Le silence


Pourquoi ne pas apprivoiser le silence pour se ressourcer, chercher son rythme, et recentrer nos pensées ?
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Le silence

 

Le silence est une tranquillité mais jamais un vide ; il est clarté mais jamais absence de couleur ; il est rythme ; il est le fondement de toute pensée.

Yéhudi Menuhin

Avant l’opération, le frère jumeau du garçon sortait de son ventre


Ce jeune garçon, Deepak Paswan qui vit en Inde n’a pas eu une enfance facile. Il est né avec « jumeau parasite » Ce jumeau a développé des bras et des jambes et sa croissance à arrêter dans le ventre de son frère qui a donc 4 jambes et 4 bras. Les parents ont hésité pour qu’il puisse subir une opération, car les médecins voyaient mal combien d’organes étaient partagés. Ils ont finalement dit oui. L’opération fut réussie et il a pu vivre une enfance comme les autres
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Avant l’opération, le frère jumeau du garçon sortait de son ventre

Le Saviez-Vous ► Top 10 des infos insolites sur les dinosaures


Les sciences qui étudient les animaux préhistoriques étudient toujours ces animaux avec les restes des découvertes archéologiques. Avec les nouvelles technologies, on continue d’apprendre sur ces bêtes géantes qui ont peuplé la terre et viens soit confirmer ce que les chercheurs pensaient, mais aussi, les recherches viennent chambouler les résultats précédents ..
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Top 10 des infos insolites sur les dinosaures

 

On sait finalement peu de choses sur les dinosaures. Mais ce qui est extraordinaire, c’est que le peu que nous savons est souvent erroné ! Vous pensez par exemple que le T-rex est une machine à tuer perfectionnée… vous allez être étonné. Vous voyez les dinosaures comme de gros lézards… et s’ils ressemblaient finalement plus à de gros poulets à plumes ?

Le T-rex avait une cervelle d’oiseau !

Pour en savoir plus, cliquez sur l'image. © Ohio University College of Osteopathic Medicine

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© Ohio University College of Osteopathic Medicine

On ne sait toujours pas exactement si les Tyrannosaurus rex, souvent dénommés de façon abrégée des T-rex, étaient de redoutables prédateurs ou de simples charognards. Mais on est sûr qu’ils devaient avoir, véritablement, des « cervelles d’oiseaux » et pas seulement parce que les oiseaux sont les derniers dinosaures vivants…

Plus ils sont gros, plus ils sont chauds ! 

Pour savoir s'ils avaient le sang chaud, cliquez sur l'image. © Courtesy of Jon Hughes, www.pixel-shack.com

Pour savoir s’ils avaient le sang chaud, cliquez sur l’image.
© Courtesy of Jon Hughes, http://www.pixel-shack.com

Les dinosaures étaient-ils à « sang chaud » ou à « sang froid » ? Selon Jamie Gillooly et ses collègues de l’Université de Gainesville en Floride, qui publient les résultats de leurs travaux dans Plos Biology, tout dépendait de leur taille ! Il ressort de leur étude que plus les dinosaures étaient imposants, plus leur température était élevée.

Le T-rex, un prédateur… lent

 

Découvrez la vitesse de croisière du T-rex en cliquant sur l'image. © Courtesy of Vlad Konstantinov

© Courtesy of Vlad Konstantinov

Le T-rex qui, selon la légende, était un prédateur hors pair était en fait plutôt lent. Il ne courrait qu’à 30 kilomètres par heure. Pas mal pour un animal de 6 tonnes mais pas non plus spectaculaire pour un soi-disant « roi de la vie animale ». 

Les dinosaures avaient des plumes !

 

Les dinosaures avaient des plumes !

Photo : Archéoptéryx. © Courtesy of Jon Hughes, http://www.pixel-shack.com

La découverte d’un fossile de dinosaure en Chine suggère que les dinosaures ressemblaient davantage à de grands oiseaux qu’à d’imposants lézards à la peau écailleuse. Ce fossile, celui d’un dinosaure carnivore bipède, vieux de 128 millions d’années et haut de 90 centimètres, fournit la première preuve de l’existence de dinosaures recouverts de véritables plumes, comme celles d’oiseaux modernes. Il s’agit du premier fossile de dinosaure non-volant trouvé avec de telles plumes. Il suggère du même coup que l’évolution vers les plumes modernes a commencé avant l’émergence des oiseaux.

Un tiers des dinosaures n’aurait jamais existé

 

© Courtesy of Caren Carr, http://www.karencarr.com

Sur toutes les espèces de dinosaures connues, une sur trois serait une illusion… C’est la conclusion à laquelle ont abouti le célèbre paléontologue John Jack Horner et son collègue Mark B. Goodwin. Des différences morphologiques marquées entre jeunes et adultes auraient induit en erreur les paléontologues. Certaines espèces ne seraient donc pas distinctes.

Les dinosaures pouvaient nager

 

© Courtesy of Jon Hughes, www.pixel-shack.com

Les dinosaures pouvaient nager. Du moins, c’est probable. La découverte s’est faite en examinant des couches de sédiments en grès, déposées il y a environ 125 millions d’années au fond d’un lac situé dans l’actuel bassin de Cameros, en Espagne. La couche date donc du Crétacé inférieur et elle contient une piste de 15 mètres de long. On y distingue une série d’empreintes en forme de S, d’environ 15 centimètres de large et 50 de long qui font penser à des griffures. Au total, il y a six paires de telles empreintes. L’allosaure représenté ici a peut-être laissé ces traces au fond du lac.

Les dinosaures avaient des cancers

 

© DP

Des chercheurs ont analysé, grâce à un appareil portable à rayons X, 10.000 vertèbres de dinosaures provenant de plus de 700 spécimens de musées d’Amérique du Nord. Un seul groupe aurait souffert de tumeur : les hadrosaures ou dinosaures à bec de canard. L’équipe a trouvé 29 tumeurs dans les os provenant de 97 individus de ce groupe d’herbivores de la période du Crétacé.

Les tumeurs les plus courantes étaient des hémangiomes, tumeurs bénignes des vaisseaux sanguins, présents chez 10 % des humains. L’edmontosaurus, qui mesurait 3,5 mètres, a été la seule espèce chez laquelle a été retrouvée une tumeur maligne

Les dinosaures étaient plus grands que prévu

 

© Marmelad, Tedd Marshall, http://www.marshalls-art.com, CC by-sa 2.5

En utilisant un « facteur de correction du cartilage », les scientifiques ont pu montrer que certains dinosaures comme le tyrannosaure n’auraient été plus grands que de quelques centimètres, alors que le tricératops et le brachiosaure auraient gagné au moins 10 % en taille, soit au moins 30 centimètres pour un brachiosaure de 13 mètres. Cela a directement un impact sur le poids des dinosaures, qui a donc aussi été sous-évalué.

Les crocodiles comme Supercroc mangeaient les dinosaures

© Mike Hettwer et National Geographic

Photo : Paul Sereno avec ses crocodiles sahariens. Supercroc lui sert d’accoudoir. Boarcroc (Croc Sanglier) est en haut à droite, Pancakecroc (Croc Galette) en bas à droite. Les petites têtes, en bas à gauche, sont, respectivement, Ratcroc, Dogcroc et Duckcroc

Il y a cent millions d’années, là où se trouve aujourd’hui le Sahara, vivait un monde de crocodiles. Certains étaient de taille modeste mais le plus grand, Sarcosuchus imperator, atteignait environ 12 mètres et devait peser 8 tonnes. Les Anglo-Saxons aiment l’appeler « Supercroc ». Ce géant n’est pas un inconnu, le Français Philippe Taquet l’a découvert en 1964. La trouvaille de l’équipe menée par Paul Sereno, qui travaille pour le National Geographic, et Hans Larsson, de la McGill University de Montréal, n’est donc pas une surprise.

Mais elle n’est pas la seule. Depuis 2000, ces paléontologistes explorent le Sahara en plusieurs endroits, notamment au Niger et au Maroc. Dans ces sites qui, il y a cent millions d’années, se situaient au cœur d’un continent unique, le Gondwana, en train de se morceler, l’équipe a exhumé cinq autres espèces de crocodiliens, dont trois étaient inconnues de la science. Pour poursuivre l’habitude des surnoms, les découvreurs les ont baptisées « Boarcroc », « Ratcroc », « Dogcroc », « Duckcroc » et « Pancakecroc ». Leurs découvertes font l’objet d’une publication scientifique dans la revue Zookeys mais aussi d’un reportage sur la chaîne de télévision du National Geographic, intitulé When Crocs Ate Dinosaurs (« Quand les crocodiles mangeaient les dinosaures », diffusé le 21 novembre 2009).

 

La disparition des dinosaures a fait grandir les mammifères

 

© Courtesy of Karen Carr, http://www.karencarr.com

Après la grande extinction du Permien-Trias (il y a environ 252 millions d’années) et en quelques dizaines de millions d’années, les premiers dinosaures et les premiers mammifères apparaissent sur Terre. Les dinosaures vont rapidement s’imposer et bloquer aussi bien la diversification que la croissance en taille des mammifères. Ce n’est que lorsque l’astéroïde 298 Baptistina provoque leur extinction massive qu’une explosion radiative évolutive se produira chez les mammifères.

Un groupe de paléontologues, biologistes (spécialistes de l’évolution) et de macroécologistes mené par Felisa Smith (de l’université de New Mexico) vient de confirmer qu’à partir de la crise KT (entre Crétacé et Tertiaire, ou cénozoïque, il y a 65 millions d’années) se produit sur tous les continents une croissance de la taille des nouvelles espèces de mammifères. Ce serait donc bien grâce à la disparition des dinosaures que des géants comme le baluchithère ont pu fouler le sol de la Planète bleue.

http://www.futura-sciences.com/

Progéria : un espoir de traitement contre le vieillissement accéléré


Dans le monde, ceux qui souffrent du syndrome Hutchinson-Gilford sont de 1 naissance sur 10 à 20 millions dans le monde. Les personnes atteinte de cette maladie de vieillissement précoce ont une espérance de vie de 13 ans. La science donne un espoir d’un futur traitement qui espérons-le sera efficace
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Progéria : un espoir de traitement contre le vieillissement accéléré

 

Un enfant atteint de progéria

En Inde, un enfant de 4 ans atteint de progéria, une maladie causée par une mutation génétique et qui crée un vieillissement accéléré.

© MUSHFIQUL ALAM / NURPHOTO / AFP

Sylvie Riou-Milliot

Spécialiste santé au magazine Sciences et Avenir

Une avancée majeure dans la compréhension des mécanismes du vieillissement accéléré vient d’être réalisée par des chercheurs marseillais. Avec à la clé, l’espoir d’un traitement contre la progéria.

GÉNÉTIQUE. Un espoir pour les enfants atteints de progéria (voir l’encadré ci-dessous). Cette maladie due à une mutation génétique rare entraîne un vieillissement accéléré chez un enfant sur 10 millions, lui donnant l’aspect d’un vieillard. Une étude, qui vient d’être publiée dans la revue EMBO Molecular Medicine1, fait en effet d’état d’une avancée majeure dans la compréhension des mécanismes du vieillissement et d’une voie possible de traitement pour la progéria, jusqu’à présent incurable.

L’ équipe dirigée par le Pr Nicolas Lévy, UMR S 910 à l’université d’Aix-Marseille, vient d’identifier le mécanisme lié à l’accumulation de la progérine, cette protéine toxique produite au cours de cette pathologie. Depuis l’identification du gène par la même équipe en 2003, les chercheurs avaient d’abord envisagé de réduire la toxicité de la progérine. Ils ont démarré en 2008 un essai — toujours en cours — auprès de 12 enfants avec une combinaison de deux molécules, l’oméga statine et le Z-dronate, déjà prescrites dans d’autres indications, comme la prévention des risques cardio-vasculaires  et l’ostéoporose. Les résultats sur un possible ralentissement du vieillissement sont attendus pour 2018. 

Une nouvelle molécule potentiellement thérapeutique

Mais cette fois, avec leur nouvelle publication, l’équipe marseillaise est allée plus loin. Elle vient de démontrer, in vitro et sur des cellules d’enfants malades et de souris, le potentiel thérapeutique d’une nouvelle molécule, dite MG132. Celle-ci possède en effet la double capacité de considérablement réduire la production de progérine, mais aussi de la dégrader au fur et à mesure qu’elle se forme. Ce qui permet aux chercheurs d’espérer lancer rapidement un second essai avec cette nouvelle molécule. À noter qu’il existe une troisième piste, toujours suivie par la même équipe. Un essai de thérapie génique, initié chez l’animal qui devrait lui démarrer chez l’homme en 2019.

C’est quoi la progéria ?


La progéria, ou syndrome de Hutchinson-Gilford, est une maladie génétique extrêmement rare et sévère qui provoque un vieillissement très précoce et accéléré des enfants. Elle touche 1 naissance sur 10 à 20 millions dans le monde. Elle est causée par une mutation du gène LMNA et induit la production et l’accumulation dans le noyau cellulaire d’une protéine toxique, la progérine. Celle-ci induit des dysfonctionnements cellulaires graves (cassures de l’ADN non réparées, défauts de prolifération et différenciation cellulaire, …). Toutes les cellules du corps sont touchées sauf curieusement les neurones. L’évolution est toujours fatale et le décès survient généralement autour de l’âge de 13 ans.

 

https://www.sciencesetavenir.fr/

Réchauffement climatique : des généticiens préparent une vache qui résistera aux climats plus chauds


Il est certain que nous allons devoir vivre avec les changements climatiques, mais ce n’est pas une raison pour autant, de baisser les efforts. Est-ce que jouer avec la génétique des vaches pour qu’elles puissent affronter des températures plus chaudes seraient une bonne idée ?
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Réchauffement climatique : des généticiens préparent une vache qui résistera aux climats plus chauds

 

Marie-Céline Jacquier
Journaliste

 

Des chercheurs de l’université de Floride ont reçu une bourse fédérale de 733.000 dollars pour mettre au point une vache génétiquement modifiée qui pourra s’adapter au réchauffement climatique. L’objectif est de conserver la qualité de la viande malgré les températures qui s’annoncent de plus en plus élevées dans l’avenir.

Et si au lieu de lutter contre le changement climatique, nous l’acceptions et cherchions des solutions pour vivre avec ? Ce raisonnement, des chercheurs américains ont décidé de le mettre en pratique en essayant de mettre au point des vaches génétiquement modifiées qui pourront résister au réchauffement climatique.

Plus de la moitié du bétail dans le monde vit déjà dans des environnements chauds et humides. Aux États-Unis, cela concerne 40 % des vaches, d’après Raluca Mateescu, qui travaille sur ce projet à l’UF/IFAS (University of Florida Institute of Food and Agricultural Sciences). La première étape de cette recherche consiste donc à étudier celles qui supportent le mieux la chaleur, ce qui est le cas de la Brangus, un croisement entre les races Angus et Brahmane.

Produire une viande de qualité malgré un climat chaud

Les chercheurs espèrent trouver comment la vache Brangus contrôle sa température corporelle pour vivre dans des climats chauds. Lorsqu’ils auront identifié des variants génétiques intéressants, ils pourront utiliser un outil d’édition génomique (CRISPR) pour transmettre cette propriété à d’autres races. Rappelons que CRISPR a déjà permis de créer des vaches transgéniques résistantes à la tuberculose.

Rachel Mateescu a expliqué à Digital Trends : « Le stress thermique est un des principaux facteurs limitant la production de protéines animales et affecte négativement la santé et le bien-être des bovins dans les régions subtropicales et tropicales, et son impact devrait augmenter considérablement en raison du changement climatique. D’où la nécessité de trouver des moyens de faire face au stress thermique pour améliorer la productivité de l’industrie du bétail des États-Unis et sécuriser les approvisionnements alimentaires mondiaux. »

http://www.futura-sciences.com

La fillette souffre d’une maladie rare et ne peut pas brosser ses cheveux – les gens adorent son style Trollz


Généralement, une maladie génétique a un effet sur la santé, alors que cette fois-ci, c’est un syndrome qui ne s’attaque qu’aux cheveux. Des cheveux qui sont impossibles à peigner, et sont toujours en bataille
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La fillette souffre d’une maladie rare et ne peut pas brosser ses cheveux – les gens adorent son style Trollz

 

Lorsqu’on vous annonce malheureusement que votre enfant souffre d’une pathologie génétique, on craint souvent le pire. Il existe des maladies particulièrement déroutantes. Phoebe Braswell a 21 mois et ses parents ont été très étonnés en découvrant que leur fillette faisait partie des 100 personnes recensées dans le monde à avoir une particularité très étrange.

Heureusement, sa santé n’est pas en jeu mais tout le monde est très étonné en découvrant l’effet que produit cette condition génétique. La petite souffre du syndrome des cheveux incoiffables. Il s’agit d’une maladie génétique incurable extrêmement rare.

Sa maman Jamie est une apprentie infirmière de 27 ans. Les gens ont tendance à l’accuser de négligence en découvrant la chevelure en bataille. Pourtant, c’est totalement impossible de faire quoi que ce soit avec ses cheveux.

Le nom de cette pathologie est Pili trianguli et canaliculi. Les scientifiques ont réussi à en déterminer la cause il y a peu de temps. Ce serait la mutation récessive de 3 gènes, impliqués dans la formation des cheveux, qui entraînerait cette maladie. Ce n’est encore une fois pas une maladie grave.

SWNS

SWNS

Comme l’indique le Dr Alexander Navarini dans Sciences et Avenir:

« Les cheveux deviennent progressivement blond argenté ou couleur paille, secs et désordonnés, se dressent sur le cuir chevelu, poussent dans tous les sens et ne peuvent être aplatis ».

Jusqu’à la puberté, l’effet est très visible puis cela s’estompe. Jamie adore le look très original et unique de sa fille. Elle trouve qu’elle ressemble à un Trollz et c’est (heureusement) le dessin animé préféré de la petite.

SWNS

SWNS

Elle a tout essayé pour dompter cette chevelure mais rien n’y fait, aucun produit. Les cheveux se dressent sur la tête de la petite, en bataille, et il est impossible de la coiffer. Elle ne peut même pas lui faire une queue de cheval car cela l’a fait souffrir.

Phoebe garde autant que possible son bandeau à cheveux qui ne lui fait pas trop mal. A 3 mois, ses cheveux indiquaient déjà qu’elle était atteinte de cet étrange syndrome. Tout le monde pensait pourtant qu’elle allait juste avoir beaucoup de cheveux. C’est un peu par hasard qu’on lui a diagnostiqué ce syndrome des cheveux incoiffables.

SWNS

SWNS

Ce qui effraie le plus la famille ce sont les regards des autres et surtout des enfants lorsque Phoebe va entrer à l’école. Phoebe elle le vit très bien. On la surnomme Poppy car c’est son Trollz préféré, celui aux cheveux roses. Elle va même avoir une fête d’anniversaire sur ce thème pour ses 2 ans!

Heureusement que sa santé n’est pas en jeu. La nature est parfois très étrange mais aussi très originale. Espérons que la chevelure de Phoebe soit admirée plutôt que critiquée car elle est unique! .

http://incroyable.co/

Après un cas d’infection, les autorités américaines déclarent qu’il ne faut pas manger son placenta


Manger du placenta humain, j’aurais l’impression de devenir cannibale. Les animaux le font, mais une maman humaine ? Il n’y a pas de preuves scientifiques sur les effets positifs de manger le placenta, et il ne semble pas avoir de norme spécifique pour éviter les bactéries
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Après un cas d’infection, les autorités américaines déclarent qu’il ne faut pas manger son placenta

 

PLACENTA | MATTHEW SHEALES via Flickr CC License by

PLACENTA | MATTHEW SHEALES via Flickr CC License by

Repéré par Claire Levenson

Repéré sur The Daily Beast

Aux Etats-Unis, un nourrisson a été hospitalisé pour une infection causée par les gélules de placenta ingérée par sa mère.

Selon les blogs d’accouchement naturel et plusieurs célébrités américaines, manger son placenta (en gélule, soupe ou milkshake) est un moyen formidable d’éviter la dépression post-partum et d’augmenter sa production de lait maternel.

Mais un cas d’infection rapportée par les autorités sanitaires américaines pourrait rendre difficile de défendre cette pratique. Dans l’Oregon, un nourrisson a contracté une infection respiratoire et a dû être hospitalisé car les gélules de placenta prises par sa mère étaient contaminées par des bactéries. La mère a transmise ses bactéries au bébé en l’allaitant. Les docteurs lui ont demandé de cesser de prendre les gélules de placenta déshydraté et le nourrisson a été guéri grâce à des antibiotiques.

«Le processus de mise en capsule du placenta n’éradique pas les pathogènes infectieux, donc l’ingestion de capsules de placenta doit être évitée» ont conclu les chercheurs du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC).

Selon The Daily Beast, ce rapport est probablement l’évaluation officielle la plus critique de la consommation de placenta, depuis que cette pratique est devenue tendance il y a environ dix ans.

Un des problèmes est qu’il n’existe pas de normes officielles en ce qui concerne le traitement du placenta pour consommation. La seule indication est de chauffer les tissus à plus de 54 degrés pour deux heures afin de réduire les bactéries de samonellose.

Plusieurs entreprises proposent des formations pour être certifié en préparation de placenta, mais le secteur n’est absolument pas régulé.

Pour l’instant, aucune étude scientifique n’a montré que la consommation de placenta était bénéfique (ou dangereuse). Une étude publiée l’année dernière avait montré que les gélules de placenta ne donnaient pas plus de fer aux mères qu’un placeo de boeuf.

Une autre étude avait montré un effet anti-douleur de la consommation de placenta, mais seulement lorsque les tissus étaient consommés juste après l’accouchement.

http://www.slate.fr/