La gentillesse


La gentillesse est un atout, cependant, il n’est pas nécessaire de se faire marcher sur les pieds.
Tout en ayant un comportement acceptable, il est bon de ne pas servir de bouc émissaire
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La gentillesse

La gentillesse, c’est bien. Jusqu’à un certain point.
A partir du moment où l’autre s’en sert pour se moquer de vous,
ou vous utiliser, elle devient une faiblesse.
Soyez bon avec autrui, mais aussi juste avec vous-même

Alexandra Julien

Le Saviez-Vous ► La méconnue éruption du Tambora a pourtant eu des conséquences sur la planète


Il y a plus de 200 ans, une monstrueuse éruption volcanique en Indonésie a eu des conséquences sur toute la planète, il y a eu plusieurs morts pendant l’éruption, mais un nuage de cendre et le dioxyde de soufre a fait chuter la température de 3 C, sans compter que l’agriculture en a souffert.
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La méconnue éruption du Tambora a pourtant eu des conséquences sur la planète

 

Nathaniel Herzberg

L’éruption volcanique la plus puissante, la plus meurtrière et la plus lourde en conséquences climatiques et économiques du dernier demi-millénaire a eu lieu il y a deux siècles en Indonésie

Tambora, autopsie d’une éruption monstre

Catastrophes Survenue il y a deux siècles, l’éruption du volcan Tambora, en Indonésie, est la plus puissante et la plus meurtrière du dernier demi-millénaire

Les scientifiques commémorent l’événement et s’interrogent sur les conséquences qu’aurait un tel cataclysme aujourd’hui

Nevado del Ruiz (Colombie), 1985: 25 000 morts et la ville d’Armero rayée de la carte. Pinatubo (Philippines), 1991: 1000 morts et un impact de 3% sur le PIB national. Eyjafjöll (Islande), 2010: aucune victime, mais un trafic aérien bloqué pendant cinq jours en Europe… Ces trois éruptions volcaniques ont marqué les trente dernières années. Pourtant, elles restent de simples feux d’artifice comparées à celle qui survint il y a tout juste deux siècles, en Indonésie, au Tambora.

La plus puissante, la plus meurtrière, la plus lourde en conséquences climatiques et économiques du dernier demi-millénaire: l’éruption que les scientifiques s’apprêtent à commémorer a marqué l’histoire. … La revue Nature Geoscience , elle consacre à l’éruption quatre articles et son éditorial, afin d’appeler la communauté scientifique à bien mesurer les risques que pareil cataclysme ferait aujourd’hui courir à notre planète.

Car c’est bien un déluge qui s’est abattu sur le monde cette année-là. Les 10 et 11 avril 1815, pendant vingt heures, le feu se déchaîne. Le volcan, haut de 4300 mètres, crache plus de 35 kilomètres cubes de magma dense.

«Il est classé au niveau 7 sur une échelle de 8 degrés, c’est considérable», insiste Patrick Allard, de l’Institut de physique du globe de Paris, premier vulcanologue à être descendu dans le cratère, en 1979.

Le sommet est pulvérisé, la montagne ramenée à 2850 m.

Les explosions sont entendues jusqu’à Sumatra, à 2000 km. Dans le ciel, trois colonnes de flamme s’élèvent, qui bientôt fusionnent puis s’effondrent, sous le poids de la matière. Après la pluie de roches, des nuées ardentes s’abattent sur l’île de Sumbawa, dans l’est de l’archipel indonésien. La ville de Sanggar est ravagée, laissant 15 000 personnes sans vie. Des vagues de 10 mètres frappent les villages de pêcheurs. Sur toute l’île et plus loin dans le pays, tsunamis, famines et épidémies font entre 50 000 et 70 000 victimes, suivant les bilans.

Les informations sont lacunaires. Les Britanniques assurent un intérim entre deux règnes néerlandais sur l’archipel et leur administration est défaillante. Alors qu’en 1883, lors de l’éruption du Krakatoa (Indonésie, 36 000 morts), le télégraphe permettra une circulation rapide des données, Morse n’a pas encore mis au point son invention en cette année 1815. Aussi l’événement reste-t-il cantonné aux frontières.

Mais pas ses conséquences. Un nuage de cendre se répand à travers le continent, qui retombe vite. En revanche, le dioxyde de soufre contenu dans la colonne de 40 km de haut est pris dans les courants stratosphériques. Les particules de sulfate deviennent autant de petits écrans solaires. L’impact climatique est considérable. En Europe occidentale, la température moyenne chute de 3 degrés en 1816. C’est l’«année sans été».

En Grande-Bretagne, en France, en Allemagne, des records de froid et de précipitations sont battus entre juin et août. De la pluie, de la neige parfois qui ruinent les cultures. Les raisins restent verts, les pommes de terre pourrissent, les fruits sont faméliques.

«Le prix des céréales a doublé entre 1815 et 1817 des deux côtés de l’Atlantique», souligne Clive Oppenheimer, géographe à l’Université de Cambridge, qui s’est attaché à peser les conséquences politiques et sociales de la formidable éruption.

La famine fait 100 000 victimes en Europe. La natalité chute, tandis que la mortalité augmente de 4% en France, de 6% en Prusse, de 20% en Suisse et en Toscane. Partout, des émeutes de la faim éclatent, violemment réprimées.

«A Cambridge, une loi spéciale a été promulguée, le Riot Act, des condamnations à mort ont été prononcées. Je pense qu’on peut y voir une conséquence de l’éruption de Tambora», poursuit Clive Oppenheimer.

Petite consolation: la perturbation climatique offre aux générations futures les ciels rouges peints par Turner et Constable.

Faut-il attribuer au volcan, à la crise alimentaire et à la mort de nombreux chevaux qui s’ensuivit l’invention de la bicyclette en 1817? Accuser le Tambora, par inondations et froid interposés, d’avoir provoqué le remplacement des cultures du riz par celles de l’opium dans la province du Yunnan (Chine), premier acte d’un marché international des stupéfiants?

«Il faut être prudent, ne pas faire de l’histoire avec des conjectures ou des coïncidences, estime Clive Oppenheimer. D’autres éléments ont pesé à l’époque, comme la chute de l’empire napoléonien. Mais il est certain qu’un tel cataclysme bouleverse la planète.»

Les sociétés sont aujourd’hui «mieux armées pour agir, comme le montre le bilan de l’explosion du Merapi, en 2010 à Java [400 morts]», souligne Stephen Self, de l’Université de Berkeley.

L’évacuation massive a permis d’éviter l’hécatombe. Mais le vulcanologue américain le sait: la population mondiale est six fois plus importante qu’à l’époque, les sociétés plus interdépendantes, les conséquences en chaîne difficilement prévisibles.

Aussi, tranche-t-il: «Un Tambora serait aussi critique qu’auparavant.»

Et son collègue Clive Oppenheimer de renchérir: «Nous sommes très vulnérables sur la sécurité alimentaire. Et souvent peu conscients des enjeux. Le tsunami de 2004 est là pour en témoigner. Personne n’a voulu s’y préparer. Mais comment voulez-vous responsabiliser une société pour des phénomènes qui surviennent une ou deux fois par millénaire? Quand nous autres scientifiques lançons des mises en garde, on nous demande si une telle éruption arrivera dans les cinq ans. Sans doute pas. Mais est-ce que ça va arriver dans le futur? C’est certain.»

https://www.letemps.ch

Cet ado n’a pas bien écouté les consignes de sa mère, voilà le résultat


Si les éléphants roses n’existent qu’en cas d’hallucinations, un cheval rose est bien réel. Des incendies font rage en Colombie-Britannique et beaucoup ont dû quitter leurs demeures. Au cas que la propriété ou reste ce cheval devrait fuir devant le feu, mieux vaut prendre quelques précautions pour retrouver les animaux. Il semble que l’adolescent à tout compris de travers et a peint au complet un cheval rose fluo
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Cet ado n’a pas bien écouté les consignes de sa mère, voilà le résultat

 

CINDY RODDICK / THE CANADIAN PRESS

Jacob n’a, semble-t-il, pas eu le temps peindre l’autre cheval.

Pour retrouver facilement sa jument après un incendie, un jeune Canadien a entièrement repeint l’animal.

 

NSOLITE – Avait-il vu un éléphant rose? Ce mardi11 juillet, un problème de communication entre un adolescent et sa mère a conduit le premier à peindre entièrement leur jument en… rose fluo.

L’histoire se passe en Colombie-Britannique, au Canada. La région est actuellement frappée par de nombreux feux de forêts qui ont forcé l’évacuation de plus de 14.000 habitants. Les flammes menaçant d’atteindre sa propriété, Cindy Roddick réalise qu’elle devra sûrement relâcher ses chevaux.

C’est là que son fils, Jacob Sharkey, entre en action. La Canadienne demande au jeune homme de 15 ans d’écrire leur numéro de téléphone sur les chevaux, dont la bien nommée Rosy, pour que la famille puisse les récupérer après l’incendie.

Mais à 15 ans, on a tendance à n’écouter ses parents que d’une oreille. Jacob a ainsi loupé toute la partie concernant le numéro de téléphone.

En rose fluo, de la tête aux sabots

« Je pensais que ma mère m’avait demandé de peindre entièrement le cheval pour le rendre visible, et que de cette façon, si on devait le libérer, les gens pourraient le retrouver facilement », raconte-t-il dans une interview à Metro News Toronto.

Vingt minutes plus tard, Jacob avait badigeonné Rosy, de la tête aux sabots, d’un spray non-toxique rose fluo.

« Rose fluo. Vraiment fluo. Mon dieu! », se rappelle avoir crié la mère de l’adolescent, toujours selon Metro News Toronto.

D’après l’adolescent, la jument n’a pas protesté alors qu’elle se transformait en énorme bonbon rose.

« Elle est âgée et ne se préoccupe pas de grand-chose à part manger, plaisante-t-il. C’est une sorte de décoration extérieure très coûteuse. »

Plus de 200 incendies ravagent actuellement la région, située au sud-est du Canada. Le Premier ministre Justin Trudeau s’est même adressé aux familles touchées par cette catastrophe.

Pour l’instant, la famille a été épargnée par les flammes. Mais Jacob n’a pas encore fini de nettoyer la jument.

« Je dois encore retourner dans l’enclos et enlever ce qu’il reste de peinture ».

http://www.huffingtonpost.fr/

La marijuana associée à des expériences psychotiques chez les adolescents


L’idée de la drogue pour les jeunes m’horripile, je trouve tellement que ce sont des années gâchées pour une substance qui en bout de ligne n’apporte que des problèmes
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La marijuana associée à des expériences psychotiques chez les adolescents

 

Un jeune homme fume un joint.

Un jeune homme fume un joint. Photo : Associated Press/Alex Brandon

Passer d’une consommation de marijuana occasionnelle à une consommation hebdomadaire ou quotidienne à l’adolescence augmente de 159 % le risque de vivre des expériences psychotiques récurrentes, selon une nouvelle étude du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine.

Radio-Canada avec La Presse canadienne

L’étude, publiée mercredi dans le Journal of Child Psychology and Psychiatry, rapporte également des effets de la consommation de marijuana sur le développement cognitif et montre que le lien entre la consommation de marijuana et les expériences psychotiques s’explique en partie par une hausse des symptômes liés à la dépression.

Un des objectifs de l’étude était de comprendre le mécanisme par lequel la consommation de marijuana et les expériences psychotiques sont liées.

Nos résultats confirment que devenir un consommateur régulier de marijuana durant l’adolescence est, en effet, associé à un risque de symptômes psychotiques. C’est un important problème de santé publique. Josiane Bourque, doctorante au Département de psychiatrie de l’Université de Montréal

Une des hypothèses avancées par l’équipe du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine est que la consommation de cannabis aurait un effet négatif sur le développement des fonctions cognitives à l’adolescence et que ce déficit cognitif serait directement associé à la manifestation d’expériences psychotiques.

Cependant, cette hypothèse n’a été que partiellement confirmée.

Parmi les différentes fonctions cognitives étudiées, seule la capacité d’inhibition a été altérée par la consommation de marijuana; c’est une habileté essentielle qui permet à l’individu d’inhiber certaines pulsions ou certains comportements pour adopter une attitude appropriée selon la situation vécue.

L’équipe de recherche a d’ailleurs démontré que la diminution de cette fonction cognitive constitue un facteur de risque dans l’abus de substances et la dépendance.

L’étude a plutôt démontré que même si la consommation de marijuana est associée à divers déficits cognitifs et symptômes psychiatriques, c’est uniquement l’augmentation de symptômes dépressifs, notamment des pensées négatives et de l’inquiétude, qui pouvait expliquer le lien entre la marijuana et la récurrence des expériences psychotiques chez les jeunes.

Les résultats de l’étude proviennent du projet Co-Venture, une cohorte d’environ 4000 adolescents de 13 ans issus de 31 écoles secondaires de la grande région de Montréal suivis annuellement tout au long du secondaire.

http://ici.radio-canada.ca/

Réchauffement climatique: la planète sera inhabitable bien plus tôt qu’on ne le pense


Depuis quand des scientifiques de l’environnement ont lancé l’alerte ? On en parlait quand j’étais une petite fille. Aujourd’hui on sent l’urgence d’agir, mais il y a les climato-septiques qui pensent qu’a leurs gains et ne voient, ni n’entendent rien. Ce que nous laisserons à nos enfants et petits-enfants est une terre empoisonnée. Il fera chaud, la sècheresse augmentera et des maladies du passées cachées dans la glace referont surface.
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Réchauffement climatique: la planète sera inhabitable bien plus tôt qu’on ne le pense

 

Effets du changement climatique | Ken Kistler via publicdomainpictures.net CC License by

Effets du changement climatique | Ken Kistler via publicdomainpictures.net CC License by

Repéré par Vincent Manilève

Repéré sur The New York Magazine

Dans cent ans, tout aura changé.

 

Les dystopies climatiques inondent la culture populaire, provoquant chez certains d’entre nous une forme d’angoisse du lendemain, ou de l’été qui vient.

David Wallace-Wells nous apprend aujourd’hui dans le New York Magazine que ces craintes sont en deçà de la réalité.

«La plupart des gens parlent comme si Miami et le Bangladesh avaient une chance de survivre, écrit-il en introduction. La plupart des scientifiques à qui j’ai parlé estiment que nous les perdrons d’ici la fin du siècle, même si nous arrêtons de consommer des énergies fossiles dans la décennie qui vient.»

Dans cette enquête fascinante, il dresse ensuite la liste des menaces directes et concrètes à l’égard de l’homme, des menaces qui pourraient apparaître avant la fin du siècle. Par exemple, la température du thermomètre mouillé, une mesure de l’évaporation d’eau dans une parcelle d’air, est sur le point d’atteindre un seuil critique.

«Même si nous atteignons le seuil des deux degrés de réchauffement prévus par les Accords de Paris, des villes comme Karachi ou Calcutta deviendront inhabitables, subissant chaque année des vagues mortelles de chaleur comme celles qui les ont paralysées en 2015. Si on atteint quatre degrés d’augmentation, la vague de chaleur mortelle qui a frappé l’Europe en 2003, et qui a tué 2.000 personnes par jour, deviendra un été normal.»

Les stocks de nourritures pourraient aussi être affectés à travers le monde. Les sécheresses transformeront les terres cultivées les plus importantes en déserts: on estime que, d’ici 2080, si rien n’est fait pour réduire les émissions, le sud de l’Europe pourrait, entre autres régions, voir ses terres mourir.

Anthrax et peste bubonique

Aujourd’hui, 10.000 personnes meurent chaque année à cause de l’air pollué, et plus de 330.000 à cause de la fumée provoquée par les incendies. La forêt amazonienne, pourtant tropicale, pourrait devenir si sèche que des feux se propageraient sans peine et détruiraient une grande partie de sa surface. Quand on sait que la forêt fournit 20% de notre oxygène, il est difficile de ne pas être inquiet.

Les océans aussi seront bientôt dangereux, et pas seulement parce que le niveau de l’eau va augmenter. Le carbone contenu dans les océans et les mers représentent un tiers du total sur la planète et engendre une acidification de l’eau. Cela va augmenter la température de l’eau et menacer de nombreuses espèces.

Saviez-vous également que l’Arctique renferme dans sa glace des maladies qui n’ont pas parcouru l’air depuis des millions d’années? Des scientifiques ont également découvert il y a peu des traces de peste bubonique, de varioles, et même de cette grippe qui a tué plus de cent millions de personnes au début du XXe siècle. La fonte des glaces pourrait libérer ces maladies. L’année dernière, un garçon est ainsi mort à cause de l’anthrax qui avait déjà contaminé et tué un cerf il y a plus de soixante-dix ans. Ce dernier est remonté à la surface à cause de la fonte du permafrost.

Voilà quelques-uns des éléments avancés par le journaliste. Pour lire les autres

(et la liste est aussi longue que terrifiante), c’est par ici.  (en anglais)

http://www.slate.fr/

Cette chatte a les pattes les plus étranges du monde


À cause d’un déménagement, un chat avec des pattes étranges étaient abandonnés avec d’autres chats. Heureusement que chez les animaux, (contrairement aux humains) un handicap peut amener à une adoption rapide. De toute manière, cela n’empêche d’être un chat à part entière
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Cette chatte a les pattes les plus étranges du monde

 

chat pattes palmées

Abandonnée avec deux autres chats, Deandra n’est pas tout à fait une chatte comme les autres. Et pour cause puisque ses pattes sont uniques !

Il y a plusieurs semaines de cela, la SPA de Manchester a trouvé trois chats abandonnés dans le jardin de leurs maîtres suite à leur déménagement. Les chats étaient évidemment affamés et l’un d’eux avait une particularité plutôt rare : des pattes palmées.

A cause d’un problème génétique, les orteils de Deandra ne se sont pas séparés comme il faut si bien que ses pattes ressemblent à celles d’un oiseau !

 

Cette chatte a les pattes les plus étranges du monde

Une adoption coup de cœur

C’est suite à un reportage consacré à cette chatte aux pattes palmées que Michael Casemore a pris la décision d’adopter Deandra qu’il trouvait vraiment adorable. Il faut dire que la chatte noire a beaucoup de choses pour elles.

« Elle était un peu timide au début, mais ça va déjà beaucoup mieux. Elle va très bien et toutes les personnes qui croisent sa route l’adorent. J’adore les chats noirs, et dès que j’ai vu qu’elle avait une petite particularité, j’ai su que je devais l’adopter. Quand on s’est rencontrés pour la première fois, elle était très affectueuse. Je savais qu’elle était là depuis bien trop longtemps, je devais la prendre avec moi. »

Pour ne pas être trop dépaysée, Deandra a pu emmener avec elle dans sa nouvelle maison son jouet préféré à la SPA : une petite souris. Un jouet qu’elle ne lâche jamais selon son nouvel humain qui raconte que la chatte a déjà trouvé des amis dans le quartier et que ses pattes ne sont pas un handicap pour elle-même si elle se montre parfois un peu plus maladroite que la moyenne.

https://wamiz.com

Démasquer un criminel grâce à un moustique? Peut-être un jour


Il y aurait peut-être du positif aux moustiques communs et moustiques tigres. Lors d’une enquête criminelle, ces insectes pourraient donner des indices très appréciables sur des suspects
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Démasquer un criminel grâce à un moustique? Peut-être un jour

 

La plupart des moustiques ne volent pas au-delà... (ARCHIVES PC)

La plupart des moustiques ne volent pas au-delà d’un rayon de quelques centaines de mètres, leur longévité variant selon les espèces de quelques jours à deux mois.

ARCHIVES PC

 

Agence France-Presse

Si un moustique pique un criminel sur les lieux de son méfait, il sera peut-être possible un jour de l’identifier grâce à l’ADN de son sang récupéré dans l’estomac de l’insecte, selon une étude publiée lundi dans la revue PLOS ONE.

Des scientifiques de l’université Nagoya au Japon ont montré qu’il était possible de déterminer à qui appartient l’ADN du sang ingéré par un moustique jusqu’à 48 heures après la piqure.

«Cette technique peut aider le travail de la police pour identifier qui se trouvait sur les lieux d’un crime», relève le chercheur Toshimichi Yamamoto. «À l’avenir, cette technique pourrait fournir suffisamment de preuve pour condamner un délinquant».

Personne ne savait jusqu’à présent pendant combien de temps le sang sucé par un moustique permettait d’identifier l’ADN qu’il contient avant qu’il ne se dégrade.

Pour répondre à cette question, le professeur Yamamoto et son équipe d’experts en médecine légale ont récupéré le sang dans des moustiques ayant piqué des volontaires.

En amplifiant un petit fragment d’ADN des milliers de fois, les scientifiques ont pu identifier correctement chacun des volontaires, et ce, jusqu’à deux jours après qu’ils aient été piqués.

En poursuivant ces recherches, il devrait être possible de déterminer précisément quand le moustique a piqué sa victime.

La plupart des moustiques ne volent pas au-delà d’un rayon de quelques centaines de mètres, leur longévité variant selon les espèces de quelques jours à deux mois.

L’expérience japonaise a été effectuée avec deux espèces de moustiques évoluant surtout dans les régions tropicales et sub-tropicales: le moustique commun (Culex pipiens) et le moustique-tigre (Aedes albopictus).

http://www.lapresse.ca