L’idéal


Chose de certain, c’est qu’on doit réfléchir de la façon qu’on agit avec les autres, d’apprendre à vivre malgré nos différences, nos idéaux, nos valeurs
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L’idéal

 

 

L’idéal serait d’avoir le coeur dans la tête et le cerveau dans la poitrine. De cette façon, on penserait avec amour en on aimerait avec intelligence

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La chouette astuce de ce père pour apprendre à son fils à marcher


Gerry Bell, un canadien a trouvé un moyen pour aider son fils Cayden à apprendre à marcher. Il s’agrippe sur un hula hoop, se lève et marche alors que son père n’a pas le dos courbé pour l’exploit de son fils. En tout cas, je crois que c’est mieux qu’un jouet marcheur avec des roues
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La chouette astuce de ce père pour apprendre à son fils à marcher

Le Saviez-vous ► Pourquoi la mer Morte est-elle si salée ?


J’aimerais bien faire une fois une trempette dans la Mer Noire qui en fait est un lac très salée ou toute vie est impossible. Bien que c’est un atout pour la peau, il ne faut pas rester longtemps pour ne pas déséquilibrer concentration les sels minéraux de notre corps.
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Pourquoi la mer Morte est-elle si salée ?

 

Si la mer Morte est morte, c’est qu’elle renferme un excès de sel fatal à toute forme de vie macroscopique, qu’elle soit animale ou végétale. Mais quelle est l’origine d’une telle quantité de sel ?

La mer Morte ne contient pas moins de 27,5 % de sel. Un chiffre presque incroyable lorsqu’on le compare au taux de salinité moyen des autres mers et océans de notre planète qui oscille entre 2 et 4 %.

De manière générale, le sel dissout dans les mers et les océans qui recouvrent largement la surface du Globe est issu de l’érosion de la croûte terrestre. Ce sont les rivières et les fleuves qui les alimentent en sels divers et variés. Concernant la mer Morte — qui n’est en réalité qu’un lac —, on estime que le Jourdain lui apporte quelque 850.000 tonnes de sel par an. Mais aujourd’hui, on évalue à 90 % au moins, le volume d’eau qui approvisionnait traditionnellement la mer Morte et qui est détourné à des fins d’irrigation. Ajoutez à cela juste ce qu’il faut d’évaporation naturelle et vous ferez baisser le niveau de la mer Morte d’environ un mètre par an. Vous comprendrez d’où lui vient cette salinité hors du commun !

 

Le sel présent en grande quantité dans l’eau de la mer Morte permet de flotter plus facilement. © Rottan, Pixabay, CC0 Public Domain

Le sel présent en grande quantité dans l’eau de la mer Morte permet de flotter plus facilement. © Rottan, Pixabay, CC0 Public Domain

On flotte mieux dans l’eau salée de la mer Morte

Ajouter du sel à de l’eau influe sur sa densité. L’opération a tendance à la faire augmenter. Ainsi, selon le principe énoncé par le célèbre Archimède, un corps humain plongé dans l’eau subit une poussée verticale, dirigée du bas vers le haut, et égale au poids du volume d’eau déplacé par le corps. Comme l’eau de mer — et d’autant plus celle de la mer Morte dont la masse volumique atteint les 1.240 kg.m-3 — est plus lourde que l’eau douce, nous flottons mieux dans la mer Morte que dans le bassin olympique de la piscine municipale.

Ainsi, une baignade dans la mer Morte se fait-elle un peu… assis sur l’eau. Et on peut y profiter des bienfaits pour la peau que procure la densité importante de sels minéraux qu’elle contient. Mais autant de sel peut aussi être dangereux pour la santé. Alors, attention à prendre quelques précautions : ne pas mettre la tête sous l’eau afin d’éviter les brûlures aux yeux, par exemple, et ne pas boire cette eau beaucoup trop salée ni même s’y baigner trop longtemps — une dizaine de minutes suffisent — afin de ne pas provoquer de déséquilibre de la concentration en sels minéraux dans votre corps.

http://www.futura-sciences.com

Les dangers cachés des inondations


Que ce soit au Québec, aux États-Unis  ou ailleurs, les inondations apportent son lot de problèmes. Bien sûr, il y a les dommages matériels, économiques qui sont gigantesques, mais aussi sur le plan santé. Toutes sortes de maladies physiques ou mentales peuvent survenir qui compliquent énormément les choses
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Les dangers cachés des inondations

 

© afp.

Les habitants du Texas ont dû réagir vite et abandonner tous leurs biens derrière eux. L’ouragan Harvey a laissé place à des pluies diluviennes. Une fois que les eaux se seront retirées, ils feront face à d’autres problèmes, tout aussi importants.

Tom Price, secrétaire américain de la santé, a déclaré une urgence sanitaire dimanche dernier pour toute la région concernée. Du personnel médical supplémentaire est donc mis à disposition du Texas. En effet, l’eau stagnante n’est pas simplement de l’eau de pluie, c’est une eau contaminée par l’eau des égouts et certains produits chimiques. Les eaux usées peuvent provoquées des brûlures ou des éruptions cutanées sur les parties du corps immergées. L’eau peut également cacher des objets tranchants en métal ou en verre et occasionner des blessures.

Les eaux provenant des inondations peuvent entraîner des maladies comme le choléra, la fièvre typhoïde ou la fièvre jaune dans les pays en voie de développement. Cela ne devrait pas être le cas ici mais il y aura certainement une épidémie de diarrhée. Pour réduire la propagation, il est conseillé de nettoyer les jouets qui ont été dans l’eau, de ne pas consommer de nourriture ou de boissons ayant été contact avec l’eau stagnante. Mais les problèmes d’estomac sont de toute façon fréquents quand les gens sont coincés ensemble dans un endroit confiné, comme c’est le cas des refuges. Les gens avec des plaies ouvertes doivent faire attention: des infections sont fréquentes.

Tout comme les infections respiratoires. Une fois que l’eau s’est retirée, les gens se précipitent chez eux pour tout nettoyer. Mais les murs sont gorgés d’eau et les champignons se propagent rapidement. Ca peut déclencher des allergies et exacerber l’asthme. Les gens doivent absolument porter des gants et pour bien faire un masque pour éviter d’être en contact direct avec les eaux de crue.

Les inondations éliminent généralement les moustiques et interrompent leur cycle de reproduction. Mais lorsque les inondations s’arrêtent, ils reviennent en force transportant des maladies comme le Zika et le virus du Nil occidental. Les moustiques ne sont pas les seuls bêtes dont il faut se méfier: les fourmis, les rongeurs et les reptiles menacent.

L’électrocution reste également possible mais les maladies les plus fréquentes après des inondations sont la dépression, l’anxiété et le stress. Les tempêtes exacerbent les problèmes de santé mentale existants ou en provoque. Le stress est partout, les larmes coulent facilement, on ne trouve plus le sommeil, il est parfois difficile de se souvenir des choses ou d’écouter les gens. Certaines personnes développent des symptômes proches du stress post-traumatique. Pour s’en sortir, un seul conseil: être bien entouré.

http://www.7sur7.be

Des millions de moustiques lâchés à Rio pour lutter contre la dengue et le Zika


Pour combattre les virus de la dengue, Zika, Nil Occidental, les chercheurs introduisent une bactérie qui diminue la transmission de ces virus. Si cela fonctionne sans apporter d’autres problèmes difficiles à régler, il faudra quand même attaquer le problème sur sa base, c’est-à-dire par le traitement des eaux usées, et d’améliorer les conditions sanitaires
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Des millions de moustiques lâchés à Rio pour lutter contre la dengue et le Zika

© reuters.

Des millions de moustiques Aedes aegypti ont commencé à être lâchés mardi à Rio de Janeiro, au Brésil, pour limiter la propagation des virus de la dengue, du zika et du chikungunya.

Porteurs d’une bactérie spécifique, ils sont lâchés avec l’espoir qu’ils vont se reproduire avec d’autres moustiques et leur transmettre cette bactérie. Les scientifiques espèrent ainsi pouvoir empêcher de nouvelles épidémies telles celle du zika, qui a mis le Brésil en état d’alerte à partir de 2015.

L’institut de recherches brésilien Fiocruz participe au programme « Eliminer la dengue » piloté par l’Australie, qui consiste depuis la fin 2016 à produire à grande échelle des moustiques porteurs de la bactérie wolbachia* Fiocruz produit actuellement 1,6 million de ces moustiques chaque semaine à partir de larves importées d’Australie.

« Nous avons découvert que quand un moustique Aedes aegypti est porteur de la wolbachia, celle-ci réduit la capacité du moustique de transmettre des virus comme la dengue, le zika ou le chikungunya », explique Luciano Moreiro, responsable du projet contre la dengue chez Fiocruz.

Après de premiers résultats encourageants en 2014, l’institut a commencé à lâcher des moustiques à Niteroi, près de Rio, et ce mardi sur la Ilha do Governador, dans le nord de la ville.

Il projette de faire de même dans d’autres endroits de la Zone Nord et de la Zone Sud de la métropole de 6,5 millions d’habitants d’ici la fin 2018.

Le même programme, piloté par l’Université de Monash, dans le Queensland, en Australie, est également mis en œuvre à Medellin (Colombie), Pondichéry (Inde), Yogyakarta (Indonésie) et Nha Trang (Vietnam).

L’Aedes aegypti prolifère dans les villes autour des eaux stagnantes. Les spécialistes estiment que la bataille contre les virus qu’il porte ne sera pas définitivement gagnée tant que des millions d’habitants s’entasseront dans des situations très précaires sur le plan sanitaire et du traitement des eaux.

http://www.7sur7.be/

* Les Wolbachia constituent un genre bactérien qui infecte essentiellement des arthropodes, environ 60 % des espèces, ainsi que certaines espèces de nématodes. Cette large répartition en fait donc un des symbiotes les plus répandus du monde animal Wikipédia

Découverte d’un rare fossile de dinosaure dans le Colorado


Un tricératops était enfoui dans les entrailles de la terre depuis 66 millions d’années viens de réapparaître dans une ville du Colorado, au grand bonheur des archéologues américains. Une caractéristique cependant à été relevé, c’est qu’il serait plus petit que d’autres trouvé ailleurs aux États-Unis
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Découverte d’un rare fossile de dinosaure dans le Colorado

 

Jusqu'à présent, les paléontologues n'ont mis au jour... (PHOTO AP)

Jusqu’à présent, les paléontologues n’ont mis au jour qu’une corne, une partie de l’omoplate, une autre de la collerette et une dernière de l’os de la queue, ainsi que d’autres ossements de ce tricératops.

PHOTO AP

Agence France-Presse
Washington

 

Des ouvriers d’un chantier ont découvert à Thornton, dans le Colorado, un fossile rare d’une partie du squelette d’un tricératops, un dinosaure herbivore à trois cornes.

Cette découverte a été faite le 25 août, a précisé un communiqué de cette municipalité située dans la banlieue de Denver.

Le responsable du chantier a pensé qu’il pourrait s’agir d’un fossile et a prévenu le musée d’histoire naturelle de Denver. Son conservateur, Joseph Sertich, s’est rapidement rendu sur place.

Il a alors déterminé qu’il s’agissait d’ossements et d’une corne d’un tricératops qui vivait il y a au moins 66 millions d’années, période de la disparition des dinosaures.

«C’est probablement l’un des trois seuls crânes de tricératops trouvés à ce jour dans les montagnes rocheuses», a estimé le paléontologue dans une vidéo sur Facebook.

Il a noté que ce fossile de tricératops est environ deux fois plus petit que les nombreux autres fossiles excavés dans le Dakota du Nord et du Sud, ainsi que dans le Montana, où la plupart des restes de dinosaures ont été découverts.

L’excavation, notamment au moyen de brosses, va se poursuivre au cours des deux prochaines semaines pour tenter de récupérer la plus grande partie possible du squelette.

AP

«On en ignore la raison», a concédé le scientifique en parlant de cette différence de taille.

«Ce fossile de tricératops pourrait être le mieux préservé, ce qui permettra peut-être d’expliquer les raisons pour lesquelles ces dinosaures à cornes découverts dans la région de Denver sont plus petits que tous leurs cousins trouvés ailleurs», a estimé Joseph Sertich.

Jusqu’à présent, les paléontologues n’ont mis au jour qu’une corne, une partie de l’omoplate, une autre de la collerette et une dernière de l’os de la queue, ainsi que d’autres ossements de ce tricératops.

«Ce tricératops sera conservé au Musée d’histoire naturelle de Denver, où il sera exposé», a-t-il dit, ajoutant que le public pourra voir ce qui a déjà été excavé dès ce week-end.

Un autre tricératops avait été trouvé à trois kilomètres de là en 2003, également par des ouvriers d’un chantier.

Les tricératops avaient deux grosses cornes au-dessus des yeux, et une plus petite sur le museau.

La plupart de ces dinosaures devaient peser jusqu’à six tonnes et mesurer dix mètres de long pour plus de trois mètres de haut, estiment les paléontologues.

Selon les scientifiques, ces animaux se déplaçaient lentement, ce qui en faisait des proies faciles pour les dinosaures carnassiers dont le redoutable tyrannosaure.

http://www.lapresse.ca/

Comment les chats peuvent-ils parfois survivre à de terribles chutes?


Les chats en cas de chute ont une capacité de survivre. D’après des calculs en physique, un chat qui tombe de 6 étages seraient un gros risque pour lui, mais plus haut, il a des chances de survivre
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Comment les chats peuvent-ils parfois survivre à de terribles chutes?

 

Chat | via Maxpixel CC License by

Chat | via Maxpixel CC License by

Repéré par Vincent Manilève

Repéré sur WIRED

Les chats sont décidément bien fascinants, et paradoxaux. En effet, il est acquis qu’ils peuvent survivre à des chutes depuis des fenêtres ou des balcons, à condition que ces derniers ne tombent pas du cinquième étage. Mais saviez-vous que les félins peuvent également espérer survivre à des chutes depuis des étages très élevés, par exemple du neuvième ou du dixième étage?

Sur Wired, un spécialiste de la physique a étudié cet étrange phénomène et explique que tout dépend de la résistance à l’air et du poids apparent lié à la force de gravité.

«Quand un objet tombe, note Wired, il y a essentiellement deux forces qui agissent dessus. Il y a la force de gravité qui dépend du champ gravitationnel (9,8 N/kg sur Terre) et de la masse de l’objet. L’autre force est la force de résistance de l’air.»

Cette dernière augmente avec la vitesse de l’objet car elle pousse dans la direction inverse du déplacement de l’objet.

Dix-huit mètres, la hauteur de la mort

Le spécialiste de Wired a alors utilisé un calcul numérique pour appliquer ces règles de physique à la chute d’un chat et faire dans un premier temps une estimation de sa vitesse à plusieurs étapes du déplacement.

 «Durant chacune de ces étapes, les forces sont plus ou moins constantes, donc le mouvement peut-être calculé. Plus l’écart entre chaque étape sera petit, et meilleur sera le calcul. Néanmoins, plus il y a d’étapes et plus vous aurez besoin de faire des calculs.»

D’où l’importance de l’ordinateur pour analyser une chute de chat et nous apprendre qu’il lui faudrait un peu plus de cinq secondes pour faire une chute de cent mètres.

Après avoir détaillé ses calculs, il a défini deux critères importants pour savoir quand est-ce qu’un chat peut espérer survivre ou non à ces longues chutes.

«D’abord, la vitesse d’impact. Les vitesses d’impact élevées sont mauvaises parce que le chat va arriver plus vite au sol. Ensuite, il y a le poids apparent à l’impact. Les poids apparents moins élevés sont mauvais parce que le chat sera en position d’atterrir sur ses pattes au lieu de s’étendre et de se détendre.»

Pour qu’un chat puisse éventuellement survive à une chute, il faut donc trouver la hauteur à laquelle la vitesse d’impact sera la plus faible et le poids apparent le plus élevé. Grâce à des calculs, Wired a donc mis en place un taux de survie en fonction de la hauteur de la chute. Résultat, le risque le plus élevé se situe à 18 mètres de hauteur, soit six étages environ. Au-delà, il est intéressant de noter que les chances de survie repartent à la hausse. En théorie en tout cas. 

http://www.slate.fr

Facebook est capable de déterrer des secrets familiaux, mais refuse de dire comment il sait


Ceux qui sont sur Facebook ont des suggestions d’amis pour entrer en contact, la plupart son des étrangers, alors qu’un petit nombre sont des connaissances. Une journaliste qui essaie de comprendre le fonctionnement des choix qu’on nous offre a eu une suggestion d’une grande tante qu’elle et cette dame qui ne se connaissait pas du tout et n’avait aucune idée de l’existence de l’une et de l’autre. Facebook fouille t’il dans nos contacts, nos courriels ? Il refuse de le dire
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Facebook est capable de déterrer des secrets familiaux, mais refuse de dire comment il sait

 

Repéré par Grégor Brandy

Repéré sur Gizmodo

Le réseau social a réussi à mettre en contact deux personnes d’une même famille qui ignoraient l’existence l’une de l’autre.

C’est l’un des nombreux mystères de Facebook. Comment le réseau social détermine-t-il les personnes que vous pourriez connaître? Depuis plusieurs mois, divers médias cherchent à comprendre la logique derrière cette fonctionnalité, sans jamais obtenir toutes les réponses. Parmi certains de la centaine de facteurs, indiquait USA Today, en juillet dernier:

«Avoir des amis en commun. C’est la raison la plus classique pour ces suggestions. Être dans le même groupe Facebook ou être taggés ensemble dans une photo. Les réseaux (exemple: même école, université, ou employeur). Les contacts mis en ligne.»

Pendant un certain temps, Facebook utilisait également la localisation, rappelle Recode, mais a arrêté quelque temps après la publication d’un article dévoilant que les patients d’un psychiatre avaient reçu des propositions de connexion les uns avec les autres de la part du réseau social.

Si cela permet de régler pas mal de cas, ce n’est pas le cas de tous. Une journaliste de Gizmodo raconte ainsi qu’elle a cherché pendant plusieurs mois à comprendre ce qui la liait aux potentiels nouveaux «amis» que lui suggérait le réseau social.

«Chaque jour, il me recommandait environ 160 personnes, certaines encore et encore. Au cours de l’été, il m’a suggéré plus de 1.400 personnes différentes. Environ 200, soit 15%, étaient des personnes que je connaissais, mais les autres semblaient m’être étrangers.»

Refus de répondre

Parmi ces «étrangers», elle a notamment découvert une femme, avec qui elle n’avait aucun lien, mais qui, elle l’a ensuite appris, est sa grande-tante: elle s’est mariée avec le frère de son grand-père biologique, qui avait abandonné son père à la naissance. Aucune des deux femmes n’était au courant de l’existence de l’autre.

«Comment Facebook a réussi à nous mettre en contact reste compliqué à déterminer. Mon père avait rencontré son mari en personne une fois, après l’enterrement de ma grand-mère. Ils ont échangé quelques e-mails, et mon père avait son numéro dans ses contacts. Mais aucun d’entre eux n’utilise Facebook. Comme aucune personne entre moi et Rebecca Porter dans notre arbre généalogique.»

La journaliste tente bien de comprendre, et contacte Facebook, qui refuse de lui répondre, et lui conseille plutôt de supprimer cette suggestion si elle ne lui convient pas. Autant dire que Kashmir Hill (comme nous tous) est toujours à la recherche d’une réponse pour comprendre ce qui se passe au sein de la fonctionnalité et cherche toujours à déterminer les liens qui existent entre elle et les différentes personnes avec qui Facebook essaie de nous mettre en contact chaque jour.

http://www.slate.fr/