Cochons d’Inde aux pelages majestueux.


Il existe plusieurs espèces de cochon d’inde. Parmi ces races, ces animaux, n’ont rien à envier à Raiponce (conte pour enfants de Walt Disney), car ils sont bien fournis en poils. Mais avoir ce genre de cochon d’Inde demande de l’entretien et beaucoup de soin
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Cochons d’Inde aux pelages majestueux.

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Le Saviez-Vous ► Qu’est-ce que le liquide blanc qui sort de votre filet de saumon ?


Si vous êtes comme moi et aimer le saumon, vous avez peut-être tendance à enlever le liquide blanc qui s’échappe du poisson quand on le fait cuire. N’en faite rien ! Vous, vous privez de protéines
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Qu’est-ce que le liquide blanc qui sort de votre filet de saumon ?

 

Vous avez sûrement remarqué qu’après avoir cuit votre morceau de saumon, un liquide épais et blanchâtre était apparu sur votre poisson… Vous avez aussi peut-être déjà entendu que cette matière était le gras du poisson qui sortait en contact avec la chaleur. C’est faux!

Ce liquide épais et blanc est en fait une protéine appelée albumine. Ça vous dit peut-être quelque chose, c’est la principale protéine qui constitue un oeuf. Vous comprendrez donc que cette protéine est excellente pour la santé et qu’il est préférable de la manger plutôt que de l’enlever.

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La triste réalité derrière les vidéos de chiens marchant sur leurs pattes arrières


Voir des chiens marcher sur leurs deux pattes arrières tout habillés est mignon ! Pourtant, ce ne sont pas des poupées et ils ne sont pas faits pour marcher sur deux pattes. La question qu’on doit se poser : comment ils sont entrainer ? Malheureusement, il semble que nombres de chiens subissent des sévices pour leur maitre puisse épater les gens et avoir les honneurs
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La triste réalité derrière les vidéos de chiens marchant sur leurs pattes arrières

Repéré par Robin Panfili

Repéré sur BuzzFeed, The Dodo

Des chiens sont maltraités et/ou forcés à marcher sur leurs pattes arrières pour le plus grand bonheur des internautes… qui ignorent souvent tout des coulisses de ce genre de vidéos virales.

Tout commence par une vidéo amusante, presque attendrissante. On y voit un chien, vêtu d’une combinaison et d’un sac à dos, arpenter une rue en sautillant sur ses deux pattes arrière. Dans cette vidéo, postée sur Twitter le 17 mai 2017 et repartagée des dizaines de milliers de fois, on entend également une voix, en mandarin, qui lance à l’animal: «Cours moins vite, attends-moi». Le chien obéit alors et se retourne.

Et voici la vidéo en question:

Entrez la légende de la vidéo ici

À première vue, rien d’alarmant. Le chien ne semble ni malheureux, ni en mauvaise santé. Pourtant, dans les faits, c’est à peu près l’inverse. Pour un chien, marcher ainsi n’a rien de naturel. Et, comme l’explique une enquête menée par l’édition américaine de BuzzFeed News, avant de pouvoir tenir aussi longtemps sur ses jambes pour amuser la galerie, le chien en question est souvent sujet à différentes formes de sévices et de maltraitance.

Pour creuser l’histoire et le parcours de ce petit chien habillé, BuzzFeed a cherché à remonter à la source originale de la vidéo. Sur le Vine chinois, Huoshan Video, comme sur l’équivalent chinois de Twitter, Weibo, le chien, «Smol Bean» de son nom, est une petite vedette d’internet. Sur un compte prétendument officiel, on l’aperçoit dans de nombreuses vidéos, dans différentes situations, en train de marcher sur ses deux pattes arrières. Les vidéos sont ensuite chapardées, repostées, dupliquées sur une multitude de comptes.

Contenu sensible

Un succès en rappelle un autre, que l’on a tous probablement déjà oublié. Il s’agissait alors d’une vidéo, très populaire (et déjà décriée) en décembre dernier, d’un chien, habillé d’un uniforme en laine, dans un hôpital. Mais, cette fois, plusieurs internautes ont décidé de réagir et de faire la lumière sur ce qui se cache derrière ce petit exploit. Une démarche qui a permis à l’auteure de l’enquête de découvrir les dramatiques coulisses de cette vidéo virale.

Ici, par exemple, la vidéo d’un chien [CONTENU SENSIBLE] en plein «entraînement», régulièrement menacé de coups s’il tente de retomber sur ses quatre pattes:

Entrez la légende de la vidéo ici

«Smol Bean» a-t-il, lui aussi, été violenté et maltraité pour apprendre à marcher de la sorte? Aucune preuve, ni vidéo, ne l’attestent. Les vidéos d’entraînement de son propriétaire montrent seulement «Smol Bean» obéir aux ordres qui lui sont donnés avant d’être récompensé de ses efforts par une friandise. L’enquête reste toutefois utile et nécessaire pour sensibiliser un grand public qui, de prime abord, ne peut vraiment savoir ce que peuvent cacher de telles vidéos.

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Une infirmière suspectée d’avoir tué jusqu’à 60 bébés


Qu’est-ce qui peut bien se passer dans la tête d’un criminel pour tuer en série des enfants. En plus, cette femme était dans un milieu qui ne manquait pas de victime potentielle.Ce qui me turlupine comment cette femme a pu oeuvrer après tant d’années
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Une infirmière suspectée d’avoir tué jusqu’à 60 bébés

 

Une infirmière emprisonnée pour le meurtre d'un nourrisson au Texas dans les... (Photo AP)

PHOTO AP

Agence France-Presse
WASHINGTON

 

Une infirmière emprisonnée pour le meurtre d’un nourrisson au Texas dans les années 80 a été inculpée d’un deuxième meurtre et pourrait avoir tué au total jusqu’à 60 bébés, ont annoncé les autorités américaines.

Genene Jones, 66 ans, «est le mal incarné et la justice veillera à ce qu’elle réponde de ses crimes», a promis dans un communiqué publié jeudi Nico LaHood, le procureur du comté texan de Bexar.

«Notre bureau fera tout pour retrouver chaque enfant dont la vie a été prise par les actes de Jones», a-t-il ajouté.

Genene Jones purge actuellement deux peines de réclusion, de 99 et 60 ans, pour deux crimes commis en 1984 sur des bébés alors qu’elle travaillait en milieu hospitalier.

Elle avait tué une fillette de 15 mois, Chelsea McClellan, en lui administrant un décontractant musculaire. Et elle avait injecté de l’héparine, un médicament anticoagulant, à un nourrisson de quatre semaines, Rolando Santos, qui lui avait survécu.

Jeudi l’ancienne infirmière a été inculpée par un grand jury du meurtre en 1981 d’un bébé de 11 mois, Joshua Sawyer. Elle est accusée de lui avoir injecté une dose fatale d’un produit anti-épilepsie.

«Jones est suspectée d’avoir tué jusqu’à 60 bébés», a affirmé dans son communiqué le procureur LaHood.

En raison d’une loi de remise de peine en vigueur à l’époque de ses premières condamnations, l’ancienne soignante actuellement doit sortir en mars 2018 de sa prison, située entre Austin et Dallas.

Elle sera auparavant transférée dans le comté plus au sud de Bexar, où elle sera à nouveau traduite en justice. Elle encourt une autre sentence de 99 ans de réclusion.

http://www.lapresse.ca/

Enfin la preuve de la présence d’eunuques en Egypte ?


On croit avoir trouvé des preuves que des eunuques étaient présents en Égypte ancienne. Ils auraient trouvé des squelettes d’hommes qui auraient été castré avant la puberté, a moins que ce soit le syndrome de Klinefelter, ce sera les tests d’ADN qui mettra le point final
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Enfin la preuve de la présence d’eunuques en Egypte ?

 

Princesse Kawit

Bas-relief du sarcophage de la princesse Kaouit (11e dynastie), où un eunuque verse une boisson à sa maîtresse alors qu’une servante arrange ses cheveux.

COURTESY MUSÉE ÉGYPTIEN DU CAIRE

Bernadette Arnaud Spécialiste archéologie, anthropologie et histoire au magazine Sciences et Avenir

Deux rares cas d’eunuchisme d’époque post-pharaonique pourraient avoir été détectés dans le nord de l’Egypte.

Plothin, le ministre de Ptolémée XIII, le pharaon d’Egypte qui avait tenté de faire assassiner sa sœur Cléopâtre, aurait appartenu à cette caste très particulière. Mais aucun vestige archéologique d’eunuques, ces hommes victimes depuis la plus haute antiquité des mutilations sexuelles qu’était la castration (lire encadré), n’avait jusqu’alors été retrouvé. Il semble que ce soit désormais chose faite avec les analyses réalisées sur deux squelettes exhumés entre 2007 et 2013 dans le gouvernorat de Monufia, à Quesna, un site égyptien d’époque gréco-romaine (IVe siècle av.J.C- 1er. siècle ap.JC) Selon Scott Haddow*, du laboratoire Pacea, UMR 5199 de l’université de Bordeaux, Joanne Rowland de la faculté d’histoire, lettres classiques et archéologie de l’université d’Edimbourg, et Sonia Zakrzwski, du département d’archéologie de l’Université de Southampton, les ossements présenteraient des traces probables de cette mutilation.

Lors de la réunion annuelle de l’Association américaine des Anthropologues Physiques – qui s’est tenue du 19 au 22 avril 2017 à la Nouvelle-Orléans (Etats-Unis) – l’équipe a détaillé ces anomalies physiologiques décelées sur les restes de deux adolescents mis au jour parmi 151 autres dépouilles.

 » Nous avons constaté que leur stature était supérieure à la moyenne et qu’ils présentaient des signes de croissance osseuse anormale. Or, les personnes castrées avant la puberté grandissent davantage que les autres, ont des épaules et un thorax étroits mais des hanches larges, explique l’archéologue Scott Haddow à Sciences et Avenir. Toutefois cela peut être également lié à d’autres causes, en particulier des troubles génétiques qui auraient affecté le système endocrinien en entraînant l’expression de traits physiques sexuellement ambigus. »

Localisation de deux cas potentiels d’eunuchisme (en rouge), dans le cimetière gréco-romain de Quesna, dans le delta du Nil, en Egypte. ©Scott Haddow, Sonia Zakrzwski, Joanne Rowland.

Quoiqu’il en soit, l’orientation funéraire inhabituelle du premier squelette d’époque ptolémaïque (B21), tête au sud, contrairement à la centaine d’autres squelettes retrouvés sur les lieux exhumés tête au nord, évoque bien une inhumation spécifique.

Dépouille de B21, dans la nécropole de Quesna, en Egypte. © Scott Haddow, Sonia Zakrzwski, Joanne Rowland.

De même que le grand nombre d’amulettes funéraires qui lui étaient associées, indiquant clairement un traitement à part. Ce qui n’était pas le cas du second squelette (B26), d’époque romaine plus tardive, qui pourrait suggérer une meilleure insertion des eunuques dans la société du moment.

 » Il a été retrouvé dans une tombe collective de briques crues, parmi d’autres défunts, ce qui nous laisse penser qu’à la période romaine, les individus intersexués étaient mieux acceptés « , poursuit le chercheur.

Tombe commune d’époque romaine dans laquelle se trouvait B26. © Scott Haddow, Sonia Zakrzwski, Joanne Rowland.

Dans le cas de cet adolescent, il pourrait s’agir d’une castration pré-pubertaire, mais l’adolescent pouvait également présenter un syndrome de Klinefelter (la présence d’un chromosome X supplémentaire).

 » Nous ne pourrons avoir de certitudes qu’après des analyses ADN « , a tenu à préciser Scott Harrow.

Domitien (81-96) aurait été le premier empereur romain à faire interdire cette pratique.

 

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Les eunuques, des hommes castrés

Cette mutilation était soit subie, lors d’un châtiment par exemple, soit volontaire car indispensable pour exercer certains emplois, notamment dans les harems royaux et gynécées. La castration était opérée selon trois types de procédés : l’amputation du pénis seul, le retrait de l’appareil testiculaire ou l’émasculation totale. Cette mutilation a eu cours dans de nombreuses civilisations, depuis la plus haute antiquité. Les plus anciens cas signalés remontent à des textes Akkadiens de Lagash, au XXIe siècle av.J.-C,  d’autres en Assyrie, où ces personnages eurent aussi des rôles politiques importants dans les cours royales babyloniennes ou perses.

La Bible n’est pas en reste. Dans un passage de la Genèse, Putiphar est cité en tant qu’eunuque du pharaon. A la fin de la dynastie des Ming (1644), la Chine comptait près de 70 000 eunuques dans la Cité Interdite et il en restait encore 470 à la chute de la dynastie Qing, en 1912. D’une façon générale, les souverains s’assuraient ainsi que ces haut-fonctionnaires ne pourraient jamais avoir de relations sexuelles avec les épouses royales ni être tenté de prendre le pouvoir pour fonder une dynastie. Ce qui n’empêcha pas Amménémès, souverain égyptien de la XIIe dynastie, d’être assassiné par ses propres eunuques. Dans l’Empire byzantin, ceux-ci jouèrent un rôle politique majeur, en particulier à Constantinople où les eunuques (hadim) étaient responsables de l’administration des harems. Cette pratique s’est perpétuée en Occident avec les  » castrats  » : les femmes n’étant pas autorisées à chanter dans les églises, de jeunes garçons furent soumis à ces mutilations jusqu’au XVIIIe siècle. Le plus célèbre d’entre eux fut sans doute l’Italien Carlo Maria Michele Angelo Broschi, mort en 1705 et connu sous le nom de  » Farinelli « .

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*Two Potential Cases of Eunuchism from a Ptolemaic-Roman Cemetery in the Western Delta of Egypt: Differential Diagnosis and Social Implications. Scott D. Haddow, Sonia Zakrzewski, Joanne Rowland

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Les abeilles vont (un peu) mieux


Si les abeilles vont un peu mieux, cela ne veut dire que le combat contre les parasites et pesticides ainsi que les plantes qu’elles affectionnent n’est pas fini.
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Les abeilles vont (un peu) mieux

 

Les populations d'abeilles et d'autres pollinisateurs se sont... (Photo archives Associated Press)

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Les populations d’abeilles et d’autres pollinisateurs se sont effondrées depuis plus de dix ans.

PHOTO ARCHIVES ASSOCIATED PRESS

SETH BORENSTEIN
Associated Press
Washington

 

Les abeilles américaines vont un peu mieux, mais un expert prévient que la situation est simplement passée de «horrible» à «mauvaise».

Les apiculteurs ont perdu 21 % de leurs colonies l’hiver dernier, comparativement à 27 % au cours de l’hiver précédent. Il s’agit des pertes les plus modestes depuis que l’on a commencé à surveiller la situation en 2006.

La moyenne des pertes hivernales des dix dernières années est de 28,4 %. Les autorités américaines souhaitent des pertes de 15 % ou moins.

L’amélioration de la situation est attribuée à une lutte plus efficace contre le varroa, un parasite mortel.

Les populations d’abeilles et d’autres pollinisateurs se sont effondrées depuis plus de dix ans, une situation que les experts attribuent à l’impact combiné des parasites, de la maladie, des pesticides et d’une alimentation déficiente.

Les pertes annuelles des apiculteurs sont aussi moins lourdes. Environ le tiers des colonies actives en avril 2016 étaient mortes un an plus tard, comparativement à un taux de mortalité de plus de 40 % au cours de l’année précédente.

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