Les problèmes


Il est vrai qu’on donne beaucoup d’importance à certains problèmes et souvent, cela n’aide pas nécessairement à les résoudre. Souvent, il faut les mettre de côté pour les résoudre ou voir qu’en fin du compte, qu’ils ne valaient pas la peine d’en faire tout un plat
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Les problèmes

 

Les problèmes ont l’importance qu’on leur donne

Inconnu

Le Saviez-Vous ► La diaspora québécoise ou l’incroyable histoire des Tremblay d’Amérique


Qu’on en commun Hilary Clinton, Angélina Jolie, Madona, Tiger Wood, Tom Landry, ils ont tous des racines au Québec que ce soit par leur naissance ou parents. Au Québec, on sait que la poutine, le Cirque du Soleil, certaines recherches scientifiques ont la côte en Amérique, et même ailleurs dans le monde. Pourtant, peu savent que dans divers domaines que ce soit artistique, politique, sportif nous ne savons pas grande chose .. Il m’arrive parfois de faire des recherches sur des personnes vues a la télé surtout sur le côté américains et il est surprenant de voir que beaucoup ont un lien de parenté ou sont carrément né dans notre province
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La diaspora québécoise ou l’incroyable histoire des Tremblay d’Amérique

 

Jacques Noël

 

« Chaque Québécois devrait savoir qu’une partie importante de son histoire s’est déroulée ailleurs sur le continent, voire au milieu du Kansas.» (Dean Louder)

La reine de la pop s’appelle Madonna en mémoire de sa mère, Madonna Fortin; c’est assez connu (chez les Fortin d’Amérique du moins…).

Le père de la Beat Generation parlait joual, sa langue maternelle, celle de ses parents nés dans le Bas-Saint-Laurent. C’est assez connu (et pas seulement chez les Kirouac d’Amérique…).

Mais qui sait que la plus belle femme au monde (2009) s’appelle Angelina en mémoire de son arrière-grand-mère, Angélina Leduc, née à Sainte-Anne-de-la-Pérade? Que le père des Grammys  est né à Valleyfield? Le père de la «Kalachnikov américaine», à St-Rémi-de-Napierville? La reine du burlesque, dans les Cantons de l’Est?

Combien de fois avons-nous entendu parler des Prix Nobel juifs? Des sprinteurs jamaïcains? Des chefs français? Des peintres hollandais? Des designers italiens? Des musiciens allemands? Des écrivains russes? Des joueurs de soccer brésiliens? Des hommes d’affaires américains?

Mais rarement des célébrités québécoises. Notre petit peuple sans nom (on le change à chaque génération!), et sans histoire(s) ajouterait Durham, a produit toute une gamme d’artistes, d’écrivains, de sportifs, de pionniers, de politiciens, de découvreurs et de patenteux de génie sur ce continent qui l’a enfanté. La diaspora de ce peuple sans nom (appelons-le Les Tremblay d’Amérique du nom de la plus grosse famille) est d’une richesse et d’une variété inouïes. Mais inconnue et surtout ignorée des Québécois, pourtant si ouverts sur le monde, mais pas sur leur monde!

Le père du golf américain -l’ancêtre de Tiger Wood- s’appelait Ouimet; sa famille venait de Terrebonne. Disney a fait un film sur son histoire en 2005.

La mère des cowboys gays de Brokeback Mountain s’appelle Proulx. Hollywood a fait un film qui fait encore jaser (parlez-en à Dédé Boisclair…)

L’un des plus influents journalistes américains s’appelle Dionne. Il prie en français avec ses enfants. Et l’un des plus brillants caricaturistes au monde s’appelle Trudeau, cousin lointain de notre poteux de Papineau.

Le meilleur écrivain voyageur au monde s’appelle Theroux. Et parle français aussi.

Le génie derrière l’élection du premier président noir est un Plouffe et le recordman de la course à la présidence américaine est un Larouche. Huit fois mon père!

Napoléon Lajoie détient le record de la plus haute moyenne au bâton de l’histoire du baseball: .426 Rodger! Sa famille venait de Saint-Pie-de-Bagot.

Tom Landry est considéré comme l’un des plus grands coachs de l’histoire de la NFL. C’est un descendant d’Acadiens, qui sont passés par le Québec et l’Illinois, avant d’atterrir au Texas.

La liste est longue, le parcours de notre diaspora impressionnant. Elle brille dans les arts, les sports, la science, la politique, l’économie. Pourtant, elle est à peu près inconnue des Québécois. Elle est surtout absente de notre univers socio-politico-culturel, centré sur le «Nous» de la Vallée du Saint-Laurent. Exit l’autre moitié de notre «Nous» familial, exit quatre siècles d’histoire commune.

L’histoire des mastectomies d’Angelina Jolie est fort éloquente et témoigne de l’absence totale de la diaspora dans notre représentation collective. On a rappelé, des jours durant, la mort de sa mère, Marcheline Bertrand, terrassée prématurément par un cancer des ovaires. Mais on est complètement passé à côté de ses origines québécoises. De la famille Bertrand, originaire de St-Jacques-de-Montcalm. De sa grand-mère Leduc, de Sainte-Anne-de-la-Pérade.

Liza Minelli est en spectacle à Montréal. On lui parle de tout sauf de sa grand-mère, Émilie Odile Lebeau, fille de Flavien Charles Lalouette dit Lebeau, originaire de St-Benoît des Deux-Montagnes.


Hillary Clinton fait une conférence à Montréal. Pas un mot sur ses ancêtres Nicolas Godé et Françoise Gadois, première famille montréalaise mon Rozon.

Certes, la réussite des Québécois à l’étranger, de la Croisette au Red Carpet, est largement médiatisée (et parfois passablement gonflée par nos Herby en herbes…). C’est même devenu notre carte de visite à l’étranger, notre grande fierté. Céline, c’est NOTRE Céline. Le Cirque, c’est NOTRE cirque (avant la vente aux Ricains). Et la poutine -en pleine expansion dans les snacks branchés de la planète- NOTRE poutine évidemment. Mais la diaspora? La diaspora des Tremblay d’Amérique? Cette immense diaspora que notre peuple a produite sur ce continent, et même au-delà? Rien. Nada. Nothing. Niente. Elle n’existe tout simplement pas dans notre représentation collective.

Comme les Juifs, les Grecs, les Chinois, les Italiens et les Irlandais, notre histoire a façonné une immense diaspora de quelque 13 millions de personnes en Amérique du Nord et même au-delà. Cette diaspora atteint aujourd’hui les plus hauts sommets de la réussite dans le monde des arts, des sports et de la politique. Hélas nous en sommes coupés.

Jacques Noël est l’auteur du livre La Diaspora québécoise (Édition GID).

http://quebec.huffingtonpost.ca/

En Thaïlande, engouement pour des gâteaux en forme de crotte


Je peux comprendre que l’on veuille quelque chose de différent, mais de là à faire des étrons, je trouve cela exagéré
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En Thaïlande, engouement pour des gâteaux en forme de crotte

 

En Thaïlande, une pâtissière suscite un certain engouement avec ses gâteaux en forme de crotte de chien, qui lui valent de passer au journal télévisé.

« C’est bizarre, personne d’autre ne fait des gâteaux en forme de crotte. Les gens aiment ça », assure Wilaiwan Mee-Nguen, recevant l’AFP dans sa petite cuisine, au-rez-de-chaussée de sa maison d’un faubourg de Bangkok.

 

Les réseaux sociaux ont été le terreau de sa gloire, les internautes partageant les images de ses gâteaux en forme d’étron, très réalistes.

« Il y a des gens qui aiment et d’autres qui n’aiment pas », explique-t-elle, philosophe, révélant les secrets de la recette de sa pâte, à base de gélatine et de lait de coco.

L’AFP a testé et noté la texture gélatineuse très réaliste de la pâtisserie, sans doute moins surprenante pour un palais asiatique, habitué aux desserts gélatineux étranges.

Wilaiwan, employée de bureau de 30 ans qui commercialisait jusqu’ici ses gâteaux via internet en toute discrétion, se dit avoir été la première surprise par cette soudaine popularité. Depuis, plusieurs télévisions thaïlandaises l’ont interviewée, ainsi que des médias étrangers, notamment japonais.

« Je suis surprise parce que je fais ça en plus de mon travail principal. Je passe mes week-ends et mon temps libre à faire des formes bizarres que personne n’a vu avant », explique-t-elle, tout en démoulant sa dernière fournée de gâteaux.

« D’habitude ce sont des formes de fleurs, alors les Thaïlandais trouvent ça rigolo », ajoute-t-elle.

Tout a commencé il y a quelques mois par une requête d’un client « qui voulait un gâteau avec une forme inhabituelle ». La pâtissière a commencé par trouver un moule de chien, avant d’ajouter à sa panoplie un moule en forme d’étron.

Elle assure en vendre un millier par mois en moyenne, 25 bahts pièce (près de 1 $ canadien), sous la marque « Wilaiwan ».

Si la vidéo n’apparait pas aller directement sur le site Youtube

http://quebec.huffingtonpost.ca

Crèmes solaires : les meilleures et les pires selon « 60 Millions »


Qu’est-ce que je trouve odieux se sont des produits qui est vendu spécialement pour les enfants, mais qui pourraient être dangereux eux. En matière de crème solaire, c’est important de protéger la peau de nos enfants, car le cancer de la peau est surtout une conséquence des coups soleil à l’enfance. A noter qu’une bonne crème solaire peut-être utilisé autant par les enfants que les adultes, il n’est donc pas besoin d’acheter une crème pour enfants et une autre pour adulte
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Crèmes solaires : les meilleures et les pires selon « 60 Millions »

 

 

Le magazine 60 Millions de consommateurs de l’Institut national français de la consommation a évalué l’efficacité de la protection et la toxicité potentielle de 10 crèmes solaires pour adultes et 9 pour enfants.

La marque Avène (Eau thermale) arrive largement en tête, avec une note de 18/20 chez les enfants comme chez les adultes.

Parmi les produits pour enfants, deux produits sont épinglés :

  • Lancaster wet skin sun for kids (9,5/20) contient de l’ethylhexyl methoxycinnamate. La présence de ce filtre UV, considéré comme un perturbateur endocrinien potentiel, « est particulièrement inacceptable> » dans un produit destiné aux enfants, estime le magazine.

  • Le spray hydratant bio Lovea Kids (6,5/20) affiche un indice qui correspond à la catégorie haute protection alors qu’il devrait être classé à faible protection.

Les crèmes solaires pour enfants n’apportent pas plus de garanties en matière de protection et de composition que les autres, précise le magazine. Pourtant, elles coûtent souvent plus cher. Toute la famille peut donc utiliser la même crème solaire.

Des crèmes pour enfants contiennent des filtres solaires qui sont perturbateurs endocriniens potentiels mais aussi des ingrédients susceptibles de provoquer des allergies au soleil (un comble pour une crème solaire !) ou des molécules parfumantes elles aussi potentiellement allergisantes.

Parmi les produits pour adultes, quatre crèmes n’obtiennent pas la moyenne :

  • Bioderma photoderm MAX brume solaire,

  • Lancaster wet skin sun sport,

  • Garnier Ambre solaire sensitive expert+ brume sèche protectrice

  • Clarins spray solaire lait fluide sécurité.

    Les trois premiers contiennent des perturbateurs endocriniens potentiels et le quatrième affiche un indice qui correspond à une « très haute protection » alors qu’il est à la limite de la catégorie « haute protection ».

C’est le niveau de protection solaire qui doit guider le choix, souligne « 60 Millions ». Pour les enfants – comme pour les personnes à la peau et aux cheveux clairs, qui ne bronzent pas et qui prennent facilement des coups de soleil –, il faudra opter pour un produit haute ou très haute protection.

Le magazine rappelle aussi que la meilleure protection solaire reste celle conférée par les vêtements.

Crèmes solaires pour enfants : plainte pour tromperie contre 5 fabricants (UFC-Que Choisir, 2016)

Pour plus d’informations sur les crèmes solaires, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : 60 Millions de consommateurs, Doctissimo.

http://www.psychomedia.qc.ca

Impossible d’être interdit de Facebook, selon la justice


S’il est impossible d’interdire les pédophiles d’utiliser Internet alors le travail des policiers pour détecter les prédateurs possibles sera surement plus difficile à gérer. Je trouve odieux que ces détraqués sexuels utilisent la liberté d’expression alors que la sécurité des enfants est beaucoup plus importe que leur petite personne
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Impossible d’être interdit de Facebook, selon la justice

 

© reuters.

La Cour suprême des Etats-Unis a jugé lundi qu’il n’était pas possible d’interdire aux délinquants sexuels d’utiliser les réseaux sociaux.

Dans une décision prise à l’unanimité, la haute cour a jugé illégale une loi très répressive de l’Etat de la Caroline de Nord, qui prohibe aux personnes ayant un certain casier judiciaire d’utiliser Facebook ou Twitter.

Récidive Facebook

Cette affaire concernait un certain Lester Packingham, un ancien délinquant sexuel qui avait écrit un message anodin sur son compte Facebook, huit ans après les faits ayant valu sa condamnation. Cela lui avait valu une autre condamnation, pour « crime » d’utilisation de Facebook. Le condamné avait fait appel en affirmant que la loi de Caroline du Nord violait sa liberté d’expression.

Long combat judicaire

Dans son long combat judiciaire de six ans, M. Packingham a rassemblé le soutien aussi bien d’associations luttant contre les restrictions d’internet que de conservateurs libertaires. En face, la Louisiane et douze autres Etats américains avaient apporté leur appui à la Caroline du Nord, en affirmant qu’il était prioritaire d’empêcher les « prédateurs sexuels » de collecter des informations sur d’éventuelles victimes.

http://www.7sur7.be

Percée dans le traitement du syndrome du côlon irritable


Ceux qui souffrent du syndrome du côlon irritable, c’est-à-dire la maladie de Crohn ont maintenant un nouveau médicament qui semble atténuer les douleurs abdominales ainsi que les diarrhées
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Percée dans le traitement du syndrome du côlon irritable

 

Le syndrome du côlon irritable se manifeste essentiellement... (Photo Thinkstock)

Le syndrome du côlon irritable se manifeste essentiellement par des douleurs abdominales chroniques, des ballonnements et des urgences fécales.

PHOTO THINKSTOCK

 

JEAN SIAG
La Presse

Bonne nouvelle pour les personnes qui souffrent du syndrome du côlon irritable (SCI). Santé Canada vient d’approuver un nouveau médicament, le Viberzi, qui soulagerait les symptômes à la fois de douleurs abdominales et de diarrhées.

La nouvelle est importante quand on sait que le syndrome du côlon irritable (SCI) touche entre 4 et 6 millions de Canadiens, soit environ 12 % de la population.

Ce trouble du fonctionnement gastro-intestinal, que l’on qualifie souvent «d’hypersensibilité intestinale», se manifeste essentiellement par des douleurs abdominales chroniques, des ballonnements et des urgences fécales, mais à l’examen, il n’y a aucune anomalie ou inflammation – contrairement aux maladies inflammatoires intestinales (MII) comme la maladie de Crohn ou la colite ulcéreuse.

Pour diagnostiquer un SCI, le Dr Marc Bradette, gastroentérologue à l’Hôtel-Dieu de Québec, explique qu’il doit y avoir un inconfort ou une douleur abdominale au moins trois jours par mois dans les trois derniers mois.

«Cette douleur est habituellement soulagée en allant à la selle, détaille-t-il. Le tiers sera constipé, le tiers alternera entre diarrhées et constipation, et le dernier tiers aura tendance à avoir des diarrhées.»

C’est ce dernier groupe, baptisé SCI-D, qui pourrait aujourd’hui bénéficier du traitement au Viberzi que Santé Canada vient d’approuver.

Moins de douleurs

«La nouveauté est qu’il atténue à la fois les symptômes de douleurs abdominales et de diarrhées, insiste le Dr Bradette. Jusqu’à présent, les personnes atteintes d’un SCI avec diarrhées pouvaient soulager leurs symptômes en prenant de l’Immodium, mais bien souvent leurs douleurs abdominales augmentaient. Ce qui est contre-productif puisqu’ils viennent d’abord nous voir à cause de la douleur.»

Évidemment, ces symptômes désagréables ont des répercussions importantes sur la vie sociale et professionnelle de ces personnes qui hésitent à s’éloigner de chez elles.

Le Viberzi, disponible au Québec depuis trois mois, agirait sur les récepteurs opioïdes de l’intestin en modulant le récepteur de la douleur, en ralentissant le transit et les sécrétions du côlon, ce qui diminuerait le risque de constipation, résume le Dr Bradette.

Une très bonne nouvelle, selon lui, puisqu’il ne pouvait pas grand-chose pour ses patients aux prises avec un SCI-D.

L’approbation du Viberzi repose sur les résultats d’essais cliniques menés auprès de 2425 adultes provenant du Canada, des États-Unis et du Royaume-Uni.

«Les études publiées dans le New England Journal of Medicine ont été bien faites, constate le Dr Bradette. Lorsqu’on regarde l’amélioration de la douleur abdominale et de la diarrhée, 50 % des personnes ont bien répondu au traitement, alors que le groupe placebo était à 25 %, ce qui est quand même bien. Il ne faut pas oublier que nous sommes dans ce qu’on appelle les troubles digestifs fonctionnels pour lesquels nous n’avons pas de traitements miracles.»

Pas pour tout le monde

Les personnes atteintes de MII pourraient-elles bénéficier de ce traitement pour soulager leurs symptômes de diarrhées et de douleurs abdominales?

«Le Viberzi n’a pas été fait pour soulager des diarrhées seules. Pour cela, l’Immodium sera plus efficace, nous dit le Dr Bradette, ou le cholestyramine dans le cas de malabsorption des acides biliaires. C’est vraiment pour les gens qui ont des douleurs abdominales et des diarrhées. Par contre, 40 à 50 % des personnes qui ont des maladies inflammatoires ont aussi un syndrome du côlon irritable. Dans ces cas, ça pourrait être utile.»

Ceux qui souffrent du syndrome du côlon irritable avec constipation sont traités depuis plusieurs années avec un médicament appelé Constella, qui agit lui aussi à la fois sur la douleur et la constipation (SCI-C). Ceux qui ont un SCI avec des épisodes de diarrhées et de constipation en alternance sont les plus démunis. Ils doivent être traités en fonction de leur état du moment.

Selon Marc Bradette, le syndrome du côlon irritable devrait pouvoir être diagnostiqué en clinique, en fonction des symptômes énoncés plus haut.

«Quand j’étais étudiant, c’était un diagnostic d’exclusion, explique-t-il. Il fallait d’abord faire tous les examens à notre disposition. Quand on avait éliminé tous les autres scénarios et qu’on ne trouvait rien, on concluait à un SCI. Aujourd’hui, on s’est rendu compte que lorsqu’il n’y a ni inflammation, ni température, ni sang dans les selles et qu’il y a des douleurs abdominales trois jours par mois [soulagées par la défécation], on peut conclure que c’est un SCI.»

Quelques chiffres

Prévalence du syndrome du côlon irritable: 12,0 %

Prévalence des maladies inflammatoires: 0,6 %

Prévalence de la maladie coeliaque: 0,4 %

http://www.lapresse.ca/

Des experts publient des directives aux jeunes pour l’usage de marijuana


Le gouvernement canadien veut légaliser le cannabis au pays, cependant, des recommandations ont été déposer pour ceux qui seraient plus vulnérables. Les femmes enceintes cela va de soit. Cependant, il n’est vraiment pas certain d’après moi que les personnes atteint de santé mentale suivre les directives tout comme ceux qui prennent la route ou au travail.
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Des experts publient des directives aux jeunes pour l’usage de marijuana

 

La ministre fédérale de la Santé, Jane Philpott,... (PHOTO Ed Andrieski, ARCHIVES AP)

La ministre fédérale de la Santé, Jane Philpott, «accueille favorablement» la publication de ces directives qui, selon elle, «constituent, d’un point de vue scientifique, de l’information importante fondée sur des éléments probants pour aider les consommateurs de cannabis à réduire les risques de cette consommation».

PHOTO ED ANDRIESKI, ARCHIVES AP

 

La Presse Canadienne

L’Association médicale canadienne et des organismes de lutte aux dépendances approuvent les 10 directives élaborées par un groupe de travail pour une consommation «à moindre risque» de cannabis, qui pourrait être légalisé dès l’an prochain au Canada.

Les directives, destinées avant tout aux jeunes, ont été publiées dans la Revue américaine de santé publique. Comme première recommandation, le groupe de travail précise que l’usage de cannabis comporte des risques pour la santé, que l’on peut éviter en s’abstenant tout simplement d’en consommer; sinon, il vaut mieux attendre après l’adolescence.

On recommande par ailleurs aux femmes enceintes et à toute personne «vulnérable aux problèmes de santé mentale» d’éviter complètement le cannabis. On recommande aussi de trouver des produits de cannabis à faible risque, d’éviter les cannabinoïdes synthétiques, d’éviter de fumer du cannabis brûlé -ou du moins, d’éviter les «pratiques d’inhalation nocives» –, et de ne pas prendre de cannabis avant de conduire un véhicule motorisé ou d’utiliser une autre machine.

Ces directives ont été élaborées par la branche ontarienne de l’Initiative canadienne de recherche sur l’abus de substances, un organisme national financé par les Instituts de recherche en santé du Canada.

La ministre fédérale de la Santé, Jane Philpott, «accueille favorablement» la publication de ces directives qui, selon elle, «constituent, d’un point de vue scientifique, de l’information importante fondée sur des éléments probants pour aider les consommateurs de cannabis à réduire les risques de cette consommation».

Outre l’Association médicale canadienne, les directives sont approuvées par l’Association canadienne de santé publique, la Société médicale canadienne sur la dépendance, le Centre de toxicomanie et de santé mentale et le Centre canadien sur les dépendances et l’usage de substances. Le Conseil des médecins hygiénistes en chef apporte son «appui de principe».

Le gouvernement fédéral a déposé en avril un projet de loi qui prévoit la légalisation de la marijuana à des fins récréatives. Les libéraux espèrent que cette loi sera en vigueur d’ici juillet 2018.

http://www.lapresse.ca/