Nos pensées


Pour vivre le présent, il faut vraiment se conditionner a vivre ce présent, sans délaisser notre passé et les projets d’avenir, mais bien ne pas les laisser prendre toute la place au présent
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Nos pensées

 

Que chacun examine ses pensées, il les trouvera toutes occupées au passé et à l’avenir. Nous ne pensons presque point au présent. (..)  Ainsi nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre ; et nous disposant toujours à être heureux, il est inévitable que nous ne le soyons jamais.

Blaise Pascal

Le Saviez-Vous ► 5 choses que vous ne saviez pas sur le don du sang


Ceux qui peuvent donner du sang, ne devraient pas hésiter d’aller aux collectes de sang. Leurs dons peuvent sauver beaucoup de vie et en plus, cela a un impact positif pour le donneur
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5 choses que vous ne saviez pas sur le don du sang

 

1) Donner son sang est bon pour la santé

Pour bien fonctionner, le cœur a besoin d’un certain débit et volume sanguin. D’après le site Blood Flow Online, donner son sang régulièrement aide à réduire l’épaisseur du sang et lui permet de s’écouler plus facilement dans les vaisseaux sanguins pour atteindre le cœur. Donner son sang peut réduire aussi le risque de développer certains cancers. En effet, le don contribue à réduire les réserves de fer (c’est pourquoi les anémiques ne peuvent pas donner) et réduit ainsi la quantité de dommages causés par les radicaux libres dans le corps.

2) Un homme a sauvé 2 millions de bébés grâce à son sang

Une personne qui donne son sang régulièrement peut sauver environ 1 000 vies au cours de son existence. Mais l’Australien James Harrison a réussi à en sauver 2 millions à cause de son sang d’un type très rare. En effet, il contenait des niveaux élevés d’un anticorps spécifique utilisé pour soigner les cas de maladie hémolytique du nouveau-né.

3) Les dons aident les patients atteints d’un cancer

Les produits sanguins sont prescrits principalement pour les hémorragies (accouchement, intervention chirurgicale ou accident) et pour les cancers et maladies du sang. Le traitement de ces maladies nécessite, selon les cas, des transfusions régulières et en grandes quantités. De plus, le traitement par chimiothérapie entraîne une destruction des cellules de la moelle osseuse, à l’origine des cellules sanguines. L’organisme ne pouvant plus les renouveler, il a besoin de transfusions de plaquettes et de globules rouges.

4) Les besoins augmentent pendant les vacances

Nos journées sont bien remplies avant les vacances d’hiver ou d’été, et le don du sang n’est plus une priorité. Le sang ne peut pas être conservé très longtemps (5 jours pour les plaquettes, 42 jours pour les globules rouges), c’est pourquoi les réserves de l’EFS diminuent pendant ces périodes pourtant cruciales car le nombre d’accidents de la route a tendance à augmenter.

5) Le type 0+ est le plus demandé

Bien que tous les groupes sanguins soient nécessaires et bienvenus, les personnes 0 positives sont celles dont le sang est le plus demandé. Ce groupe étant le plus répandu, il est plus susceptible d’être transfusé, rappelle le site Medical Daily.

Auteur:  Elena Bizzotto

http://www.santemagazine.fr/

Un rat humilié sur le Web chinois… pour avoir volé du riz !


Je ne sais pas si l’auteur de ces photos voulaient faire rire les réseaux sociaux, mais c’est raté ! C’est même stupide !
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Un rat humilié sur le Web chinois… pour avoir volé du riz !

 

«C’est la meilleure chose que tu puisses faire ? Même si tu me battais à mort, je n’admettrai pas que le riz de chez toi a été volé par mes soins», peut-on lire sur le premier panneau.

rat voleur riz humilié

«Je ne recommencerai pas», lit-on sur le deuxième.

Indignation virtuelle pour le rat

Mais l’homme était loin de s’imaginer que les clichés postés sur Internet susciteraient de telles réactions. De nombreuses personnes ont en effet commenté la publication. Selon celles-ci, il fallait avoir pitié du pauvre petit rat. Mais pour lui, pas question : «ce n’était qu’un rat […], c’était un petit incident».

Le pauvre rongeur a-t-il survécu à une telle humiliation ? Nul ne le sait… toujours est-il que son histoire n’est pas sans rappeler celle vécue par une souris sans défense venue grignoter des bananes et qui a ensuite été victime d’un interrogatoire musclé.

https://wamiz.com

Un «vaccin» pour s’immuniser contre les fausses nouvelles


Un « vaccin psychologique » contre la désinformation serait possible, dans le même sens qu’un vaccin contre une maladie. Chose certaine, c’est que la désinformation fait beaucoup de tort
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Un «vaccin» pour s’immuniser contre les fausses nouvelles

 

Pour étudier les fausses nouvelles, les chercheurs ont... (PHOTO THINKSTOCK)

Pour étudier les fausses nouvelles, les chercheurs ont demandé à plus de 2000 Américains d’estimer l’ampleur du consensus scientifique sur l’idée que l’être humain est responsable du réchauffement climatique. Puis ils se sont amusés à faire bouger l’aiguille des participants en les bombardant de toutes sortes d’énoncés.

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PHILIPPE MERCURE
La Presse

 

L’expression « fausse nouvelle » est sur toutes les lèvres, y compris celles de Donald Trump. Et comme on dit souvent que les fausses rumeurs sont virales, des chercheurs ont voulu vérifier si on peut s’en immuniser avec un « vaccin » – un avertissement servi en petite dose qui augmente la résistance à la désinformation. Résultat : testé aux États-Unis, le vaccin fonctionne autant chez les démocrates que chez les républicains.

Explications.

La thèse est pour le moins audacieuse : si les fausses nouvelles se propagent comme des virus qui déclenchent des épidémies, on peut les atténuer avec des vaccins. C’est pourtant ce que vient de démontrer un groupe de chercheurs dans un article scientifique brûlant d’actualité.

«En médecine, la résistance à un virus peut être conférée en exposant quelqu’un à une version atténuée du virus. […] La théorie psychosociale de l’inoculation d’attitude suit une logique similaire», expliquent des scientifiques des universités Cambridge, Yale et George Mason (Virginie) dans une étude publiée dans le journal sérieux Global Challenges.

Ces mots savants veulent dire une chose simple : en exposant des gens à de petites doses de fausses informations, puis en déboulonnant ces faussetés, il est possible de réduire l’influence des fausses nouvelles.

«Il y aura toujours des gens qui résistent complètement au changement, admet Sander van der Linden, professeur adjoint en psychologie sociale à l’Université Cambridge et premier auteur de l’étude, dans un article publié par l’institution. Mais nous tendons à montrer qu’il y a moyen de changer la façon de penser de la plupart des autres, ne serait-ce qu’un peu.»

La découverte risque de susciter un intérêt considérable au moment où les fausses nouvelles sont sur toutes les lèvres. Facebook est accusé d’en véhiculer et a promis de les combattre, et plusieurs experts estiment qu’elles ont contribué à l’élection de Donald Trump. Le nouveau président américain a lui-même retourné l’expression contre certains médias lors de sa première conférence de presse.

Un sujet chaud

Pour étudier les fausses nouvelles, les chercheurs ont choisi un sujet particulièrement chaud qui polarise les Américains : les changements climatiques. Ils ont demandé à plus de 2000 Américains d’estimer, en pourcentage, l’ampleur du consensus scientifique sur l’idée que l’être humain est responsable du réchauffement climatique. Puis ils se sont amusés à faire bouger l’aiguille des participants en les bombardant de toutes sortes d’énoncés.

Premier constat : les convictions des gens sont modifiables. En présentant la vérité aux participants (soit que 97% des experts sur le climat jugent qu’un réchauffement est en cours et que l’être humain en est responsable), les chercheurs ont observé que les participants changent leur pourcentage à la hausse. Lorsqu’on leur sert plutôt un énoncé faux affirmant qu’il n’existe aucun consensus scientifique sur le rôle de l’être humain dans le réchauffement climatique, ils revoient leur pourcentage à la baisse.

Et si on leur balance coup sur coup les énoncés vrai et faux? Les deux se neutralisent et la perception des participants demeure inchangée, ce qui montre tout le pouvoir des fausses nouvelles. Pire : dans cette situation, les électeurs qui se définissent comme républicains rajustent leur pourcentage à la baisse, ce qui indique qu’ils ont été plus réceptifs à la fausse information qu’à la vraie.

«Il est dérangeant de penser que la désinformation est si puissante dans nos sociétés», commente Sander van der Linden dans l’article publié par Cambridge.

Exposer pour immuniser

Ensuite, les chercheurs ont sorti leurs «vaccins». Ils ont «attaqué» les convictions initiales des participants en leur disant que «certains groupes ayant des motivations politiques utilisent des tactiques trompeuses pour convaincre le public qu’il existe une forte dissension parmi les scientifiques». Puis ils ont rectifié les faits en affirmant qu’une telle dissension n’existe pas.

Les scientifiques ont aussi mis au point une version élaborée du «vaccin». Par des sondages, ils ont découvert que la fausseté la plus populaire auprès des participants provient d’un projet appelé Oregon Petition. Ce groupe prétend avoir recueilli les signatures de 31 000 scientifiques américains affirmant que le CO2 dégagé par l’homme ne joue aucun rôle dans le réchauffement du climat.

Les chercheurs ont ensuite attaqué spécifiquement cette pétition. Ils ont montré aux participants que certaines signatures sont frauduleuses (Charles Darwin et des filles des Spice Girls y figurent) et que moins de 1% des signataires possèdent une formation en science du climat.

Donner de tels avertissements aurait pu braquer les participants les plus convaincus et alimenter les théories du complot. Or, ce ne fut pas le cas. Comme un vaccin qui stimule le système sans l’attaquer vraiment, les deux formes de «vaccins psychologiques» se sont avérées efficaces.

Lorsqu’ils étaient présentés avant la fausse information, les vaccins ont réduit la portée de celle-ci. En moyenne, les participants ont modifié leur opinion de 6,5 points de pourcentage en faveur du consensus scientifique.

«Nous avons découvert que les messages d’inoculation étaient aussi efficaces à modifier les opinions des républicains et des indépendants que des démocrates dans une direction compatible avec les conclusions de la science du climat», précise Sander van der Linden.

Les chercheurs concluent leur article en avançant que communiquer certains faits, comme le haut niveau de convergence des experts sur les questions climatiques, peut s’avérer efficace pour dépolariser les débats publics. Chose certaine, plusieurs seront rassurés de savoir qu’en cette ère qu’on dit «post-factuelle», dire la vérité peut encore contribuer à modifier les opinions.

http://www.lapresse.ca/

Ce nettoyeur offre les vêtements oubliés à des itinérants


C’est une bonne idée que les nettoyeurs de vêtements pourraient piquer au Français. Après 1 an de non-réclamation d’un vêtement ou autres, ils pourraient le donner aux itinérants
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Ce nettoyeur offre les vêtements oubliés à des itinérants

 

CLOTHING RACK

Le HuffPost  |  Par Annabel Benhaiem

 

Vous n’avez jamais oublié un vêtement au nettoyeur? Et bien, il pourrait un jour être porté par quelqu’un d’autre. Surtout si vous habitez Perpignan, en France. Stéphane Ruel, patron de quatre nettoyeurs, offre les vêtements chauds oubliés aux SDF de sa ville.

«Environ un client sur dix mille ne vient jamais récupérer les affaires qu’il nous a confiées. Il peut s’agir de personnes qui ont tout simplement oublié, ou bien qui ont déménagé, ou encore qui sont décédées. Un sur dix mille, cela peut paraître peu, mais cela finit par représenter beaucoup d’articles que nous conservons dans nos greniers en pure perte», explique-t-il au Parisien.

Il propose également des couvertures et des couettes, utiles en cette saison.

Délai d’un an

Il ajoute avoir déjà distribué 250 pièces, dont une cinquantaine de couvertures. Mais en a-t-il le droit?

« Au bout d’un an et un jour, la loi française dit que nous ne sommes plus responsables de ces articles non réclamés, continue le patron. Nous allons au-delà de ce délai légal puisque les affaires que nous distribuons sont dans nos stocks depuis au moins deux ans. »

En pratique, les consommateurs ont jusqu’à deux mois pour venir récupérer leurs biens chez les teinturiers et les nettoyeurs. Au-delà, les vêtements doivent être conservés un an minimum. Ensuite, le teinturier peut vendre les biens oubliés aux enchères.

Une initiative qui pourrait inspirer des patrons de nettoyeurs au Québec?

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Des chercheurs ont surpris des virus en train de se parler


Ça communique fort en cas d’intrusion d’un virus dans notre corps, les phages laissent des messages et décident s’ils attaquent ou non …
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Des chercheurs ont surpris des virus en train de se parler

 

Bactériophage

Bactériophage

Repéré par Charlotte Pudlowski

Et cela pourrait signifier l’entrée dans une nouvelle ère d’antiviraux

Les virus sont capables de se laisser des messages les uns aux autres: c’est la découverte étonnante faite par des chercheurs israéliens.

Au Weizmann Institute of Science, Rotem Sorek et ses collègues étaient à la recherche d’un «papotage bactérien». Ils étudiaient, explique Quartz, la manière dont les virus (phages) attaquent une espèce bactérienne nommée Bacillus subtilis et ils savaient que dans certaines situations ces bactéries communiquaient. Le phénomène, appelé détection du quorum, est connu: il aide les bactéries à contrôler leur comportement en fonction du nombre d’autres bactéries autour. C’est crucial pour qu’elles puissent décider quand lancer une attaque sur un organisme hôte par exemple. Mais les chercheurs se sont rendus compte que les virus eux-mêmes bavardaient.

La plupart du temps, les virus qui attaquent des bactéries s’emparent du système de la cellule hôte et se multiplient jusqu’à ce que la cellule explose et meure. Mais il arrive parfois que des phages insèrent leur propre génome dans celui d’un hôte, et se mettent en sommeil jusqu’à ce qu’un déclencheur provoque leur réveil et leur multiplication plus tard.

Expérience

L’hypothèse de Sorek était qu’étant donnée la fréquence à laquelle les virus attaquent les bactéries B. subtilis, celles-ci avaient peut-être développé une manière de prévenir les autres avant que l’attaque ne commence. Il a donc pris un virus nommé phi3T et l’a ajouté à une fiole pleine de B. subtilis. Comme prévu, les virus tuèrent alors les bactéries en larges nombres.

Afin de voir si des signaux chimiques étaient émis, Sorek a filtré le mélange et enlevé les bactéries et les virus pour ne laisser que les protéines. Il a ensuite mis le mélange de protéines dans une nouvelle fiole contenant des B. subtilis. A sa surprise cette fois, quand il a ajouté les virus phi3T, les virus ont changé de comportement: au lieu de tuer les hôtes, ils ont glissé une partie de leur génome dans les bactéries. Quelque chose dans le mélange de protéines avait incité les virus à changer leur modalité d’attaque. Sorek allait découvrir que les virus avaient senti des signaux chimiques laissé derrière par leurs prédécesseurs, signaux destinés à leur permettre de décider de tuer ou juste d’infecter les hôtes.

L’avenir de l’arbitrium

Les virus utilisent pour communiquer une protéine que l’équipe de chercheurs a appelée arbitrium, qui sort de la bactérie après la mort. Quand les niveaux d’arbitrium augmentent —quand donc un grand nombre de cellules sont mortes— les virus arrêtent de tuer les bactéries qui restent et se mettent en sommeil dans le génome bactérien.

C’est, comme le note le magazine Nature «la toute première fois que toute forme de communication est découverte entre des virus».

Et il se pourrait que de nombreux autres virus puissent communiquer entre eux, dans leur propre langage moléculaire, y compris peut-être des virus responsables de maladies humaines.

«Si c’est effectivement le cas, les scientifiques pourraient bien avoir découvert une nouvelle voie pour empêcher les attaques virales», continue la revue.

http://www.slate.fr/

Vaut-il mieux ne pas trop griller ses toasts?


Personnellement, j’aime les rôties bien grillées juste avant de brûler. Doit-on changer nos habitudes ? À moins de manger beaucoup de pains grillés, des frites et des pommes de terres bien rôties, les études ne sont pas concluantes sur la quantité ingéré
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Vaut-il mieux ne pas trop griller ses toasts?

 

Les personnes friandes de toasts, de pommes de terre frites ou rôties... (Pixabay)

PIXABAY

Agence France-Presse
Londres

 

Les personnes friandes de toasts, de pommes de terre frites ou rôties ne devraient pas trop les griller, recommandent lundi les autorités sanitaires de la Grande-Bretagne dans une campagne soulignant les risques cancérigènes associés aux cuissons extrêmes.

Les zones des aliments brunies dans ces circonstances contiennent en effet de l’acrylamide, un produit de glycation alimentaire découvert en 2002 par des chercheurs suédois, potentiellement cancérigène et neurotoxique.

L’acrylamide, souligne l’Agence britannique de sécurité alimentaire (FSA), se forme notamment dans les aliments riches en amidon (pommes de terre, pain…) lors des cuissons à haute température.

Pour minimiser l’exposition à cette substance chimique, la FSA conseille de limiter la cuisson des aliments, et donne aux consommateurs une petite astuce visuelle pour y arriver : préférer la couleur « or » au brun, signe de cuisson prolongée.

« La majorité des gens ne sont pas au courant de l’existence de l’acrylamide », souligne la FSA, en espérant que cette campagne donnera aux consommateurs les moyens de réduire « leur consommation d’acrylamide ».

« 320 tranches par jour »

Son lancement était particulièrement commenté lundi dans la presse britannique, la BBC se demandant s’il fallait « abandonner les rôties ? ».

Le tabloïd Daily Mail tentait de son côté de rassurer ses lecteurs en affirmant, expert à l’appui, qu’à moins d’en manger « 320 tranches par jour », les rôties bien grillés, voire brûlées, n’ont rien de spécialement dangereux.

Selon l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), « les données issues des études animales démontrent que l’acrylamide et son métabolite, le glycidamide, sont génotoxiques et cancérigènes ».

Dans les études sur l’homme, « les preuves qui démontreraient qu’une exposition alimentaire à l’acrylamide provoque le cancer sont actuellement limitées et non concluantes ».

http://www.lapresse.ca/