Paradoxe


S’accepter comme tel que nous sommes parait tellement simple et pourtant, nous avons de la difficulté avec l’image de nous-même. La seule façon de s’améliorer est de s’accepter, sinon on ne fait que tourner en rond
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Paradoxe

 

 

Il existe un curieux paradoxe : quand je m’accepte tel que je suis, alors je peux changer.

Carl Rogers

Voyez la réaction de ce bébé surpris de mieux voir avec des lunettes


Un bébé danois reçoit des lunettes de force +7. Il parait perplexe, mais quand il voit sa mère avec sa nouvelle vision, le visage dessine un large sourire. Et son sourire est très communicant quand on visionne la vidéo mise par sa mère Christine Rosenhøj,
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Voyez la réaction de ce bébé surpris de mieux voir avec des lunettes

 

Le Saviez-Vous ► «Le pain retourné», «le riz sur les mariés», «le parapluie dans la maison»… Savez-vous d’où viennent ces superstitions, vœux de chance et de malheur ?


On connait plusieurs superstitions que certains croient encore. Mais d’autres existent qui sont peut-être moins connues
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«Le pain retourné», «le riz sur les mariés», «le parapluie dans la maison»… Savez-vous d’où viennent ces superstitions, vœux de chance et de malheur ?

1. Que touchait-on au Moyen Age lorsque l’on « touchait du bois » ?

On touchait la croix du Christ. Toucher ce matériau était une façon de se protéger du malheur.

Deux millénaires avant notre ère, l’expression était employée chez les Perses pour invoquer Atar, génie du feu et symbole de protection des âmes.

2. Pourquoi fallait-il trinquer au Moyen Age « les yeux dans les yeux » ?

Pour éviter de se faire empoisonner. Il était courant à l’époque d’assassiner ses ennemis par empoisonnement. Aussi pour s’assurer de l’honnêteté de son compagnon de verre, on avait l’habitude de violemment entrechoquer sa chope contre la sienne, tout en ne le quittant pas du regard.

Si la chope avait contenu du poison, des gouttes se seraient alors déversées dans le contenant de l’hôte, l’obligeant à vérifier son verre et donc détourner le regard.

3. Que lançait-on à l’époque sur les mariés pour leur porter chance ? 

Des graines. Selon la tradition païenne, il était de coutume de lancer sur les mariés des graines, symbolisant la fertilité.

4. A quel siècle cessa-t-on de brûler des chats noirs, « représentations du diable »?

Le XVIIIe siècle. Jusqu’à cette époque, le chat noir était considéré comme le complice des sorcières et le symbole de Satan. Pour se protéger de ces animaux, les habitants n’hésitaient pas à les torturer et les brûler.

5. Quelle couleur ne faut-il pas porter sur la scène d’un théâtre?

Le vert. La couleur portait malheur pour trois raisons : Au Moyen Age, pour obtenir des étoffes vertes, il fallait utiliser de l’oxyde de cuivre, un composé toxique qui effrayait les comédiens qui revêtaient les habits à même la peau.

Le vert était aussi la couleur que portait le personnage de Judas dans La passion du Christ. Un rôle de traître que ne supportait pas le public, qui attendait alors l’acteur à la fin de la pièce pour le brutaliser.

Enfin, selon la légende, porter du vert serait une façon d’attirer le mauvais oeil sur soi. Molière étant mort en interprétant le Malade Imaginaire dans un costume vert. Sauf, que ce dernier n’est pas décédé sur scène mais quelques temps plus tard, vêtu d’une robe rouge.

6. D’où vient la superstition qui consiste à croire qu’il ne faut pas « ouvrir un parapluie chez soi » ?

De Londres. Au XVIIIe siècle, les parapluies à armatures métalliques apparaissent. Leurs systèmes d’ouverture, peu pratiques, provoquent souvent des accidents : des verres cassés, des bibelots éraflés… Ces mésaventures passèrent dans les croyances populaires comme l’arrivée prochaine d’un malheur.

7. De quoi « le pain retourné » est-il le synonyme  ?

La mort. Au Moyen Age, le boulanger avait coutume de réserver un morceau de pain au condamné à mort. Pour le reconnaître de toutes ses miches, il le plaçait ainsi à l’envers.

8. Quel chiffre porte malheur en Chine ?

Le 4. En chinois, le chiffre « quatre » et le mot « mort » se prononcent de la manière.

9. Quelle couleur faut-il éviter de porter en Espagne ?

Le jaune. Couleur de l’enfer pour certains, le jaune serait aussi pour d’autres, la couleur de Judas.

10. Qui « montrait du doigt » les gens au Moyen Age ?

Les sorcières. Selon les croyances populaires, les sorcières choisissaient leurs victimes en les montrant du doigt.

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La grippe d’homme existe bel et bien… du moins chez la souris


La maladie n’agit pas de la même façon quand on est un homme ou une femme. La grippe en serait un exemple. Quand on parle de grippe d’homme pour exprimer souvent que ces messieurs exagèrent, ne serait en fin du compte pas une légende urbaine, mais que les symptômes sont plus sévères
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La grippe d’homme existe bel et bien… du moins chez la souris

 

Photo : iStock

Des souris mâles infectées par la grippe montrent plus de comportements associés à la maladie que les souris femelles, montrent des travaux réalisés par des chercheurs canadiens.

Un texte d’Alain Labelle


Les mâles ne joueraient donc pas la comédie lorsqu’ils se plaignent des symptômes de la grippe. La Pre Nafissa Ismail et ses collègues de l’École de psychologie de l’Université d’Ottawa ont établi que la température corporelle des rongeurs mâles affiche davantage de fluctuations et que ceux-ci mettent aussi plus de temps à se rétablir.

Mes données soutiennent l’idée que la grippe d’homme n’est pas qu’un mythe. Pre Nafissa Ismail

Pour l’établir, son équipe a exposé des souris mâles et femelles, adultes et pubères, à une toxine bactérienne qui provoque les mêmes symptômes que la grippe humaine.

Les souris exposées ne se blottissent évidemment pas sous les couvertures, mais elles se tiennent l’une contre l’autre, perdent l’appétit et ont les paupières lourdes.

« Les symptômes physiques des souris adultes mâles étaient visiblement pires que ceux des souris adultes femelles et des souris pubères des deux sexes », affirme la chercheuse.

D’autres symptômes, comme l’inflammation et la fièvre, étaient aussi plus marqués.

Selon la Pre Ismail, cette étude est unique parce qu’elle compare des souris mâles et femelles, mais aussi des souris adultes et pubères.

Elle a également établi que les rongeurs pubères se rétablissent beaucoup plus vite, car leur système immunitaire en développement sous-réagit aux infections.

Le détail de l’étude, intitulée « Age and sex differences in immune response following LPS treatment in mice », est publié dans la revue Brain, Behaviour and Immunity.

Ces travaux s’inscrivent dans le prolongement d’autres recherches qui avaient mis au jour le rôle des hormones sexuelles dans les différentes réponses immunitaires chez les mâles et les femelles.

D’autres travaux réalisés depuis quelques années ont déjà montré que les hommes ont un système immunitaire plus faible que celui des femmes. La testostérone (l’hormone sexuelle mâle) est généralement considérée comme un immunosuppresseur, tandis que l’estrogène (l’hormone sexuelle femelle) est considéré comme un immunostimulant.

http://ici.radio-canada.ca/

Un manchot géant au pays des dinosaures


Un manchot géant à été découvert en Nouvelle-Zélande, ce qui est plutôt intéressant, c’est que dans même zone, il avait de la diversité dans les manchots ce qui suggère que l’ancêtre commun existait pendant l’ère des dinosaures. L’ancêtre aura donc survécu à l’extinction des dinosaures ..
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Un manchot géant au pays des dinosaures

 

L'illustration d'un artiste des manchots géants.... (Chris GASKIN, Geology Museum University of Otago, AFP)

L’illustration d’un artiste des manchots géants.

CHRIS GASKIN, GEOLOGY MUSEUM UNIVERSITY OF OTAGO, AFP

Agence France-Presse
Paris

 

La découverte d’un fossile de manchot géant, vieux de 61 millions d’années, ouvre la voie à une image étonnante : les tous premiers représentants de ces oiseaux marins à la démarche chaloupée auraient côtoyé les dinosaures.

Le fossile découvert sur l’Ile du sud de Nouvelle-Zélande par un collectionneur amateur représente « l’un des plus anciens fossiles de manchot au monde », selon l’étude parue jeudi dans la revue scientifique The Science of Nature.

Selon les conclusions d’une équipe de chercheurs allemand et néo-zélandais, l’animal aurait foulé la glace il y a 61 millions d’années, au Paléocène.

Mais ce n’est finalement pas son grand âge qui interpelle les scientifiques, c’est plutôt son squelette. Très grand, il diffère énormément des autres fossiles de manchots datant approximativement de la même époque.

Car un autre manchot appelé « Waimanu manneringi » avait également été découvert le long de la même rivière Waipara dans la région de Canterbury. On avait déjà estimé qu’il devait avoir environ 61 millions d’années.

Mais « les deux manchots, provenant exactement de la même localité, sont morphologiquement très différents », explique à l’AFP Gerald Mayr du Forschungsinstitut Senckenberg, le musée d’histoire naturelle de Francfort (Allemagne), coauteur de l’étude.

Haut de 1,50 mètre, le nouveau venu, baptisé le « manchot géant waipara », mesure près de 30 cm de plus que le manchot empereur, le plus grand et le plus lourd représentant actuel de cette famille d’oiseaux marins.

« Les os des pattes que nous avons étudiés montrent que ce manchot était significativement plus grand que son congénère précédemment découvert », explique Gerald Mayr.

Or si une espèce est très diversifiée au Paléocène, cela implique qu’un ancêtre commun aux différents descendants les a précédés, « cinq à dix millions d’années plus tôt », précise l’ornithologue.

Et cinq à dix millions d’années avant le Paléocène c’était… l’ère des dinosaures ! Les monstres préhistoriques ont peuplé la planète jusqu’à il y a 65 millions d’années et leur extinction totale.

« Cette diversité indique que les premiers représentants des manchots existaient déjà à l’âge des dinosaures, il y plus de 65 millions d’années », conclut Gerald Mayr.

En outre, selon l’équipe de chercheurs, les grands pieds du « manchot géant waipara » indiquent qu’il avait certainement déjà acquis la station verticale et sa démarche dandinante si caractéristique.

http://www.lapresse.ca/

Des bébés, victimes collatérales de la crise des opioïdes


C’est triste tout le tort que la drogue peut faire aux utilisateurs ainsi qu’aux bébés des femmes enceinte. Il y a une épidémie de consommation des opioïdes. Les femmes enceinte font souvent des fausses couches où acceptent de prendre de la méthadone pendant leur grossesse. Cependant, le bébé nait avec une dépendance et le sevrage est difficile et demande beaucoup d’attention. Ce qui donne une chance au bébé, S’il peut grandir dans un milieu stable sinon … leur avenir est gravement compromis
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Des bébés, victimes collatérales de la crise des opioïdes

 

Ce sont des victimes collatérales de l’épidémie de consommation d’opioïdes. Les bébés de mères toxicomanes viennent au monde toxicomanes à leur tour. Même quand la mère a accepté de remplacer la drogue par la méthadone, pour éviter une fausse-couche.

Un texte d’Alexandra Szacka

C’est le cas de Twanda, 30 ans. Déjà maman de trois jeunes enfants, elle a eu un accident de voiture qui lui a infligé un mal de dos chronique. Soignée aux antidouleurs à base d’opioïdes, elle y a vite pris goût. Quand le médecin n’a plus voulu lui en prescrire, elle a commencé à s’approvisionner illégalement, dans la rue.

Elle est tombée enceinte de son petit dernier et, ne voulant pas le perdre, elle a accepté de prendre de la méthadone. Le petit Kayel est tout de même venu au monde dépendant… à la méthadone. Il a dû rester plus de trois mois à l’hôpital Einstein de Philadelphie pour être sevré. On lui a administré un cocktail de médicaments, dont la morphine, pour soulager ses symptômes.

« Entre 4 et 6 heures suivant la naissance, les bébés commencent à trembler, ils pleurent, ils sont inconsolables. Ils commencent à ressentir les symptômes du sevrage parce qu’ils sont séparés de leur source que représente la mère », dit l’infirmière en chef du département des soins intensifs en néonatologie de l’Hôpital Einstein, Maryann Malloy.

Les bébés nés de mères toxicomanes ont non seulement besoin de médicaments, mais aussi de présence humaine. Ils ont constamment besoin d’être bercés, tenus dans les bras. Ils ont besoin d’être rassurés. Or, tous les bébés n’ont pas la chance de Kayel, dont la maman vient le visiter presque tous les jours.

Twanda et le petit Kayle

Twanda et le petit Kayel Photo : Radio-Canada

Dans la plupart des cas, les mamans disparaissent, souvent sans laisser de traces. C’est le cas de la petite voisine de Kayel et d’un autre bébé aux soins intensifs à l’Hôpital Einstein. Sur les 12 bébés hospitalisés là-bas, 3 s’y trouvent pour un sevrage.

Des bénévoles berceuses

Pour venir en aide à ces bébés toxicomanes abandonnés, l’Hôpital a recours à des bénévoles berceuses, qui viennent donner quelques heures de leur temps uniquement pour bercer les bébés et les tenir dans leurs bras.

Des programmes similaires ont vu le jour dans presque tous les hôpitaux de Philadelphie qui disposent de service de néonatologie. À l’Hôpital Abington, le Dr Gérard Cleary s’alarme.

« Le nombre de bébés nés de mères dépendantes aux opioïdes a augmenté de 250 % au cours des 15 dernières années », affirme-t-il, tout en insistant sur la nécessité d’abord de bien diagnostiquer le bébé, dont les mamans peuvent cacher leur consommation d’opioïdes, souvent prescrits par les médecins.

Mais, une fois sevrés, ces bébés ont-ils des chances de mener une vie normale? Oui, disent tous les spécialistes que nous avons rencontrés. Le problème, en fait, n’est pas physique, car la plupart du temps, il n’y a pas de séquelles permanentes au cerveau ou ailleurs dans l’organisme. Le problème est plutôt social.

Le Dr Jeanmarie Perrone est urgentiste spécialisé dans le traitement des toxicomanies.

« Si l’enfant était adopté par une famille saine, il pourrait surmonter le handicap d’être né avec une dépendance aux opioïdes. La majorité des problèmes sont causés par leur retour dans un milieu instable », dit-il.

Eryka Waller, la travailleuse sociale qui s’occupe du petit Kayel à l’Hôpital Einstein, insiste sur le rôle de la mère.

Bien sûr, le bébé est touché, mais si la mère se reprend en main, si elle est présente pour son enfant et qu’elle en prend soin, ça aide beaucoup. Eryka Waller, travailleuse sociale

Le Dr Cleary, de l’Hôpital Abington, abonde dans le même sens. Il va même jusqu’à dire qu’il n’est pas rare de voir les femmes toxicomanes pour qui la grossesse constitue la motivation nécessaire pour entreprendre une cure de désintoxication.

Des mères vulnérables

Toutefois, les choses ne sont pas toujours aussi simples. Car ces toxicomanes futures mamans sont très vulnérables. C’est le cas d’Andrea, 34 ans, que nous avons rencontrée dans le quartier de Kensington, un des pires de Philadelphie. Ici, en novembre dernier, on a compté 50 surdoses, dont 9 mortelles en une seule journée.

Andrea

Andrea Photo : Radio-Canada

Andrea se drogue depuis l’âge de 14 ans. Cela ne l’a pas empêchée de mettre au monde quatre enfants. Le premier, elle l’a tout de suite donné en adoption. Les deux suivants vivent en famille d’accueil, chez son frère. Il prend soin d’eux tant qu’Andrea est dans la rue.

Quand elle est tombée enceinte la dernière fois, d’une fille, elle a décidé de se reprendre en main. Elle est allée en cure de désintoxication, a pris de la méthadone.

« J’ai été sobre pendant toute ma grossesse et pendant l’hospitalisation de ma fille », nous dit-elle sur le trottoir où elle est venue chercher un peu de réconfort et des vêtements chauds distribués par un organisme de charité.

« Mais 4 heures avant son départ de l’hôpital, ils m’ont annoncé qu’elle ne viendrait pas avec moi. Alors j’ai fait une rechute. »

Aujourd’hui, Andrea vit dans la rue et se prostitue pour se procurer de l’héroïne. Elle ne voit pas le jour où elle pourra récupérer sa petite dernière et les deux autres.

Twanda, elle, a eu plus de chance. Son petit Kayel est sorti de l’hôpital après trois mois de cure et elle a pu l’emmener à la maison. Depuis, nous dit l’infirmière en chef, elle revient régulièrement pour le faire voir à l’équipe du département de néonatologie, qui s’est beaucoup attachée à lui. Le petit Kayel qui, en venant au monde toxicomane, a peut-être sauvé la vie de sa mère.

Le chemin de fer où se fait le trafic d'opioïdes à Philadelphie

Le chemin de fer où se fait le trafic d’opioïdes à Philadelphie Photo : Radio-Canada/Caroline Girard

ci.radio-canada.ca/

Les médecins devraient-ils prescrire la marche à leurs patients?


C’est un fait quand un médecin prescrit généralement les patients sont plus enclins de suivre l’ordonnance. Alors, prescrire la marche, il est possible que cela puisse inciter plusieurs personnes à marcher, quoique cela devrait inné que sans être un sportif, la marche demeure un sport idéal
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Les médecins devraient-ils prescrire la marche à leurs patients?

 

WALKING FEET

La prescription formelle de marche par un médecin, combinée à l’utilisation d’un podomètre, peut augmenter de 20 % le nombre de pas quotidiens réalisés par les patients, selon une étude menée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill.

Cela s’accompagne en plus de bienfaits mesurables sur la santé, comme une baisse de la glycémie et de la résistance à l’insuline chez les personnes souffrant d’hypertension et de diabète de type 2.

L’étude a été menée auprès de 364 patients et 74 médecins dans différents hôpitaux de Montréal. Tous les patients continuaient leur routine médicale habituelle avec leur médecin, mais certains d’entre eux devaient effectuer, en plus, un nombre de pas donné et les quantifier à l’aide d’un podomètre. Après un an, les patients s’étant vu prescrire de la marche avaient effectué 1200 pas de plus par jour en moyenne que les autres. En outre, on note chez les deux tiers de ces patients une baisse de la glycémie, et parfois une amélioration de la résistance à l’insuline.

Publiée dans la revue Diabetes, Obesity, and Metabolism, cette étude serait la première à prouver qu’une ordonnance de pas remise par un médecin peut s’avérer bénéfique pour la santé du patient.

Il est recommandé de faire au moins 10 000 pas par jour pour ressentir les bienfaits de l’exercice sur notre santé. Les personnes qui font moins de 5000 pas par jour s’exposeraient à un risque élevé d’hypertension et de diabète de type 2 – des maladies qui peuvent occasionner une crise cardiaque, un infarctus ou une cécité

http://quebec.huffingtonpost.ca