Arrête de t’enfuir


Notre vie est remplie de bons souvenirs ainsi que de mauvais, il faut faire un tri de ce qui peut nous aider à avancer dans la vie présente au lieu de ruminer et faire du surplace
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Arrête de t’enfuir

 

Arrête de t’enfuir dans tes souvenirs. Et de faire vieillir ton avenir.
Il est temps de te ressaisir, et à nouveau, tu te dois revivre. Laisse au présent la chance de te séduire, et au futur le bonheur de t’épanouir. Tout ce que la vie a de beau, elle va te l’offrir. Il suffit de lui sourire et de t’ouvrir. Le chemin pour y parvenir est de lâcher prise, ne plus retenir, laisser aller, afin de grandir. Et à nouveau tout accueillir

Auteur inconnu

Le Saviez-Vous ► D’où vient le mal de mer ? Comment l’éviter ?


J’ai été chanceuse, je n’ai pas souffert du mal des transports malgré les nombreuses heures de route que j’ai fait quand j’étais jeune avec mes parents ou en autobus. Mais, ce n’est pas le cas pour tout le monde
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D’où vient le mal de mer ? Comment l’éviter ?

 

Les enfants sont généralement plus sujets au mal des transports. ©PEYRUCQ / BSIP / AFP

Pour traiter les informations sensorielles qui nous parviennent, le cerveau a ses petites habitudes. Mais lorsque l’on est en mouvement dans un moyen de transport, celles-ci sont quelque peu perturbées.

CINÉTOSE. En fait de mal de mer, il est plus exact de parler de mal des transports en général. Car qu’il s’agisse d’un trajet sur route, en mer ou dans les airs, les troubles qu’il occasionne sont dus à un même mécanisme: un conflit entre les différentes données sensorielles transmises au cerveau lors d’un trajet. Même si, il est vrai, les voyages en mer sont généralement plus propices à déclencher les signes caractéristiques du mal des transports : vertiges, nausées, vomissement, maux de tête, salivation excessive, sueurs froides…

Une désynchronisation sensorielle

Le mal des transports, ou cinétose, est principalement dû à une discordance entre la perception visuelle, le système musculaire et le système vestibulaire de l’oreille interne qui commande notre sens de l’équilibre. Autrement dit, la cinétose est provoquée par un déséquilibre que nous ne voyons pas venir. Virages, balancements, roulis, turbulences, mais aussi ralentissements et accélérations… Autant de mouvements induits par le mode de transport – et ressentis par le voyageur – qui sont mal interprétés par le cerveau. Cette réponse cérébrale inadaptée est liée à une opposition entre les informations fournies par les yeux et celles données par le vestibule, organe de l’équilibre situé dans l’oreille interne. Le problème est que les mouvements sont plus rapidement ressentis par l’oreille interne que par les yeux et les récepteurs sensoriels des muscles. Le centre de l’équilibre reçoit donc en peu de temps des messages en partie contradictoires, qu’il ne peut traiter correctement.

Or notre sens de l’équilibre repose sur une synchronisation sensorielle. C’est pourquoi on a l’habitude de préconiser aux personnes malades en voiture de regarder la route, pour faciliter cette synchronisation. Et si les voyages en mer sont plus à risque de provoquer un mal des transports, c’est justement qu’il n’y a pas de route sur laquelle focaliser son attention, et qu’une embarcation est en quelque sorte « livrée aux quatre vents ». Et ses passagers avec. De plus, le nombre et la nature des mouvements sont plus importants en mer que dans les airs ou sur la route, ce qui complique encore la tâche du cerveau.

Les facteurs aggravants, ou la règle des 4F

Il existe des facteurs aggravants ou propre à favoriser le risque de souffrir du mal des transports. Ce sont les 4F : le froid, la faim, la fatigue et… la frousse (peur). En effet, l’appréhension inquiète d’un voyage va contribuer à accentuer les symptômes. À moins qu’elle ne serve à bien anticiper le voyage en adoptant certaines astuces qui permettent d’éviter les nausées.

C’est donc une perturbation dans la façon dont le cerveau reçoit des données sensorielles qui provoque le mal des transports. Heureusement celui-ci est en principe capable de s’adapter peu à peu. Ainsi, le mal des transports aura tendance à s’atténuer en multipliant les trajets ou lors de voyages prolongés. 

Comment éviter le mal des transports ?

 

Jean-Louis Koeck connaît bien les problèmes et les traitements du mal des transports, puisque les militaires ont été les premiers à tester des traitements, le mal des transports étant particulièrement un problème dans leur quotidien. Il fournit quelques recommandations simples aux voyageurs :

  1. Minimisez les mouvements de la tête et du corps. Si possible, choisissez un siège ou une cabine au milieu du bateau ou de l’avion, car c’est là que vous aurez le moins de mouvements. L’utilisation d’un oreiller ou d’un appui-tête peut aider à garder votre tête aussi immobile que possible. 
  2. Fixez votre vision sur un objet stable. Par exemple, regarder l’horizon. Ne pas lire ou jouer à des jeux, car cela peut aggraver vos symptômes. Fermer les yeux peut aider à soulager les symptômes. 
  3. Prenez l’air. Si possible, ouvrez les fenêtres ou déplacez-vous sur le pont supérieur d’un navire pour obtenir un bon apport d’air frais. Évitez d’avoir trop chaud. 
  4. Détendez-vous. Par exemple, écoutez de la musique tout en vous concentrant sur votre respiration ou exercer une activité mentale, comme un compte à rebours à partir de 100. 
  5. Nourriture et boisson. Évitez de manger de gros repas ou de boire de l’alcool avant de voyager. 
  6. Restez calme. Vous pouvez être plus enclin à ressentir le mal des transports si vous vous en inquiétez…
  7. Le gingembre, qui peut être utilisé de différentes manières (boissons, par exemple du thé, biscuits, bonbons…) pourrait être efficace, notamment contre les nausées et les vomissements.

« En règle générale, en suivant ces précautions, l’organisme finit par s’adapter au déplacement et les symptômes s’améliorent avec la poursuite du voyage, précise Jean-Louis Koeck. Si (et seulement si) elles ne s’avèrent pas suffisantes, il est possible d’utiliser des antihistaminiques (médicaments sans ordonnance) et de la scopolamine (médicament avec ordonnance)« , ajoute t-il.

 Ces médicaments s’utilisent en prévention, 30 minutes à 1 heure avant le départ, puis, si besoin, pendant le voyage en respectant les intervalles entre les prises, tel qu’indiqué dans la notice.

MÉDICAMENTS. Il est recommandé de demander l’avis de son médecin ou de son pharmacien avant de prendre des antihistaminiques. Il est également déconseillé de prendre des médicaments de mal des transports si vous êtes enceinte ou si vous allaitez votre enfant et si les nausées sont associées à d’autres symptômes (fièvre, douleur).

https://www.sciencesetavenir.fr

Le réchauffement climatique va rendre vos voyage en avion encore plus pénibles


Avec les changements climatiques, ceux qui ont peur de voyager en avion, seront encore plus anxieux. Il semble en effet que les turbulences plus importantes pourraient être en augmentation et qui malheureusement, du moins pour le moment, sont imprévisibles
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Le réchauffement climatique va rendre vos voyage en avion encore plus pénibles

 

Un Boeing 737-800 de la compagnie Eastern Air Lines atterrissant, le 19 décembre 2014 à l'aéroport de Miami en Floride | JOE RAEDLE / AFP

Un Boeing 737-800 de la compagnie Eastern Air Lines atterrissant, le 19 décembre 2014 à l’aéroport de Miami en Floride | JOE RAEDLE / AFP

Repéré par Galaad Wilgos

Repéré sur Quartz

 

 

 

 

Il se peut que l’un des autres effets secondaires du réchauffement climatique soit des voyages en avion plus turbulents.

Tout le monde a un jour été saisi de la peur d’un accident d’avion à cause des turbulences. On se cramponne à son siège, on essaie de boire le fond du mauvais vin donné en cabine, et on regarde régulièrement à la fenêtre si l’on peut. Mauvaise nouvelle: d’après un article de Quartz, cela risque de se répéter de plus en plus souvent à cause du réchauffement climatique.

En effet, une plus grande présence de dioxyde de carbone dans l’atmosphère peut altérer les courants-jets, c’est-à-dire des «vents qui soufflent d’ouest en est en haute troposphère, aux confins de la tropopause», précise le site Futura-sciences. «L’ordre de grandeur de leurs dimensions est de quelques kilomètres en épaisseur, quelques centaines de kilomètres en largeur et plusieurs milliers de kilomètres en longueur», continue le site de Météo France.

Ces courants-jet sont souvent les responsables de ce qu’on appelle les «turbulences en air clair», qui peuvent prendre les pilotes par surprise. Les courants-jets se forment dans des zones de grand différentiel de température, et les vents sont d’autant plus puissants que ces différences sont grandes. Or, une étude publiée à l’Advances in Atmospheric Sciences le 6 avril, réalisée par Paul Williams, scientifique à l’University of Reading, a démontré que la prévalence des turbulences aériennes allait augmenter entre 36% et 188%. C’est en se basant sur des modèles informatiques ainsi que 21 unités de mesures de la turbulence, à une altitude de 12 kilomètres (39000 pieds) où viennent voler généralement les avions, qu’il est arrivé à de telles statistiques.

Les compagnies aériennes et les passagers ont des raisons de s’inquiéter, selon Quartz. En soulignant que les turbulences aériennes sont la cause principale de blessures dans les accidents d’avion qui ne sont pas mortels, d’après l’International Air Transport Association, un groupe industriel qui représente les compagnies aériennes.

Si les petites turbulences ne sont pas dangereuses, celles qui sont si sévères qu’elles pourraient «catapulter des passagers non-ceinturés ainsi que l’équipe» un peu partout dans l’avion pourraient augmenter de 149%.

Or, les pilotes ne peuvent pas «simplement» éviter ces turbulences, en particulier celles en air clair qui arrivent généralement sans prévenir. Pour résoudre ce problème, les pilotes communiquent aux autres capitaines sur les conditions météorologiques –mais les passagers des petits avions subissant bien plus violemment les chocs aériens que ceux des grands. L’autre solution serait d’avoir de meilleurs capteurs d’avions pour collecter des données plus objectives sur les potentielles turbulences, afin de les utiliser pour faire des prédictions en temps réel. Americain Airlines et Alaska Airlines expérimentent cela en ce moment.

http://www.slate.fr/

Sa petite copine lui fait croire "pour rire" qu’elle s’est suicidée, il se tue à 11 ans


C’est vraiment affreux ce qu’une mauvaise blague peut avoir comme conséquence, même sur les réseaux sociaux. 11 ans, trop jeune de mourir pour une peine d’amour qui a en fait été un mensonge d’une relation
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Sa petite copine lui fait croire « pour rire » qu’elle s’est suicidée, il se tue à 11 ans

 

© DR.

Tysen Benz avait 11 ans. Ce petit Américain du Michigan a fait une tentative de suicide le 14 mars dernier. Après trois semaines de soins intensifs, il a finalement rendu son dernier soupir. L’histoire est tragique. L’enfant a été victime d’une terrible blague sur les réseaux sociaux.

Sa mère a expliqué sur CBS News qu’il avait été « manipulé » par une jeune fille de 13 ans, qu’il disait être sa petite copine.

« Elle lui a dit qu’elle allait se suicider et elle a utilisé les comptes Facebook de certains amis pour faire croire qu’elle était bel et bien morte. »

« Mon fils y a cru et a écrit qu’il allait se tuer mais elle n’a pas téléphoné [pour lui dire qu’il s’agissait d’une mauvaise blague]. Elle n’a pas essayé de l’arrêter. Les autres non plus. Il n’aurait pas dû mourir. »

Tysen s’est pendu dans la maison familiale une heure après cette blague atroce.

La maman de Tysen est évidemment dévastée. Elle implore les parents de « surveiller » de près les téléphones et ordinateurs de leurs enfants.

« Ce n’est pas une invasion de la vie privée. Il est impératif de savoir ce qu’ils font et à qui ils parlent. »

Tysen était un enfant « adorable » mais les choses ont commencé à aller mal pour lui quand il a acheté un téléphone portable en cachette et qu’il a commencé à fréquenter cette fille de 13 ans. Les parents ne voyaient pas d’un très bon oeil cette relation. La maman de Tysen est « furieuse ».

« Oui, ils sont jeunes mais à 13 ans, tu es complètement conscient de tes choix et tu sais que ce que tu fais est mal. Elle devrait être jugée légalement responsable de cette blague horrible. »

La police de la région a confirmé qu’une enquête était en cours pour déterminer les circonstances qui ont poussé Tysen au suicide.

http://www.7sur7.be/

Des loups sont-ils en train de devenir des chiens ?


 

 

Le territoire des animaux sauvages est de plus en plus restreint. Comme il faut bien se nourrir, certains animaux sauvages s’approchent des habitations, chassant les animaux domestiques tels que poulet, bœuf, etc. et des déchets alimentaires, peuvent s’accoupler avec des chiens. Aurons-nous une nouvelle espèce dans les années à venir ? Que deviendra le loup sauvage ? Mieux pour eux, d’être loin des humains pour ne pas disparaitre et devenir des chiens domestiques
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Des loups sont-ils en train de devenir des chiens ?

 

De plus en plus de loups se rapprochent des habitations humaines et se nourrissent de bétail ou de déchets plutôt que d’animaux sauvages. Le loup peut-il être à nouveau domestiqué, comme cela s’est produit il y a des milliers d’années ?

CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Les loups consomment 32 % d’aliments provenant de l’activité humaine.
  • D’autres animaux sauvages comme le dingo changent à cause de leur alimentation issue de poubelles.
  • La proximité entre l’Homme et le loup peuvent lui être nuisible.

Parce que les environnements changent, que l’Homme occupe de plus en plus d’espaces naturels, il ente en contact avec d’autres espèces. Des animaux sauvages tirent profit de ce rapprochement en se nourrissant d’aliments issus de l’activité humaine, comme du bétail ou des déchets alimentaires.

Le loup n’échappe pas à cette tendance. Dans différents endroits du monde, il semble prendre une voie qui pourrait l’amener à ressembler à un chien C’est en tout cas la conclusion d’une étude parue dans BioScience, réalisée par l’équipe de Thomas Newsome, un biologiste de l’évolution de l’université Deakin à Melbourne.

En 2014, il a étudié les populations de dingos dans le désert Tanami en Australie. Comme le rapporte Sciencemag, il a montré que les dingos sauvages qui mangent de la nourriture humaine dans des sites de gestion des déchets deviennent plus gras et moins agressifs. Ils avaient tendance à s’accoupler avec des chiens locaux. Ces dingos qui s’alimentent dans les poubelles forment une population génétique distincte de ceux restés plus sauvages : ils commencent à s’isoler génétiquement. C’est une première étape vers la création d’une nouvelle espèce.

Cette fois-ci, le biologiste et ses collègues ont analysé des études sur les grands carnivores qui vivent près des humains. Par exemple, les lions d’Asie qui vivent dans le parc national de Gir, en Inde, ont commencé à tuer et à manger du bétail et sont devenus moins agressifs vis-à-vis des humains et des touristes.

En Australie, certains dingos sont de moins en moins sauvages. © Marco Saracco, Fotolia

En Australie, certains dingos sont de moins en moins sauvages. © Marco Saracco, Fotolia

Une proximité avec l’Homme qui menace l’espèce

D’après le chercheur, l’alimentation humaine représente environ 32 % du régime des loups gris dans le monde. Les loups vivent surtout dans des régions reculées d’Eurasie ou d’Amérique du Nord. Mais certains s’approchent des zones habitées. En Grèce, ils mangent des cochons, des chèvres et des moutons. En Iran, ils se nourrissent de poulets, de chèvres et de déchets. Ce qui peut laisser penser qu’ils vont changer.

On peut imaginer qu’à l’avenir, comme les dingos australiens, les loups se croisent avec des chiens et, en Amérique du Nord, avec des coyotes. Certains pourraient se mettre à dériver génétiquement par rapport aux loups qui chassent encore des proies sauvages. C’est ce qui s’est déjà passé dans l’histoire du meilleur ami de l’Homme : des loups ont progressivement évolué en chiens en commençant à manger de la nourriture et des déchets sur des campements humains. Pour Thomas Newsome, on pourrait assister à la création d’un nouveau chien.

Mais cette idée ne fait pas l’unanimité. Robert Wayne, un spécialiste de la génétique des chiens à l’université de Californie, émet des doutes. D’après lui, des animaux comme le lynx ou le coyote, vivant déjà près des environnements humains, ont plus de chances d’être domestiqués un jour.

Ce nouveau régime alimentaire du loup risque même de lui attirer des ennuis avec les humains. Leur proximité avec les Hommes génère des conflits, comme on peut le voir en France. Pour que l’animal soit préservé, il faut qu’il puisse vivre sans nous, sans le bétail, sans les poubelles, c’est-à-dire dans son habitat naturel, avec ses proies habituelles. Thomas Newsome en convient : si l’Homme peut arranger cela, alors nous n’aurons pas un nouveau chien mais toujours des loups.

http://www.futura-sciences.com

En Inde, une fillette sauvage découverte au sein d’un groupe de singes


Toute une découverte en Inde d’une jeune fille qui vivait avec des singes. Elle ne savait pas marcher et manger sur le sol. Elle a quand réappris a marcher, mais ne parle toujours pas, mais comprend ce qu’on lui dit. La police croit qu’elle aurait été abandonnée par ses parents, Peut-être, ou elle s’est vraiment perdue à un âge qu’elle comprenait les mots
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En Inde, une fillette sauvage découverte au sein d’un groupe de singes

 

  • Par Yohan Blavignat

Âgée d’une dizaine d’années, la jeune fille surnommée «Mowgli girl» a été retrouvée en janvier dans le nord de l’Inde. Elle semble avoir été élevée par des singes, et ne sait ni parler ni marcher correctement. Les autorités tentent de déterminer ce qui a pu lui arriver.

En Inde, un cas similaire à celui de Victor de l’Aveyron, le plus célèbre cas d’enfant sauvage découvert à la fin du XVIIIe siècle dans une forêt française, suscite fascination et stupéfaction. Une petite fille, âgée d’une dizaine d’années, a été découverte en janvier à l’état quasi sauvage dans une réserve naturelle à Bahraich, dans le nord de l’Inde.

«Les singes m’ont attaqué en voyant que je tentais d’emmener la petite» Le policier qui a sauvé la petite fille

Surnommée «Mowgli girl», du nom du héros du Livre de la jungle de Rudyard Kipling, elle a été retrouvée complètement nue par un officier qui patrouillait non loin de la réserve qui se situe à proximité du Népal voisin. Elle semblait vivre avec un groupe de singes qui l’avaient recueillie.

«Elle était terrifiée de nous voir. Les singes m’ont attaqué en voyant que je tentais d’emmener la petite. Elle présentait de grosses blessures au niveau des jambes et des avant-bras», a témoigné le policier à la presse locale.

Incapable de parler et de marcher correctement, la jeune fille, au corps émacié, a rapidement été transportée à l’hôpital.

Selon le directeur de l’établissement, D.K. Singh, elle se comportait «comme un animal. Elle se déplace sur ses quatre pattes et mange à même le sol avec sa bouche», rapporte The Guardian.

La fillette a vécu un certain temps en compagnie des singes, et semble avoir copié leur comportement.

Après avoir reçu des soins, la fillette a néanmoins commencé à adopter des comportements humains: elle a marché sur ses deux jambes et a progressivement mangé avec ses mains, même si elle préfère encore se nourrir directement par terre.

«Elle n’est toujours pas en mesure de parler, mais elle comprend ce qu’on lui dit et nous sourit parfois», a indiqué le docteur Singh.

Désormais, les forces de l’ordre tentent de déterminer comment la jeune fille s’est retrouvée dans une forêt entourée de singes, et effectuent des recherches pour savoir qui sont ses parents. Pour l’heure, les enquêteurs épluchent les registres des enfants disparus ces dernières années, et optent pour un abandon de la fillette par ses parents. En attendant, elle a été placée dans une institution où elle reçoit une aide médicale et psychiatrique.

http://www.lefigaro.fr

Le Soleil s’énerve en ce mois d’avril


Le soleil s’est quelque peu irrité en début d’avril. Ses éruptions sont surveillées à cause des problèmes que cela pourrait engendrer sur Terre, tel que des dysfonctionnements des GPS et des communications si les satellites sont perturbés. Heureusement, il semble que ces 3 éruptions ne soient pas problématiques pour nous
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Le Soleil s’énerve en ce mois d’avril

 

Eruptions vues par SDO

L’éruption du 3 avril marque filmée par la sonde SDO.

NASA/SDO

La sonde SDO qui scrute le Soleil en continu a observé trois éruptions solaires, les 2 et 3 avril 2017.

CYCLES. L’Observatoire Dynamique du Soleil (SDO) a filmé trois éruptions solaires qui se sont produites les 2 et 3 avril 2017. Après une période de forte activité en 2014 et 2015, notre étoile se dirige pourtant vers une période de « minimum solaire ». Elle sera marquée par une quasi-absence d’évènements de ce type et pourrait survenir en 2018 ou 2019. Le Soleil évolue en effet par cycle de onze ans, se caractérisant par des phases de repos suivies de périodes éruptives intenses.

Les éruptions solaires sont classées d’après l’intensité de leur flux

Ces périodes éruptives se traduisent, à la surface de l’étoile, par un nombre important de taches sombres : ce sont des zones de l’atmosphère solaire où le champ magnétique est très fort et la température moins élevée. Elles sont la source des éruptions solaires qui se produisent lorsque des champs magnétiques accélèrent des particules à des niveaux d’énergie considérables, des millions de fois supérieures à ceux d’une explosion nucléaire telle qu’on pourrait en produire sur Terre.

Eruption du 02 avril 2017 à 8H01 (TU). Crédit : Nasa/SDO.

Les éruptions solaires sont classées d’après l’intensité de leur flux, observé dans la bande des rayons X et mesuré en watts par mètre carré (W/m2). Il y a quatre catégories : B, C, M et X. La classe X désigne les éruptions les plus intenses, tandis que le chiffre associé donne plus d’information sur sa puissance. Ces trois dernières éruptions ont été classées M 5,3 et M 5,7 pour celles du 2 avril et M 5,8 pour celles du 3 avril.

Les éruptions solaires s’accompagnent parfois d’une éjection de matière coronale, où des particules sont projetées à très grande vitesse dans l’espace depuis la couronne solaire. Lorsqu’elles atteignent la Terre, elles peuvent provoquer des perturbations des satellites et donc faire dysfonctionner les GPS et les communications. Celles d’avril ne devraient cependant pas causer de perturbations majeures selon le Centre de prévision de la météo spatiale de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).

Joël Ignasse

Sciences et Avenir

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