Comment on a fait pour ne pas tomber malade après avoir mangé un gâteau d’anniversaire auquel, on a soufflé les chandelles ? Il semble qu’un souffle humain contienne plus de 1400 % de bactérie de différence entre un gâteau non soufflé
Nuage
Souffler les bougies sur un gâteau et faire don de ses bactéries
Le glaçage d’un gâteau dont les bougies ont été éteintes par le souffle d’un humain contient 1400 % plus de bactéries qu’une pâtisserie glacée au-dessus de laquelle personne n’a soufflé, selon une étude. Photo : iStock
Des scientifiques se sont récemment chargés d’élucider une question qui intéressera probablement les personnes ayant une aversion pour les germes. Un fêté transfère-t-il un nombre important de bactéries sur le glaçage de son gâteau d’anniversaire lorsqu’il en souffle les bougies?
Un texte de Marie-Claude Frenette
Afin de le savoir, des chercheurs de l’Université Clemson en Caroline du Sud, aux États-Unis, ont effectué des tests auprès de 11 individus à trois reprises sur différents jours, soit 33 observations au total.
Ils ont demandé aux sujets de l’expérience de souffler des chandelles insérées dans un polystyrène en forme de gâteau recouvert d’une feuille de papier d’aluminium sur laquelle du glaçage avait été ajouté. De plus, les prétendus fêtés avaient d’abord mangé de la pizza afin de simuler une séquence « repas suivi d’un dessert ».
Selon les résultats obtenus, le glaçage d’un gâteau dont les bougies ont été éteintes par le souffle d’un humain contient 1400 % plus de bactéries qu’une pâtisserie glacée au-dessus de laquelle personne n’a soufflé.
L’action de souffler ses chandelles d’anniversaire présente donc des risques importants de provoquer la transmission de bactéries orales et d’autres microorganismes issus de ses voies respiratoires sur du glaçage qui sera consommé par d’autres personnes.
Extrait de l’étude Transfert bactérien associé au souffle utilisé pour éteindre des bougies d’anniversaire
Dans leur étude publiée en mai dernier dans le Journal of Food Research du Centre canadien de science et d’éducation, les chercheurs précisent que l’analyse du glaçage au-dessus duquel les participants avaient soufflé révèle non seulement qu’il contenait un nombre 15 fois plus élevé de bactéries, mais que la gamme de bactéries détectées était 100 fois plus importante.
Ça alors. Fini les bougies sur mon gâteau.
Encore une tradition qui va se perdre ……Bahhh on mettre des mini -bougies » led » électriques et au lieu de souffler , on coupera le courant électrique ? …..
je ne crois pas que cette tradition va s’arrêter
Non , moi non plus , je plaisantais : De toute façon , si nous faisions attention à
tout cela, la vie quotidienne deviendrait » invivable » …..
Il faut arreter avec ces études, ils n’ont pas autre chose de plus à faire ces scientifiques que nous faire peur ? Ils seraient surement mieux utilisés pour d’autres recherches sur les maladies, c’est vraiment dépensé de l’argent pour rien.
Les gens ne peuvent plus s’embrasser alors ?… 😦