L’influence du hasard


C’est une énigme que je trouve vraiment extraordinaire de la vie, enfin pour là du temps. Toutes personnes, nos choix, des circonstances ont une répercussion dans notre vie future et celles des autres
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L’influence du hasard

 

 

Il ne faut jamais sous-estimer l’influence du hasard sur l’existence de tout être.
Se trouver à un certain endroit à une certaine date à une certaines heure peut bouleverser la trajectoire d,un individu

Douglas Kennedy

Âgé de 21 ans et seulement 23 pouces (58,42 cm) de hauteur


 

Un homme de 21 ans en Inde mesure que 58,42 cm et pèse 6.8 kilo (15 livres) est adoré comme la réincarnation d’un dieu hindou. Manpreet Singh a la même taille et le même poids qu’un bébé de six mois et est considéré comme l’une des plus petites personnes au monde. Depuis l’âge de 12 ans, il a été adoré comme la réincarnation d’un dieu hindou par les villageois locaux et les gens le visitent tous les jours pour être bénis. Il est heureusement en bonne santé. J’ai quand même de la misère à comprendre pourquoi que les villageois le prennent pour un Dieu, croire que cela permet d’accepter la différence plus facilement
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Âgé de 21 ans et seulement 23 pouces (58,42 cm)de hauteur

 

Le Saviez-Vous ► 100 ans d’« améliorations » humaines – voici ce que l’élevage a vraiment fait à nos chiens


En 100 ans des races de chien ont changé un peu de leur apparence pour le mieux ou pour le pire
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100 ans d’« améliorations » humaines – voici ce que l’élevage a vraiment fait à nos chiens

 

Nous savons à quoi les races modernes de chien ressemblent, mais il y a 100 ans, elles étaient très différentes.

Les chiens sont les meilleurs amis de l’homme depuis des milliers d’années et depuis toujours nous avons élevé des races différentes pour répondre à nos différents besoins. Nous ne pouvons que deviner à quoi les ancêtres des chiens ressemblaient vraiment il y a des millénaires, mais nous savons au moins à quoi ils ressemblaient il y a un siècle.

Regardez plutôt à quel point certaines races ont changé en 100 ans et d’autres moins, le tout sous l’influence humaine.

Ci-dessous vous trouverez 9 races différentes et ce à quoi elles ressemblaient il y a 100 ans!

1- Basset Hound

En 100 ans ses oreilles se sont allongées encore plus. Les pattes postérieures sont cependant devenues plus courtes et il semble avoir plus de corpulence.

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2- Bull Terrier

Il y a 100 ans, le Bull Terrier était un chien très beau et athlétique. Au fil des ans, sa tête est devenue plus courte, le ventre et les mâchoires plus grands et plus imposants. Son corps est ainsi devenu plus robuste et son visage très caractéristique.

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3- West Highland White Terrier

Cette créature blanche n’a pas beaucoup changé en 100 ans. Les poils sont peut- être un peu plus longs et épais, mais en général la race n’a pas beaucoup changé.

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4-Bulldog anglais

Ce chien tout en muscle est devenu en un siècle encore plus massif. Avec une large poitrine, les jambes courtes, et le visage si particulier qui en font sa réputation dans le domaine canin. Il a une espérance de vie estimée à seulement 6 ans et 4 mois.

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5- Setter irlandais

Cette autre race de chien n’est pas non plus vraiment différente de son ancêtre. La pelage est devenu plus lisse et le manteau est plus long et plus épais, mais dans l’ensemble, ce chien semble être le même qu’il y a 100 ans.

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6- Berger allemand

Dans les années 1800, les Allemands ont commencé à faire reproduire cette race avec le berger allemand pour maintenir la forme du corps comme un loup. C’est devenu par la suite en 1900 une race très populaire, et la forte demande a eu un impact majeur sur la qualité de cette dernière lui infligeant notamment un problème de colonne vertébrale

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7- Le Teckel

La première différence évidente est la hauteur, le teckel est définitivement devenu plus court. La poitrine est plus large aujourd’hui, tout comme le visage et l’ensemble du corps

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8- Airedale Terrier

Outre sa tête plus longue le manteau du Airedale terrier est le même. La coupe peut être différente, mais nous savons tous à quelle vitesse les modes peuvent changer.

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9- Saint-Bernard

La race de Saint Bernard est née dans les années 1800 c’était un chien pour le travail, puis il a été nommé Alp mastiff. Ce n’est qu’en 1880 que l’on a commencé à l’appeler Saint-Bernard. Le Saint-Bernard d’aujourd’hui n’est pas un chien de travail, mais plutôt un animal de compagnie, car il se fatigue vite si son activité est trop importante.

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Que ce soit maintenant ou avant, nous pensons que tous les chiens sont toujours de véritables compagnons fidèles!

http://incroyable.co/1

Il affirme que Titanic est inspiré de sa vie : un Américain réclame 300 millions à James Cameron


Attendre 20 ans pour poursuivre le scénario du film Titanic qui a gagné 11 oscars ne semble pas vraiment très sérieux.
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Il affirme que Titanic est inspiré de sa vie : un Américain réclame 300 millions à James Cameron

 

Stephen Cummings a décidé de poursuivre en justice James Cameron, le réalisateur de Titanic, rapporte TMZ. Ce pêcheur de Floride affirme que le personnage de Jack Dawson, interprété par Leonardo Di Caprio, est directement inspiré de sa propre vie. D’après Cummings, Cameron aurait entendu parler de lui autour de 1988 et s’en serait rappelé au moment de l’écriture du film sorti en 1997.

 

Peu de chances que la demande aboutisse

En plus d’avoir inspiré le personnage de Jack, Stephen Cummings affirme que c’est lui qui a soufflé le scénario à l’oreille du réalisateur. D’après lui, la romance tragique vécue par Jack et Rose sur le Titanic ne serait qu’un copier-coller de celle connue par deux de ses proches, réellement embarqués sur le paquebot qui a sombré en 1912. Comme dans le film onze fois oscarisé, seule la femme a survécu au naufrage.

Vingt ans après la sortie de Titanic, Cummings a donc décidé de se manifester en réclamant 300 millions de dollars à James Cameron. La demande semble assez irréaliste et ses chances de succès sont très minces.

La justice s’interrogera sans doute sur les raisons qui ont pu pousser cet homme à attendre vingt ans pour se manifester, compte tenu du succès colossal du film. Les arguments avancés ne semblent pas vraiment convaincants ni étayés, mais on peut toujours dire que cela ne coûte rien d’essayer.

http://www.ladepeche.fr

L’amour au temps de la course aux armements


La vie sexuelle pour certains animaux, et insectes n’est pas sans mal, voir même traumatisante. Une espèce de coléoptère a évolué dans une sorte de course à l’armement dont la femelle subie des conséquences malheureuses en vivant moins longtemps après sa progéniture
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L’amour au temps de la course aux armements

 

Le pénis de la bruche du niébé mâle est recouvert d'épines.

Le pénis de la bruche du niébé mâle est recouvert d’épines.   Photo : Université d’Uppsala

Pas facile de s’accoupler pour une certaine espèce de coléoptères (qui englobe les scarabées, les coccinelles, les hannetons…) dont le pénis des mâles se barde d’épines de plus en plus longues et pointues et dont la paroi des parties génitales de la femelle s’épaissit pour réussir l’exercice de fécondation. Voici l’histoire d’une sexualité extrême.

Radio-Canada avec Agence France-Presse

Un texte d’Alain Labelle

L’espèce en question : la bruche du niébé ou Callosobruchus maculatus. Des chercheurs australiens l’ont étudiée pendant dix ans et ont réussi à mettre en évidence une véritable « course aux armements » sexuelle au sein de l’espèce.

Le phallus du mâle ressemble étrangement aux fléaux d’armes, ces boules en acier aux pointes acérées utilisées au Moyen Âge pour terrasser l’adversaire.

Quant aux femelles, elles n’en sortent pas indemnes : en effet, la paroi de leurs parties génitales s’est épaissie pour y faire face.

« L’accouplement traumatique est observé chez plusieurs autres espèces », explique Liam Dougherty de l’Université d’Australie-Occidentale à Crawley.

D’autres exemples

Un autre exemple, plus connu, est celui des punaises de lit. Le mâle perfore l’abdomen de la femelle avec son pénis en forme d’aiguille hypodermique pour directement déverser ses spermatozoïdes au bon endroit. Des piquants ornent également les pénis de nos cousins les chimpanzés, des chats ou des limaces de mer.

Pourquoi un animal développe-t-il de telles armes? La théorie dominante veut que les mâles équipés de pénis avec de longues épines aient une plus grande réussite en matière de fertilisation.

Ainsi, pour augmenter son succès reproductif, au cours des générations, la bruche du niébé a acquis des épines de plus en plus longues, comme le veut la sélection sexuelle décrite par Darwin.

Selon les auteurs de ces travaux publiés dans la revue Proceedings of the Royal Society B, ces accouplements dévastateurs ne sont pas immédiatement meurtriers. Cela ne serait pas à l’avantage du mâle, puisque la femelle doit pouvoir élever sa descendance. Mais, à terme, ils réduisent la durée de vie des femelles.

Ces dernières ne sont pas restées sans réaction face à cette évolution :

  • l’épaisseur moyenne de l’appareil génital de la femelle a augmenté pour éviter la perforation;
  • les femelles ont développé leur système immunitaire, les plaies sont moins nocives et peuvent être réparées plus rapidement.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont étudié 13 groupes de bruches du niébé élevées en laboratoire pendant plus de 10 ans. Les chercheurs ont ainsi pu voir défiler environ 100 générations.

La coévolution observée chez cette espèce aboutit à une course aux armements sexuelle, mais également à une baisse de la fertilité des femelles. Liam Dougherty, chercheur

Le chercheur rappelle que chez de nombreuses espèces, les intérêts évolutifs des mâles et des femelles peuvent être différents, un concept que les scientifiques appellent le conflit sexuel.

http://ici.radio-canada.ca/

Manipuler un objet… et se calmer!


Je n’ai pas encore vue sauf sur Internet le fidget spinner, une sorte de toupie que l’on manipule pour le faire tourner entre les doigts et qui permet de se concentrer. Il semblerait que pour certains comportements, que cet objet serait utile en autant que l’enfant ou même l’adulte en prenne conscience du pourquoi, qu’il a ce besoin de manipulation. Il y a d’autres objets qui peuvent faire l’affaire. À l’école, que je devais écouter un professeur, je dessinais sur mes cahiers, pour me concentrer sur le cours
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Manipuler un objet… et se calmer!

 

 

Le « fidget spinner », l'objet de modulation sensorielle de... (PHOTO FOURNIE PAR FDMT)

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Le « fidget spinner », l’objet de modulation sensorielle de l’heure

PHOTO FOURNIE PAR FDMT

ISABELLE AUDET
La Presse

Les enfants et les adolescents se ruent ces jours-ci sur le fidget spinner, tout petit objet qui tournoie entre leurs doigts. Outil attrayant, certes, mais qui favoriserait aussi la concentration. Au-delà de cet engouement, en quoi la manipulation d’un objet nous rend-elle plus attentifs ?

Le « fidget spinner » est présenté comme le jouet de l’année 2017 par le magazine Forbes aux États-Unis.

IMAGE TIRÉE DE TWITTER

Bien qu’il soit d’abord annoncé comme un outil favorisant la concentration, le fidget spinner connaît depuis le début de l’année un succès qui dépasse largement les besoins thérapeutiques. Tant et si bien que cette toupie nouveau genre est présentée comme le jouet de l’année 2017 par le magazine Forbes aux États-Unis.

« C’est vraiment la folie ! C’est la première fois que je vois ça. On a beaucoup de mal à en garder en stock », confirme Karine Gagner, présidente de FDMT, une entreprise spécialisée dans les outils d’apprentissage.

Au-delà du divertissement, cet objet tient-il ses promesses ?

« On peut en débattre, tempère-t-elle. Le faire tourner et ressentir la vibration dans sa main peut permettre à certains de mieux se concentrer. Mais est-ce l’idéal pour la salle de classe ? Je n’en suis pas convaincue, surtout qu’il y a un phénomène de nouveauté. »

Certaines personnes éprouvent effectivement un besoin irrépressible de manipuler de petits objets, de les déformer ou encore de les tourner dans tous les sens.

Ça aide à moduler notre niveau d’éveil, qui est éventuellement notre niveau de stress », explique Caroline Huard, ergothérapeute.

Ainsi, le fait de triturer un objet répond à un besoin – un besoin de se stimuler ou, au contraire, de se détendre.

« Disons qu’à un niveau d’éveil à zéro, je ne suis pas motivée du tout, et qu’à neuf ou dix, je suis en mode panique ; il faut que je me situe environ au niveau cinq pour bien fonctionner », explique-t-elle.

« Manipuler un objet permet de me garder éveillée, ou encore de me calmer si j’éprouve le besoin de me lever ou de courir partout. » – Caroline Huard, ergothérapeute

Balles de stress, objets de caoutchouc à mordiller, bracelets de plastique à déformer : ces outils permettent notamment à des personnes atteintes d’une affection comme un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) ou un trouble du spectre de l’autisme de s’« autoréguler », et d’être disposées à écouter ou à travailler.

Ces objets connaissent aussi beaucoup de succès dans la population en général.

« Il y a plus de demande qu’il n’y en avait pour des personnes avec ou sans diagnostic, constate Mme Gagner. On est tous des êtres humains plus ou moins sensibles. Si j’assiste à une conférence pendant deux heures, c’est utile ! »

PAS UNE SOLUTION MAGIQUE

Il ne suffit toutefois pas d’un objet à manipuler pour régler un problème d’attention ou de stress, ajoute Caroline Huard :

« Disons qu’un enfant a accès à un spinner dans son coffre à crayons. S’il sent que quelque chose ne va pas, il va avoir le réflexe d’aller le chercher et de « gosser » avec. Ça peut l’aider, mais pour qu’il en retire des bienfaits, il doit y avoir une approche plus globale. On va amener l’enfant à être conscient qu’il est stressé, par exemple, et que c’est pour cette raison qu’il utilise cet outil. »

L’ergothérapeute précise que l’utilisation de ce type d’objet de modulation sensorielle demande un certain niveau de conscience. Elle invite notamment les enfants à comprendre quelles sont les raisons qui les poussent à les utiliser.

« Faire une utilisation inconsciente de cet outil ne fait que mettre un pansement sur un bobo. » – Caroline Huard

« Si l’enfant apprend à reconnaître ses besoins, il pourra se dire qu’à ce moment-là, il a plutôt besoin de se lever pour bouger un peu, ou encore de respirer pour mieux gérer son stress. C’est comme ça qu’on l’amène à devenir un adulte en meilleure santé », explique l’ergothérapeute.

L’ergothérapeute conseille d’utiliser différents outils sensoriels et de vérifier leur efficacité auprès des enfants afin d’éviter qu’ils ne soient qu’une distraction.

« Tenir un journal de bord peut être utile. Est-ce que l’anxiété baisse quand on utilise un objet en particulier ? Est-ce qu’elle remonte par la suite ? Ça peut nous aider. »

LE QUOTIDIEN DE FRÉDÉRIC

Les outils sensoriels font partie du quotidien d’Isabelle* et de son fils Frédéric, 10 ans. Le garçon vit avec un TDAH, des troubles orthographiques, mais aussi avec une douance. Résultat : il a du mal à se concentrer en classe et ses difficultés entraînent beaucoup d’anxiété.

« Je teste tous les objets parce que j’ai peur qu’il joue avec ces bébelles, mais ça fonctionne généralement bien, parce qu’il a vraiment besoin de bouger et de se calmer », raconte Isabelle, qui a elle-même une formation d’ergothérapeute.

Au quotidien, Frédéric utilise une chaise qui lui permet de bouger, une bague qui tournoie… et un fidget spinner aussi. Après plusieurs changements d’école, Frédéric et ses parents ont trouvé un environnement où l’utilisation des outils nécessaires à sa réussite ne pose aucun problème.

À la maison, Frédéric peut aussi bouger à sa guise. Trampoline, ballon d’exercice pour s’asseoir… tous les moyens sont bons.

« La meilleure façon pour lui d’apprendre ses mots en anglais, c’est de les réciter dans le hamac ! Ça fonctionne vraiment bien avec lui. » – Isabelle, mère de Frédéric

Sans installer de trampoline en classe, Caroline Huard suggère aux enseignants d’intégrer des pauses pour bouger toutes les 20 minutes au primaire.

« Ça n’a pas besoin d’être long. Trente secondes suffisent quand on remarque que tout le monde a envie de bouger », explique-t-elle.

Frédéric comprend très bien ce que les périodes pour bouger et les outils sensoriels lui apportent.

« Il me dit : « Maman, ces outils me gardent éveillé et intéressé à ce qui se passe autour de moi » », raconte Isabelle.

Une conscience qui échappe encore à beaucoup d’adultes.

« La plupart des adultes ne sont pas conscients de leur propre niveau d’éveil, constate Caroline Huard. On va toujours aller consulter son téléphone, on va se lever, on va grignoter, on va aller prendre un autre café… on va tous s’autoréguler quand notre niveau d’éveil n’est pas optimal. Ce sont des stratégies socialement acceptables, mais il faut identifier la cause sous-jacente. »

* Isabelle, la mère de Frédéric, nous a demandé de ne publier que leurs prénoms pour préserver l’anonymat de son fils.

Quelques bjets de modulation sensorielle

 

BALLE DE STRESS

C’est le classique des objets de modulation sensorielle.

Les boutiques spécialisées en offrent plusieurs modèles pour des sensations diverses, mais « celles que l’on trouve dans les [magasins à bas prix] fonctionnent aussi très bien », dit Caroline Huard, ergothérapeute.

TANGLE

Cet outil est fait de pièces de plastique reliées les unes aux autres. Il ressemble à un collier ou à un bracelet, mais sa conception à la fois souple et rigide permet à l’utilisateur de le tordre dans tous les sens.

CUBE RUBIK

Sans nécessairement le réussir, faire tourner les faces d’un Cube Rubik peut avoir un effet apaisant, fait remarquer Caroline Huard. Pour certains, le simple fait de manipuler l’objet peut aider à maintenir l’attention.

CURE-PIPE

Ce petit accessoire de bricolage peut aussi avoir des effets apaisants ou stimulants.

« C’est vraiment intéressant au niveau tactile, soutient Mme Huard. Dans une formation, on avait mis un cure-pipe sur notre bureau sans nous dire pourquoi, et tout le monde jouait avec ! »

PAPIER ET CRAYON

En griffonnant, certains semblent inattentifs, mais au contraire, ils sont plus concentrés que jamais.

« Je suggère parfois [aux enfants] de dessiner dans un cahier de mandalas, explique l’ergothérapeute. On leur demande de répéter ce qu’on a dit pour vérifier, et c’est souvent très efficace. »

http://www.lapresse.ca

Sans-gluten : des produits gras et sucrés qui augmentent les risques d’obésité


Sans avoir eu une confirmation médicale pour commencer une restriction d’un régime sans gluten, cela pourrait entraîner de multiples problèmes et de carences. De plus, les produits vendus sans gluten ne sont pas nécessairement plus santé, car il semble qu’elles contiennent plus de gras et plus de sucre … Ce qui est tout autant néfaste pour les enfants avec la consommation de céréales, biscuits et autres
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Sans-gluten : des produits gras et sucrés qui augmentent les risques d’obésité

 

Les aliments sans gluten peuvent contenir jusqu’au double de graisses que les produits classiques. Les scientifiques appellent l’industrie alimentaire à trouver des alternatives plus saines.

De plus en plus de chercheurs pointent du doigt l’inutilité, voire l’effet néfaste, d’une alimentation sans gluten pour les personnes qui ne souffrent pas de la maladie coeliaque, soit environ 1% de la population française. Et d’après une récente étude espagnole présentée lors de la conférence annuelle de l’European Society for Paediatric Gastroenterology, Hepatology and Nutrition, ce type de régime pourrait aller jusqu’à favoriser l’obésité.

En effet, les produits utilisés pour substituer le gluten contiennent plus de graisses et de sucres que les aliments originaux. Les scientifiques ont analysé et comparé la composition de 655 aliments classiques avec 654 produits équivalents sans gluten. Ils ont ainsi remarqué que le pain sans gluten contient le double de graisses, en moyenne, par rapport au pain avec gluten. Même constat pour les biscuits. Et les pâtes seraient plus sucrées que leur version conventionnelle. Tous ces produits sont donc plus gras ou plus sucrés, et contiennent également beaucoup moins de protéines.

Les risques de carences

« Il est de la responsabilité de l’industrie alimentaire de produire ce type de produits sans gluten provenant d’autres matériaux qui sont beaucoup plus sains ou ont un profil nutritionnel amélioré que les matières premières actuelles utilisées, comme la farine de maïs ou l’amidon de pomme de terre », indique Calvo Lerma, l’un des auteurs de l’étude.

Les enfants seraient particulièrement à risque, en raison de leur consommation de biscuits et de céréales de petit-déjeuner.

Les chercheurs mettent donc en garde les personnes qui adoptent ce type d’alimentation :

« Une fois que vous entrez dans le territoire de restrictions alimentaires sans symptômes médicaux, alors vous courez le risque de manquer des vitamines ou des différents minéraux sans vous en rendre compte. »

http://www.santemagazine.fr