La vie


Nous avons tous des journées difficiles, pourtant la vie continue et il y aura aussi d’autres journées sont ensoleillées
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La vie

 

 

La vie c’est comme le ciel : il y a parfois des nuages,
mais au dessus des nuages, le soleil brille toujours

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Le Saviez-Vous ► Quand les insectes aident à résoudre des crimes


Les insectes sont très utiles dans divers domaine comme par exemple, la police scientifique qui peuvent grâce aux observations d’insecte réussissent à trouver le ou les auteurs d’un crime
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Quand les insectes aident à résoudre des crimes

Un crime est commis. L’enquête débute. Souvent, on a recours au maître-chien pour tenter de localiser le ou les suspects ou, à tout le moins, pour connaître la direction prise par le(s) malfaiteur(s). Mais saviez-vous que les insectes peuvent jouer un rôle déterminant dans la solution de crimes?

Eh oui! Et ce moyen n’est pas nouveau, loin de là. C’est en Chine que, pour la première fois, les insectes ont été utilisés pour résoudre un crime commis en 1247. Un travailleur des champs avait alors été retrouvé mort, visiblement tué à coups de faux. Les autorités ont demandé que les travailleurs déposent leur outil tranchant en plein soleil. Elles ont alors remarqué que les mouches étaient très attirées par l’une d’entre elles. Et son propriétaire a avoué le meurtre.

Quelque 600 ans plus tard, la découverte du cadavre momifié d’un bébé, dans les murs d’une maison, a remis les insectes au travail. C’était en 1855. En examinant le type d’insecte présent dans le corps, le pathologiste a conclu que la mort remontait à 1848, innocentant ainsi les nouveaux propriétaires de la maison et désignant les coupables, soit ceux qui avaient vendu la résidence.

Au Canada, le meurtre de Lynn Harper, en 1958, a été élucidé grâce aux parasites présents dans son estomac. Un ado de 14 ans, Steven Truscott, a été condamné pour le viol et l’assassinat de la jeune fille alors âgée de 12 ans.

Outre les insectes qui peuvent se retrouver sur ou dans le corps de la victime, la présence de cadavres d’insectes dans un environnement précis peut également résoudre un crime. Ce fut le cas des frères Vincent soupçonnés d’avoir tué 5 personnes en Californie en 2004. Or, ces derniers affirmaient être en Ohio au moment des meurtres. Mais la présence de cadavres d’insectes sur la calandre du véhicule de location a prouvé, hors de tout doute, que les frères étaient bien dans l’Ouest américain : le type de mouche retrouvé sur le véhicule n’ayant jamais été observé dans l’Ohio.

Fascinant…

http://www.canald.com

Plusieurs Américains croient que le lait chocolaté vient de la vache brune


Chercher l’erreur !!! Si cela était des jeunes enfants, je pourrais comprendre, mais 7 %, c’est plus de 16 millions américains qui ne savent pas ou vient le lait au chocolat et il y a d’autres aliments dont ils sont complètement ignorants de leurs provenances
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Plusieurs Américains croient que le lait chocolaté vient de la vache brune

 

CHOCOLATE MILK

Les choix de nos voisins du Sud ont été remis en doute dernièrement, mais c’est maintenant leur logique qui est contestée. Pas moins de 7% d’entre eux pensent que le lait au chocolat vient des vaches brunes, selon un sondage réalisé par le National Dairy Council (Conseil national sur les produits laitiers).

Ça voudrait dire que quelque 16,4 millions d’Américains sont mal informés sur la boisson sucrée, selon un calcul du Washington Post.

Il faut dire cependant que l’étude a été réalisée en ligne et que la marge d’erreur est donc plus grande. Mais c’est loin d’être la seule preuve que les consommateurs des États-Unis ne connaissent pas grand-chose sur la provenance de leur bouffe.

Une étude réalisée dans les années 90 révélait que près d’un adulte sur cinq ignorait que les hamburger étaient faits de boeuf.

Une autre enquête menée dans une école secondaire en Californie montrait que plus de la moitié des étudiants ignoraient que les cornichons étaient en fait des concombres plus petits. Trois jeunes sur dix ne savaient pas que le fromage était fait avec du lait. Des études montrent que plus les gens habitent loin des milieux ruraux, moins ils connaissent la provenance de ce qui se trouve dans leur assiette.

Clairement, il faudrait que certains mettent la pédale douce sur les aliments ultra transformés ou les visites au restaurant.

 

http://quebec.huffingtonpost.ca/

On pourra appeler ces patates des «pommes de Lune»


La Chine va essayer de faire pousser des pommes de terre dans l’espace, sauf que cela ne sera pas sur Mars, mais sur la Lune. Ce mini jardin sera accompagné de tubercules et de vers à soie pour créer un écosystème élémentaire
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On pourra appeler ces patates des «pommes de Lune»

 

Le HuffPost  |  Par Gregory Rozieres

 

    Il y a deux ans, Matt Damon nous montrait comment faire pousser des pommes de terre sur la planète rouge, dans le film Seul sur Mars de Ridley Scott. Mais dès 2018, il se pourrait bien que des patates poussent réellement ailleurs que sur Terre. Des chercheurs chinois ont en effet annoncé qu’ils allaient tenter de cultiver le tubercule sur la Lune, rapporte la BBC.

    Pour réaliser un tel exploit, la Chine mise sur… les vers à soie. Lors d’une conférence sur l’exploration spatiale, couverte par plusieurs médias chinois, les scientifiques ont expliqué vouloir envoyer un petit cylindre de 3 kg et 18 cm à la surface de la Lune.

    Voir l'image sur Twitter

  • Dans celui-ci, des graines de pommes de terre… mais aussi des oeufs de vers à soie. Objectif: en se développant, les oeufs vont générer du dioxyde de carbone, consommé par les patates qui vont produire de l’oxygène… consommé par les oeufs.

    Avec cet écosystème élémentaire, les chercheurs espèrent réussir à cultiver des pommes de terre lunaires. L’événement devrait être filmé et retransmis en direct sur la Terre. Le mini potager devrait partir dans l’espace à bord du vaisseau Chang’e 4, qui sera lancé en 2018 et permettra surtout d’emmener un rover sur la face cachée de la Lune.

    L’objectif de l’expérience, à long terme, est d’imaginer des moyens de produire facilement des aliments pour des astronautes stationnant sur notre satellite ou sur d’autres planètes du système solaire. La Chine n’est d’ailleurs pas la seule sur le coup. Récemment, des scientifiques ont affirmé qu’il était possible de cultiver des pommes de terre dans un environnement martien.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Des chercheurs canadiens tentent de réduire les pets des vaches grâce à la génétique


Je trouve que c’est un peu exagéré de changer la nature des vaches en plus de vouloir limiter leurs flatulences, à cause des émissions de gaz. Ils veulent aussi faire des super vaches pour donner plus de lait Je crois qu’on est mieux de s’attaquer a ce que nous causons comme pollution qui ferait un net avantage que les pets de vaches
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Des chercheurs canadiens tentent de réduire les pets des vaches grâce à la génétique

 

COWS

  • HuffPost Québec  |  Par Sarah Daoust-Braun

Faire moins péter les vaches. C’est le défi en apparence bien insolite que s’est lancé une équipe de chercheurs canadiens.

Les scientifiques Filippo Miglior de l’Université de Guelph en Ontario et Paul Stothard de l’Université de l’Alberta souhaitent diminuer les flatulences de ces gros mammifères pour une raison bien noble: réduire l’empreinte écologique de l’industrie laitière.

Mine de rien, l’élevage boivin est responsable d’environ 9,5% des émissions mondiales de gaz à effet de serre selon l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture. Les pets des vaches sont chargés de méthane qui est un puissant gaz à effet de serre responsable du réchauffement climatique.

Le projet recherche, lancé en 2015 grâce à Génome Canada et qui devrait s’étaler sur 10 ans, tente de déterminer les vaches qui émettent le moins de méthane et les gènes qui sont derrières cette particularité.

Une fois les gènes identifiés, on souhaite séquencer de nouvelles bêtes «plus vertes» qui possèdent ces caractéristiques génétiques. Sur les 10 000 vaches participantes, les chercheurs ont réussi à identifier 80 gènes responsables de la faible production de méthane de l’animal, mais aussi ceux liés à sa santé et à ses besoins en nourriture, ont-ils précisé à The Wired.

«L’empreinte environnementale de l’industrie laitière diminuera aussi, en raison entre autres de la diminution des émissions de méthane, mais également parce que des animaux qui absorbent mieux les aliments produisent moins de fumier», explique-t-on dans la description du projet.

Bien entendu, l’objectif derrière tout cela est aussi économique. Les données recueillies favoriseront la sélection de «super vaches» qui permettront également aux producteurs d’augmenter leur production laitière.

Les scientifiques peuvent compter sur la collaboration de laboratoires aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Danemark, en Australie et en Suisse pour mener à bien leur projet.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Les espèces envahissantes attirées par la richesse des côtes


Des espèces animales ou végétales envahissantes partout dans le monde et qui a des impacts négatifs à l’écosystème des régions. L’être humain en est le plus grand responsable inconsciemment ou non, soit par le transport, l’importation, etc.
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Les espèces envahissantes attirées par la richesse des côtes

 

La côte californienne, le nord de l'Australie, l'Europe,... (Photo archives AFP)

La côte californienne, le nord de l’Australie, l’Europe, notamment la France pour les amphibiens et l’Allemagne pour les araignées (sur la photo), voient l’arrivée de nombreuses espèces importées.

PHOTO ARCHIVES AFP

 

MARLOWE HOOD
Agence France-Presse
Paris

Pythons en Floride ou rats à Hawaï… Les espèces envahissantes, qui bouleversent les écosystèmes, se développent d’abord dans les zones à forte concentration humaine, en particulier les îles, les régions côtières et les régions les plus riches, révèle une étude parue lundi.

Selon ce tout premier recensement mondial, les principales concentrations d’espèces envahissantes se trouvent à Hawaï, dans l’ile du nord de la Nouvelle-Zélande et dans les petites îles de la Sonde en Indonésie.

L’archipel hawaïen accueille un très grand nombre d’espèces intrusives longtemps inconnues: rats, porcs sauvages... Au milieu du Pacifique, les plantes locales y sont évincées par le morella faya, un arbuste à croissance rapide de Macaronésie, et les moustiques, arrivés au 19e siècle, ont décimé la moitié des oiseaux tropicaux endémiques.

La Floride est la région continentale la plus menacée au monde par des centaines d’espèces importées: silures grenouilles (poisson prédateur capable de résister des heures hors de l’eau), iguanes géants, pythons ou escargots géants africains vecteurs de parasites pouvant transmettre la méningite.

La côte californienne, le nord de l’Australie, l’Europe (notamment la France pour les amphibiens, l’Allemagne pour les araignées, le Royaume-Uni pour certaines plantes, l’Italie pour les poissons d’eau douce) ne sont pas en reste.

Dans les bateaux

La carte mondiale produite par les chercheurs de l’université de Durham (Royaume-Uni), met nettement en évidence le rôle de l’Homme dans cette prolifération.

«Nous montrons que les régions à forte densité de population, et aussi les régions plus riches, ont plus d’espèces intrusives», indique à l’AFP le biologiste Wayne Dawson, auteur principal de cette étude parue dans Nature Ecology and Evolution.

Tous ces nouveaux venus ne sont pas nocifs. Mais ceux qui le sont contribuent largement au déclin de la vie sauvage actuellement en cours dans le monde.

Par exemple, les forêts de l’île de Guam sont aujourd’hui réduites au silence, après avoir en 50 ans perdu leurs oiseaux, dévorés par un serpent nocturne, boiga irregularis, dit le «serpent brun arboricole».

La carpe asiatique désormais domine les rivières américaines, et l’écureuil gris d’Amérique du Nord a remplacé le petit roux dans les parcs londoniens.

La plupart de ces espèces arrivent sur leurs nouveaux territoires en profitant des déplacements humains.

Parfois c’est à dessein.

Ainsi des propriétaires terriens à Hawaï ont à une certaine époque importé des mangoustes pour lutter contre les rats infestant les champs de canne à sucre. Sauf que les rats sont des animaux nocturnes, et ils ont continué à prospérer, tandis que les diurnes mangoustes se sont rabattues sur les oiseaux locaux.

Plus souvent, les espèces envahissantes empruntent les cales des cargos.

Comme le frelon asiatique, arrivé en Europe il y a une douzaine d’années dans une cargaison de poteries chinoises.

Les eaux de ballast destinées à équilibrer les bateaux lors du chargement et du déchargement du fret, sont aussi un vecteur important pour les passagers clandestins, poissons mais également bactéries et virus.

Adoptée en 2004, une Convention internationale doit finalement entrer en vigueur en septembre, qui imposera aux gros navires de traiter leurs eaux de ballast.

«Nous sommes vraisemblablement en train de créer une nouvelle Pangée», le supercontinent unique qui, il y a 335 millions d’années, connectait toutes les terres, estime M. Dawson.

«Les conséquences sont importantes: la création de communautés d’espèces nouvelles, avec des mélanges issus de partout dans le monde, des écosystèmes altérés, et l’extinction de certaines espèces».

Les impacts financiers ne sont pas négligeables. Selon une étude française publiée en 2016, les insectes envahissants font à eux seuls chaque année au moins 69 milliards d’euros (105 milliards canadiens) de dégâts dans le monde (dommages aux biens et services, en matière de santé, pertes agricoles…), un chiffre largement sous-estimé, selon les chercheurs.

http://www.lapresse.ca/