Les mots ont une portée insoupçonnée face aux autres. Nous l’oublions peut-être un peu trop souvent
Nuage
Les mots
“Les mots sont la plus puissante drogue utilisée par l’humanité.”
Rudyard Kipling
Les mots ont une portée insoupçonnée face aux autres. Nous l’oublions peut-être un peu trop souvent
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Les mots
“Les mots sont la plus puissante drogue utilisée par l’humanité.”
Rudyard Kipling
Un camion en jouet, vous êtes sûr ? En tout cas, il y en a qui sont vraiment capable de faire n’importe quoi, c’est ce que vous verrez à la fin de la vidéo
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Un camion jouet, vous êtes sûr ?
Les livres de Tintin, on fait partie de ma jeunesse. Ceux qui ont lu Les Sept Boules de Cristal et Le Temple du Soleil se rappellerons sûrement de cette momie Rascar Capac qui jetaient la malédiction sur des savants. Hergé, c’est inspirer du personnage inquiétant Rascar Capac par une momie qui est dans un musée à Bruxelles et qui promet d’autres découvertes sur cette momie avec les nouvelles technologies au service de l’archéologie .. Donc, un personnage à suivre
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Sur la photo, une image tirée de la bande dessinée.
Agence France-Presse
Bruxelles
Quel âge avait-il ? Que mangeait-il ? De quoi est-il mort ? Autant de questions auxquelles vont tenter de répondre des chercheurs belges en braquant leurs instruments sur la momie péruvienne « Rascar Capac », rendue célèbre par son apparition effrayante dans les aventures de Tintin
La peau brune et desséchée de cette momie aux orbites vides, jetant des sorts à Tintin et à ses compagnons dans les albums Les Sept Boules de Cristal et Le Temple du Soleil, ont marqué les esprits des lecteurs les plus braves.
Pour créer ce personnage inquiétant, Hergé, le « père » de Tintin, se serait inspiré d’une véritable momie précolombienne, conservée depuis 175 ans aux Musées royaux d’Art et d’Histoire de Bruxelles.
La chercheuse Caroline Tilleux et le conservateur des collections « Amérique » du musée, Serge Lemaitre, ont décidé d’étudier en profondeur cette momie, ainsi que six de ses semblables également conservées dans le musée bruxellois.
« Rascar Capac » avait déjà fait l’objet d’un premier examen dans les années 1990, mais elle vient de repasser sous les instruments de pointe des Cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles, ont indiqué cette semaine les responsables du musée.
Grâce aux nouvelles avancées technologiques en matière d’imagerie médicale, les chercheurs espèrent obtenir des informations plus précises sur la date de la mort, l’alimentation ou encore l’origine géographique des sept momies conservées dans la capitale belge. Les résultats de l’étude devraient être disponibles d’ici à quelques mois.
En fait, ce sont deux astéroïdes qui ont passé près de la terre, dont un plus près qui avait la grosseur d’un autobus .. Ces deux astéroïdes ont été identifier le 29 mars, le premier à passé le 30 mars et celui qui était près de la terre, le 2 avril.
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Les scientifiques ont annoncé qu’un astéroïde a «frôlé» notre planète le 2 avril à une distance inférieure à celle qui nous sépare de la Lune. Nommé 2017 FU102, l’astéroïde avait été découvert quelques jours plus tôt, le 29 mars.
La Terre a reçu de la visite ce week-end. S’il était prévu qu’une comète s’approche de notre planète à une distance record, un autre corps spatial l’a également «frôlé». Son nom : 2017 FU102. Cet astéroïde observé pour la première fois le 29 mars, est passé le 2 avril à une distance d’environ 218 700 kilomètres, soit moins que la distance qui sépare la Terre de la Lune.
2017 FU102 a été découvert grâce au projet Mount Lemmon Survey installé aux États-Unis dont les observations ont permis d’estimer son diamètre à environ 10 mètres, soit presque la taille d’un bus. Si la distance d’approche de l’astéroïde et sa taille peuvent paraitre importantes, ce passage n’a représenté aucun danger pour la Terre d’après les astronomes.
D’ailleurs, quelques jours plus tôt, c’est un autre astéroïde récemment découvert qui en avait fait de même. Identifié le 29 mars, 2017 FJ101 est passé le 30 mars à quelque 325 000 kilomètres de la Terre. Un passage qui, là encore, s’est fait en toute sécurité. Les spécialistes ont profité de ces évènement pour mieux observer les astéroïdes et en apprendre plus sur eux.
DES OBJETS À SURVEILLER
Des astéroïdes rendent régulièrement visite à la Terre et il est fréquent que les astronomes ne les identifient que quelques jours avant leur passage, en particulier lorsqu’ils sont relativement petits. On estime que des millions d’astéroïdes passent dans le voisinage de notre planète mais seuls 15 000 d’entre eux, notamment les plus gros, ont été repérés.
D’après la NASA, la majorité de ces corps ne poseraient pas de risque majeur pour la Terre. Toutefois, pour les plus petits, la menace fait l’objet d’un débat récurrent depuis l’incident survenu à Tcheliabinsk en février 2013 lorsqu’un astéroïde a explosé dans le ciel faisant des blessés et d’importants dégâts. Son diamètre était estimé à 20 mètres.
Or, des estimations ont suggéré qu’en 2013, seuls 30% des objets géocroiseurs de 160 mètres et plus étaient identifiés. Un chiffre qui passe à moins de 1% si l’on considère les objets de moins de 30 mètres. Depuis quelques années, plusieurs projets ont ainsi été mis en place pour renforcer la surveillance du ciel et la détection des objets potentiellement menaçants.
Une expérience qui est un peu glauque. Est-ce que cela est nécessaire ? Pourront-ils reconnecter des yeux d’un aveugle sans passer par le cerveau ? Espérons quand même que l’idée d’avoir des yeux dans le dos, n’est qu’un blague.
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Le Huffpost | Par Gregory Rozieres
« Avoir des yeux dans le dos », une expression qui sera un jour réalité? Des chercheurs de l’université américaine Tufts ont en tout cas réussi cet exploit sur des têtards, en leur greffant un oeil sur la queue, rapporte le New Scientist.
Dans une étude publiée dans Nature, ce jeudi 30 mars, les auteurs expliquent que les larves de grenouille étaient même, pour certaines, capables de voir avec cet oeil. Pourtant, les scientifiques n’ont même pas connecté l’oeil directement au cerveau.
La magie s’opère grâce à un médicament normalement utilisé contre les migraines, le Zolmitriptan. Les auteurs se sont rendu compte que celui-ci agit sur certains récepteurs du système nerveux des grenouilles. Quand ils sont activés, ils augmentent l’activité électrique de la cellule, entraînant une production de neurones, explique le New Scientist.
Un oeil connecté à la moelle épinière
Après avoir greffé un oeil sur la queue de têtards aveugles, les chercheurs ont donc injecté ce médicament sur certaines des larves. Résultat: 40% d’entre-elles pouvaient utiliser cet oeil (contre seulement 5% des têtard qui n’ont pas eu ce traitement).
Encore plus fou: l’oeil n’a pas eu besoin de créer des connexions jusqu’au cerveau, mais simplement de se brancher à la moelle épinière. Les têtards voyaient alors bien avec cet oeil, qui leur permettait de distinguer la couleur d’une zone ou encore d’éviter des obstacles sur leur route.
Dans leur étude, les auteurs précisent que cela devrait également fonctionner chez les souris, car les récepteurs spécifiquement ciblés par le médicament ont le même rôle sur la croissance des neurones de la rétine.
« Si un humain avait un oeil implanté dans le dos, connecté via sa moelle épinière, est-ce qu’il pourrait voir grâce à celui-ci? Je pense que c’est probable », estime Michael Levin, co-auteur de l’étude.
Pour autant, il reste beaucoup de travail avant d’imaginer un tel scénario sur les humains. Interrogé par le New Scientist, le neurobiologiste Bernd Frizsch rappelle qu’il faudrait encore vérifier si le médicament a le même effet sur les cellules humaines des yeux. Mais aussi si cela fonctionne également chez un adulte, le têtard étant en pleine croissance.
Je déteste le sport professionnel. Dépenser autant pour un stade et voir jouer des gars qui courent après un ballon pour gagner des millions dollars pour moi n’est plus du sport, mais une entreprise qui cherche à faire plus d’argent avec le sport et ses dérivés
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LE SCAN SPORT – Après avoir annoncé la venue de la franchise de football américain, les Raiders, Las Vegas a obtenu l’aval de la Ligue Nationale de football pour construire un stade à la pointe de la technologie.
La folie des grandeurs continue de toucher le monde du football américain. Après le Mercedes-Benz Stadium des Atlanta Falcons (actuellement en voie de finalisation) et le Los Angeles Stadium des Rams (en travaux), voilà le Las Vegas Stadium qui devrait sortir de terre d’ici 2020. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le projet dévoilé par le cabinet d’architecture Manica (à l’origine de la rénovation du Camp Nou) a de quoi impressionner.
L’arrivée des Raiders comme élément déclencheur
L’annonce avait provoqué une secousse dans le milieu du football américain. Le propriétaire des Raiders, la mythique équipe de football américain, souhaitait ainsi transférer son entité à Las Vegas pour influer une nouvelle dynamique. La demande a été acceptée par les autorités de la Ligue Nationale de football (NFL) la semaine dernière.
Ainsi, il est désormais question d’infrastructures. En effet, la plus grande ville du Nevada ne dispose pas d’enceinte capable d’accueillir les rencontres de football américain. Le cabinet Manica a donc pris en charge le dossier et s’est attelé à concevoir une infrastructure digne de ce nom. Ce lundi, le projet a obtenu l’accord de la NFL.
Un stade au coût exorbitant
Les Raiders devraient évoluer dans leur nouvelle arène en 2020, sauf retard majeur. L’enceinte, qui disposera d’une capacité modulable de 65.000 à 72.000 sièges selon la configuration, accueillera de nombreux évènements tels que des concerts, des compétitions de sports automobiles, de soccer et bien évidemment de football américain.
La maquette proposée par le cabinet témoigne du caractère grandiose de la future enceinte. Côté finances, la forteresse devrait coûter la bagatelle d’1,76 milliard d’euros. A titre de comparaison, la construction du stade de l’Olympique Lyonnais en France a nécessité un investissement de 405 millions d’euros.
Selon les premières informations relayées par Libération, le financement de la future infrastructure devrait être soutenu par trois entités majeures: les collectivités locales via la taxe d’hébergement (697 millions), le magnat des casinos Sheldon Adelson (604 millions) et Mark David (464,8 millions), le propriétaire de la franchise. La question consiste désormais à savoir si le financement sera amorti. Pour cela, il faudra attendre un peu.
Le Chien sauvage des montagnes de Nouvelle-Guinée que les chercheurs croyaient étaient à été redécouvert dans son pays d’origine. La particularité de ce chien est qu’il serait proche des chiens avant la domestication
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On le pensait disparu à jamais mais le Chien sauvage des montagnes de Nouvelle-Guinée serait toujours présent sur notre planète. Grâce à des photos et des tests ADN, des scientifiques ont pu en localiser dans l’une des régions les plus reculées de la Papouasie.
Un espoir pour tout notre écosystème et pour les scientifiques désirant percer les grands mystères de notre Nature et de l’évolution de ses habitants. Alors qu’aucune trace de lui n’avait été observée depuis près de 50 ans et qu’il avait été considéré comme éteint, le Chien sauvage des montagnes de Nouvelle-Guinée a officiellement fait sa réapparition dans son pays d’origine. Après des mois de traque, d’observation et d’analyses, une équipe de scientifiques de la New Guinea Highland Wild Dog Foundation (NGHWDF), menée par le zoologiste américain James K McIntyre, a pu en effet confirmer la présence de plusieurs individus en Papouasie, dans leur habitat naturel.
Le chien le plus ancien du monde
Les connaissances sur cette espèce sont très limitées mais elle serait proche ou antérieure au très rare, autrefois domestiqué et connu comme le plus ancien canidé (6 000 ans) pré-domestication, Chien chanteur de Nouvelle-Guinée, dont la population est aujourd’hui estimée à 200 ou 300 individus seulement. Elle serait aussi l’ancêtre du Dingo australien avec qui elle partage également les principales caractéristiques : un pelage sable doré, parfois noir, avec des marques blanches sur le museau, la gorge, la poitrine, l’abdomen, les pattes et la queue, une truffe noire, des oreilles rondes et droites, mais surtout ce chant, semblable à celui du loup, qu’elle produit pour communiquer avec ses pairs.
Une chienne sauvage des montagnes de Nouvelle-Guinée enceinte – New Guinea Highland Wild Dog Foundation
Une avancée scientifique et historique majeure
Des tests ADN sont toujours en cours et un rapport détaillé sur l’expédition en question devrait paraître dans les mois à venir mais pour l’équipe de la NGHWDF, cette (re)découverte pourrait représenter une avancée majeure pour les recherches portant sur l’évolution des espèces canines, isolément et conjointement à celle des humains, leur histoire migratoire et plus largement sur l’écologie.