La paix


Quand on regarde l’histoire des civilisations, peut-on croire que la paix est possible ? Est-ce utopique ? Peut-être, mais tant que nous gardons en nous nos propres tentions, notre haine, notre jalousie, la paix est difficile à atteindre
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La paix

 

« Aucune paix n’est possible tant qu’il y a en vous des luttes, des tensions, de la peur. Comment peut-il y avoir la paix sur terre si c’est la guerre en vous ? »

Sai Maa

Le Saviez-Vous ► Les moustiques préfèrent certains groupes sanguins


Les moustiques ont tout comme nous des préférences en guise de nourriture. Ces insectes préfèrent certains groupes sanguins que d’autres. Cela ne veut pas dire qu’une catégorie de personnes ne servira pas de repas, car il y a bien sûr d’autres facteurs .. Comme par exemple, je suis du groupe A, (le groupe moins apprécié par les moustiques) comme mes enfants, mais quand j’allais en promenade avec mon plus jeune dans des lieux boisés, c’est lui que les moustiques dégustaient en plus grand nombre
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Les moustiques préfèrent certains groupes sanguins

 

 

Le saviez-vous ? Le moustique ne s’attaque pas à tous les individus de la même façon ! Certains attributs chez l’être humain permet de déterminer si oui ou non, il est bon pour le moustique : chaleur du corps… Le groupe sanguin a aussi sa part à jouer dans le choix de la prochaine victime.

Les moustiques et les groupes sanguins

Les moustiques ne s’attaquent pas à vous sans raison  : ils cherchent à se nourrir des protéines présentes dans votre sang. Si vous avez vos propres préférences pour vous alimenter en protéines, sachez qu’il en est de même pour les moustiques. Le moustique a ses petites habitudes en la matière, et elles dépendent de votre groupe sanguin !

Les moustiques préfèrent le groupe sanguin O

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Groupe O

Une étude révèle ainsi que leur préférence va vers le groupe O. Si vous faites partie de ce groupe, il y a donc de fortes chances pour que les moustiques s’attaquent à vous en priorité. Il est aussi à noter que les moustiques ne feront pas de différentiation entre deux personnes appartenant au groupe O.

Groupe A

Vous avez 2 fois moins de chances de les attirer qu’une personne appartenant au groupe O. Une personne de groupe sanguin A aura donc moins de piqûres qu’une personne appartenant au groupe O ou B.

Groupe B

Le groupe B présente un risque intermédiaire.

Comment les moustiques repèrent-ils votre groupe sanguin ? Sachez que c’est votre peau qui vous trahit : les glucides sécrétaient à travers la peau vous trahissent en agissant comme produits chimiques similaires à du sucre selon le type de peau.

Une étude à prendre avec des pincettes puisque d’autres facteurs jouent aussi dans le choix des prochaines victimes des moustiques.

 

https://www.consoglobe.com

Surexposés aux écrans, les enfants deviennent-ils autistes ?


Aujourd’hui, les enfants bien avant 5 ans savent naviguer sur You Tube et jouer a des jeux sur Internet, que ce soit sur la tablette ou le Smartphone. Il est important de gérer le temps des très jeunes enfants devant les écrans numériques pour ne pas avoir des retards de développement
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Surexposés aux écrans, les enfants deviennent-ils autistes ?

 

Mamaza/shutterstock.com

L’envahissement de notre environnement par les écrans est une réalité. Les tout-petits n’y échappent pas. Si les sociétés savantes de pédiatrie ont depuis longtemps émis des recommandations pour limiter leur exposition au numérique, des médecins des services de la Protection maternelle et infantile (PMI) en région parisienne sonnent l’alarme. Selon eux, l’exposition massive à la télévision, aux tablettes et autres smartphones provoque des dégâts considérables sur le développement des jeunes enfants.

« Au cours de 15 dernières années, nous avons observé une explosion des signalements de retards de développement chez les enfants de moins de 4 ans », indique le Dr Anne-Lise Ducanda, médecin de PMI à Grigny dans l’Essonne. « Pour les cas les plus graves, cela se manifeste par des symptômes qui ressemblent à des troubles autistiques, sans en être réellement. » 

Des petits de 2 ans qui ne répondent pas à leur prénom, des enfants qui restent dans leur bulle, un comportement obsessionnel et se jette sur le smartphone de leurs parents…

Après avoir interrogé les parents, le dénominateur commun est devenu évident pour cette professionnelle de terrain :

« une forte exposition aux écrans, souvent jusqu’à 12h par jour ».

La télévision allumée en permanence alors que le petit de 15 mois joue dans le salon, la tablette pour s’endormir, le portable pour calmer…

« Et les parents ne pensent pas mal faire », souligne le Dr Ducanda. « Nombre d’entre eux estiment même qu’il est bénéfique de préparer les enfants au monde d’aujourd’hui, au numérique. »

Or c’est là que l’erreur peut avoir de graves conséquences.

Des effets sur un cerveau en formation

« Le cerveau humain est immature à la naissance », rappelle le Pr Jean-Michel Pedespan, responsable de l’unité de neurologie pédiatrique du CHU de Bordeaux.

 C’est en interagissant avec son environnement, en 3 dimensions, et en utilisant les 5 sens, que les réseaux neuronaux se constituent.

« Les connexions vont se faire de façon lente, par étapes successives, à condition que le processus de maturation se fasse convenablement ».

Or « une exposition précoce et répétitive de stimulation visuelle est susceptible d’envahir certains circuits neuronaux qui initialement étaient voués à d’autres fonctions », poursuit-il. « Le développement se fait de façon aberrante. » Ce qui risque, à terme, de « créer une réduction de l’espace cortical disponible ». Ainsi, « des expériences trop précoces, trop intenses et inadéquates aux besoins de l’enfant peuvent perturber cette mécanique neuronale extrêmement précise et génétiquement déterminée dans son organisation qui est très subtile », ajoute-t-il.

Est-ce réversible ? Par expérience, Anne-Lise Ducanda pense que c’est le cas.

Généralement, « un mois après le sevrage de l’exposition massive, le comportement et le développement de l’enfant reviennent dans la norme », raconte-t-elle. « Sauf pour ceux qui présentent réellement un profil autistique », précise-t-elle. Le Dr Pedespan est plus mesuré. « On peut imaginer que ça puisse avoir des conséquences irréversible, mais ce n’est pas démontré », note-t-il.

Quoi qu’il en soit, « les parents veulent bien faire », assure le Dr Ducanda.

Il faut donc les informer et les aider à éloigner leurs tout-petits des écrans.

En pratique, comment les sevrer ?

« Ça le calme, ça l’occupe, il regarde tout seul sur Youtube des petits dessins animés ou fait des jeux éducatifs »…

Comment revenir, en pratique, sur ces comportements déjà bien installés dans la famille ?

« Il est difficile de modifier ces habitudes », admet le Dr Ducanda. Et ce, d’autant plus s’il y a une fratrie. « Les recommandations 3-6-9-12 sont impossibles à appliquer quand on a un enfant de 10 ans et un de 5 par exemple. »

Pourtant, les parents sont volontaires lorsqu’ils comprennent l’importance de sevrer leurs enfants des écrans.

« Il faut que ce soit une démarche familiale », note-t-elle.

Et « s’il est trop dur de le laisser regarder un peu le téléphone ou la tablette car il fait des crises quand ça s’arrête, mieux vaut ne rien donner du tout avant 5 ans », conseille-t-elle. Dans tous les cas, « il faut toujours accompagner l’enfant avant 5 ans », ajoute le Dr Pedespan.

Pour Anne-Lise Ducanda et ses collèges, « il faudrait un plan Marshall sur l’éducation, le numérique, le marketing pour prévenir les parents des risques encourus ». Sans cela, « nous aurons une génération sacrifiée », conclut-elle.

  • Source : interview du Dr Anne-Lise Ducanda, médecin en PMI dans l’Essonne, 22 mai 2017 – interview du Dr Jean-Michel Pedespan, responsable de l’unité de neurologie pédiatrique du CHU de Bordeaux, 23 mai 2017

https://destinationsante.com/

Des hackers peuvent prendre le contrôle de votre PC quand vous regardez un film


Internet, c’est intéressant, mais quand les pirates cherchent des failles pour réussir leur coup, cela devient pour certain un vrai cauchemar, maintenant, ce sont les lecteurs multimédias qui pourraient être une source de problèmes pour ceux qui regarde des films ou des séries via ordinateur, tablette ou Smart TV
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Des hackers peuvent prendre le contrôle de votre PC quand vous regardez un film

 

© thinkstock.

Une nouvelle faille qui concerne les lecteurs multimédias les plus populaires comme VLC, Popcorn Time et Stremio.

Une dizaine de jours après l’attaque informatique « sans précédent » qui a frappé des centaines de milliers de victimes à travers le monde à cause d’un logiciel de rançon, les chercheurs d’une société spécialisée dans la cybersécurité nous mettent en garde contre une nouvelle faille qui pourrait cette fois concerner des millions d’utilisateurs. Une attaque via des sous-titres téléchargés sur le web pour regarder un film ou une série.

Selon CheckPoint, des pirates informatiques peuvent prendre le contrôle d’un ordinateur, d’une tablette ou d’une Smart TV en insérant un code malveillant dans des fichers de sous-titres utilisés par des lecteurs multimédias populaires tels que VLC, Kodi, Popcorn Time ou Stremio. Avec son équipe, le chercheur Yaniv Balmas a démontré qu’il était très simple de placer un fichier de sous-titres en tête du classement sur un site comme OpenSubtitles.org afin d’encourager son téléchargement.

« Ces lecteurs multimédias, vous ne savez pas à quoi ils se connectent, ils le font automatiquement. Je ne pense pas avoir vu quelque chose de ce type auparavant… C’est dangereux », a-t-il expliqué au site Forbes.

Comme toujours, les experts conseillent aux internautes de vérifier les différentes mises à jour de leurs programes afin d’éviter les mauvaises surprises. VLC, Kodi, Popcorn Time et Stremio assurent que le problème est sous contrôle.

http://www.7sur7.be

Enquête sur le miel de Protégez-vous: des apiculteurs québécois se défendent


Le miel est un aliment le plus falsifié au monde, et bien sûr, au Québec, on s’intéresse à savoir ce que le produit est bien ce qu’on ne l’achète. Avec les tests fait par la revue Protégez-vous, des apiculteurs se sont indignés que le pot analysé contenait du sucre artificiel. Cependant, sans être falsifié, il peut que la raison était imprévisible et donc non volontaire
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Enquête sur le miel de Protégez-vous: des apiculteurs québécois se défendent

À moins d'avoir un palais extrêmement sensible, on... (Photo Olivier PontBriand, Archives La Presse)

À moins d’avoir un palais extrêmement sensible, on ne détecte pas la présence d’un sucre artificiel, en petite quantité, dans du miel naturel. Un producteur ou un transformateur malveillant peut donc être tenté de couper son miel pour réduire ses coûts.

PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, ARCHIVES LA PRESSE

STÉPHANIE BÉRUBÉ
La Presse

Protégez-vous dévoile ces jours-ci les résultats de ses tests sur le miel qui ont trouvé un taux de non-conformité très élevé, 31 %. Dans le groupe des miels qui ne passent pas le test, un miel d’été québécois qui contenait du sucre artificiel. Les apiculteurs des Cantons-de-l’Est qui le produisent répliquent : c’est strictement impossible.

« On veut nettoyer notre réputation », dit Liliane Morel, de la ferme Les Trois acres de Dunham qui compte une centaine de ruches pour une production d’environ 15 000 lb de miel.

Liliane Morel et son partenaire d’affaires et de vie Stephen Crawford veulent faire des tests sur leur miel d’été puisqu’ils ne comprennent pas du tout comment un de leur pots a pu contenir 6,5 % de sucre artificiel.

« On n’utiliserait jamais du sucre », insiste-t-elle. 

Les Trois acres a reçu l’appui du Syndicat des apiculteurs du Québec et de l’Union paysanne dans ses démarches pour clarifier la situation.

Le laboratoire mandaté par Protégez-vous a testé un seul pot pour chacun des 36 miels étudiés.

La direction de Protégez-vous conserve sa totale confiance dans les résultats publiés.

« Protégez-vous a confiance en son laboratoire, qui est hautement spécialisé dans les analyses que nous lui avons confiées. Nous avons d’autres échantillons, mais nous n’avons pas de raisons de croire que notre test serait erroné, donc nous ne prévoyons pas refaire de nouvelles analyses », a indiqué Julie Gobeil, la directrice du contenu et des communications. 

COMMENT DU SUCRE PEUT-IL SE RETROUVER DANS DU MIEL ?

Ce n’est pas un hasard si Protégez-vous s’est intéressé au miel : il s’agit d’un des aliments les plus falsifiés du monde. Car, à moins d’avoir un palais extrêmement sensible, on ne détecte pas la présence d’un sucre artificiel, en petite quantité, dans du miel naturel. Un producteur ou un transformateur malveillant peut donc être tenté de couper son miel pour réduire ses coûts.

Mais du sucre peut se retrouver dans le miel involontairement à la suite d’une mauvaise manipulation de l’apiculteur ou d’un phénomène naturel, explique le président de l’Union paysanne Benoit Girouard, apiculteur lui-même.

Les apiculteurs peuvent ajouter de l’eau sucrée dans une ruche au printemps pour donner un coup de pouce à un nucléi plus faible. Normalement, le sirop reste dans la ruche du bas, celle qui abrite la reine, et ne devrait pas être mélangé avec le miel au moment de la récolte. Mais une erreur de manipulation peut toujours arriver, note Benoit Girouard.

Cette explication ne tient toutefois pas pour le couple d’apiculteurs de Dunham : ils utilisent parfois leur miel pour partir les ruches au printemps. Il ne devrait donc jamais y avoir de sucre ajouté dans leur miel d’été. 

« L’autre phénomène, c’est un pillage », explique Benoit Girouard.

Cela survient quand les abeilles trouvent du sucre è l’extérieur de la ruche et le ramène dans les rayons. Certains apiculteurs mettent un sirop sucré à l’extérieur de la ruche lors des premières sorties des abeilles pour donner une chance aux insectes et favoriser le développement de la colonie. 

Le pillage d’une ruche par un groupe d’abeilles étrangères est complètement indépendant de la volonté des producteurs et n’est pas du tout un cas de fraude alimentaire, dit le président de l’Union paysanne.

http://affaires.lapresse.ca

Les conflits menacent la vie de 24 millions d’enfants, selon l’UNICEF


24 millions d’enfants qui souffrent et beaucoup mourront à cause des guerres, de l’eau potable inaccessible, des soins et les vaccins qui ne peuvent être donnés dans des pays en conflits. C’est toute une génération en péril.
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Les conflits menacent la vie de 24 millions d’enfants, selon l’UNICEF

 

Près de six millions d'enfants sont menacés en... (Photo archives AP)

Près de six millions d’enfants sont menacés en Syrie, dont plus de deux millions qui habitent des secteurs assiégés ou difficiles d’accès où l’aide humanitaire n’est que peu ou pas disponible.

PHOTO ARCHIVES AP

 

Associated Press
Beyrouth

La violence et les conflits au Moyen-Orient et en Afrique du Nord menacent la vie de 24 millions d’enfants, a prévenu mercredi l’agence onusienne des enfants, principalement au Yémen, en Syrie et en Irak.

L’UNICEF a ajouté que de multiples facteurs – comme une épidémie de choléra au Yémen, les attaques contre les hôpitaux en Syrie et l’offensive pour reprendre Mossoul en Irak – privent les enfants de soins de santé de base.

L’agence onusienne a déclaré par voie de communiqué que le Yémen arrive en tête de liste, avec 9,6 millions d’enfants dans le besoin.

Elle dit que l’accès à l’eau potable et aux installations d’hygiène a été compromis, provoquant des éclosions de maladies hydriques, et que plusieurs enfants souffrent de la faim.

Le directeur régional de l’UNICEF pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, Geert Cappelaere, a déclaré que «la violence paralyse les systèmes de santé dans les régions touchées par le conflit et menace la survie même des enfants».

«Au-delà des bombes, des balles et des explosions, un nombre incalculable d’enfants meurent en silence de maladies qui pourraient facilement être évitées et soignées», a-t-il dit.

Ces données témoignent de l’ampleur du problème. Le Yémen est suivi de la Syrie, de l’Irak, du Soudan, de la bande de Gaza et de la Libye, selon l’UNICEF.

La guerre civile qui déchire le Yémen depuis deux ans a poussé le pays le plus pauvre du monde arabe au bord de la famine, et on constate une malnutrition aiguë répandue parmi les enfants.

Près de six millions d’enfants sont menacés en Syrie, dont plus de deux millions qui habitent des secteurs assiégés ou difficiles d’accès où l’aide humanitaire n’est que peu ou pas disponible. Plusieurs n’ont pas accès aux vaccins qui pourraient leur sauver la vie, et ceux qui tombent malades ou sont blessés peinent à être soignés, a déploré l’UNICEF.

En Irak, l’approvisionnement en eau potable des camps de personnes déplacées autour de Mossoul est exploité au maximum de sa capacité. De nouvelles familles, souvent accompagnées d’enfants mal nourris, arrivent quotidiennement, selon le communiqué.

Les forces irakiennes appuyées par les États-Unis seraient sur le point de reprendre le contrôle de Mossoul, trois ans après que Daech (le groupe armé État islamique) se soit emparé de près du tiers de l’Irak.

http://www.lapresse.ca/i