirs, nous avons suivi pendant 50 ans une génération de Néo-Zélandais rassemblant 1041 individus, tous nés dans la ville de Christchurch, et nous avons régulièrement vérifié s’ils souffraient d’une maladie mentale.

Avec cette méthode, le résultat est surprenant : le pourcentage de personnes qui développe un trouble psychique durant une période de sa vie bondit à plus de 80 %. Seuls 17 % des sujets de notre étude semblaient épargnés toute leur vie. Mais comme quelques années s’écoulaient entre chaque évaluation psychique, nous ne sommes même pas certains que ces personnes n’aient jamais eu de maladies psychiatriques. La proportion pourrait être encore plus élevée…

En d’autres termes, notre travail montre que vous avez plus de chances d’être victime d’un trouble psychiatrique que de développer un diabète, une maladie cardiovasculaire ou n’importe quelle forme de cancer. Un résultat confirmé par l’étude d’autres populations en Nouvelle-Zélande, en Suisse et aux États-Unis.

Si vous avez déjà développé un trouble psychique, vous savez certainement que beaucoup de personnes pensent que vous l’aurez à vie.

« Pourtant, les troubles mentaux sont souvent de courtes durées et peu graves », explique John Horwood, épidémiologiste et directeur de l’étude longitudinale Christchurch sur le développement et la santé en Nouvelle-Zélande.

D’ailleurs, Horwood a aussi mis en évidence que près de 85 % des participants de cette étude ont connu une maladie mentale avant l’âge de 50 ans.

C’est peut-être une information utile à diffuser : selon Jason Siegel, professeur de psychologie sociale à l’université de Claremont aux États-Unis,

« les gens ont tendance à être plus sympathiques et serviables quand ils croient que les problèmes de santé de leur ami ou collègue de travail sont temporaires ».

Et les individus souffrant d’un trouble mental ont besoin de soutien. Même des maladies de courtes durées ou peu graves ont parfois des conséquences dramatiques sur la vie d’une personne.

Pourtant, pour être reconnu comme « malade », « un individu doit présenter des symptômes assez précis et un dysfonctionnement psychologique assez important », signale Horwood.

Néanmoins, pour certains, ces nouvelles statistiques sur la proportion de maladies mentales ne reflètent qu’une « surmédicalisation » de l’être humain. Ce que réfutent les « défenseurs » des patients atteints de troubles psychiques.

« Je ne suis pas du tout surpris par cette découverte », commente Paul Gionfriddo, président du Mental Health America, une association américaine de défense des malades.

Cette organisation considère les maladies mentales comme communes, « bien qu’elles ne durent parfois pas longtemps ».

Il y a trois ans, elle a lancé un outil en ligne qui permet aux individus de déterminer s’ils souffrent de troubles psychologiques. Depuis, 2 millions de personnes se sont « autodiagnostiquées » et 3 000 se connectent chaque jour pour déterminer si elles remplissent les conditions nécessaires pour bénéficier d’un traitement.

Une autre conséquence de ces études longitudinales concerne la façon dont nous étudions et traitons les maladies psychiatriques.

Pour Gionfriddo, ancien législateur qui a vu son fils finir sans abri et incarcéré à cause d’une schizophrénie non diagnostiquée, « une implication de ces nouvelles études est que les sociétés tireraient avantage à ce que le dépistage des troubles psychiques soit systématique ».

Bien que les services de prévention américains recommandent actuellement un dépistage régulier de la santé mentale pour toutes les personnes de plus de 11 ans, c’est loin d’être le cas.

Gionfriddo précise : « À partir du moment où nous avons reconnu l’importance de la prévention pour le diabète, les cancers et les maladies cardiaques, pourquoi devrions nous dire : « bien, pour les maladies mentales, nous n’allons pas faire de dépistage ni de prévention ». Nous devrions pourtant les dépister chez les adultes aussi systématiquement que l’on vérifie la tension artérielle. Mettre la tête dans le sable et attendre une catastrophe n’est pas une politique de santé. »

Autre résultat remarquable de ces études : certains individus ne développeraient jamais de maladies psychiatriques. Ils sont en quelque sorte les équivalents en santé mentale des centenaires en pleine forme : des personnes qui, sans que l’on sache vraiment pourquoi, ont de la chance et vivent sans maladie plus longtemps que prévu. Peut-être qu’étudier ces sujets nous donnerait une idée de la façon dont nous pourrions aider plus de gens à vivre sans troubles psychiques.

Qui sont donc ces personnes hors du commun ? Dans notre étude menée en Nouvelle-Zélande, nous avons constaté que les individus ayant une bonne santé mentale ont tendance à présenter ces deux caractéristiques : premièrement, ils ont peu ou pas du tout d’antécédents de maladies mentales dans leur famille, et deuxièmement, ils ont ce que nous appelons une personnalité « avantageuse ». En d’autres termes, dès l’âge de cinq ans, les personnes qui parviendront à la cinquantaine sans épisode de trouble mental présentent en général peu d’émotions négatives, sont bienveillantes avec les autres et ont une meilleure maîtrise d’elles-mêmes. Et elles ne sont pas plus riches, ni plus intelligentes ou en meilleure santé physique, au moins durant leur enfance.

En fin de compte, l’enseignement le plus important de nos travaux est que les problèmes de santé mentale sont quasi universels. Les troubles psychiques ne sont pas si différents d’une fracture, des calculs rénaux ou d’un rhume… Reconnaître cette universalité permettra peut-être d’y consacrer les moyens nécessaires pour développer la prévention et les traitements. Cela nous aidera peut-être aussi à être plus bienveillants envers nous-même et envers nos proches quand, inévitablement, ils traverseront une période difficile.

http://www.pourlascience.fr/

Le chat le plus vieux du monde est décédé


Nutmeg avait 27 ans et fut le plus vieux chat au monde. Il est mort d’une crise cardiaque chez le vétérinaire
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Le chat le plus vieux du monde est décédé

 

Adopté il y a 27 ans de cela par Liz et Ian Finlay alors qu’il était âgé de 5 ans, Nutmeg était le chat le plus vieux au monde. Il est décédé il y a quelques jours de cela alors qu’il avait 32 ans, soit 144 ans en âge humain.

Emporté par une crise cardiaque

Parce qu’il souffrait de problèmes respiratoires depuis quelques heures, les maîtres de Nutmeg ont décidé de le faire ausculter par des vétérinaires de la ville de Newcastle. Malheureusement, le matou fait une crise cardiaque sur place et personne ne parviendra à le ramener à la vie.

L’année dernière déjà, Nutmeg avait frôlé la mort en contractant une grave maladie, mais le matou s’en était sorti pour le plus grand bonheur de ses maîtres.

Evidemment, Liz et Ian Finlay ont eu beaucoup de mal à accepter la mort de Nutmeg, leur fidèle compagnon depuis tant d’année. Tous deux avouent que la disparition de leur chat a été un moment très difficile et que son absence a provoqué un énorme vide dans leurs vies.

« J’ai l’impression que l’on m’a arraché le cœur. C’était quelqu’un de vraiment très important pour nous. »

Pour se remettre de la mort soudaine de Nutmeg, Liz et Ian Finlay ont décidé de s’offrir une semaine de vacances pour se changer les idées, mais cela n’a pas été suffisant et profiter des vacances a été plus difficile que prévu.

Nutmeg a vécu entouré d’amour auprès de Liz et Ian Finlay pendant 27 ans.

https://wamiz.com

Le musée de Londres veut exposer l’énorme monstre gluant et puant qui obstrue les égouts de la ville


Une montagne de graisse de 250 mètres et pèse 130 tonnes mêlées à des lingettes, couches, préservatifs et autres matières graisseuses bloquent les égouts de Londres. Pourquoi veut-on exposer une partie de ce monstre dans un musée ? Pour sensibiliser que les égouts ne sont pas des poubelles, que la graisse des aliments ne devraient ne pas passer la route des tuyaux pour se rendre aux égouts. Je passe aux travailleurs qui doivent patauger dans ces immondices nauséabondes.
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Le musée de Londres veut exposer l’énorme monstre gluant et puant qui obstrue les égouts de la ville

 

Un technicien de Thames Water travaille dans les égouts après la découverte d'un fatberg en décembre 2014 à Londres | ADRIAN DENNIS / AFP

Un technicien de Thames Water travaille dans les égouts après la découverte d’un fatberg en décembre 2014 à Londres | ADRIAN DENNIS / AFP

Repéré par Diane Frances

Repéré sur Associated Press

Son directeur y voit une manière de sensibiliser la population aux problématiques de gaspillage et de tri des déchets.

Voilà deux jours qu’un énorme monstre gluant et puant obstrue les égouts de la capitale britannique. La présence indésirable d’un «fatberg» –néologisme formé à partir des mots «fat» (graisse ou gras en français) et «iceberg»– a été découverte mardi 12 septembre par la compagnie des eaux londonienne.

«Ce “fatberg” est le plus gros que nous ayons jamais vu», a expliqué Matt Rimmer, responsable du réseau de déchets de Thames Water.

Le spécimen mesure 250 mètres (deux fois la longueur du Stade de France) et pèse 130 tonnes (le poids de onze bus à impériale), agglutinant lingettes, couches, poils, préservatifs et autres matières graisseuses en un gigantesque amas composite. Un protagoniste idéal pour un film d’horreur:

Le musée de Londres a d’autres ambitions pour cette créature.

Sharon Ament, son directeur, a déclaré mercredi que l’ajouter à la collection «soulèverait des questions sur la façon dont on vit aujourd’hui et inciterait nos visiteurs à envisager des solutions au problème des métropoles en pleine expansion», rapporte Associated Press.

Il espère ainsi obtenir un échantillon du «fatberg» afin de l’exposer, bien qu’il ne sache encore pas de quelle façon sera présenté cet énergumène pour le moins atypique.

 

Voir l'image sur Twitter

Encore faut-il que les ingénieurs de la Thames Water remportent ce qu’ils ont nommé la «guerre des égouts», à savoir la désagrégation de chaque millimètre de l’«iceberg de graisse», qui devrait durer au moins trois semaines. Cette procédure existe déjà: si ce «fatberg» bat tous les records en termes de poids et de taille, ce n’est pas la première fois que ce genre de phénomène se produit dans les canalisations du pays.

En avril 2015, un monticule de déchets ménagers de quarante mètres de long avait cassé un égout de Londres datant des années 1940, tant il était lourd. Celui de Manchester en septembre 2014 pesait cent tonnes et celui de Kingston en août 2013, plus de quinze tonnes.

http://www.slate.fr

Instagram censure la photo de son enfant, atteint du syndrome de Goldenhear


Je trouve ignoble que des photos plus qu’osées puissent se balader en toute liberté dans les réseaux sociaux et qu’un enfant ayant des handicaps sévères soient retirées parce qu’une certaine personne le trouvait probablement laid … C’est une discrimination. Je trouve important que ces enfants, et même des adulte puissent s’ouvrir au monde pour s’apercevoir qu’ils ne sont pas seuls. La maman de ce garçon semble avoir beaucoup d’amour pour son fils, quoi demander de mieux !
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Instagram censure la photo de son enfant, atteint du syndrome de Goldenhear

 

INSTAGRAM CENSURE LA PHOTO DE SON ENFANT, ATTEINT DU SYNDROME DE GOLDENHEAR

Instagram @ouralteredlife

«C’est le visage de mon fils et je suis fière de le mettre en avant.»

 

Ce mardi 12 septembre, Charlie Beswick est furieuse. Et le fait savoir sur les réseaux sociaux.

« Quelqu’un a signalé une photo de mon fils », écrit-elle sur Twitter. « Instagram a accepté ce signalement, en disant que cela ne respectait pas ses règles d’utilisation avant de la supprimer. »

Son fils, Harry, souffre du syndrome de Glodenhear, une maladie du développement rare qui touche les yeux, les oreilles et les vertèbres, avec parfois un retard mental. Son enfant n’a pas d’œil, d’orbite et d’oreille sur la moitié gauche de sa tête. Sa mâchoire est trop courte, il ne peut pas parler et souffre d’autisme. Opéré plus d’une dizaines de fois, il doit porter des prothèses d’œil et d’oreille, mais n’avait pas son faux œil sur la photo. Sur Instagram, la mère s’amusait :

« -Bonjour Harry ! Où est ton œil ? -Oh zut ! Je l’ai oublié à la maison ! -Quand ce n’est pas l’un, c’est l’autre ! »

Charlie Benswick précise sous la photo : « Avis à la personne qui a signalée la dernière image de mon fils qui ressemblait à ça. C’est son VISAGE. Si tu es choqué, poursuis ton chemin. Quelle honte! »

Originaire de Stoke-on-Trent, dans le nord de l’Angleterre, cette mère tient un blog sur cette vie familiale, marquée par le lourd handicap de son fils,

« Our altered life« . « J’apprécie sa différence », assume Charlie Benswick, comme le rapporte TheTelegraph.

Certaines personnes peuvent ne pas avoir envie de le voir, mais ce n’est pas à Instagram de le décider. Qu’Instagram décide que le visage d’Harry ne convient pas est répugnant. Je ressens cela comme une discrimination. C’est le visage de mon fils et je suis fière de le mettre en avant. »

Ce n’est pas la première fois que cela arrive à cette mère de deux enfants. Comme elle l’écrit sur son compte Instagram, une image de son fils avait déjà été retirée.

« Qu’est-ce que vous voyez quand vous regardez mon fils ? Moi je vois le sourire le plus beau, un cœur merveilleux et l’amour le plus pur. Malheureusement, comme je le craignais, une photo d’Harry sans son œil a été supprimée d’Instagram pour la seconde fois. J’ai été touchée par les soutiens reçus sur Twitter, qui demandaient les raisons de cette suppression. Depuis, Instagram a restauré la photo. Aucune explication ou excuse! Je suis contente de voir la photo de mon fils de retour là où elle a le droit de l’être, mais je sens que ces règles d’utilisation que le visage de mon fils ne respectaient pas doivent être modifiées. Son visage doit compter. Merci à tous ceux qui continuent de me soutenir. Cela représente beaucoup pour moi. »

Son tweet indigné a été partagé plus de 100.000 fois. Dans un mail envoyé à la mère d’Harry et dévoilé par le Telegraph, Instagram reconnaît que la photo a été retirée à tort.

« Nous avons restauré la photo, et prendrons les mesures nécessaires pour être certains qu’elle ne soit désormais plus supprimée. »

http://quebec.huffingtonpost.ca