Si c’était le dernier jour


On ne sait jamais quand la vie nous quitteras, qu’est-ce qu’on laisse en héritage pour que les bons souvenirs de ceux qui avaient partagé notre vie puissent être gravé dans leur mémoire
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Si c’était le dernier jour

 

 

 

Accomplis chaque acte de ta vie comme s’il devait être le dernier.

Marc Aurèle

Les chats ont accidentellement révélé qu’ils étaient de vrais démons


Il y a des gens qui n’aiment pas les chats, car ils trouvent que leur regard est sournois. Moi, je les aime, car ils ont un air rusés. Cependant, des photos prisent d’un certain angle ou et sur le vol laissent croire qu’ils sont menaçants .. Mais, on sait bien que les chats sont des animaux extraordinaires
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Les chats ont accidentellement révélé qu’ils étaient de vrais démons

 

 

chats démoniaques

https://wamiz.com/

Le Saviez-Vous ► Savez-vous vous couper les ongles?


Le coupe-ongles tel que l’on connait est assez récente, car il n’y a pas si longtemps, c’est au couteau qu’on coupait les ongles. Puis, des superstitions sont apparus selon le jour ou on choisissait de s’occuper des ongles
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Savez-vous vous couper les ongles?

 

2046 de Wong Kar Wai ©

2046 de Wong Kar Wai ©

Ernie Smith, traduit par Yann Champion

Histoire et perspectives d’une pratique aussi universelle qu’ancestrale. Cet article contient aussi la superstition la plus absurde qui soit.

 

Nos ongles sont pratiques: ils protègent les pointes de nos doigts. Mais ils ont aussi un côté ennuyeux: il faut les couper toutes les deux semaines environ.

Qui que vous soyez, il vous faut régulièrement sacrifier à ce rituel durant lequel de petits morceaux de votre kératine sautent dans tous les sens sous l’effet du coupe-ongles. Peu de gens le savent, mais le coupe-ongles est une invention assez récente, à peu près autant que le couteau suisse. Cela signifie que durant la majeure partie de son histoire, l’humanité a dû, pour se couper les ongles, se débattre avec des méthodes un peu plus compliquées qu’avoir simplement à sortir un coupe-ongles d’un tiroir.

Il s’avère que l’histoire de la coupe des ongles est aussi étonnamment compliquée. Pratique hygiénique parfois entourée de superstitions, elle comprend surtout beaucoup de zones d’ombre. Par qui fut inventé l’omniprésent coupe-ongle moderne? C’est une question à laquelle, pour commencer, nous ne pourrons peut-être jamais répondre.

Les ancêtres du coupe-ongles

Vers 1875, des brevets de coupe-ongles modernes commencèrent à apparaître, le tout premier étant au nom de Valentine Fogerty, même si son appareil s’apparentait plus à une sorte de lime circulaire, un «taille-ongles» plutôt qu’un coupe-ongles. Le premier système que j’ai pu trouver à l’USPTO (bureau américain des brevets) ressemblant quelque peu aux coupe-ongles modernes fut obtenu en 1881 par les inventeurs Eugene Heim et Oelestin Matz pour leur coupe-ongles de style pince (de nos jours, les coupe-ongles de ce style sont devenus si fréquents qu’ils n’entraînent plus le dépôt de brevets, même si cela n’empêche pas la création de nouveautés. Qui, par exemple, n’a jamais rêvé d’un coupe-ongles qui retient automatiquement les rognures d’ongles?)

S’il vous est déjà arrivé de peler une pomme au couteau, c’est à peu près la méthode qui était employée avant que ne soient conçus des coupe-ongles

Ces deux appareils tentaient de régler un problème qui, auparavant, se réglait à la dure: au couteau. Prenez, par exemple, le brevet du taille-ongles de R.W. Stewart: le geste ressemblait plus à celui que l’on fait lorsque l’on pèle un fruit que lorsque l’on presse une pince. S’il vous est déjà arrivé de peler une pomme au couteau, c’est à peu près la méthode qui était employée avant que ne soient conçus des appareils spécialement destinés à cet usage (qu’il s’agisse de couteaux ou de ciseaux spéciaux).

Brevet d’Eugene Heim et Oelestin Matz pour un coupe-ongles; vers 1881. U.S. PATENT OFFICE/PUBLIC DOMAIN

Se couper les ongles du lundi au jeudi

Néanmoins, vers la fin du XIXe siècle, les superstitions entourant la manière ou le moment de se couper les ongles étaient assez fréquents. Un article par dans le Boston Globe en 1889, notait que l’une des superstitions de l’époque était que les gens évitaient de se couper les ongles le week-end de peur que cela ne leur porte malheur.

«Cela porte malheur de se couper les ongles le vendredi, le samedi ou le dimanche, expliquait l’article. Si vous les coupez le vendredi, vous faites le jeu du diable. Le samedi, vous vous préparez à des déceptions. Le dimanche, cela vous portera malheur pour toute la semaine. Certaines personnes ressentent toutes sortes de mauvais présages si elles se coupent un ongle par inadvertance un de ces jours et elles préfèreront tous les désagréments liés au fait d’avoir les ongles longs plutôt que de se les couper après le jeudi.»

(Soyons honnêtes: c’est une superstition archi nulle. Je préfère nettement celle qui dit que des taches blanches sur les ongles seraient signe de chance.)

Mais toutes ces histoires de couteaux à éplucher et de superstitions ne nous ramènent que deux siècles en arrière. Comment faisait-on avant cela?

Plus loin encore

La documentation historique en la matière étant particulièrement mince, la littérature est d’un grand secours pour s’y retrouver. En 1702, par exemple, le dramaturge irlandais George Farquhar faisait référence à la coupe des ongles au couteau (paring) dans The Twin Rivals (Les Jumeaux rivaux)

En remontant plus loin encore, on découvre d’autres choses, comme le fait que les ongles étaient un marqueur social dans la Chine de la dynastie Ming: les ongles longs impliquaient que leurs porteurs ne pouvaient pas travailler et appartenaient donc à des classes élevées. Néanmoins, on peut faire remonter encore plus loin notre intérêt pour les ongles bien entretenus. À l’antiquité romaine, pour être précis.

Ici encore, c’est la littérature qui nous éclaire. Le satiriste Horace fait à plusieurs reprises référence aux ongles dans ses œuvres. Dans ses Satires (35 av. J.-C), notamment, il invente le cliché de l’artiste qui se ronge les ongles nerveusement (ou, comme il l’écrivit lui-même, «…se gratte au front et se ronge les ongles jusqu’au vif, et raturant et refaisant»)

Une œuvre plus tardive, le premier livre des Épitres (vers 20 av. J.-C.), nous offre sans doute notre référence historique la plus parlante. Dans un passage où il présente un personnage, il fait également référence à la coupe des ongles au couteau chez les barbiers. En voici la traduction de Panckoucke:

«Un citoyen actif et ferme, un orateur illustré par ses triomphes au barreau, Philippe, revenait un jour de ses travaux vers huit heures, et se plaignait que l’âge lui allongeât le chemin du Forum aux Carènes, quand il aperçut, dit-on, dans la boutique solitaire d’un barbier, un homme frais rasé qui, un petit couteau à la main, se coupait tranquillement les ongles.»

L’époque d’Horace a aussi été une période charnière pour l’histoire du vernis à ongles. La reine égyptienne Cléopâtre (69 à 30 av. J.-C.) se colorait les ongles couleur rouille intense avec du henné (et en raison des normes sociales de l’époque, c’était l’une des seules à se colorer les ongles en rouge).

Si l’on remonte encore plus loin, il est fait référence à la coupe des ongles dans l’Ancien Testament, Deutéronome 21:12.

«Lorsque tu partiras en guerre contre tes ennemis, que Yahvé ton Dieu les aura livrés en ton pouvoir et que tu leur auras fait des prisonniers, si tu vois parmi eux une femme bien faite et que tu t’en éprennes, tu pourras la prendre pour femme et l’amener en ta maison. Elle se rasera la tête, se coupera les ongles et quittera son vêtement de captive.»

Voici donc un écrit qui fait remonter l’histoire de la coupe des ongles au moins au VIIIe siècle av. J.-C., soit bien avant Valentine Fogerty.

Mais peut-être êtes vous plus intéressé par l’avenir de la coupe des ongles que par son histoire…

Brevet pour le coupe-ongles Antioch. U.S. PATENT OFFICE/PUBLIC DOMAIN

Pour le dire clairement, le coupe-ongles a connu quelques évolutions étonnantes ces dernières années, notamment:

Grosses poignées: Votre coupe-ongles vous glisse régulièrement des mains? Recevant de très bonnes critiques, le coupe-ongles de précision Bezox est peut-être la solution.

Tête pivotante: L’un des problèmes du coupe-ongles classique est que l’une des mains est souvent plus forte et plus habile que l’autre et qu’il n’est donc pas forcément aisé de se couper les ongles avec sa main la plus faible (d’où des problèmes d’ongles qui se plient, etc.). Les coupe-ongles à tête rotative offrent une solution possible à ce problème.

Le coupe-ongles extra long: Sorte de combinaison loufoque des deux premiers appareils avec une grande pince, le coupe-ongles Antioch, est apparu en 2011 pour permettre à ses utilisateurs de se couper les ongles des orteils sans avoir à se pencher, ce qui peut certes être pratique… tant que l’on trouve un endroit où ranger cet encombrant ustensile.

Le coupe-ongles ultra cher: Ses créateurs définissent le Khlip Ultimate Clipper comme le «coupe-ongles ultime», puisque «son design primé» vous offre «plus de contrôle et de précision lors de la coupe de vos ongles». Mais à près de 80 $, on est en droit de se demander s’il est bien raisonnable de débourser une telle somme pour un coupe-ongles. Car comme l’a dit une chronique parue sur Gizmodo: le Klhip Ultimate Nail Clipper est par-dessus tout un coupe-ongles horriblement cher.

L’électrique: Coupe-ongles futuriste, le Vanrro V1 est en quête de financement via un site de crowdfunding. L’appeler «coupe-ongles» prête toutefois un peu à équivoque: c’est plutôt une sorte de lime à ongles électrique, comme il en existe déjà pour chiens. Malheureusement, la campagne de financement n’a, pour l’instant, rassemblé que 264€ et il faut signaler qu’une tentative similaire a déjà été abandonnée le mois dernier.

Mais, au fond, la vraie question ne porte peut-être pas tant sur le coupe-ongles lui-même que sur la bonne manière de se couper les ongles, en assurant une coupe homogène. Heureusement, les conseils en la matière ne manquent pas.

«Observez vos dix ongles et choisissez le plus court, ou celui qui a le moins de “blanc” à son extrémité, a expliqué la star de la manucure Deborah Lippmann, dans an article de GQ. Prenez cet ongle comme référence pour vous assurer de couper tous vos ongles uniformément.»

Lippmann recommande aussi d’utiliser une lime, de prendre soin de ses cuticules pour éviter les petites peaux et de garder une bande de «blanc» au bout des ongles.

Pour le dire autrement, les plus beaux ongles ne sont pas ceux qui ont été coupés avec le coupe-ongles le plus élaboré, mais ceux qui ont été soignés avec le plus d’attention.

http://www.slate.fr

Un Italien veut vendre des chaussures … en or


Comment peut-on dépenser autant pour des chaussures, c’est de l’extravagance à l’état pure ?
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Un Italien veut vendre des chaussures … en or

 

Antonio Vietri veut vendre des chaussures tressées en or 24 carats. - RelaxNews - Marco BERTORELLO / AFP

Antonio Vietri veut vendre des chaussures tressées en or 24 carats. RelaxNews  /  Marco BERTORELLO / AFP

 

(AFP) – Antonio Vietri s’est lancé dans un pari un peu fou: vendre des chaussures tressées en or 24 carats. La cible privilégiée de cet artisan installé dans le nord de l’Italie: les pays du Golfe.

Mocassins en suède bleu ou noir avec empeignes en or: la ligne hommes « est née en 2016, après huit mois d’études et de tentatives », explique à l’AFP l’artisan rencontré à Turin.

« Ce sont les premières chaussures au monde en or 24 carats », affirme-t-il. L’or, qui se présente sous forme de petites bandes, est tressé à la main.

« La particularité de ces chaussures est que l’or n’est pas simplement appliqué, ce n’est pas comme un accessoire ou un bouton. L’or fait partie intégrante de la chaussure, il est cousu avec » le cuir, note Antonio Vietri, qui lance aussi cette année une ligne « or » pour femmes.

« La difficulté était de trouver un juste équilibre entre la résistance de l’or et la flexibilité de la chaussure », note-t-il, car l’objectif reste que les chaussures soient confortables. « Si la chaussure est trop légère, l’or se plie. Si la chaussure est trop lourde, elle fait mal ».

Les chaussures, qui requièrent 230 grammes d’or, sont chacune des pièces uniques, faites sur mesure avec une analyse complète des pieds en scanner 3D.

Antonio Vietri... (Photo Marco Bertorello, Agence France-Presse)

Antonio Vietri

PHOTO MARCO BERTORELLO, AGENCE FRANCE-PRESSE

Elles sont vendues à un prix pouvant aller jusque 25.000 euros pour la collection hommes et 30.000 (36, 000 à 43, 500 cad) pour la ligne femmes. Ce prix comprend la livraison en… hélicoptère: les chaussures arrivent sur des coussinets sis dans une boîte laquée noire.

La collection or vient s’ajouter à une ligne traditionnelle, avec des prix moins extravagants commençant à 250 euros, et à une autre personnalisée par de grands artistes.

La collection luxe comporte des escarpins en soie agrémentés de dessins en poudre d’or ou d’argent. Sur un modèle, il est également possible d’ajouter des perles ou des diamants.

 

http://www.ladepeche.fr/

Les premières maisons permanentes remonteraient à 15 000 ans


 

Les chercheurs ont découvert que la sédentarisation des hommes de la préhistoire a commencé plus tôt qu’on pensait. Et l’indice est les souris de maisons qui augmentaient quand nos ancêtres ont commencé à s’installer de façon permanente pour créer une société humaine
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Les premières maisons permanentes remonteraient à 15 000 ans

 

AFPQC  |  Par Agence France-Presse

Les chasseurs-cueilleurs ont commencé à vivre dans des habitations sédentaires il y a 15 000 ans, bien plus tôt qu’on ne le pensait jusqu’alors, selon une étude publiée lundi, basée sur la présence de souris grises dans ces premières maisons ancestrales.

Quand ces humains ont commencé à s’installer dans des habitations au lieu d’être itinérants, les souris de maison sont peu à peu devenues plus nombreuses que leurs homologues sauvages, note l’étude publiée dans les Comptes rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS).

« Cette étude fournit les premières preuves qu’il y a au moins 15 000 ans, les humains vivaient déjà au même endroit suffisamment longtemps pour avoir un impact sur la faune locale, ce qui a résulté dans la présence dominante de souris grises », précise Fiona Marshall, professeure d’anthropologie à l’Université de Washington à St Louis (Missouri), principal co-auteure.

Jusqu’à présent on estimait que l’essor de l’élevage et des cultures, il y a 12 000 ans, correspondait au moment où les humains avaient commencé à se sédentariser, opérant une transformation dans les relations entre les hommes et le monde animal, notamment avec les petits mammifères comme les souris.

« L’occupation permanente de ces colonies humaines a eu des impacts étendus sur les systèmes écologiques locaux, la domestication animale et les sociétés humaines », estime la scientifique.

En s’installant dans des habitations, qui offraient un abri et un accès durable à de la nourriture pour les petits animaux, ces peuplades ont ouvert la voie au commensalisme, une première étape de la domestication durant laquelle les espèces animales apprennent à tirer avantage de leurs interactions avec les humains, expliquent ces chercheurs.

Selon eux, cette découverte a des implications étendues sur les processus ayant conduit à la domestication animale, dont le premier exemple est le chien.

La domestication du chat a suivi avec le début de l’agriculture, ces félins protégeant les réserves de céréales des souris et des rats.

Abondance de nourriture

L’équipe de chercheurs, dont Thomas Cucchi, du Centre national français de la recherche scientifique (CNRS), et Lior Weissbrod, de l’Université de Haïfa, en Israël, ont examiné les petites variations dans la forme des molaires fossilisées de diverses espèces de souris remontant jusqu’à 200.000 ans.

Ils ont pu reconstituer une chronologie montrant comment les populations de deux espèces de ces rongeurs ont évolué sur un site dans la vallée du Jourdain durant les différentes périodes de mobilité humaine.

L’analyse révèle que le degré de mobilité des groupes humains a agi sur la taille respective des populations de la souris grise (ou « souris de maison ») et de la souris des champs, qui continuent à coexister aujourd’hui autour des habitations modernes en Israël.

Des relations similaires ont été observées chez deux autres espèces de souris parmi les tribus Maasaï, des éleveurs semi-nomades dans le sud du Kenya.

Les souris grises ont commencé à vivre dans les habitations des chasseurs-cueilleurs dans la vallée du Jourdain il y a environ 15.000 ans.

Les chercheurs ont pu également voir que les populations de souris grises augmentaient fortement par rapport à celles de leurs cousines vivant dans la nature quand les groupes humains restaient plus longtemps au même endroit, leur laissant le temps de pleinement profiter de l’abondance de nourriture qui favorisait une plus grande reproduction.

Mais durant des périodes de sécheresse ou de pénurie alimentaire qui forçaient les chasseurs-cueilleurs à déménager plus souvent, les populations de souris de maison et de souris des champs s’équilibraient.

Le même phénomène est constaté aujourd’hui chez les deux espèces de souris vivant parmi ou près des tribus Maasai, dont la mobilité est similaire à celle des populations anciennes de la vallée du Jourdain.

« Cela montre le degré de sensibilité des environnements locaux à la mobilité des groupes humains, ainsi que la complexité de l’impact des hommes sur les écosystèmes, qui remonte loin dans la préhistoire« , ajoute-t-il.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Une brouette pour voler la pièce d’or de 100 kg


Me semble comme vol, ce n’a pas du être facile à déplacé une pièce de monnaie en or de 100 kg,(près de 220.500 livres), qui vaut plus de 6 millions $ Cad et en plus dans un musée. Ils vont sûrement revoir leur système de sécurité.
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Une brouette pour voler la pièce d’or de 100 kg

 

Une pièce identique à celle-ci, exposée à Vancouver... (Chris Helgren, archives REUTERS)

Une pièce identique à celle-ci, exposée à Vancouver en 2010, a été volée dans un musée de Berlin.

CHRIS HELGREN, ARCHIVES REUTERS

 

La Presse Canadienne

Les voleurs qui se sont introduits dans un musée de Berlin ont utilisé une brouette pour repartir avec une imposante pièce d’or de 100 kg frappée par la Monnaie royale canadienne et qui vaut des millions de dollars, a révélé mardi la police de la capitale allemande.

Les policiers ont expliqué qu’au moins deux malfaiteurs sont entrés dans le musée de Bode, tôt lundi matin. Ils auraient utilisé une échelle pour atteindre une fenêtre depuis une voie ferrée surélevée qui longe l’édifice.

Les voleurs se sont ensuite emparés du «Big Maple Leaf Coin», qui était prêté au musée pour sa collection de monnaie depuis 2010, et l’ont placé dans la brouette. Ils sont ensuite ressortis du musée, ont suivi la voie ferrée pour traverser la rivière Spree, puis sont descendus dans un parc à l’aide d’une corde avant de s’enfuir en voiture.

La pièce, d’une épaisseur de trois centimètres et d’un diamètre de 53 centimètres, a une valeur nominale d’un million de dollars, mais son poids lui confère une valeur de 4,5 millions $ US (plus de 6 millions $ CAN) sur le marché.

Les policiers disent qu’elle a probablement été endommagée pendant le cambriolage.

Le porte-parole de la Monnaie royale canadienne, Alex Reeves, a précisé que la pièce n’appartenait pas à la société d’État et que son propriétaire était inconnu.

La Monnaie royale est toujours en possession du «Big Maple Leaf Coin» original, qui a été fabriqué il y a 10 ans lorsqu’elle a lancé sa nouvelle gamme de pièces en or.

Selon M. Reeves, lorsque la pièce originale a été dévoilée, plusieurs personnes ont exprimé le souhait d’en acheter une.

«C’est alors devenu un produit qui était fabriqué sur demande, et les clients qui versaient un acompte non remboursable s’en faisaient fabriquer une», a-t-il expliqué.

Au total, cinq pièces ont été produites et vendues de cette façon, a-t-il ajouté. Celle qui a été volée en Allemagne en fait partie.

http://www.lapresse.ca/

Découverte inédite dans le "Jurassic park" australien


Ça prend des découvertes comme ils ont fait en Australie, pour qu’une gazière recule leur projet. Quoiqu’il en soit, des empreintes de divers dinosaures ont été trouvées datant de 140 millions d’années
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Découverte inédite dans le « Jurassic park » australien

 

© afp.

Le « Jurassic parc » australien a failli disparaître au nom de l’exploitation gazière mais des chercheurs ont découvert 21 types différents d’empreintes de dinosaures dans des roches datant jusqu’à 140 millions d’années.

Une équipe de paléontologues de l’Université du Queensland et de l’Université James Cook ont examiné des milliers d’empreintes sur 25 kilomètres dans la région reculée de Waldamany, en Australie occidentale.

« Sans précédent »

Steve Salisbury, principal auteur d’une étude publiée par le Memoir of the Society of Vertebrate Paleontology, a expliqué lundi qu’il s’agissait de l’assemblage d’empreintes le plus divers de la planète.

« C’est sans précédent dans le monde ».

« Dinosaures non aviaires »

« C’est très important, c’est la trace de dinosaures non aviaires dans la partie occidentale du continent et notre seul aperçu de la faune des dinosaures australiens pendant la première moitié du Crétacé inférieur », a-t-il dit. « C’est un endroit magique, c’est le Jurassic Park australien, dans un paysage sauvage spectaculaire ».

Quatre groupes de dinosaures

Parmi ces 21 types de traces différentes, les chercheurs ont identifié quatre principaux groupes de dinosaures.

« Il y a cinq types différents d’empreintes de dinosaures prédateurs, au mois six types d’empreintes de sauropodes herbivores à long cou, quatre types de traces d’ornithopodes herbivores bipèdes, et six types de traces de dinosaures à armure ».

http://www.7sur7.be/

Découverte d’une étrange créature à deux têtes La chenille serpent


C’est une étrange chenille, mais inoffensive. Elle apparait comme un serpent a deux têtes et 3 yeux pour faire peur à d’éventuels prédateurs qui aimerait bien avoir un repas copieux
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Découverte d’une étrange créature à deux têtes

 

Découverte d'une étrange créature à deux têtes

La chenille serpent

Dans un jardin de Santa Fe en Argentine, une habitante est tombée sur une étrange créature. Avec un corps longiligne de 10 centimètres, elle ressemblait à un serpent avec «deux têtes» et «trois yeux».

La nature n’a visiblement pas fini de nous fasciner. Pour preuve, l’étrange créature qui suscite le débat depuis plusieurs semaines sur le net. Le spécimen en question a été repéré dans un jardin par une habitante de Santa Fe en Argentine. Intriguée par son aspect, Lujan Eroles a capturé plusieurs photos et vidéos qu’elle a postées en février sur son profil Facebook.

Les images n’ont pas mis longtemps à faire réagir les internautes. Il faut dire que la créature en question présente effectivement un aspect pour le moins inhabituel. Dotée d’un corps longiligne d’une dizaine de centimètres, elle semble présenter «deux têtes» et «trois yeux» disposés de part et d’autre. Une allure qui lui donne un peu des airs de serpent. 

D’ailleurs, certains ont pensé qu’il s’agissait bien d’un serpent dont le corps aurait été endommagé. Mais non, son identité est tout autre : il s’agit en réalité d’une chenille de papillon.

ESPÈCE MYSTÉRIEUSE

On peut en avoir la confirmation lorsque la créature est retournée dans la vidéo : on peut apercevoir de minuscules pattes sous elle. D’après les experts, il s’agirait plus précisément d’une chenille de Sphingidés ou Sphinx, une famille de lépidoptères d’assez grande taille et qui sont pour la plupart nocturnes ou crépusculaires.

Certains commentaires et médias affirment même que le spécimen en question serait une chenille de grand sphinx de la vigne (Deilephila elpenor). Toutefois, cette espèce étant uniquement présente en Europe et en Asie, des spécialistes ont contredit cette théorie. L’identité exacte de la chenille reste donc pour le moment un mystère.

Néanmoins, son aspect n’est pas si étrange. Les chenilles de plusieurs papillons sont connues pour se déguiser afin d’échapper aux prédateurs.

«Les chenilles sont les hot-dogs de la nature et de nombreux animaux les voient comme un en-cas savoureux», a expliqué au National Geographic Katy Prudic, entomologiste de l’Université d’Arizona.

DES CHENILLES EXPERTES EN DÉGUISEMENT 

Avant de devenir des papillons, les chenilles ont en effet un aspect très simple et souvent inoffensif. Elle ont également une masse de graisse importante qui les rend encore plus délicieuse. Pour éviter de servir de repas aux autres animaux, de nombreuses chenilles ont ainsi mis au point des stratégies pour se camoufler.

Tandis que certaines se fondent dans la végétation ou imitent par exemple les crottes d’oiseau, les chenilles de Sphingidés ont décidé de miser sur la crainte que les serpents suscitent.

Du point de vue d’un oiseau, «vous pensez avoir trouvé un hot-dog délicieux que vous allez manger mais il se tourne et gonfle sa tête pour ressembler à un serpent», a décrit Katy Prudic.

L’effet est alors immédiat : «le prédateur va souvent lâcher la proie ou s’enfuir», a poursuivi la spécialiste.

Dans le cas présent, la chenille est passée experte dans l’art du déguisement, affichant des couleurs très ressemblantes et allant jusqu’à présenter un œil qui semble cligner comme un vrai.

INOFFENSIVE

«Je n’avais jamais rien vu de semblable. C’était exactement comme un serpent et ses yeux étaient tellement étranges», a confié Lujan Eroles au Daily Mail. «J’ai regardé vers le bas et j’ai vu l’étrange animal, j’ai eu peur sachant qu’il pouvait être venimeux».

Une preuve que la stratégie de la chenille est parfaitement au point puisque les Sphingidés ne sont en réalité pas toxiques, du moins pour les humains.

Leur développement et la durée de leur métamorphose varient en fonction de l’espèce et de l’environnement, notamment de la température. À l’heure actuelle, quelque 1 450 espèces de Sphingidés sont répertoriées.

http://fr.canoe.ca