Sans condition


Quand nous mettons des conditions au bonheur, nous mettons une barrière et nous passons tout simplement à côté
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Sans condition

 

 

“La plupart des hommes font du bonheur une condition. Mais le bonheur ne se rencontre que lorsqu’on ne pose pas de condition. ”

Arthur Rubinstein

9 animaux qui ont trouvé des endroits très étranges pour dormir


Les animaux trouvent parfois de bien drôle d’endroit pour faire leur petit roupillon.
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9 animaux qui ont trouvé des endroits très étranges pour dormir

 

1. « C’est mon lit à partir de maintenant! »

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2. « En dehors de l’odeur de transpiration des pieds, c’est l’endroit idéal pour dormir! »

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3. « Il y a des endroits pires pour dormir …. »

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4. « C’est mon pain maintenant! »

Imgur/MichaelBallman

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5. « Les bottes sont destinées à marcher – et à être portées »

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6. « Moi et l’eau – je suis chat, et je n’aime pas l’eau! »

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7. « Une piña colada de plus, s’il vous plaît! »

Pinterest

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8. « Qu’est-ce qui a commencé à pousser dans le jardin du voisin? »

Facebook/Nothing But Kitty Cats

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9. « Je suis une fleur- je suis beau n’est-ce pas? »

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Le Saviez-Vous ► 9 choses étranges que votre corps fait en guise de mécanismes de défense


C’est important d’entretenir notre corps, déjà qu’il a lui-même des mécanismes de défense. Si nous l’entretenons en santé, il ne sera que plus fort
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9 choses étranges que votre corps fait en guise de mécanismes de défense

 

Les bâillements.

© shutterstock.com

Le but premier du bâillement est de refroidir le cerveau après qu’il ait surchauffé ou été saturé.

Les éternuements.

© istockphoto

Généralement, nous éternuons lorsque nos voies nasales sont encombrées par de trop nombreux allergènes, microbes, poussières, ou autres irritants. Éternuer est un moyen pour notre corps de se débarrasser de ces « encombrants ».

Les étirements.

© shutterstock.com

Nous nous étirons instinctivement afin de préparer notre corps à la charge physique que nous lui réservons durant la journée. Dans le même temps, les étirements font travailler les muscles, rétablissent la circulation sanguine, et améliorent notre humeur.

Le hoquet.

© gettyimages

Lorsque nous mangeons très rapidement, que nous avalons de gros morceaux de nourriture, ou que nous mangeons simplement trop, notre nerf pneumogastrique peut devenir irrité. Il est étroitement connecté à notre estomac et notre diaphragme. Ce qui résulte donc en une série de hoquets.

Les contractions myocloniques.

© fotolia

Cela fait référence à la sensation étrange que vous pouvez avoir lorsque vous vous allongez pour vous endormir, que vous vous assoupissez, et que votre corps est secoué pendant une seconde par ce qui semble être un choc électrique. À ce moment, tous vos muscles subissent un spasme si fort que vous tombez presque du lit, et vous vous réveillez brutalement.

Ce phénomène est le résultat du fait que lorsque vous commencez à vous endormir, la fréquence de votre respiration chute rapidement, tandis que votre pouls ralentit légèrement et vos muscles sont relaxés. Étonnamment, votre cerveau interprète cela comme des signes annonciateurs de la mort. Il essaie donc de vous sauver en vous donnant un choc.

Les plissements de la peau.

© hottubbliss

Les plis qui apparaissent sur la peau de vos mains jouent un rôle essentiel. Ce phénomène est causé par le fait que lorsque votre corps rencontre une quantité importante d’humidité il comprend que l’environnement pourrait devenir glissant. La peau de vos mains commence donc immédiatement à changer de manière à faciliter la prise sur des surfaces lisses.

La perte de mémoire.

© twine

La perte de mémoire intervient souvent après avoir traversé des expériences déplaisantes. Notre cerveau efface littéralement les pires moments de notre mémoire.

La chair de poule.

© flickr

La fonction primaire de la chair de poule est de réduire la quantité de chaleur perdue par notre corps via les pores de la peau, ce qui nous permet de nous réchauffer plus aisément sous des conditions climatiques inhospitalières.

Les larmes.

En plus de protéger la muqueuse de nos yeux lorsque des objets étrangers entrent en contact avec eux, les larmes servent également d’instrument de « défense émotionnelle ». Les scientifiques pensent que dans des situations stressantes le corps crée une nouvelle et puissante source d’irritation afin de distraire une personne de la douleur qu’il endure.

Ce ne sont que quelques-unes des raisons pour lesquelles nous devrions tous être reconnaissants envers nos corps de nous protéger quotidiennement. Vous n’avez plus qu’à vous détendre, votre corps se charge de tout !

http://bridoz.com/

Un serpent reste coincé dans son lobe d’oreille


Déjà que je trouve qu’un animal exotique ne devrait jamais devenir domestique … que se présenter avec un serpent coincé dans le lobe d’oreille à l’hopital c’est spécial
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Un serpent reste coincé dans son lobe d’oreille

 

Le Huffington Post Québec

Certains n’osent pas trop s’approcher des serpents et d’autres les laissent se glisser dans leurs lobes d’oreille…

L’Américaine Ashley Glawe de Portland en Oregon jouait tranquillement avec son python domestique Bart la semaine dernière quand celui-ci s’est immiscé dans son lobe d’oreille agrandi.

Il était déjà trop tard.

La jeune femme n’a jamais réussi à le retirer et a été forcée de se rendre à l’hôpital pour recevoir l’aide de professionnels de la santé. Ils ont fait une petite incision dans son oreille et ont finalement pu retirer le reptile sans faire trop mal à la patiente et à l’animal.

Mme Glaw a partagé sa mésaventure sur Facebook en précisant que c’était «de loin, l’un des moments les plus fous de [sa] vie».

Imaginez par contre la honte qu’elle a eu aux urgences (et la frousse de ceux qui l’ont croisé).

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Donald Trump sera destitué, mais quand?


Donald Trump veut changer la politique selon sa vision des choses sans pour autant consulté consultations essentiels avant de faire ses décrets, changer la couverture de santé et autres décisions irresponsables. Même son parti républicain  se détache peu à peu de lui. Beaucoup croient qu’il ne fera pas son mandat, mais en attendant, il peut faire bien des dégâts
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Donald Trump sera destitué, mais quand?

 

Robert Kuttner

Écrivain et économiste, fondateur du magazine The American Prospect

Donald Trump tente de gouverner de manière impulsive, sur des coups de tête, par animosité personnelle, dans son propre intérêt et par décret… comme s’il était dictateur. Mais ça ne fonctionne pas, et il va déjà droit dans le mur au bout d’une semaine !

Les appels à sa destitution se multiplient parce que c’est le seul moyen de se débarrasser de lui, parce que beaucoup de républicains sont en train de l’abandonner, parce que cet homme est psychologiquement incapable de s’assurer de la légalité des choses avant de les faire, et parce qu’il est de plus en plus évident qu’il n’est absolument pas qualifié pour diriger le pays.

Les adultes qui l’entourent, même les plus serviles, passent le plus clair de leur temps à tenter de réfréner ses ardeurs, mais c’est tout simplement impossible. Le reste du temps, ils répondent aux coups de fil frénétiques des dirigeants républicains, du monde des affaires et des chefs d’Etat étrangers. Il a fait quoi ??? Le pauvre Reince Priebus, chef de cabinet du président, évolue enfin dans les hautes sphères, mais il ne doit pas vraiment s’amuser.

C’est une chose de vivre dans son monde quand on est candidat, et qu’on peut dire à peu près tout ce qui nous passe par la tête. En trompant suffisamment de personnes suffisamment de fois, on peut même parvenir à se faire élire. Mais quand on tente de gouverner ainsi, la réalité vous rappelle à l’ordre.

Donald Trump a édicté des décrets impulsifs, qui n’ont pas été évalués par des juristes, des experts gouvernementaux, ni des responsables politiques, et n’ont fait l’objet d’aucune réflexion stratégique sérieuse. Le voilà presque aussitôt contraint de faire marche arrière en raison des pressions politiques et juridiques… et à cause du monde réel.

Contrairement à ce qui se passe dans les différentes dictatures qu’affectionne le président, l’écheveau de mesures de contrôles politiques et juridiques mis en place pour défendre la constitution et empêcher l’avènement d’un régime tyrannique aux États-Unis tient bon, dans l’ensemble. Plus il est irresponsable, plus ces mesures se renforcent.

C’est seulement parce qu’il a bêtement tenté de refouler certaines catégories de réfugiés (mais en laissant entrer ceux qui viennent de pays qui soutiennent le terrorisme, comme l’Arabie saoudite et l’Égypte, où il a investi à titre personnel) qu’il s’aperçoit aujourd’hui que les États-Unis ont des tribunaux. Des tribunaux, vous dis-je ! Incroyable.

Plus il se montrera imprévisible, moins les juges conservateurs accepteront de servir la soupe aux républicains, comme ils l’ont fait si souvent par le passé. De la même manière, il serait imprudent de penser que la Cour suprême validera sans sourciller ses décisions les plus controversées.

Depuis une semaine, les républicains, connus et moins connus, s’empressent de se distancer des propos qu’il tient sur Vladimir Poutine, et tournent en ridicule ses soupçons infondés de fraude électorale massive.

Même le cabinet de Donald Trump a dû l’empêcher de poursuivre sa croisade insensée contre les Mexicains.

Ils ne savent plus où se mettre quand il s’agit de liquider le programme de couverture sociale universelle, l’Obamacare, sans nuire aux patients ni à leurs propres espoirs de réélection. C’est une mesure complexe, et Donald Trump ne fait pas vraiment dans la nuance. Tom McClintock, représentant de la Californie, a résumé les inquiétudes de nombre de ses confrères :

« Il va falloir assumer les mesures que nous allons mettre en place » suite à l’abrogation de la loi. « Nos adversaires appelleront ça le Trumpcare, et les républicains seront jugés sur pièce lors des prochaines élections, qui auront lieu dans moins de deux ans. »

Le sénateur Lindsey Graham n’a, quant à lui, pas hésité à se moquer des habitudes du président sur les réseaux sociaux, en qualifiant dans un tweet la guerre commerciale avec le Mexique de « mucho sad ».

Même le cabinet de Donald Trump a dû l’empêcher de poursuivre sa croisade insensée contre les Mexicains, notamment lorsqu’il oblige le président du Mexique à annuler sa visite officielle, avant de le rappeler 24 heures plus tard pour se rabibocher.

Le président américain a aussi proposé de légaliser à nouveau la torture, mais les leaders républicains s’y sont opposés. John Thune, le sénateur républicain du Dakota du Sud a ainsi déclaré mercredi 25 janvier que l’interdiction de recourir à la torture faisait jurisprudence, et que les républicains au congrès s’opposeraient à tout retour en arrière. Un point de vue que partage le ministre de la Défense, pourtant nommé par Donald Trump. Après avoir claironné à qui voulait l’entendre que sa décision était prise, le président a docilement accepté de s’en remettre à ses conseillers militaires.

Tout cela en une semaine seulement ! Et, aujourd’hui, des tribunaux fédéraux commencent à restreindre ses prérogatives.

Il y a deux semaines, au vu de ce que nous avions constaté pendant la période de transition, j’ai écrit un article proposant la constitution d’une commission et d’une campagne citoyennes de destitution du président.

Depuis, l’association apolitique Free Speech for People a lancé une campagne similaire. Elle a déjà recueilli quelque 400 000 signatures. L’organisation bipartisane Citizens for Responsibility and Ethics in Washington (CREW) constitue de son côté un dossier, car ses juristes ont introduit une action en justice suite aux multiples violations de la clause d’inéligibilité, dont le but est d’empêcher le président de tirer profit des actions d’un gouvernement étranger.

Il existe déjà bien d’autres motifs de destitution, notamment liés au fait que Donald Trump place ses propres intérêts financiers devant ceux du pays, et son étrange alliance avec Vladimir Poutine, qui relève presque de la haute trahison. Moins connu que la clause d’inéligibilité, le Stop Trading ou Congressional Knowledge (STOCK) Act de 2012, est l’équivalent du délit d’initié français. Il s’applique au président, comme à n’importe quel autre fonctionnaire.

Bien entendu, la procédure de destitution est une mesure aussi politique que juridique, comme le souhaitaient les pères fondateurs des États-Unis. Or, une semaine après son investiture, ce n’est pas seulement Trump qui abandonne la constitution, mais ses alliés qui l’abandonnent, lui.

En dépit de son comportement alarmant, les républicains ont cru qu’ils pourraient se servir de lui pour parvenir à leurs fins. Mais entre sa déclaration d’amour à Poutine et son désir d’initier une guerre commerciale mondiale, Donald Trump n’a rien d’un républicain. On ose à peine imaginer l’inquiétude et l’horreur que doivent exprimer en privé les cadres du parti.

En 1984, le psychiatre Otto Kernberg a décrit le narcissisme malfaisant, un trouble psychologique qui, contrairement aux autres formes de narcissisme, est considéré comme une pathologie grave. Il se caractérise par une absence de conscience, une grandiloquence alliée à une immense soif de pouvoir, et une tendance au sadisme.

Étant donné le danger qu’il représente pour la république et pour le parti républicain, la destitution de Donald Trump n’est qu’une question de temps. La question est de savoir quelles catastrophes l’Amérique devra surmonter d’ici là.

Ce blogue, publié à l’origine sur le Huffington Post américain, a été traduit par Bamiyan Shiff pour Fast for Word.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Un virus de l’aile déformée, nouvelle menace pour les abeilles


Les abeilles ont bien des misères que même des virus minuscules peuvent les affecter, comme une petite mite qui raccourcit les ailes et leur espérance de vie
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Un virus de l’aile déformée, nouvelle menace pour les abeilles

 

Environ 20 000 espèces d'abeilles fertilisent plus de... (PHOTO AP)

Environ 20 000 espèces d’abeilles fertilisent plus de 90% des 107 principales cultures du monde. Les Nations unies estiment que 40% des pollinisateurs invertébrés sont menacés d’extinction.

PHOTO AP

Un virus qui déforme les ailes des abeilles sauvages mellifères réduit la durée de vie de ces insectes, déjà confrontés à de nombreuses menaces pour leur survie, indique une étude mercredi.

Ce virus, propagé par de microscopiques mites, perturbe le butinage des abeilles et raccourcit leur vie, ont montré pour la première fois des expériences menées par une équipe de chercheurs.

«Le virus de l’aile déformée a fortement réduit les chances des ouvrières de vivre au-delà de l’âge du butinage», expliquent les scientifiques dans la revue Royal Society Journal Proceedings B.

Il a aussi «réduit l’espérance de vie et l’ensemble des activités» des abeilles infectées, ajoutent-ils.

Dans le monde entier, et particulièrement en Europe et en Amérique du Nord, les abeilles ont été décimées ces dernières années par un mal mystérieux, «le syndrome de l’effondrement des colonies», qui se traduit par la disparition ou la mort de populations entières.

Les chercheurs ont accusé les pesticides, des virus, des champignons, des parasites ou la malnutrition résultant de cultures moins variées et de fleurs moins nombreuses.

L’enjeu n’est pas seulement la survie des abeilles.

Des scientifiques ont récemment calculé que 1,4 milliard d’emplois et les trois quarts des cultures mondiales dépendent des pollinisateurs, principalement des abeilles.

Au total, environ 20 000 espèces d’abeilles fertilisent plus de 90% des 107 principales cultures du monde.

Parallèlement, les Nations unies estiment que 40% des pollinisateurs invertébrés – en particulier des abeilles et des papillons – sont menacés d’extinction.

Le virus a déjà été reconnu comme une menace pour les abeilles dont il détériore la capacité à se souvenir de l’endroit où elles ont été.

Cet agent pathogène est présent presque partout dans le monde et touche jusqu’aux trois quarts des ruches dans certaines zones.

Il était également soupçonné d’affecter le vol et la durée de vie mais les preuves manquaient. Cette nouvelle étude lève tous les doutes.

Une équipe de chercheurs dirigée par  Kristof Benaets, du Laboratoire de socio-écologie et d’évolution sociale de Louvain (Belgique), a réalisé une expérience utilisant la radio-identification.

De petits émetteurs placés sur des abeilles saines et d’autres infectées ont permis aux scientifiques de suivre leurs mouvements et de les comparer.

«Suivre l’activité en dehors des ruches est essentiel pour étudier l’impact d’agents pathogènes sur la santé des abeilles mellifères», soulignent les chercheurs.

Le virus n’a pas réduit le nombre ou la durée des sorties effectuées par les ouvrières pour collecter du pollen.

Mais il les a poussées à commencer à butiner trop jeunes, a révélé l’étude.

Elles étaient moins douées pour accomplir leur tâche et sont mortes plus tôt que les abeilles non infectées.

Le virus «a eu un effet global fortement négatif», conclut l’étude.

http://www.lapresse.ca/

Le temps que vous passez sur les réseaux sociaux vous empêche de lire 200 livres par an


C’est un constat assez effrayant quand on y pense bien. Avant la lecture d’un livre était une activité que quasi, tout le monde s’adonnait. Aujourd’hui, cette bonne habitude est devenu plus rare à cause des réseaux sociaux et de la télévision. Pourtant lire un bon livre permet de s’échapper dans un autre monde.
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Le temps que vous passez sur les réseaux sociaux vous empêche de lire 200 livres par an

 

Books | Ginny via Wikimedia CC License by

Books | Ginny via Wikimedia CC License by

Repéré par Hanna Bernard

La tâche est difficile, mais pas impossible.

Quelqu’un a un jour demandé au milliardaire Warren Buffet quel était pour lui le secret de la réussite. Il a alors répondu:

«Lisez 500 pages par jour. C’est ainsi que se construit le savoir. […] Vous pouvez tous le faire, mais je vous garantis que peu d’entre vous le feront.»

Tout d’abord perturbé par la citation de Buffet sur laquelle il est tombé début 2015, le contributeur du site Quartz Charles Chu a vite fait de la mettre en application. Il explique que cette recommandation a changé sa vie et nous conseille sur les manières de suivre son exemple. Tout d’abord, il est très important de ne pas vous décourager avant d’avoir tenté. Il faut passer outre les excuses telles que «Je suis trop occupé» ou «Je ne suis pas assez intelligent». S’il n’a pas lu 500 pages par jour, Charles Chu a terminé 400 livres en deux ans. Une tache qu’il estime à votre portée.

2.250 heures par an gâchées

Si l’on prend en compte le nombre de mots lus par minutes (en moyenne), le nombre de mots dans un livre et que l’on effectue le calcul, on s’aperçoit que lire 200 essais ne vous prendrait «que» 417 heures dans l’année. Chu a alors réalisé d’autres calculs. Il indique que pour un Américain moyen, le temps passé devant la télé est de 1.642 heures par an et que celui passé devant les réseaux sociaux est de 608 heures.

«Waoh. Ce sont 2.250 heures par an gâchées. Si ces heures étaient plutôt passées à lire, vous pourriez lire plus de 1.000 livres par an!»

Chu explique ensuite qu’il faut soigneusement retirer de son environnement immédiat tous les objets pouvant distraire notre attention. Les livres doivent rester à proximité et faciles d’accès. Les livres audios et les e-books permettent également de faciliter la lecture tout en variant les supports.

Si après avoir lu tous ces conseils vous pensez toujours être un cas perdu, il existe des coachs qui promettent de changer vos habitudes et de vous aider à lire. Et puis, n’hésitez pas à vous rappeler la fameuse phrase d’Orhan Pamuk: «J’ai lu un livre un jour et toute ma vie a changé.»

http://www.slate.fr/

La vie privée au Canada menacée sur la Toile par le décret sur l’immigration de Trump


Le décret sur l’immigration n’a juste un impact aux États-Unis sur le droit à la vie privée. Le Canada n’a pas de protection sur les renseignements personnels qui circulent sur l’Internet qui transitent par les États-Unis. L’Europe et la Russie ont leurs protections envers les USA qui leur permettent d’attaquer ceux qui ne respectent pas les conditions
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La vie privée au Canada menacée sur la Toile par le décret sur l’immigration de Trump

 

– LAURENT LASALLE

Le saviez-vous? En signant son décret sur l’immigration, le président Trump a du même souffle retiré le droit à la vie privée des internautes qui ne sont pas citoyens ou résidents des États-Unis.

Comme le rapporte aujourd’hui le Huffington Post, la portée des mesures mise en place par Donald Trump la semaine dernière s’étend bien au-delà de la suspension de l’entrée des ressortissants étrangers de confession musulmane aux États-Unis. En effet, le décret sur l’immigration apporte également une importante modification au Privacy Act, la loi américaine sur la protection des renseignements personnels, qui peut être lourde de conséquences pour les Canadiens.

Le professeur Michæl Geist, spécialiste au sujet de la propriété intellectuelle et du droit à la vie privée à l’ère du numérique, a sonné l’alarme jeudi dernier, citant la section 14 du controversé décret présidentiel :

Les agences doivent veiller, dans les limites des lois applicables, à ce que leurs politiques en matière de protection de la vie privée excluent les personnes qui ne sont ni citoyens des États-Unis ni résidents permanents légaux des dispositions de la Loi sur la protection des renseignements personnels.

Inutile de souligner qu’une énorme portion des données des Canadiens qui circulent sur la Toile transitent par les États-Unis. Sans parler de l’étroite intégration des services de renseignements américains et canadiens, comme le rappelle Geist. Une relation dont les répercussions sont tout aussi inquiétantes.

Alors que le département américain de la Sécurité intérieure avait prolongé la protection du Privacy Act en 2007 pour qu’elle couvre également les données des personnes résidant à l’étranger, son application a toutefois sérieusement été remise en question en 2013 suite aux révélations d’Edward Snowden.

Sur le Vieux-Continent, les renseignements personnels des citoyens européens qui sont exportés vers les États-Unis sont protégés par le Privacy Shield, un accord mis en place en 2016 pour combler le vide juridique laissé par l’annulation du Safe Harbor, qui visait le même objectif. Parmi les nouveautés depuis son adoption, les entreprises américaines doivent respecter une série d’obligations plus contraignantes sous peine de sanctions, tandis que les citoyens européens bénéficient de plusieurs recours pouvant être intentés contre les entreprises suspectées de ne pas avoir respecté l’accord.

D’autres pays, comme la Russie, obligent les entreprises qui souhaitent poursuivre leurs activités de mettre en place de serveurs et centres de données situés à l’intérieur même de ses frontières pour y stocker les données de leurs citoyens.

Malheureusement, il n’existe aucun équivalent du Privacy Shield pour le Canada. Qui plus est, cette modification apportée au Privacy Act remettrait également en question l’autorité du Privacy Shield, comme le soulève The Register dans une analyse exhaustive des conséquences potentielles de cette décision.

Pour sa part, Michæl Geist implore le Commissaire à la protection de la vie privée du Canada de se pencher sur l’impact que cette décision peut avoir sur les ententes de partage de données avec les États-Unis. L’organisme à but non lucratif OpenMedia partage les mêmes craintes de Geist, et a informé ses membres qu’il comptait demander au gouvernement de réévaluer la nature des renseignements personnels mise à la disposition des services de renseignements américains.

http://branchez-vous.com/