Parole d’enfant ► Sans surveillance


Est-ce risqué ? Mlle  a t-elle une idée derrière la tête ? Faut-il appeler le 911 ?
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 Sans surveillance

 

Maman raconte :


Je monte laver Sydney
Mlle me regarde avec son regard malicieux :
Maman, es-tu certaine que tu veux me laisser sans surveillance ?

Ana-Jézabelle, 5 ans / 17 mars 2017

Dans la rue, il a les yeux rivés sur son téléphone, puis disparait


Cette pub est peut-être morbide, mais combien réaliste des dangers des téléphones portables même pour un piéton. Malheureusement, que ce soit pour le téléphone au volant ou pour les piétons, le message ne semble pas passer
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Dans la rue, il a les yeux rivés sur son téléphone, puis disparait

Le Saviez-Vous ► La tragique grippe espagnole


Quand j’étais jeune, on m’a raconté que des victimes de la grippe espagnole avaient été enterrées vivantes. On avait découvert que des tombes avaient été grattées par l’intérieur. Quoiqu’il en soit, ce fut une pandémie catastrophique et avec la Première Guerre mondiale, il eut des millions de morts à travers le monde
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La tragique grippe espagnole


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La saison du rhume et de la grippe bat son plein et peut-être avez-vous été affectés par leurs divers symptômes cette année. Sauf exceptions, la majorité des gens atteints par le rhume ou même le virus de l’influenza survivent à la maladie. À divers moments de l’Histoire toutefois, certains virus venant notamment des animaux ont provoqué des pandémies, les humains n’ayant développé aucun anticorps contre ces nouvelles souches de grippe. À cet égard, la grippe espagnole de 1918-1919 est probablement celle qui a le plus marqué les esprits…

Les débuts de la pandémie :


Hôpital d’urgence au Kansas
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Si nous ignorons les origines de cette grippe, nous savons qu’elle a commencé avec une première vague, peu mortelle, au cours du printemps 1918 en Europe, suivie d’une deuxième vague à l’automne, cette fois-ci dévastatrice et qui a rapidement affecté l’Amérique, l’Asie et puis le monde entier. Peu de régions ont été épargnées, pas même certains villages isolés de l’Alaska!


Affiche de la santé publique en Alberta
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Pourquoi a-t-elle rapidement été surnommée la grippe espagnole? L’Espagne est un des pays d’Europe qui a été lourdement affecté dès les débuts de la pandémie et qui, en tant que pays neutre pendant la 1ère guerre mondiale, a commencé à couvrir le phénomène dans les journaux. Il faut dire que même le roi Alphonse XIII a lutté contre la maladie!

Des soins limités :


Bouteille de Quinine
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Comme cette forme virale était nouvelle et qu’il n’existait à l’époque aucun vaccin pour la vaincre, la grippe espagnole se répandit rapidement et prit les médecins par surprise. Les gens étaient rapidement incapacités par des fièvres importantes, provoquant souvent des délires et qui affaiblissaient le cœur. Des études récentes réalisées sur des corps de l’époque, notamment en Alaska, démontrent aussi que cette forme spécifique de grippe s’attaquait rapidement aux poumons et plusieurs personnes décédèrent ainsi de pneumonie. Dans les journaux et par le bouche à oreille, on proposait comme remèdes des moyens plus ou moins efficaces comme la quinine, surtout utilisée pour lutter contre les effets du paludisme, l’huile de ricin, ou même du gin ou du rhum. 


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L’alcool semblait effectivement un aussi bon moyen qu’un autre pour soulager les symptômes et pour la seule ville de Paris, les autorités avaient décidé de mettre 500 hectolitres de rhum à la disposition des pharmaciens pour qu’il soit vendu sur ordonnance dès le mois d’octobre 1918. Les origines de la maladie commencèrent aussi à alimenter la machine à rumeurs. Bacilles allemands introduits dans la nourriture? Gaz toxiques? Vers la fin de la 1ère guerre mondiale, il était facile d’accuser les pays voisins comme étant responsables d’une propagation aussi rapide d’une maladie.

Une hécatombe mondiale :


Cimetière de la grippe espagnole en Arizona
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Bien qu’établir des chiffres fiables pour cette époque soit difficile en raison d’un manque d’archives médicales, on estime généralement qu’entre l’automne 1918 et l’été 1919, de 20 à 50 millions de personnes périrent des suites de la pandémie dont 675 000 aux États-Unis seulement et environ 14 000 personnes au Québec. Alors que généralement la grippe affecte plus durement les personnes âgées, les jeunes enfants et les femmes enceintes, cette grippe tua surtout les jeunes adultes et laissa de ce fait de nombreux enfants orphelins. 


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Quarantaines, masques, limitations des événements publics, fermeture des tramways et des lieux de divertissements, rien ne put arrêter cette maladie qu’on finit par surnommer «La grande tueuse». En plus des nombreux morts liés à la Première Guerre mondiale, la fin des années 1910 a été une hécatombe sans précédent qui finit par nuire à l’économie de plusieurs villes, puisque la force de travail avait été fortement diminuée. Pendant l’épidémie de grippe, tant de gens étaient malades que le personnel manquait pour faire fonctionner les trains, les banques, les services postaux ou même pour s’assurer des récoltes dans les champs!

Mais cette catastrophe fit prendre conscience de l’importance de l’hygiène publique et de la communication lors de telles épidémies. Et elle fit réaliser l’importance des infirmières, qui ont joué un rôle majeur dans le soin des malades à cette époque.

Spécialisée en histoire ancienne, Evelyne Ferron

http://www.historiatv.com

Des experts se questionnent sur les droits et limites de l’utilisation des robots


On se croirait dans le film Robot, quelles sont les lois que l’on doit accorder au robot. Peuvent-ils prendre des décisions d’ordre moral ? Doit-on laisser l’intelligence artificielle agir où s’en remettre seulement à l’être humain ?
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Des experts se questionnent sur les droits et limites de l’utilisation des robots

 

L'humain est de plus en plus transformé par les technologies.

L’humain est de plus en plus transformé par les technologies. Photo : iStock

Quels droits les robots doivent-ils avoir? Qui est responsable des actions d’une machine autonome : son fabricant ou son propriétaire? Des experts se penchent sur ces questions, rendues pressantes par les récents développements technologiques.

Un texte de David Savoie aux Années lumière

Des participants du monde entier, dont des roboticiens, des philosophes et des ingénieurs, étaient réunis à l’Université Laval à Québec, cette semaine, pour discuter des robots et de tout ce que représente leur présence dans notre société.

Ici, pas question de robots tueurs, ceux qui pourraient soumettre l’humanité à l’esclavage ou l’annihiler, comme dans le cas des films hollywoodiens. Mais plutôt de considérations assez terre à terre : voitures autonomes, intelligence artificielle et robots utilisés dans des maisons de retraite comme compagnons pour aînés.

Les intervenants ne manquent pas d’exemples pour démontrer l’urgence de se doter de règles pour encadrer les robots, leur conception et leur statut.

Par exemple, le cas de véhicules autonomes, développés en ce moment par des compagnies comme Google et Uber. Que doivent faire les véhicules devant la possibilité d’un accident? Comment la machine peut-elle trancher lorsque des vies doivent être préservées? Cette décision devrait-elle reposer sur des humains plutôt que sur un automate?

Des machines au statut moral?

« Il y a une pression à trouver une solution face à ces problèmes », soutient Tomislav Bracanovic, professeur de philosophie des sciences et de l’éthique de l’Université de Zagreb, en Croatie.

Il n’y a pas d’encadrement comme c’est le cas dans d’autres disciplines académiques ou scientifiques, comme la médecine. Pourtant, la robotique pourrait avoir des impacts sérieux sur les êtres humains.

Tomislav Bracanovic, professeur de philosophie des sciences et de l’éthique à l’Université de Zagreb

Pour le philosophe, la robotique, particulièrement la biorobotique, est si avancée qu’elle porte la promesse de créer des êtres qui seront similaires à l’humain à plusieurs égards, ou même supérieurs à l’homme.

« C’est important : comment allons-nous traiter ces êtres et doivent-ils avoir un statut moral ou des droits pour éviter les abus? »

D’autres aspects ont aussi été évoqués durant les discussions, entre autres la question juridique. Charles-Étienne Daniel, doctorant en droit à l’Université de Sherbrooke, s’intéresse à la question de la robotique, un domaine où les lois canadiennes paraissent peu adaptées.

« Sur le plan du droit réglementaire, est-ce qu’on doit élaborer des catégories spécifiques à la robotique? Est-ce qu’on doit prévoir les différents risques qui peuvent se poser, comment ces cadres-là vont se mettre en place? » se demande-t-il.

Ces échanges entre des roboticiens, des ingénieurs et des philosophes constituent les débuts d’un dialogue entre les disciplines, selon Alexandre Pitti, qui est roboticien et maître de conférence à l’Université Cergy-Pontoise, en France.

Une voiture autonome est testée à Pittsburgh.

Une voiture autonome est testée à Pittsburgh. Photo : La Presse canadienne/Jared Wickerham

Une première mondiale

Un robot doit-il être soumis aux trois lois de la robotique, ces règles inventées par l’auteur de science-fiction Isaac Asimov, dans les années 40?

« Ce sont de vraies questions, parce que les robots, on est en train de les programmer, donc sur un plan pratique, il est important de penser les normes d’actions sociales et les régulations sociales », estime Marie-Hélène Parizeau, professeure de philosophie à l’Université Laval et organisatrice du colloque.

Elle est également la présidente de la Commission mondiale de l’éthique des connaissances scientifiques et des technologies (COMEST) de l’UNESCO. À l’issue de ces discussions, le comité va déposer un rapport en septembre au sujet de l’éthique des robots, qui sera remis aux États membres de l’UNESCO.

Une éthique pour les machines?

C’est une des questions qui est revenue régulièrement dans les discussions : comment établir la responsabilité juridique des machines, et comment un robot peut prendre une décision aux conséquences morales?

Plutôt que de s’attaquer de front à cette épineuse question, la professeure en ingénierie électrique de l’Université de Tel-Aviv Hagit Messer-Yaron propose de contourner le problème avec une charte qui vise à restreindre les décisions que pourraient prendre des machines. Une solution imparfaite, concède-t-elle, mais une approche pragmatique qui pourrait être mise en place rapidement.

La charte qu’elle propose couvrirait l’ensemble des situations : certains moments où la machine suit les algorithmes déterministes qui font partie de son programme, alors que dans d’autres circonstances – par exemple lorsqu’il est question de vie ou de mort – la machine ne prendrait pas de décisions, un être humain serait en charge de le faire. Et enfin, le robot décidera d’éléments avec peu ou moins d’impacts sur l’homme, comme le chemin le plus court à prendre, par exemple.

Selon elle, cela éviterait de devoir tenter de programmer les machines en fonction de critères moraux.

« Les décisions reposeraient sur des codes moraux qui existent déjà pour les hommes. Cette solution pourrait servir de cadre aux débats actuels à ce sujet », fait-elle valoir. « Je suis une ingénieure, je cherche une solution pratique », dit-elle en riant.

http://ici.radio-canada.ca/

Analemma, un concept de gratte-ciel géant accroché à un… astéroïde


C’est un projet utopique, mais bon, il est permis de rêver. Il y en a qui sont quand même chanceux d’être payé pour concevoir des propositions aussi folles
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Analemma, un concept de gratte-ciel géant accroché à un… astéroïde

 

Le Huffington Post  |  Par Gregory Rozieres


Dubaï peut aller se rhabiller avec Burj Khalifa, son projet de tour la plus haute du monde. Avec ses 828 mètres, elle ne vaut rien comme l' »Analemma tower », qui culmine à… 32 000 mètres de la surface. Et se balade autour du monde. Accrochée à un astéroïde.

Bref, si vous trouvez que l’immeuble improbable en forme de « U » inversé de New-York est un peu extrême, vous n’avez en réalité rien vu. Bon, évidemment, ce concept, imaginé par Clouds AO, a très, très peu de chances de devenir réalité, même à long terme. Mais le cabinet d’architecture est habitué aux projets un peu fous. Ils ont d’ailleurs récemment travaillé sur l’idée d’une maison sur Mars avec la Nasa.

La très hypothétique tour Analemma serait donc en suspension dans le ciel, accrochée à un astéroïde qui tournerait en orbite autour de la Terre et promènerait ainsi la structure.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Changement climatique : la diaspora forcée de la faune et de la flore


Le réchauffement climatique engendre beaucoup que l’on croit et aura des effets à tous les niveaux. On prévoit qu’il y aura des migrations humaines à cause de ces changements, mais les animaux aussi vont chercher des endroits plus tempérés à leur besoin pour survivre. Juste à penser au poisson, cela va être un coup économiquement pour ceux qui vivent de la pêche
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Changement climatique : la diaspora forcée de la faune et de la flore

 

Des saumons rouges

Des saumons rouges Photo : iStock/iStockPhoto

Une vaste étude publiée dans le magazine américain Science et coécrite par une quarantaine de scientifiques internationaux démontre que le changement climatique contribue au déplacement des espèces partout sur la planète. Un phénomène qui prend de la vitesse, disent les chercheurs, et qui aura bientôt des conséquences multiples pour les populations humaines.

Les espèces marines et terrestres se déplacent pour rester constamment dans des lieux tempérés adaptés à leurs besoins, explique Tero Mustonen, un scientifique finlandais qui a contribué à l’étude.

Le réchauffement planétaire s’accélère et il a un réel impact sur la vie humaine, sur notre façon de gérer nos ressources, notre économie et notre culture. Tero Mustonen, scientifique finlandais et coauteur de l’étude

« Par exemple, des calmars géants de la Californie se retrouvent de plus en plus souvent dans les eaux des côtes de la Colombie-Britannique », raconte Isabelle Côté, professeure en biologie à l’Université Simon Fraser, dans la région de Vancouver.

« Les stocks de poissons qu’on exploite en ce moment vont se déplacer vers le Nord et pour certaines communautés qui dépendent des pêcheries, cela signifie peut-être perdre ces stocks qui seront remplacés par d’autres venant du Sud », ajoute-t-elle.

Cette migration pourrait avoir d’importantes répercussions sur la pêche de subsistance autochtone et sur l’identité culturelle des Premières Nations.

Cela a des implications culturelles parce qu’on est habitué à manger du saumon rouge et certaines espèces vont peut-être se rendre plus loin de nous, donc là, il faudra s’habituer à manger autre chose. Isabelle Côté, professeure en biologie à l’Université Simon Fraser

La température a augmenté d’à peu près 0,3 % degrés Celsius de 1982 à 2006 et une augmentation additionnelle de 1 ou 1,5 degré est prévue jusqu’en 2050, selon les scientifiques.

« Ça ne paraît pas beaucoup mais pour les poissons ça veut dire des déplacements vers le Nord d’à peu près une trentaine de kilomètres en moyenne par décennie », affirme Isabelle Côté.

Le réchauffement de l’eau est également un élément à prendre en compte. Il est notamment davantage marqué dans le sud-est de l’Australie et dans les zones polaires où le déplacement des espèces est plus rapide.

Les scientifiques exhortent les gouvernements à investir davantage dans la recherche et à consulter le savoir autochtone connecté à l’évolution naturelle pour que les sociétés puissent s’ajuster au même rythme que la redistribution des espèces.

http://ici.radio-canada.ca/

Les ovnis sont aperçus majoritairement au Québec, selon un rapport


Il ne faut pas oublier qu’OVNI ne veut pas dire nécessairement extraterrestre, mais bien des objets volants non identifiés. Il se peut qu’on puisse être témoins de choses inusitées et qu’il n’est peut-être pas explicable. Cependant, je doute que ce soit des extraterrestres
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Les ovnis sont aperçus majoritairement au Québec, selon un rapport

 

C’est encore une fois au Québec que le plus d’objets volants non identifiés (ovnis) ont été signalés en 2016, selon le sondage annuel réalisé par le Groupe de recherche en ovniologie, basé à Winnipeg.

Au total, 1131 signalements d’ovnis ont été rapportés au Canada en 2016, dont 38,5 pour cent au Québec, 26 pour cent en Ontario et 17 pour cent en Colombie-Britannique.

L’an dernier, le Québec avait également été la province ayant répertorié le plus de signalements.

Pour la première fois en 28 ans, soit depuis la première étude du genre menée par le groupe, seuls quatre pour cent des signalements ne pouvaient pas être expliqués. L’auteur de l’étude, Chris Rutkowski, croit que c’est sans doute en raison d’une analyse plus minutieuse des données disponibles.

La forme d’ovni la plus souvent rapportée en 2016 était un simple point de lumière (57 pour cent). D’autres formes signalées incluent le triangle (quatre pour cent), la sphère (neuf pour cent), le cigare (trois pour cent) et la boule de feu (cinq pour cent). La « soucoupe volante » classique n’a été répertoriée que 48 fois.

Pour ce qui est des « inconnus », tels que décrits dans l’étude, ils incluent notamment « un objet gigantesque en forme de disque avec des projecteurs », aperçu survolant les montagnes à North Vancouver, de même qu’une « grappe d’étoiles » en forme de boomerang qui a traversé le ciel près de St. Thomas, en Ontario.

On note également le cas d’un avion commercial qui est passé bien près de heurter un objet pendant un vol de routine au-dessus de Toronto, le 14 novembre.

« L’équipage a remarqué un objet droit devant lui sur sa trajectoire de vol. L’objet semblait solide, avait un diamètre approximatif de cinq à huit pieds et la forme d’un beigne ou d’un tube intérieur », décrit l’étude.

« Les membres d’équipage en cabine ont subi des blessures mineures lorsqu’une manoeuvre d’évitement a été effectuée. Bien que l’objet n’était pas un ballon et que l’on ait suggéré qu’il s’agissait d’un drone, on a noté que les drones ne peuvent pas voler à cette altitude ni à cette distance. »

L’étude indique que le Bureau de la sécurité des transports a qualifié l’incident de « quasi-collision avec un objet aérien non identifié ».

Les rencontres avec des extraterrestres sont en minorité, mais se classent haut dans l’échelle de la bizarrerie.

Parmi celles rapportées, on note le cas d’un homme de Cornwall, à l’Île-du-Prince-Édouard, qui a rapporté qu’un extraterrestre blanc, mince, de deux mètres, avec de longs doigts et vêtu d’un habit noir lui avait parlé dans sa chambre avant de quitter en passant à travers un mur.

Un homme de Lanaudière a raconté avoir été transporté dans un champ et plongé dans une baignoire, « où il était entouré de trois créatures humanoïdes vertes aux grands yeux qui communiquaient avec lui par télépathie ».

Les rencontres extraterrestres rapportées ne sont cependant pas toutes aussi intenses. Une personne de Tecumseh, en Ontario, a rapporté qu’un extraterrestre lui a volé ses lunettes de soleil et sa ceinture, tandis qu’un individu de Rimouski a fait un signalement indiquant seulement: « Ils m’ont contacté! »

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Ötzi, la plus vieille affaire criminelle enfin élucidée


Le plus vieux crime du monde à intéressé, un inspecteur qui a étudié le cas. La victime : Ötzi, alias l’homme de glaces, mort il y a 5.300 ans. Endroit : Entre la frontière de l’Autriche et de l’Italie. Indice : une flèche dans le dos. Pourquoi : Possiblement la vengeance. Suspect : Une ou des personnes de son propre village. Accusation : Aucune.
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Ötzi, la plus vieille affaire criminelle enfin élucidée

 

© reuters.

En 1991, le corps momifié d’un homme est retrouvé parfaitement conservé dans les glaces des Alpes austro-italiennes. Le début d’une longue enquête policière…

Ötzi, « l’homme des glaces », a donc été assassiné d’une flèche dans le dos il y a… 5.300 ans, c’est du moins le verdict d’une longue investigation menée par la police de Munich, relate le New York Times, relayé par Le Courrier international. 

3.300 avant Jésus-Christ

L’inspecteur Alexander Horn avait en effet été contacté par le Musée archéologique de Bolzano (nord-est de l’Italie) pour tenter de faire toute la lumière sur cette énigme antédiluvienne: découvrir les causes de la mort d’Ötzi, tué dans les Alpes de l’Ötztal (dont il tire son nom), à la frontière entre l’Italie et l’Autriche, vers 3.300 avant Jésus-Christ.

Ötzi, 45 ans

Selon les conclusions de cette enquête aussi minitieuse qu’inédite, Ötzi devait avoir 45 ans, « soit un âge respectablement vieux pour le Néolithique », mesurait 1,65 mètre et pesait 50 kilos. Il aurait été impliqué dans une violente dispute dans son village et en serait sorti vainqueur avant de déplacer son campement en altitude.

Une flèche dans le dos

Il aurait été surpris par un archer qui lui aurait décoché une flèche dans le dos « à une distance d’environ 30 mètres ». Rien ne semble démontrer que la victime s’attendait à subir des représailles car elle venait de prendre un repas chaud autour du feu peu de temps avant sa mort. Il s’agit donc bel et bien d’un assassinat motivé par la vengeance d’un villageois. 

Évolution relative

Malheureusement, le coupable, lui, ne sera sans doute jamais retrouvé:

« Tant dans la vie que dans la mort, l’Homme des glaces semble étrangement familier à ses descendants modernes », souligne Katharina Hersel, directrice adjointe du musée de Bolzano. « On continue de se tuer les uns les autres, peut-être n’y a-t-il pas eu tant d’évolution que ça après tout… »

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