Apprendre de l’échec permet de faire mieux.
Nuage
La chute
La chute n’est pas un échec. L’échec c’est de rester la où on est tombé
Socrate
Apprendre de l’échec permet de faire mieux.
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La chute
La chute n’est pas un échec. L’échec c’est de rester la où on est tombé
Socrate
Lynea Lattanzio a 68 ans et elle vit avec 1 000 chats dans une caravane, en Californie, elle a choisi cette vie pour aider les chats errants. Pendant sa vie, elle s’est occupée de 28 000 chats. Pour parvenir à la tâche, elle a suivi des cours comme infirmière vétérinaire. Heureusement qu’elle a un grand terrain pour donner l’espace nécessaire a sa meute en attendant d’être adopté, ou encore ceux qui sont abandonnés ou errants dans la ville.
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Des dermatologues se sont intéressés aux problèmes de peau qu’on souvent les méchants. Est-ce pour dénoncer une forme de stéréotype ou tout simplement que les réalisateurs renforcent le côté sombre de la méchanceté
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Des dermatologues se sont amusés à comparer les affections de la peau des 10 plus grands méchants et héros du cinéma. Sans grande surprise, les premiers cumulent les problèmes…
Quand la Reine se transforme en sorcière (Blanche-Neige et les Sept Nains,1937), les verrues apparaissent.
© GLADSTONEGANDER / DISNEYWIKIA
Verrues, cicatrices, alopécie (accélération de la chute des cheveux ou des poils)… Les plus grands méchants du cinéma cumulent les problèmes de peau, et non les héros, relèvent trois dermatologues américains dans la revueJAMA Dermatology. Ils ont récupéré la liste des 100 plus grands héros et méchants de l’American Film Institute (voir tableau ci-dessous) et se sont amusés à comparer l’état de la peau des 10 premiers noms. L’on retrouve des méchants célèbres : Hannibal Lecter (Le Silence des agneaux, sorti en 1991) Dark Vador (Star Wars, Episode V : l’Empire contre-attaque, 1980), Mr Potter (La Vie est belle, 1946)…
Sur ces dix méchants, six souffrent de troubles dermatologiques. À l’image d’Hannibal Lecter et de Dark Vador, un tiers présente une alopécie importante. 30 % également souffrent d’une hyperpigmentation du contour des yeux (anormalement sombres), 20 % ont des rides faciales profondes et 20 % ont le visage ravagé de cicatrices. La Reine (Blanche-Neige et les Sept Nains, 1937), quant à elle, souffre également de verrues.
En comparaison, seuls deux héros (Indiana Jones dans Les Aventuriers de l’arche perdue, sorti en 1981, et Rick Blaine dans Casablanca, 1942) ont des problèmes de peau, et encore il s’agit « de cicatrices faciales, plus subtiles et plus courtes que celles des méchants », précisent les auteurs.
Faut-il conclure de cette analyse fantaisiste la mise en évidence de préjugés négatifs sur les maladies de la peau dans le septième art ? N’allons pas jusque-là. Les auteurs soulignent surtout un certain penchant des réalisateurs à utiliser les problèmes dermatologiques comme expression cinématographique de la méchanceté. Un moyen de renforcer le côté obscur de leurs personnages.
Le poids, pour plusieurs, c’est un sérieux problème, surtout quand le médecin s’y met ! Les diètes ne sont efficaces que pour quelque temps. Et le cerveau n’aime pas vraiment quand l’alimentation devient une obsession. Reste qu’un repas équilibré et de l’exercice, le cerveau décidera en bout de ligne
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Le 19 avril 2017.
Perdre du poids pour entrer dans son maillot de bain est devenue une priorité pour certains d’entre nous. Mais avant de nous lancer dans un régime trop sévère, il est important de comprendre le rôle du cerveau dans la perte de poids.
S’affamer ne sert à rien
Et si perdre du poids était indépendant de notre volonté ? Cette idée peut vous paraître absurde pourtant c’est ce qu’avance la neurobiologiste américaine Sandra Aamodt, auteur du livre Pourquoi les régimes font grossir, dans les colonnes du Figaro.
« Notre cerveau décide de notre poids, pas nous », avance-t-elle.
En clair, ce n’est pas en vous affamant que vous arriverez à maigrir.
Pour parvenir à cette conclusion, Sandra Aamodt s’est imposée une discipline particulière pendant un an : elle n’a pas fait de régime, ne s’est pas pesée et a pratiqué une activité physique tous les jours. Au terme de cette expérimentation, elle a pu constater que son poids s’était stabilisé. Pour comprendre les mécanismes de son propre organisme, la neurobiologiste a parcouru de nombreuses études sur la question.
Les régimes ne sont pas efficaces à long terme
Elle en est arrivée à la conclusion que faire des régimes ne pourra jamais être efficace à long terme. Seule une activité physique régulière peut nous faire perdre du poids.
« Pour le cerveau, il n’y a pas de surpoids, juste un poids stable à défendre », explique-t-elle dans le quotidien. « De nombreuses personnes considérées en surcharge d’après leur IMC sont en fait au poids que leur commande leur cerveau. Et tenteront vainement de maigrir. »
Selon ses travaux, 80 % des personnes qui ont réussi à perdre du poids le reprennent dans les années qui suivent. Pour perdre du poids, il ne faut pas faire de la nourriture une obsession. Il faut manger équilibré et éviter les excès. Si on pratique une activité physique régulière, ces excès exceptionnels pourront être gommés. Si vous ne parvenez pas à atteindre le poids que vous souhaitez et que vous avez une vie saine, ne soyez pas inquiet, c’est que votre cerveau en a décidé autrement.
La sonde Cassini se prépare à mourir sur Saturne, l’écrasement est prévu pour septembre. Entre-temps, elle a permis de nous donner de merveilles photos de ses anneaux, de ses lunes. De plus, les scientifiques ont pu explorer et mieux connaitre ce monde lointain. Espérons qu’avant sa phase finale que Cassini pourra encore donner des données à étudier
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Le HuffPost | Par Gregory Rozieres
C’est l’heure de vérité pour le petit vaisseau. Depuis 11h ce mercredi 26 avril, le dernier plongeon de la sonde Cassini, dans l’espace inexploré entre Saturne et ses anneaux, a débuté. En novembre dernier, le vaisseau d’exploration de la Nasa avait déjà commencé à se rapprocher de ces incroyables disques de matière qui entourent la géante gazeuse.
Après 22 tours en orbite, Cassini ira finir sa vie dans l’atmosphère de Saturne, en septembre. Il ne faut pour autant pas être trop triste. En orbite autour de la planète depuis 2004, la petite sonde a eu une vie bien remplie.
Et si son dernier voyage devrait être riche en observations, c’est le moment idéal pour se remémorer les plus belles photos et les découvertes scientifiques les plus incroyables de Cassini.
Le robot Huygens largué sur Titan
Six mois après son arrivée autour de Saturne, Cassini largue Huygens, un robot atterrisseur, sur Titan, l’une des lunes de la géante gazeuse. C’est la première fois qu’un objet humain touche le sol d’un satellite naturel, autre que celui de la Terre. En plus d’offrir de belles photos, le robot a surtout permis aux scientifiques de mieux cerner la composition de l’atmosphère et de la surface de Titan. Depuis, Cassini a continué d’observer Titan et l’on connait mieux ce monde assez proche de la Terre, si ce n’est que le méthane y remplace l’eau…
Encelade, la lune propice à la vie
Encelade, l’une des lunes de Saturne, est certainement l’un des astres les plus intéressants du système solaire, pour ce qui concerne la recherche d’une vie extraterrestre. Avec son océan souterrain d’eau liquide, elle dispose de beaucoup d’éléments nécessaires à l’émergence d’une vie biologique.
Mieux, les chercheurs ont découvert il y a quelques semaines la présence d’une source d’énergie, qui pourrait théoriquement nourrir des microbes. Pour cela, la sonde Cassini a plongé au plus près de la surface et est passée à travers l’un des geysers d’Encelade.
Des lunes aux formes improbables
Si on connait surtout Titan et Encelade, Saturne possède de nombreuses lunes: au moins une cinquantaine. Et parmi celles-ci, certaines ont des formes bizarres, comme Pan (ci-dessus), qui ressemble à un ravioli. Ou encore Téthys et Mimas (ci-dessous), dont la forme fait un peu penser à l’Etoile de la mort de Star Wars. Ou à l’oeil de Sauron du Seigneur des anneaux.
En plus d’être intrigantes, ces images permettent aux astrophysiciens de mieux comprendre l’histoire de notre système solaire et la formation des lunes et planètes.
Des anneaux toujours mystérieux
Cassini a pris de nombreuses photos des anneaux de Saturne. Elle a également permis aux scientifiques de mieux comprendre leur fonctionnement. Ceux-ci pourraient même donner naissance à des lunes. Enfin, quand celles-ci ne créent pas des vagues dans les anneaux lors de leur passage.
http://quebec.huffingtonpost.ca
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Alors que Donald Trump parle de « made USA »il semble que cela ne vise pas sa fille dont sa compagnie de vêtements ne semble pas se gêner de prendre des sous-traitants dont les ouvriers sont payés 1 $ l’heure. En plus, la plupart des ouvriers n’ont pas d’assurance-maladie, de retraite et de chômage qui serait une transgression des lois comme en Chine, et pour les congés payés, c’est vraiment pitoyable sans parler des conditions de travail qu’aucun Américain n’accepterait de travailler.
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Ivanka Trump participe à une table ronde sur la place des femmes dans le monde, le 25 avril 2017 à Berlin. ODD ANDERSEN/AFP
Repéré par Claire Levenson
Repéré sur Washington Post
L’usine chinoise où est produite la ligne Ivanka Trump a été auditée par une ONG et plusieurs violations ont été révélées.
Le grand dada d’Ivanka Trump, la fille aînée du président américain, est d’aider les femmes à s’épanouir dans le monde de l’entreprise. Elle vient d’écrire un livre sur le sujet et adore les tables-ronde sur l’empowerment des femmes. Mais sous cette façade de femme engagée, il y a la réalité du business: la ligne Ivanka Trump est faite par des ouvriers chinois payés un dollar de l’heure.
Le Washington Post vient de révéler que l’usine de G-III Apparel Group, le sous-traitant exclusif de la marque Ivanka Trump, n’était pas vraiment un lieu d’empowerment des travailleurs. Selon un audit réalisé par l’ONG Fair Labor Association, les travailleurs faisaient souvent plus d’heures supplémentaires que le maximum autorisé en Chine –avec parfois des semaines de soixante heures– pour un salaire d’un dollar de l’heure, ce qui est inférieur au minimum légal dans certaines régions chinoises. Ce sous-traitant fait aussi des vêtements pour d’autres marques, dont Calvin Klein et Tommy Hilfiger.
Et le made in USA?
Ivanka Trump, qui a désormais un rôle officiel de conseillère du président, a démissionné de son poste de management de la ligne de mode, mais elle continue d’en être en partie propriétaire. Depuis l’audit, qui a été effectué en octobre, les usines G-III en Chine, au Bangladesh, au Vietnam et en Amérique du Sud ont expédié 110 tonnes de vêtements Ivanka. Cela n’empêche pas Donald Trump de se présenter comme un grand défenseur du «made in USA».
Selon le rapport de l’ONG, moins d’un tiers des ouvriers de cette usine bénéficiaient d’une assurance maladie, retraite et chômage, ce qui est normalement obligatoire dans le pays. Les inspecteurs ont aussi trouvé que les employés n’avaient que cinq jours de congés payés par an et que les conditions de sécurité n’étaient pas aux normes.
Malgré les boycotts de la marque, la campagne et la présidence de Trump ont jusqu’ici donné un coup de pouce aux ventes de la marque Ivanka Trump. Un des meilleurs mois pour les ventes a été février 2017, après que la conseillère du président, Kellyanne Conway, a déclaré sur Fox News: «Allez acheter les fringues d’Ivanka!»
Les traces d’outils indiquent que des hommes du genre Homo vivaient en Amérique 115 000 ans plus tôt que ce que nous pensions. Des indices notent 130 000 ans leur présence sur le continent. L’histoire n’a jamais de fin et doit encore être révisée., Bref, l’Amérique ne serait pas le Nouveau Monde quand les premiers colons d’Europe sont venu s’installer
Nuage
L’équipe de chercheurs affirme avoir réussi à dater des ossements d’un mastodonte – un ancêtre de l’éléphant – portant les traces d’une intervention humaine.
PHOTO AFP
LAURENCE COUSTAL
Agence France-Presse
Paris
Des scientifiques ont daté mercredi de 130 000 ans la présence humaine sur le continent américain, «vieillissant» de plus de 100 000 ans les premiers «Américains» et invitant à repenser l’histoire du peuplement du Nouveau monde.
Les traces trouvées en Californie «indiquent qu’une espèce d’hominidés vivait en Amérique du Nord 115 000 ans plus tôt que ce que nous pensions», explique Judy Gradwohl la présidente du Natural History Museum de San Diego, établissement ayant piloté une étude publiée mercredi dans la revue Nature.
L’équipe de chercheurs affirme avoir réussi à dater des outils de pierre et des ossements d’un mastodonte, un ancêtre de l’éléphant aujourd’hui disparu, portant selon eux les traces d’une intervention humaine.
«Des os et plusieurs dents prouvent clairement que des humains les ont volontairement cassés en faisant preuve d’habilité et d’expérience», explique Steve Holen, coauteur de l’étude, dans un communiqué du Natural History Museum.
Anthropologues et archéologues sont divisés sur les origines du peuplement du continent américain. Quand les premiers humains sont-ils arrivés? Par où et de quelle façon? Les opinions divergent et les théories sont régulièrement remises en cause.
Jusqu’à maintenant, la thèse dominante était que les premiers hommes – des Homo sapiens – à avoir foulé le sol du Nouveau monde étaient arrivés d’Asie il y a environ 14 500 ans.
Des scientifiques avancent que la colonisation a pu se faire par l’intérieur des terres en empruntant un corridor de 1500 km de long, qui reliait la Sibérie orientale au continent nord-américain et en partie noyé aujourd’hui sous le détroit de Béring. Mais d’autres suggèrent que les premiers hommes sont arrivés en longeant le Pacifique depuis l’Alaska, à pied ou par la mer.
Mais ces hommes arrivés d’Asie ne seraient donc peut-être pas les premiers «Américains», selon cette nouvelle étude.
Des archéologues fouillent le site Cerutti Mastodon, sur le bord de la Route 54, à San Diego.
AFP
Probablement éteints
Pour ses auteurs, une espèce du genre Homo non identifiée serait à l’origine des traces de présence humaine retrouvées sur le site archéologique de la région de San Diego, le Cerutti Mastodon, fouillé au début des années 1990.
Jusqu’à aujourd’hui restées muettes, ces reliques ont pu livrer leur secret grâce à la méthode de datation par l’uranium-thorium qui permet de remonter à des périodes très anciennes.
«Les technologies de datation ont progressé et nous permettent maintenant de dire avec plus de certitude que les premiers humains étaient là nettement plus tôt que ce qui était communément admis», affirme dans un communiqué Thomas Demere, paléontologue du Natural History Museum et coauteur de l’étude.
Le fait que des humains primitifs aient dégusté un mastodonte en Californie 115 000 ans avant ce que l’on pensait être la date de l’entrée du premier homme sur le continent soulève bien des questions: qui étaient-ils? Depuis quand étaient-ils là? Comment sont-ils arrivés?
Ces hommes ayant laissé ces traces ne sont probablement pas des Homo Sapiens, l’homme moderne, puisque ce dernier n’est supposé avoir quitté l’Afrique qu’il y a environ 100 000 ans. Pour les chercheurs, il s’agit plutôt d’un de ses cousins disparus, Homo erectus, Néandertaliens ou même des Denisoviens.
Les scientifiques n’ayant pas relevé de traces d’ADN sur le site, la famille à laquelle appartiennent ces hominidés, probablement éteints selon les chercheurs, reste un mystère.
«Les populations fondatrices des Américains pourraient être très diversifiées», estime, dans un commentaire accompagnant l’étude, Erella Hovers, de l’Université hébraïque de Jérusalem.
Dans un document accompagnant l’étude, remarque-t-elle, les auteurs soutiennent que malgré l’élévation du niveau de la mer, il n’est pas impossible que les populations humaines de l’époque aient pu gagner l’Amérique sur une embarcation.
Une série américaine, d’une jeune fille qui explique pourquoi elle se suicide. Bien que je ne l’ai pas vue personnellement, et d’après ce qu’il est dit ici, je crois que des adolescents vulnérables qui visionneraient cette série seraient vraiment à risque
Nuage
La série 13 Reasons Why traite du suicide d’une adolescente, Hannah Baker, qui laisse derrière elle des cassettes audio pour «expliquer» son geste.
MARTIN CROTEAU
La Presse
(Québec) Une série américaine qui porte sur le suicide d’une adolescente inquiète au plus haut point la ministre responsable de la Santé publique, Lucie Charlebois.
Diffusée sur Netflix, la série 13 Reasons Why, 13 raisons en français, met en scène une adolescente qui laisse derrière elle des cassettes audio pour expliquer son suicide.
Sa diffusion a causé de vives inquiétudes chez les spécialistes en prévention du suicide. Des craintes que partage la ministre responsable de la Santé publique, Lucie Charlebois.
« C’est vraiment préoccupant, a convenu la ministre, mercredi. C’est une série qui me touche beaucoup. Être parent, je serais très préoccupée, moi aussi. J’invite les parents à faire attention à ce que les adolescents regardent. »
La ministre se « désole » que la série focalise sur la « partie noire » du suicide, et qu’elle reste muette sur les nombreux recours qui sont à la disposition des personnes en détresse.
« On a plein de ressources en prévention, on a plein de ressources pour aider les personnes qui auraient des idées suicidaires, a dit Mme Charlebois. Et ce qui m’interpelle, ce qui m’inquiète beaucoup, c’est que ça pourrait toucher certaines personnes qui sont plus vulnérables que d’autres. »
Les intervenants qui se spécialisent dans la prévention du suicide ont déjà observé un « effet 13 Reasons Why ».
La dirigeante du programme de pédopsychiatrie à l’Institut universitaire en santé mentale Douglas a indiqué à La Presse que l’état de plusieurs adolescents s’est « aggravé » après qu’ils eurent visionné la série.