Liberté


Liberté, c’est un grand mot, mais en fait peut-on vraiment penser que la liberté est d’avoir tout ce que l’on veut, quand on sait qu’on peut brimer la liberté des autres ? Pourquoi ne pas voir la liberté d’un autre angle, notre propre liberté sur ce qui est possible et de vouloir agir en conséquence au lieu de se croiser les bras.
Nuage

 

Liberté

 

La liberté, ce n’est pas de pouvoir ce que l’on veut, mais de vouloir ce que l’on peut

Jean-Paul Sartre

La tête de ce chat qui mange une glace


Ce chat semble aimer particulièrement la crème glacée, c’est un vrai glouton et quand il fait chaud, quelque chose de froid est agréable. Cependant, on ne devrait pas donner des produits laitiers à un chat adulte qui peut occasionner des diarrhées, des vomissements et des maux d’estomac, car il peut être intolérant au lactose
Nuage

 

La tête de ce chat qui mange une glace

 

 

Le Saviez-Vous ► Combien d’humains ont vécu sur Terre ?


Peut-on vraiment savoir comment d’humain ont vécu sur la Terre ? Des démographes ont choisi une méthode semi-scientifique, car il faut admettre qu’il manque beaucoup de donnés. L’estimation en 2011 était de 108 milliards, mais ces chiffres devraient être plus hauts surtout avec les découvertes de ces derniers mois qui font reculer l’apparition de l’homme sur Terre
Nuage

 

Combien d’humains ont vécu sur Terre ?

Question de la semaine : combien d'humains ont vécu sur Terre ?

Au début du 20e siècle, la population mondiale était d’environ 1,7 milliard, selon le PRB.

© LEEMAGE / AFP

En voilà une question difficile, à bien des égards. La première de toutes : quand faire débuter l’histoire de l’humanité ? Jusqu’au 7 juin 2017, l’on pensait que notre espèce, Homo sapiens, était née en Afrique de l’Est il y a environ 200.000 ans. Mais les découvertes du site de Jebel Irhoud au Maroc font désormais reculer de 100.000 ans les origines de notre espèce !

108 milliards d’êtres humains auraient foulé la Terre

Étonnamment, un centre de recherche fournit une estimation du nombre d’hommes et de femmes qui auraient vécu sur Terre : le « Population Reference Bureau » (PRB), basé à Washington, en charge de fournir des informations sur les tendances démographiques américaines et internationales et leurs implications. Selon les chercheurs du PRB, 108 milliards d’humains ont vécu sur la Terre. Mais ce nombre, dernièrement mis à jour en 2011, reste très approximatif, comme on peut facilement l’imaginer.

« L’on ne dispose d’absolument aucune donnée démographique pour 99% de l’existence de l’humanité sur la Terre », précise le PRB.

Alors comment les démographes ont-ils procédé ? Ils ont appliqué, selon leurs propres termes, une méthode « semi-scientifique », dans la mesure où il ont dû établir des suppositions sur les populations nées avant notre ère. Ils ont raisonné par « grandes périodes », en se basant sur les estimations officielles des taux de natalité (fournies par les Nations Unies, des études, etc.) et des hypothèses là où les données manquent, c’est-à-dire dans la plupart des cas.

Leur première estimation de la population remonte à 8 000 ans avant Jésus-Christ.

« À l’aube de l’agriculture, la population du monde se situe alors aux alentours de 5 millions », expliquent-ils.

Au cours de ces huit millénaires avant Jésus-Christ, le taux de croissance est très faible – de seulement 0,0512% par an – pour arriver à environ 300 millions en l’an 1 de notre ère.

« Selon toute vraisemblance, les populations humaines des différentes régions ont augmenté ou diminué suite aux famines, aux aléas des troupeaux d’animaux, aux hostilités et aux changements de conditions atmosphériques et climatiques », avancent les chercheurs.

Et à l’époque, la vie est de très courte durée : par exemple, en France, durant l’Âge de Fer (de 1.100 à 700 avant JC), l’espérance de vie à la naissance est en moyenne de… 10 à 12 ans ! 

La mortalité infantile est très élevée, « peut-être de 500 décès de nourrissons pour 1.000 naissances, voire davantage », estiment les démographes.

 Vers l’an 1 de l’ère chrétienne, le nombre total d’êtres humains vivant sur la planète est évalué à 300 millions. Vers 1650, la population mondiale augmente probablement jusqu’à 500 millions environ, ce qui ne représente pas une forte hausse depuis plus de 1.000 ans, entre autres parce qu’en Asie occidentale puis en Europe, la peste noire sévit. Enfin, vers 1800, la population mondiale dépasse le cap du milliard de personnes et continue de s’accroître depuis, atteignant un peu près de 7,5 milliards en 2017. Les estimations du PRB sont récapitulées dans le tableau ci-dessous.

6,5 % des personnes nées sur Terre seraient toujours en vie

Première grande limite de l’exercice : les démographes n’ont pas pris en compte les naissances antérieures à 50.000 avant notre ère, faute d’informations.

 Toutefois, selon eux, cela pourrait augmenter le nombre de naissances final, « mais probablement pas de beaucoup ».

La deuxième problématique majeure qu’ils ont rencontrés est l’absence de données sur le taux de natalité avant l’époque moderne, les obligeant donc à appliquer un même taux sur une longue période : 80 naissances pour 1.000 habitants par an jusqu’à la première année de l’ère chrétienne, 60 pour 1.000 de l’an 2 à 1750, puis au-dessus de 30 pour 1.000 à l’époque moderne, et encore plus bas dans les années récentes (ce taux était de 12 pour 1.000 en France en 2015). Une méthode qui pourrait sous-estimer le nombre de naissances total, supposent les démographes.

Selon le PRB, la population actuelle représente donc 6,5% de toute celle née dans l’histoire de l’humanité.

Ce qui « démonte une bonne fois pour toutes un mythe persistant depuis les années 1970, à savoir que 75 % de toutes les personnes nées sur la Terre depuis l’histoire de l’humanité étaient en vie à ce moment-là », ajoutent les démographes.

Cette statistique, qui semble très peu vraisemblable avec un peu de réflexion, « n’était pas si facile que cela à démonter, faute de données », font-ils remarquer.

C’est désormais chose faite.

https://www.sciencesetavenir.fr/

Une mère qui exige un «docteur blanc»: pas un cas isolé


Encore en 2017, nous sommes aux prises avec le racisme à l’état pur. C’est inconcevable qu’une personne puisse agir de la sorte envers un personnel soignant à cause de sa couleur de peau. Si elle est trop stupide,, elle se tait et va ailleurs … Pas obligé d’en faire une scène
Nuage

 

Une mère qui exige un «docteur blanc»: pas un cas isolé

 

RCQC  |  Par Radio-Canada.ca

Le cas d’une mère qui ne voulait pas que son fils soit vu par un « médecin brun aux dents brunes » dans une clinique à Mississauga, en banlieue de Toronto, n’est pas unique, mais reflète un problème assez répandu, selon la présidente désignée de l’Association médicale de l’Ontario.

La Dre Nadia Alam raconte avoir vu des exemples similaires de racisme « durant mes études, ma résidence et mes années de pratique ».

«Beaucoup de médecins de minorités visibles ou qui ont un accent, ce qui suggère qu’ils sont immigrants, font face à des événements comme ça.» Dre Nadia Alam, présidente élue de l’Association médicale de l’Ontario

Certains patients demandent carrément de voir un autre docteur, citant la couleur de votre peau, raconte la Dre Alam.

« J’ai été blessée »

La Dre Mireille Norris du département de gériatrie de l’Hôpital Sunnybrook de Toronto, qui est d’origine haïtienne, dit avoir été « harcelée » et « blessée [psychologiquement] » par des patients.

«[C’est comme si certains patients sentaient] qu’ils peuvent le faire, parce que c’est un médecin de couleur, une minorité, une femme.» – Dre Mireille Norris

La Dre Norris ajoute qu’elle se « protège » maintenant, en s’assurant de toujours avoir une infirmière ou un autre employé de l’hôpital à ses côtés lorsqu’elle discute de questions délicates avec des patients.

Pour sa part, la première ministre Kathleen Wynne est « outrée » par les propos de la mère.

« Ce genre de comportement, de racisme et de haine, n’a pas sa place dans notre société », a-t-elle affirmé.

Que peuvent faire les médecins?

Selon la Dre Alam de l’Association médicale de l’Ontario, il s’agit d’une « zone grise ».

Elle explique qu’un médecin peut quitter la pièce s’il sent que sa sécurité est menacée, mais il s’expose à une plainte et la perte possible de son permis de pratique s’il refuse de soigner un patient.

« On doit admettre qu’il y a un problème, dit-elle. Les écoles de médecine et les programmes de résidence peuvent jouer un rôle [quant à l’enseignement de la façon de gérer des cas du genre]. »

Pour sa part, la Police régionale de Peel précise que son service des relations multiculturelles examine les événements. Mais aucune plainte ou accusation n’a été déposée.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Journée nationale des Autochtones: Google ajoute 3000 communautés à sa carte du Canada


Je trouve tout à fait normale que les réserves des peuples autochtones puissent être cartographiées sur la carte du Canada, de plus, je trouve important que la Journée nationale des peuples Autochtones soit fériée autant que la fête nationale des provinces que du Canada. Ils font partie du Canada autant que nous, sinon plus
Nuage

 

 

Journée nationale des Autochtones: Google ajoute 3000 communautés à sa carte du Canada

 

 

STEVE DEROY

RCQC  |  Par Radio-Canada.ca et La Presse canadienne

Plus de 3000 communautés autochtones du Canada apparaîtront désormais dans les cartes de Google Maps et de Google Earth.

Entamé il y a sept ans, le projet a pour but de rendre les peuples autochtones autonomes en leur donnant le pouvoir de contribuer à la cartographie de leurs communautés.

«Il y a énormément de peuples autochtones partout au pays, et le fait qu’ils étaient rayés de la carte de base était franchement insultant.» Steve DeRoy, cartographe et membre de la Première Nation d’Ebb and Flow, au Manitoba

Au Canada, plus de 1,4 million de personnes s’identifient comme Première Nation, Métis ou Inuits. Grâce à des données fournies par le ministère des Ressources naturelles du Canada et les membres de communautés autochtones, Google a cartographié les limites territoriales de plus de 3000 réserves au pays.

Le lancement des nouvelles cartes coïncide avec la Journée nationale des Autochtones.

 «Nous sommes chanceux d’avoir une plateforme qui est utilisée partout dans le monde et nous voulons que le Canada, et particulièrement ce qui nous rend Canadiens, y soit reflété», affirme Alexandra Hunnings, responsable des communications à Google Canada.

Le cartographe Steve DeRoy, qui est aussi membre de la Première Nation d’Ebb and Flow, au Manitoba, fait partie de l’initiative depuis sa mise sur pied. Pour lui, celle-ci représente un pas important vers la réconciliation.

«Le fait que Google rend ces cartes accessibles au monde entier, c’est fantastique», se réjouit-il.

Bientôt une «Journée nationale des peuples autochtones»

En cette Journée nationale des Autochtones, le Le gouvernement fédéral a l’intention de la rebaptiser pour en faire la Journée nationale des peuples autochtones.

Profitant mercredi de cette journée nationale, célébrée au solstice d’été depuis 1996, le premier ministre Justin Trudeau a expliqué dans un communiqué qu’

«aucune autre relation n’est plus importante pour le Canada que la relation que nous entretenons avec les peuples autochtones», soit les Premières Nations, les Inuits et la nation métisse.

Le chef de l’Assemblée des Premières Nations, Perry Bellegarde, a immédiatement apporté son soutien à cette nouvelle appellation, qui correspond davantage, selon lui, à la reconnaissance internationale des peuples autochtones. Son organisme avait d’ailleurs déjà adopté une résolution en ce sens.

M. Bellegarde croit que ce changement, petit en apparence, «constitue un pas de plus vers la reconnaissance que ces territoires sont d’abord la terre natale des nations et des cultures autochtones».

Plus tôt ce mois-ci, la députée néo-démocrate de Saskatchewan Georgina Jolibois avait déposé un projet de loi d’initiative parlementaire visant à faire de la Journée nationale des Autochtones un jour férié.

Le premier ministre Trudeau doit prendre la parole plus tard mercredi devant le 100, rue Wellington, l’ancien siège de l’ambassade américaine à Ottawa, face au parlement, qui doit devenir un édifice emblématique des peuples autochtones. Une source au sein du gouvernement indiquait plus tôt ce mois-ci que le gouvernement dévoilerait bientôt les détails du projet, après consultations avec les communautés autochtones.

L’édifice de pierre calcaire, de style Beaux-Arts classique, a été construit au début des années 1930 pour abriter l’ambassade des États-Unis. Le gouvernement canadien l’a acquis en 1997 et l’édifice était vacant depuis 1998. Il avait été désigné «édifice fédéral du patrimoine classé» en 1985.

Avec les informations de Karen Pauls, CBC News

http://quebec.huffingtonpost.ca

A la cantine, changer le nom des plats pousse les jeunes à manger des légumes


Surprenant ! Faut croire que les mots sont importants même dans l’alimentation chez les jeunes. Faudrait que j’essaie cela avec mes petites filles
Nuage

 

A la cantine, changer le nom des plats pousse les jeunes à manger des légumes

Changer le nom des plats pousse les jeunes à manger des légumes

Intituler un plat « betteraves dynamitées » au lieu de « betteraves » incite plus fortement les étudiants à s’en servir.

© VALINCO/SIPA

Lise Loumé

Spécialiste santé au pôle digital de Sciences et Avenir

Donner un nom attractif aux plats à base de légumes incite les étudiants à en consommer davantage, met en évidence une étude. Sans même toucher à la recette…

Mais pourquoi n’y avait-on pas pensé avant ? Pour inciter les étudiants à choisir davantage de carottes, haricots, betteraves aux RU – les restaurants universitaires où ils se rendent chaque midi -, il suffirait tout simplement de donner aux plats des appellations « qui font envie », met en évidence une étude réalisée par des chercheurs de l’Université Stanford et publiée dans JAMA Internal Medicine. Selon ses travaux – certes réalisés aux États-Unis et qui mériteraient d’être reproduites en France pour vérifier leur universalité – -, cette technique a permis d’augmenter de 25 % la proportion de légumes dans les assiettes des étudiants. En ne modifiant en rien la recette…

Les mentions « sans sucres ajoutés », « sources en vitamines » n’ont pas la côte

Les scientifiques ont réalisé leur expérience lors du premier trimestre universitaire de 2016. Chaque jour, ils ont alterné les intitulés des plats : pouvait être affiché le seul nom du produit (carottes, haricots), ou ce dernier pouvait être accompagné d’une mention santé restrictive (sans sucres ajoutés, light…), ou positive (riche en antioxydant, source de vitamine C…), ou encore, les étudiants pouvaient lire un intitulé considéré comme « attractif », voire surprenant (« betteraves dynamitées », « haricots crépitants », « torsades de carottes glacées au citron », « quartier de courge musquée, mêlée d’ail et gingembre »…). Parmi les 27.933 passages enregistrés au self lors de ce premier trimestre, des plats à base de légumes ont atterri dans 8.279 assiettes (ce qui illustre un certain rejet de ces aliments par les étudiants…).

Verdict de l’étude : quand les légumes portent une appellation attractive, ils sont choisis plus fréquemment (25 % plus souvent en moyenne) que lorsqu’ils sont nommés le plus simplement. Et les mentions relatives à la santé n’ont pas la côté auprès des étudiants, surtout celles restrictives ! En effet, les plats aux mentions « riche en antioxydant » ou « source de vitamine C » finissent moins souvent dans les assiettes les appellations attractives (-35%), et c’est pire quand il est écrit « sans sucre ajouté » ou « light » sur l’étiquette (-41%).

Certes, ces résultats montrent que les étudiants sont plus enclins à choisir des légumes quand leur intitulé est attractif… mais prennent-ils des proportions pus généreuses ? Oui, selon les chercheurs, qui soulignent que 23 % de légumes supplémentaires atterrissent dans les assiettes des étudiants par rapport à d’habitude. Et ces derniers finissent-ils leur assiette ? Malheureusement, cette étude ne le démontre pas, les chercheurs n’ayant pu contrôler les poubelles en détail. Mais ces derniers soulignent qu’en règle générale, les individus consomment 92% du contenu de leur assiette dans les selfs-services. Encore faut-il le prouver pour les étudiants dans les RU.

www.sciencesetavenir.fr

À 10 ans, il crée un gadget pour empêcher les enfants de mourir dans une voiture


Il a seulement 10 ans et veut travailler son prototype pour éviter que des enfants meurent de chaleur dans les voitures. Pour son âge, c’est vraiment génial, sauf que, cela pourrait déresponsabiliser les parents qui laissent leur enfant dans la voiture et se fieraient à cette invention. Cependant, cela promet pour l’avenir de ce jeune garçon
Nuage

 

À 10 ans, il crée un gadget pour empêcher les enfants de mourir dans une voiture

 

HuffPost  |  Par Zahara Hill


Quand Bishop Curry a appris que le nourrisson de six mois de ses voisins était mort dans une voiture où il faisait trop chaud, il a décidé de créer un système de secours pour éviter de tels accidents de se produire. Pas banal pour un garçon de 10 ans.

« Ça m’est un peu venu comme ça », dit-il au HuffPost à propos de cet appareil qui s’appelle l’Oasis.

L’Oasis réagirait aux températures trop élevées en émettant de l’air frais et en utilisant une antenne pour prévenir les parents et les autorités. Pour l’instant, Bishop a seulement construit un modèle 3D en argile mais son père, Bishop Curry IV, a lancé une campagne de crowdfunding sur GoFundMe en janvier dernier.

« Mes parents m’ont beaucoup aidé », dit Bishop.

Des avocats ont conseillé à la famille de prévoir un montant minimum de 20 000 dollars (18 000€) pour concevoir le prototype, et financer les frais de production et un brevet pour l’appareil.

Ils ont déjà dépassé ce montant sur GoFundMe et ont à ce jour déjà récolté 25 000$. Bishop, qui entre en classe de sixième à l’automne, a précisé à Fox News qu’en plus de ses parents, ses camarades de classe et ses amis le soutiennent totalement dans ce projet.

 « Ils veulent travailler pour moi », souligne-t-il.

Quand il sera plus grand, Bishop Curry veut que sa carrière soit centrée sur les inventions, et cela comprend une machine à remonter le temps.

http://quebec.huffingtonpost.ca/