Parole d’enfant ►La première journée chaude du printemps


Le printemps a été difficile, un jour ou 2 de la chaleur et le lendemain, la fraicheur. Alors au moindre signe de beau temps, et de vêtement plus léger, on doit mettre de la crème solaire, surtout à la plus jeune qui a une peau très claire. Mlle pense que le soleil est un quelque chose d’intelligent qui peut voir des choses
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La première journée

chaude du printemps

 

 

Grand-maman raconte :

– Je vais mettre la crème solaire toute seule, mais tu vas m’aider à faire disparaître le blanc pour pas que le soleil sache que j’ai mis de la crème solaire

– Pourquoi ?


– Parce que le soleil va me brûler parce qu’il va savoir que j’ai mis de la crème solaire

Ana-Jézabelle, 5 ans / 17 mai 2017

Une famille d’oies traversant une route très fréquentée provoque l’embouteillage


Ces outardes  me font penser à une sortie scolaire quand un adulte commence à traverser pour s’assurer que les automobilistes s’arrêtent au niveau du passage au piéton alors qu’un autre adulte s’assure que tous les petits traversent tranquillement en sécurité
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Une famille d’oies traversant une route très fréquentée provoque l’embouteillage

 

Le Saviez-Vous ► Le tricot, un moyen original pour coder les messages pendant la guerre


Le tricot n’a pas toujours été une activité anodine, il a aussi été utilisé pour envoyer des messages codés lors des guerres. Ou simplement bien installée a tricoter dans des endroits ciblés pouvant écouter des brides de conversation.
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Le tricot, un moyen original pour coder les messages pendant la guerre

 

Class in a German elementary school. Most schools were segregated by gender. The term "Kriegsstricken" (knitting for war) were handwork lessons that were conducted in part during the war.  | Joe Robinson via Flickr CC License by

Class in a German elementary school. Most schools were segregated by gender. The term « Kriegsstricken » (knitting for war) were handwork lessons that were conducted in part during the war. | Joe Robinson via Flickr CC License by

Repéré par Mathilde Dumazet

Repéré sur Atlas Obscura

En France, le lien le plus récent entre tricot et espionnage remonte à il y a un peu plus de trente ans déjà. Le nom du conseiller d’État qui a enquêté sur l’affaire du Rainbow Warrior, ce navire de Greenpeace détruit par les services secrets français en 1985, causant la mort de l’un des membres de l’équipage, s’appelait Bernard Tricot. Mais si on remonte le temps, cette paire surprenante a souvent fait bon ménage.

Bien avant 1985 et avant les applications de messagerie sécurisées, les femmes espions avaient trouvé un moyen original d’encoder des messages en morse: une maille à l’endroit pour les points, une maille à l’envers pour les traits.

«Pendant les guerres, là où il y avait des tricoteuses, il y avait aussi des espionnes», raconte Natalie Zarrelli dans Atlas Obscura, au point que l’envoie d’habits à motifs tricotés a été interdit pendant les deux guerres mondiales.

Les espionnes pouvaient aussi utiliser un système de noeuds sur des fils pour crypter des informations et les envoyer ensuite aux alliés. Un système qui se rapproche finalement du code informatique binaire, fait de 0 et de 1. Certains articles se demandent même si apprendre à tricoter ne pourrait pas aider à apprendre à coder.

Tricoter, une couverture efficace

Plusieurs livres d’histoire de l’espionnage rapportent que les messages cryptés dans les tricots étaient rares mais bien réels, notamment en Angleterre, en Belgique et pendant la révolution américaine. Dans la fiction, la plus célèbre des tricoteuses est une héroïne française d’un roman de Dickens –Le Conte de deux cités. Cette madame Defarge y crypte les noms des nobles qui vont se faire guillotiner pendant la révolution française.

Pour les longs messages, en revanche, plus difficile de passer par le tricot. Natalie Zarrelli raconte qu’un article publié en octobre 1918 révélait que les Allemands tricotaient des pulls entièrement couverts de messages. Un fait peut-être «un peu exagéré». En revanche, le tricot était fréquemment utilisé comme une couverture. Des résistants comme le «réseau Alice» en ont fait leur spécialités: ils recrutaient des locaux pour surveiller les environs des gares. Des vieilles femmes passaient ainsi leur journée à intercepter des bribes de conversation aux alentours des lieux de passage… tout en tricotant.

http://www.slate.fr

Sel de table : des traces de plastique détectées


Les fibres synthétiques qui détachent des vêtements dans la machine à laver se retrouvent tôt tard dans l’eau et dans le sel marin. Il se peut fort bien que le sel que l’on emploie contiennent du plastique, mais semble-t-il que cela ne serait pas dommageable, sauf que, le plastique se retrouve aussi ailleurs de ce que nous consommons en mer
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Sel de table : des traces de plastique détectées

 

Sel de table : des traces de plastique détectées

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Selon une étude publiée dans la revue Nature, on trouverait des traces de plastique dans de nombreux stocks de sel de table. Une présence qui serait due à la pollution de la mer…

Des déchets plastiques présents dans la mer

La pollution de la mer par les déchets plastiques est une véritable préoccupation, elle empoisonne la faune aquatique et pourrait aussi finir dans notre assiette. C’est en tout cas ce que révèlent des chercheurs malais, qui expliquent dans une étude avoir trouvé des traces de plastique décomposé et de fibres synthétiques dans 17 marques de sels de tables. 5 marques françaises seraient concernées.

Mais comment est-il possible que du plastique parvienne à passer tous les filtres de purification du sel marin ? Parce qu’il s’agit de particules extrêmement fines. Selon les auteurs de ces travaux, elles proviendraient notamment des vêtements synthétiques qui perdent des fibres lors de leur passage en machine à laver. Ces fibres sont ensuite évacuées avec les eaux usées et finissent dans les égouts puis dans la mer.

Les micro-billes en plastique des produits cosmétiques en cause

Mais ce n’est pas la seule explication. Les chercheurs mettent aussi en cause les micro-billes que l’on trouve dans certains produits cosmétiques exfoliants ou dans certains dentifrices. Des micro-billes en plastique qui sont déjà soupçonnées de faire beaucoup de dégâts dans les océans. Elles sont en effet ingérées par les poissons qui s’empoisonnent petit à petit. En France, la loi Biodiversité, votée en juillet 2016, prévoit l’interdiction de ces micro-billes exfoliantes.

Cette mesure devrait entrer en application en 2018. À partir du 1er janvier 2020, ce seront les coton-tiges en plastique qui seront aussi interdits en France. Les auteurs de cette étude ont malgré tout tenu à rassurer les consommateurs : les quantités de plastique retrouvées dans le sel sont si petites qu’elles ne présentent pas de danger pour la santé. Mais quand on sait que l’on trouve des traces de plastique dans certains coquillages ou poissons sauvages, on est en droit de s’interroger sur les effets à long terme de ces déchets dans notre organisme. 

Marine Rondot

http://www.passeportsante.net

Un surfeur de Rio évite une collision avec un frigo


La dernière chose qu’un surfeur s’attend de rencontrer sur, ou entre les vagues, c’est bien un frigidaire ! Heureusement, il n’a pas été blessé. Cela démontre bien que nous devons prendre conscience que l’océan est trop souvent pris pour une poubelle
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Un surfeur de Rio évite une collision avec un frigo

 

Habitué aux émotions fortes, le Brésilien Marcus Schaefer surfe depuis 35 ans sur la splendide plage de Leblon à Rio, mais il ne s’était jusqu’ici jamais retrouvé nez à nez avec un réfrigérateur.

« J’ai déjà vu des tortues, des dauphins…. mais un frigo, c’est la première et la dernière fois j’espère », a raconté à l’AFP le surfeur, qui a filmé la scène. « C’est la chose la plus bizarre que j’ai vu flotter. »

Sur sa vidéo postée sur les réseaux sociaux jeudi, Journée mondiale des Océans, on voit un surfeur évoluer sur la crête d’une vague puissante avant d’éviter de peu une collision avec un réfrigérateur blanc de grande taille.

« Je prenais une vague avec un ami à Leblon quand on a aperçu un objet flottant un peu plus loin », poursuit Marcus Schaefer. « Petit à petit le courant l’a ramené vers nous. Et c’est là qu’on s’est rendu compte que c’était un frigo. Surréaliste ! »

La plage de Leblon, au bout de celle d’Ipanema, est l’un des spots préférés des surfeurs de Rio.

« En réalité, c’est le courant et les vagues qui l’on ramené sur la plage. C’était dangereux », ajoute le Carioca de 42 ans. « Heureusement, personne n’a été blessé ».

Il se désole de voir la baie paradisiaque polluée.

« Malheureusement, on voit des saletés tous les jours. Il y a deux canaux qui se jettent sur la plage d’Ipanema. L’eau qui en sort est immonde et en fonction des courants la plage est parfois dégoûtante ».

« Je surfe depuis tout petit et presque tous les jours, je vais tôt à la plage. Je me suis toujours soucié de ramasser les ordures que les gens laissent sur place ».

Au moins l’épisode du réfrigérateur aura-t-il eu un effet bénéfique pour le surfeur, qui espère éveiller les consciences grâce à sa vidéo.

Avec ce triste épisode, je me dis qu’il faut vraiment que je fasse quelque chose de plus sérieux. On ne peut pas compter seulement sur le gouvernement ».

Le réfrigérateur a été embarqué vendredi par les services de propreté de la municipalité de Rio, selon une deuxième vidéo du surfeur.

http://www.lepoint.fr/

La guerre aux pissenlits est une mauvaise idée


Avoir une belle pelouse devant la porte parait bien, quoique pour avoir un tapis vert naturel intact, on utilise des produits chimiques pour les mauvaises herbes donc pour les pissenlits. Sauf que les pissenlits ne sont pas si inutiles qu’on veut bien nous faire croire, autant pour le sol que pour les abeilles
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La guerre aux pissenlits est une mauvaise idée

 

Les pissenlits figurent sur la liste des fleurs les plus détestées depuis plusieurs décennies. Cette mauvaise réputation a longtemps été alimentée par les fabricants de produits chimiques destinés à les éradiquer. Pourtant, cette plante n’est pas aussi menaçante et néfaste qu’on tente de le faire croire.

« C’est en fait le marketing qui a convaincu le monde que le pissenlit n’était pas bon. Imaginez, on a créé une hantise, on fait la guerre aux fleurs. Est-ce qu’il y a des choses plus importantes aujourd’hui?… C’est quand même un peu fou! », fait valoir Edith Smeesters, biologiste et auteure.

Officiellement, cette plante est considérée comme étant nuisible selon le guide du Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et dl’Alimentation du Québec. Pourtant, mis à part le fait qu’elle est jaune et sa facilité à se propager, il est difficile de lui reprocher de nuire à l’environnement. Mme Smeesters croit au contraire que cette fleur a un impact plus positif que négatif.

« Ce sont les premières fleurs que les abeilles peuvent aller butiner alors nos pauvres abeilles, faut les aider un peu », ajoute-t-elle.

La biologiste ajoute que les pissenlits sont surtout victimes d’une mauvaise perception de la population en général. C’est aussi une valeur ajoutée sur votre pelouse.

« En fait, il vient améliorer le sol, car la racine du pissenlit est comme un pivot qui entre dans le sol. Ça va faire comme un clou qui entre profondément et qui va chercher les minéraux en profondeur et qui les ramène à la surface et quand le pissenlit meurt, ça fait une bulle d’aération donc la nature nous aide, mais on ne veut pas l’écouter… On suit des standards de beauté qui nous sont imposés » conclut-elle.

Alors, les pissenlits et vous, êtes-vous devenus des amis?

D’après un reportage de Mireille Roberge, journaliste à MétéoMédia.

https://www.meteomedia.com

Ils veulent réveiller les morts avec des cellules souches


On peut reculer la mort, mais pas la guérir ! Une société américaine ne peut tester n’importe où sa science de faire revivre une personne en mort cérébral. Ils ont essayer en Inde, mais les autorités ont arrêter le projet, alors les « scientifiques » envisage donc d’aller en Amérique latine.
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Ils veulent réveiller les morts avec des cellules souches

 

 

Marie-Céline Jacquier, journaliste

L’entreprise Bioquark envisage de mener un essai clinique très controversé d’ici la fin de l’année. Le projet vise à restaurer une activité neuronale chez des personnes en mort cérébrale à l’aide de plusieurs techniques : injection de cellules souches, stimulation nerveuse et laser.

CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Bioquark envisage un essai clinique en Amérique latine.
  • Il s’agit de redonner vie à des personnes décédées grâce à des cellules souches et des stimulations électriques.
  • Un tel essai était prévu en Inde mais a été interdit par les autorités en 2016.

Les cellules souches apparaissent de plus en plus comme une piste sérieuse pour traiter de nombreuses pathologies nerveuses : Alzheimer, Parkinson, lésions cérébrales... Alors pourquoi pas réparer le cerveau des morts pour ramener ces derniers à la vie ? Cette idée, digne d’un scénario de film de science-fiction (ou d’horreur), est le projet fou porté par une société américaine basée à Philadelphie : Bioquark.

Ce n’est pas la première fois que la société veut participer à une expérience de ce genre. En 2016, l’étude ReAnima avait été lancée en Inde, à Bangalore, avec Himanshu Bansal, un chirurgien orthopédique de l’hôpital Anupam. Son projet était de combiner plusieurs techniques pour « réanimer » 20 personnes en mort cérébrale.

ReAnima consistait à injecter aux patients des cellules souches mésenchymateuses et des peptides qui aident à régénérer les cellules du cerveau ; ces peptides devaient être fournis par l’entreprise Bioquark. En plus de ces injections, une stimulation laser transcrânienne et une stimulation nerveuse étaient prévues. Ce projet est tombé à l’eau, stoppé net par les autorités indiennes en novembre dernier, comme le révélait alors la revue Science.

Mais l’entreprise ne s’est pas avouée vaincue. Cette fois-ci, d’après le Business Insider, elle serait sur le point de trouver un nouveau lieu pour ses essais cliniques. Ira Pastor, PDG de Bioquark, a déclaré au site Stat que l’entreprise ferait l’annonce de cet essai en Amérique latine dans les prochains mois.

Le projet consiste à injecter des cellules souches pour former de nouveaux neurones qui vont se connecter et ramener le cerveau à la vie. © nobeastsofierce, Fotolia

Le projet consiste à injecter des cellules souches pour former de nouveaux neurones qui vont se connecter et ramener le cerveau à la vie. © nobeastsofierce, Fotolia

Des questions éthiques sur une expérience sans fondement scientifique

Si l’expérience suit le même protocole que celui prévu en Inde, elle pourrait inclure 20 personnes. L’essai clinique consisterait là aussi à injecter des cellules souches provenant du patient, issues de la graisse, du sang… Ensuite, un mélange de peptides serait injecté dans la moelle épinière pour favoriser la croissance des nouveaux neurones. Ce mélange, appelé BQ-A, a été testé dans des modèles animaux de mélanomes et de traumatismes crâniens. À cela s’ajouteraient une stimulation nerveuse et une thérapie laser de 15 jours pour pousser les neurones à établir des connexions nerveuses. Les chercheurs pourraient alors suivre les effets de ce traitement grâce à des électroencéphalogrammes.

Mais un tel protocole soulève de nombreuses interrogations : comment mener un essai clinique sur des personnes officiellement décédées ? Si la personne retrouve une certaine activité cérébrale, dans quel état sera-t-elle ? Donne-t-on de faux espoirs aux familles avec un traitement qui risque d’être long ?

Or, rien ne laisse penser qu’un tel protocole puisse fonctionner. L’entreprise n’a même pas testé le traitement complet sur des modèles animaux ! Les traitements évoqués, comme l’injection de cellules souches ou la stimulation transcrânienne, ont pu être testés dans d’autres situations, mais pas dans le cas de morts cérébrales. Dans un article paru en 2016, la neurologue Ariane Lewis et le spécialiste de bioéthique Arthur Caplan signalaient que l’expérience n’avait aucun fondement scientifique et qu’elle donnait aux familles un « faux et cruel espoir de rétablissement ».

http://www.futura-sciences.com