Nous pouvons tous faire quelque chose pour améliorer notre quotidien et celle des autres
Nuage
Le crayon
Si tu ne peux pas être le crayon qui écrit le bonheur, sois la gomme qui efface la tristesse
Inconnu
Nous pouvons tous faire quelque chose pour améliorer notre quotidien et celle des autres
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Le crayon
Si tu ne peux pas être le crayon qui écrit le bonheur, sois la gomme qui efface la tristesse
Inconnu
Même chez les vétérinaires, une caméra de surveillance est utile pour ceux qui veulent entrer par infraction et peut voir aussi des évasions. Un Husky sibérien en Chine s’est libéré de sa cage et a libéré ses copains canins
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Notre corps est une machine très élaborée et comme n’importe quelle machine, quand il y a des anomalies, cela demande une attention et d’être à l’écoute de notre corps. Certains signaux ne sont que passagers alors que d’autres sont plus réguliers et cela pourrait être un avertissement pour aller consulter un médecin
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10 signaux émis par notre corps et qui doivent être pris au sérieux.
Des cernes sous les yeux.
Les cernes peuvent apparaître lorsque vous ne dormez pas assez. Les médecins recommandent de dormir pas moins de 7-8 heures toutes les nuits. Elles peuvent cependant résulter de quelque chose de complètement différent, comme une anémie. C’est à dire lorsque le corps ne produit pas assez de globules rouges, ce qui provoque l’assombrissement de la peau située sous les yeux.
Des changements de couleur de vos doigts.
Si vous remarquez que vos doigts changent souvent de couleurs, vous devriez savoir que la cause de ces modifications est sérieuse. C’est un signe du syndrome de Reynaud, une pathologie caractérisée par le fait que les basses températures provoquent des spasmes dans les vaisseaux sanguins, causant les modifications de couleurs de la peau de vos doigts.
Une vision trouble.
Si vos yeux sont souvent fatigués et que vous commencez à remarquer que vous êtes occasionnellement incapable de reconnaître des gens ou les panneaux routiers à une distance ne vous posant pas problème d’ordinaire, il y a des risques que vous développiez une myopie ou un astigmatisme. Vous devriez consulter un ophtalmologue.
Des taches devant vos yeux.
Elles peuvent prendre diverses formes, il peut s’agir de points ou de bandes. Elles peuvent apparaître de manière soudaine et souvent en présence d’une lumière blanche lumineuse. Si vous en voyez régulièrement pendant plus d’une semaine, consultez un ophtalmologue. Cela peut être un signe avant-coureur de cataracte ou d’autres graves problèmes de vue.
De la « musique » dans votre estomac.
Les grondements dans votre estomac sont causés par les processus à l’œuvre dans vos intestins. Si cela se produit seulement rarement, vous n’avez nulle raison de vous inquiéter. Mais si vous constatez que votre estomac produit des bruits de manière régulière ou si cela s’accompagne de douleurs, vous devriez immédiatement consulter un médecin.
La peau qui pèle.
La peau qui pèle est un signe que votre corps manque de vitamines. Un régime équilibré peut permettre à votre peau de revenir rapidement à son état normal. Si le phénomène s’accompagne de démangeaisons, vous devriez consulter sans tarder un médecin. Il est possible qu’il s’agisse d’une infection fongique.–
Une perte partielle de l’odorat.
La réduction de l’acuité de votre sens de l’odorat lorsque vous vieillissez résulte de dommages sur le système nerveux. Mais si vous êtes encore relativement jeune et que vous commencez à constater que vous perdez votre odorat, vous devriez immédiatement consulter un médecin. Cela peut être provoqué par un puissant rhume ou une autre infection virale.
Les clignements de paupières.
Des clignements prolongés des paupières peuvent indiquer que vos yeux ont été trop stimulés. Pour contrer cela, vous devriez vous laver les yeux à l’aide d’un coton imbibé d’eau froide. Si cela ne fonctionne pas et que les clignements persistent, vous devriez solliciter l’aide d’un neuropathologiste. Il est possible que cela soit le signe d’un grave problème au niveau de votre système nerveux.
Des tintements dans les oreilles.
L’acouphène est la sensation d’avoir un tintement ou un autre bruit lancinant dans les oreilles. De nombreuses personnes tentent de ne pas prêter attention à cette sensation, pensant que cela ne menace pas leur santé. Mais ce tintement permanent est fort probablement causé par une maladie.
La cause la plus répandue de ce son lancinant dans vos oreilles reste toutefois le bruit fort et constant régnant dans certains types d’environnements professionnels.
La luxation de l’épaule.
Chez certaines personnes, les articulations des épaules sont lâches ou peuvent adopter un nombre inhabituel de positions. C’est un signe d’une articulation de l’épaule instable, une pathologie qui se caractérise par le fait que la boule de l’os de l’épaule sort de la cavité articulaire.
Cela peut-être le cas chez les individus tout simplement nés avec des ligaments très flexibles, ou cela peut être causé par une blessure sportive. Cependant, dans ces deux cas, il s’agit d’une pathologie sérieuse qui peut entraîner des blessures et des luxations.
Une bactérie qui survit dans des environnements extrêmes et qui réduit les métaux en semi-métalliques. Pourrait être la solution pour les mines fortement contaminées et rendre le tout moins toxique. La question que je me pose, si on implante des bactéries ailleurs, peuvent-ils s’échapper ? Peuvent-ils vivre dans un environnement moins pollué ?
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Une vue du parc provincial Nopiming dans l’est de la province du Manitoba. Photo : Wilderness Committee
Une nouvelle bactérie toxique qui réduit les éléments chimiques semi-métalliques pourrait à terme être utilisée pour le traitement des lieux contaminés, selon une récente étude publiée dans la revue Canadian Journal of Microbiology.
Les auteurs de cette étude ont découvert cette bactérie dans le site hautement pollué d’une ancienne mine d’or dans le parc provincial Nopiming, au Manitoba. Selon eux, elle constituerait un élément clé pour de futures technologies de bioassainissement.
Une nouvelle bactérie toxique qui réduit les éléments chimiques semi-métalliques pourrait à terme être utilisée pour le traitement des lieux contaminés, selon une récente étude publiée dans la revue Canadian Journal of Microbiology.
Les auteurs de cette étude ont découvert cette bactérie dans le site hautement pollué d’une ancienne mine d’or dans le parc provincial Nopiming, au Manitoba. Selon eux, elle constituerait un élément clé pour de futures technologies de bioassainissement.
« Ces bactéries ont la capacité de convertir les composants toxiques qui existent à la suite des activités minières dans des formes moins toxiques », explique le docteur Vladimir Yurkov, professeur à l’Université du Manitoba.
Nous voulions examiner la résistance bactérienne aux déchets toxiques, ce qui serait un atout important dans le contexte des mines fortement polluées. Nous avons également visé à enrichir notre compréhension de la diversité microbienne des environnements extrêmes, sachant que la grande majorité de ces microbes et leurs utilisations potentielles restent à découvrir. Vladimir Yurkov, professeur à l’Université du Manitoba
Selon cette étude, la bactérie appartient à la famille des phototrophes anoxygéniques aérobies (AAP), un groupe de bactéries observées dans de nombreux environnements différents, y compris dans les environnements extrêmes.
Les habitats qui présentent des concentrations extrêmement élevées d’oxydes métalloïdes sont toxiques, mais les AAP sont capables de survivre dans ces endroits. Ces bactéries le font en convertissant les composés toxiques en des formes moins nocives par un processus appelé réduction.
Pour les scientifiques, les microbes capables d’éliminer les composés toxiques de leur environnement sont potentiellement bénéfiques pour la bioremédiation, c’est-à-dire l’utilisation de bactéries pour nettoyer les environnements contaminés.
La mine d’or Central Gold Mine a été en service de 1927 à 1937 et, bien que la mine ait été abandonnée depuis plus de 75 ans, les résidus restent fortement pollués par des oxydes métalloïdes lourds.
« Les observations menées par les chercheurs ont montré que les échantillons prélevés pouvaient se développer malgré de grands écarts de température, l’acidité et la teneur en sel », notent les auteurs de l’étude.
Par ailleurs, ils se sont tous montrés très résistants aux oxydes métalloïdes toxiques et peuvent convertir la tellurite toxique en tellure élémentaire moins toxique, un procédé qui pourrait potentiellement contribuer à la décontamination des résidus.
« L’identification de nouveaux microbes qui peuvent habiter des environnements extrêmes que la plupart des autres formes de vie ne peuvent tolérer pourrait conduire au développement d’outils pour la désintoxication de l’environnement », estiment désormais les chercheurs.
Une espèce bizarre (comme bien des animaux préhistoriques) a vécu il y a 250 millions d’années dans les mers. On croyait d’après son classement qu’il était ovipare, alors qu’un foetus a été trouver dans le fossile de sa mère gestante ce qui change encore les idées sur l’évolution des systèmes de reproducteur
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Photo : Dinghua Yang
Un embryon a été découvert dans les restes fossilisés d’un Dinocephalosaurus. Ce monstre aquatique vivait il y a 250 millions d’années dans les mers de ce qui est aujourd’hui devenu la Chine. C’est une première preuve de gestation pour des animaux jusqu’à tout récemment reconnus pour pondre des œufs.
Explication.
Radio-Canada avec Agence France-Presse
Un texte d’Alain Labelle
Décrivons d’abord la bête à l’esthétique particulière. Le Dinocephalosaurus, un animal de plus de 2 mètres, possédait un cou deux fois plus long que son corps. Sa mâchoire impressionnante et ses dents en faisait un prédateur redoutable qui se nourrissait principalement de poissons et de calmars.
Ce « lézard à terrible tête », comme son nom l’indique, appartenait à la famille des archosauriens, comme les dinosaures, les oiseaux et les crocodiliens. Des animaux ovipares, c’est-à-dire qui se reproduisent en pondant des œufs.
Gestation surprise
La découverte dans son ventre d’un petit embryon a surpris l’équipe internationale de paléontologues qui a analysé les restes fossilisés. C’est que, jusqu’à aujourd’hui, le Dinocephalosaurus était considéré comme un animal ovipare. Il s’agirait plutôt d’une espèce gestante, c’est-à-dire qu’une femelle porte son petit depuis la conception jusqu’à l’accouchement.
L’embryon découvert représente environ 12 % de la taille de sa mère.
J’étais tellement excité quand j’ai vu cet embryon. Jun Liu, de l’université de Hefei en Chine
Le foetus est dans une position typique des embryons de vertébrés : le dos est courbé et la tête est inclinée.
La gestation est grandement associée aux mammifères. Mais il existe également des lézards et des serpents dont les bébés « éclosent » à l’intérieur de leur mère et émergent sans passer par des œufs avec coquilles.
Les auteurs de ces travaux sont certains qu’il s’agit bien d’un embryon et non pas des restes du dernier repas de la femelle, parce qu’il est tourné vers l’avant. Les prédateurs avalent plutôt leur proie en commençant par la tête pour l’aider à descendre, explique le paléontologue Jun Liu.
De plus, la femelle et l’embryon appartiennent à la même espèce.
Cette découverte modifie notre compréhension de l’évolution des systèmes reproducteurs. Jusqu’à maintenant, on pensait que tous les animaux de cette lignée étaient ovipares, qu’il s’agissait d’une contrainte biologique touchant cette lignée. Jun Liu
Le Pr Chris Organ, de l’université d’État du Montana, qui a aussi participé à ces travaux publiés dans la revue Nature, affirme que le sexe d’un bébé Dinocephalosaurus est déterminé au niveau génétique, comme chez les mammifères et les oiseaux.
Or, chez ses plus proches parents vivants aujourd’hui, comme les tortues et les crocodiliens, le sexe de la progéniture est plutôt déterminé par la température d’incubation des œufs.
On refuse de vieillir et peu importe les moyens on est prêt a essayer n’importe quoi pour rester jeune, même pour les organes génitaux. Mais qui est prêt à mettre ses parties intimes dans l’azote liquide avec des températures oscillant à -160 degrés ?
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La cryothérapie ferait aussi des merveilles auprès des parties génitales.Photo Fotolia
À Manchester en Angleterre, une nouvelle mode pour le moins innovante est en train de gagner actuellement certaines personnes. Celle-ci consiste à faire appel au froid pour retarder les effets du vieillissement sur le corps.
Si elle est utilisée sur le visage, la cryothérapie ferait aussi visiblement des merveilles auprès des parties génitales. Un institut propose ainsi à ses clients (hommes et femmes) de «cryogéniser» leurs parties intimes à l’aide d’azote liquide afin de les aider à conserver un aspect «jeune et attrayant». Concrètement, il faut compter en moyenne 30 minutes pour une séance au cours de laquelle votre corps sera soumis à des températures de -160 degrés censées apporter leurs bienfaits. Mais ce n’est pas tout…
Outre le bénéfice esthétique qu’ils peuvent en retirer, les clients qui ont recours à cette méthode peuvent aussi espérer rehausser leur niveau d’endorphines. Une hormone sécrétée par le cerveau qui procure lors de sa libération dans le corps, une sensation de bien-être, voire d’euphorie.
Ce traitement favoriserait enfin l’activité sexuelle en permettant grâce au froid, d’entraîner une vasoconstriction des vaisseaux et donc de stimuler le flux sanguin. Et vous, êtes-vous prêt à essayer?
Beaucoup de produits sont maintenant offerts pour ceux qui suivent des régimes sans gluten. Le problème, c’est qu’ils contiennent des métaux dangereux tels que l’arsenic et le mercure.
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Le régime sans gluten est devenu très tendance.Photo Fotolia
La mode est au sans gluten, c’est indéniable. Aux États-Unis, un quart de la population estime déjà avoir consommé des aliments sans gluten, ce qui correspond à une hausse de 67 % en deux ans. Mais ce type de régime n’est peut être pas aussi sain qu’on ne le croit.
Les chercheurs ont découvert que ceux qui consomment des produits sans gluten (gluten free) sont exposés à des niveaux élevés de deux métaux nocifs pour la santé. En analysant les urines de participants, ils ont constaté un fort taux d’arsenic, un élément cancérigène ; et du mercure, un autre élément chimique dangereux pour la santé lorsqu’il est présent à fortes doses.
Ils existent de nombreuses versions sans gluten de céréales (pates, pain…). Pour remplacer le blé, les industriels utilisent le plus souvent de la farine de riz. Mais le riz est connu pour contenir jusqu’à dix fois plus d’arsenic que d’autres aliments.
DES TRACES DE MERCURE 70 % PLUS ÉLEVÉES
Des chercheurs de l’Université de l’Illinois à Chicago ont évalué l’urine de 73 participants. Ces derniers avaient entre 6 et 80 ans et tous avaient déclaré avoir mangé de la nourriture sans gluten sur une période de cinq ans.
Les niveaux de métaux toxiques étaient près de deux fois plus élevés, selon l’étude publiée dans la revue Epidemiology.
Les résultats ont montré que plus une personne avait consommé du sans gluten, plus elle avait des concentrations élevées d’arsenic dans son urine. Les traces de mercure étaient 70 % plus élevées qu’une personne qui ne suit pas de régime sans gluten.
L’auteur de l’étude, le docteur Maria Argos, a déclaré: «Ces résultats indiquent qu’il pourrait y avoir des conséquences imprévues pour ceux qui suivent un régime sans gluten».
Cependant, elle a ajouté que d’autres recherches sont encore nécessaires pour déterminer les conséquences à long terme sur la santé de la présence de ces deux métaux dans notre corps.
Je n’ai pas peur des ascenseurs, malgré qu’à 5 ans, j’ai embarqué trop vite que mes parents n’ont pas pu me rejoindre. La panique totale ! On m’a entendu crier de plusieurs étages. Bref, la conversation entre ascenseurs pourrait probablement aider les enfants qui sont pris au piège seul. Mais, je ne suis pas certaine que ce soit une bonne chose pour autant
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Elevator hall | heiwa4126 via Flickr CC License by
Repéré par Xavier Ridel
Le temps où l’on redoutait de rester bloqué dans un ascenseur sera bientôt révolu. En effet, comme l’a relevé le site américain Quartz, les machines sont aujourd’hui intelligentes et capables de prévenir leur société mère dès qu’il y a le moindre problème. Mieux encore: il est désormais possible d’entendre ces ascenseurs discuter entre eux, en direct.
C’est la compagnie norvégienne Kone, spécialisée dans les escalators et les ascenseurs, qui s’est lancée sur ce créneau. Elle a annoncé cette semaine un partenariat avec IBM, qui a intégré aux équipements de l’ascensoriste son programme d’intelligence artificielle, Watson, pour un projet appelé «24/7 Connected Services». Comme il est impossible de visualiser la discussion que peuvent avoir deux intelligences artificielles entre elles, la société d’informatique s’est donc appliquée à traduire pour les humains ce langage impalpable qui est celui de nos machines. Si cette conversation n’est pas destinée aux occupants de l’ascenseur, celle-ci s’écoute et se visualise en temps réel à cette adresse.
Tandis que la voix masculine —l’ascenseur— donne des informations sur ses activités, la voix féminine —le «cloud» de Kone— lui répond et lui intime parfois l’ordre de patienter, comme sur la capture d’écran ci-dessous:
«Je confirme, tu es inactif.
– J’attends des passagers.
– Tu es à l’arrêt. Vérification.
– Prêt à me remettre en route.
– Attends. Quelqu’un arrive bientôt.»
Si minime que puisse paraître cette avancée, assister à ce genre de discussion provoque un effet assez étrange, à la fois fascinant, glaçant et réconfortant; et pourrait bien donner un (très) bref aperçu de ce à quoi ressemblera le futur.