Changement


Au rythme que nous allons, nous devrions prendre des mesures pour donner un meilleur avenir aux futures générations. Arrêtons de dire qu’il est trop tard, chacun de nous peuvent faire l’impossible pour eux
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Changement

 

Il est temps de changer de civilisation, pour nous, pour nos enfants, pour les enfants de nos enfants.

Jean-Marie Pelt

Un chien urine aux toilettes et tire la chasse d’eau !


Un chien croisé Border Collie et Bouvier australien nommé Jumpy apprend des tours impressionnant, il fait du parkour, de la trottinette, du slalom, du surf, de la peinture … Il est aussi agile et très intelligent. Son maitre lui a appris à utilisé les urinoirs et il est même capable de tirer la chasse d’eau
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Un chien urine aux toilettes et tire la chasse d’eau !

Le Saviez-Vous ► Le top des avions disparus


Comme le Malaysia Airlines qui a disparu, il y a 3 ans, d’autres avions n’ont laissé aucune trace, ni de débris d’avion et encore moins les pilotes et les passagers. Ce sont des mystères jamais résolus de l’histoire de l’aviation
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Le top des avions disparus

Bien qu’il ne soit pas courant que des avions se volatilisent ainsi en plein vol, le cas du vol 370 de la Malaysia Airlines et de ses 239 passagers n’est pas unique. Voici notre top des avions disparus.

Le vol 739 de la Flying Tiger Line

avion Lockheed - similaireFlying Tiger

Un Lockheed semblable à l’appareil disparu

La disparition a eu lieu le 16 mars 1962. L’avion, affrété par l’armée américaine à la base militaire de Tavis en Californie, avait pour destination finale Saigon, au Vietnam. À son bord : 107 personnes, dont 93 soldats américains. C’est après être reparti de Guam, où il s’était posé pour un ravitaillement, que le vol 739 a disparu sans laisser de trace. Une opération de recherche parmi les plus importantes jamais déployée (1 300 personnes y ont pris part) n’a pas porté fruit. À ce jour, aucune pièce de l’appareil n’a été retrouvée.

La disparition d’Amelia Earhart

Amelia Earhart

En 1937, la pionnière de l’aviation Amelia Earhart est disparue à bord de son Lockheed 10 Electra quelque part au-dessus du Pacifique alors qu’elle tentait de faire le tour du globe. Elle s’était rendu célèbre en 1932 en devenant la première femme à avoir traversé l’Atlantique en avion en solo. Son avion est disparu alors qu’elle tentait de se rendre à Howland Island pour un ravitaillement. Malgré tous les efforts de recherche déployés, on n’a jamais retrouvé de trace de Earhart, de son copilote ou de son appareil. Elle a été officiellement déclarée morte en 1939. Les adeptes des théories de conspiration font d’elle une espionne pour le président Roosvelt et croient qu’elle aurait été capturée par les Japonais.

Le Boeing 727-223

Boeing American Airlines

Le Boeing 727-223 à l’aéroport de Chicago, 14 ans avant l’incident

L’ancien appareil d’American Airlines était cloué au sol en Angola depuis 14 mois quand il a été volé le 25 mai 2003. Malgré des recherches effectuées par la CIA et le FBI, l’emplacement de l’appareil demeure un mystère. Tout ce qu’on sait c’est que l’ingénieur et pilote Ben Charles Padilla était à bord de l’appareil au moment du vol, probablement dans la cabine de pilotage. Les autorités estiment qu’il était seul.

Le Boeing 707-323C de la Varig

Boeing Varig Airlines

Un Boeing 707-379C semblable à l’appareil disparu

Le 30 janvier 1979, l’avion-cargo de la compagnie aérienne brésilienne Varig quitte Tokyo en direction de Rio. Trente minutes après le décollage, on perd toute trace de l’appareil. L’avion transportait six personnes et 153 toiles évaluées à plus de 1,5 million de dollars. L’avion, les passagers et les toiles n’ont jamais été retrouvés.

Les disparitions attribuées au Triangle des Bermudes

Avion similaire au star Tiger

Un avion semblable au Star Tiger

Entre 1948 et 1949, deux vols commerciaux de la British South American Airways ont mystérieusement disparu dans la région dite du Triangle des Bermudes. Des enquêtes menées plus tard ont avancé l’hypothèse que la disparition du Tiger en 1948 serait attribuable à une panne de carburant alors que celle de l’Ariel en 1949 serait due à une erreur technique. Aucun des appareils n’a été retrouvé.

Il n’en fallait pas plus pour alimenter les rumeurs entourant la zone «maudite». Rumeurs qui avaient commencé à circuler en 1945 quand les cinq appareils du vol d’entraînement 19 de la Marine américaine ont disparu dans l’Atlantique. L’hydravion chargé d’aller à leur secours s’est aussi abîmé en mer. Dans le film Rencontre du troisième type de Steven Spielberg, ce sont ces cinq appareils qui sont retrouvés dans le désert du Mexique.

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Perdre un oeil à cause d’une goutte d’eau


  • Porter des verres de contact demande beaucoup de précautions, sinon il y a un risque d’infections qui sont quand même assez fréquentes et parfois des parasites plus rares peut faire perdre la vue. Et puis les lunettes, c’est moins compliqué et maintenant, il y en a pour tous les goûts.
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Perdre un oeil à cause d’une goutte d’eau

 

Après une lutte qui aura duré plus de 20 ans, Normand Schiller a dû se résoudre l’an dernier à sacrifier son œil droit. L’homme de 59 ans, qui porte maintenant une prothèse oculaire, sonne l’alarme sur les risques liés à l’usage des verres de contact.

JEAN SIAGLA PRESSE

Tout a commencé à l’été 1994. Normand Schiller avait 37 ans. Il se trouvait en vacances au bord du lac Bélisle (à Saint-André-Avellin, en Outaouais) avec sa femme et ses deux enfants âgés de 9 et 13 ans. En courant après un ballon, il est tombé à l’eau. Il portait ses verres de contact. Il a entrouvert les yeux au contact de l’eau, a pataugé un peu, puis il est sorti. Une scène banale.

Sauf que le soir même, son œil droit s’est mis à lui faire mal. Très mal. Graduellement, il a commencé à perdre la vue. Après avoir soupçonné une conjonctivite, une spécialiste de la cornée a décelé une maladie rarissime, la kératite acanthamoeba, infection de la cornée causée par un parasite que l’on retrouve dans l’eau douce et même dans l’eau potable.

Selon la Dre Michèle Mabon, cornéologue à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, il s’agit d’une infection rare.

« C’est la forme microbienne la plus rare de la cornée liée au port des verres de contact, a-t-elle expliqué à La Presse. On parle d’une proportion de 1 à 33 cas par million de porteurs de verres dans les pays développés. C’est vraiment une malchance, mais dès qu’on est exposé à une source d’eau, il y a un risque d’infection », prévient-elle.

GREFFE REJETÉE

M. Schiller, qui travaillait alors pour une agence de publicité et qui jouait de la batterie pour le groupe Sixième sens, a dû subir une première greffe de la cornée. Malgré la prise d’antibactériens, l’infection est réapparue, la cornée s’est opacifiée et la greffe a été rejetée. Deux autres tentatives ont été faites au cours des années suivantes. Même scénario. Le nerf optique a finalement été touché, l’espoir de recouvrer la vue s’est évanoui.

Selon la Dre Michèle Mabon, qui est également directrice médicale de la Banque d’yeux du Québec, le risque de rejet pour une greffe de cornée de pleine épaisseur est d’environ 20 %.

« Le problème, c’est qu’à chaque greffe, on augmente le risque de rejet. On en fait rarement plus que trois. »  — La Dre Michèle Mabon

« Dans le cas de M. Schiller, ce que je comprends, c’est qu’il y a eu une récidive du parasite, qui n’a jamais pu être complètement éradiqué, un rejet de la greffe et l’apparition d’un glaucome secondaire causé par l’inflammation », poursuit la cornéologue.

Petit à petit, Normand Schiller a complètement perdu la vue de son œil

« Avec l’importance des progrès technologiques, j’ai longtemps gardé espoir de retrouver la vue, raconte-t-il, mais à un moment donné, ma cornée était tellement mince que je ne pouvais même plus prendre l’avion parce qu’il y avait un risque que le globe oculaire éclate en vol… C’est à ce moment que j’ai accepté de subir une éviscération de l’œil. »

M. Schiller a donc subi cette chirurgie de dernier recours qui consiste à enlever le contenu intraoculaire, en ne gardant que la coquille. Une bille en plastique est ensuite posée à l’intérieur de l’œil. Pour des raisons esthétiques, il s’est fait faire une prothèse oculaire, trompe-l’œil sous forme de verre, qui est un calque du bon œil. Cette dernière étape a mis un terme à son aventure.

STATU QUO

« Les verres de contact demeurent un corps étranger [en plastique ou en silicone], note la Dre Mabon, il y aura donc toujours des risques de complications, des infections microbiennes, par exemple, mais ce sont souvent des affections qui se traitent relativement bien. On parle de 4 à 20 cas par 10 000 porteurs de verres de contact. La plupart du temps, c’est lié aux manipulations des verres. »

Au fil des ans, les risques liés au port des verres de contact ont-ils augmenté ou diminué ?

« Ils sont pareils, répond la Dre Mabon. Les bactéries adhèrent au plastique, on n’y échappe pas. Il y a eu des progrès, mais pas de façon significative. Par contre, on peut dire que l’oxygène passe mieux à travers le plastique, ce qui favorise une meilleure oxygénation de la cornée. »

Normand Schiller a-t-il toujours sa roulotte à Saint-André-Avellin ?

« Oui, mais je ne me baigne plus dans le lac, répond-il. Je n’ai jamais été un grand baigneur, mais j’ai toujours eu une crainte par la suite. C’est sûr que ç’a été pour moi une expérience traumatisante. Mais je veux sensibiliser les porteurs de verres à être plus prudents. »

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Une veste «intelligente» pour diagnostiquer la pneumonie


En Ouganda, la pneumonie tue environ 24 000 enfants de moins de cinq ans par an, avec le manque de laboratoire et de médecins (un pour 24 000), il est difficile d’établir un diagnostic fiable et le différencier avec le paludisme ou la tuberculose. Des ingénieurs ougandais ont inventé un prototype (une veste intelligente) qui serait capable de diagnostiquer plus vite qu’un médecin et minimisant les risques d’erreurs humaines.
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Une veste «intelligente» pour diagnostiquer la pneumonie

 

Une veste «intelligente» pour diagnostiquer la pneumonie

Le Mama-Ope peut effectuer un diagnostic plus rapidement qu’un médecin.Photo Isaac Kasamani / AFP

Une équipe d’ingénieurs ougandais a inventé une «veste intelligente» capable de diagnostiquer la pneumonie plus rapidement qu’un médecin et devant permettre de mieux combattre une maladie qui fait plus de victimes infantiles qu’aucune autre au monde.

L’idée est venue à Olivia Koburongo, 26 ans, après que sa grand-mère fut tombée malade. Trimbalée d’hôpital en hôpital, celle-ci est décédée avant même que la pneumonie ne soit diagnostiquée.

«Il était alors trop tard pour la sauver», regrette la jeune ingénieure. «C’était trop difficile de suivre la trace de ses signes vitaux, de comment elle allait. C’est comme ça que j’ai pensé à une manière d’automatiser tout le processus pour suivre l’évolution de sa santé».

Olivia a présenté son concept à son camarade Brian Turyabagye, 24 ans, diplômé comme elle d’une école en ingénierie des télécommunications.

Ensemble et avec une équipe de docteurs, ils ont créé le «Mama-Ope» («mother’s hope», l’espoir de la mère), un équipement utilisé pour les jeunes enfants. Il est composé d’une «veste intelligente» biomédicale et d’une application pour téléphone mobile qui effectue le diagnostic.

Le Mama-Ope est très simple d’utilisation. L’enfant a simplement à enfiler la veste, dont les capteurs permettront de mesurer certains paramètres, comme les bruits émis par les poumons, la température ou le rythme de la respiration.

«Ces informations sont envoyées à l’application mobile qui les compare à des données connues pour estimer la gravité de la maladie», explique Brian.

La pneumonie, une maladie respiratoire, tue environ 24 000 enfants ougandais de moins de cinq ans par an, qui pour la plupart souffrent déjà de paludisme, selon le Fonds de l’ONU pour l’enfance (Unicef).

Le manque d’infrastructures et de laboratoires capables d’effectuer les tests nécessaires dans les communautés pauvres signifie que le personnel de santé ne peut compter que sur un simple examen clinique pour établir son diagnostic.

UN DIAGNOSTIC PRÉCOCE

La veste, qui n’en est encore qu’à l’état de prototype, peut diagnostiquer la pneumonie trois fois plus vite qu’un docteur, tout en réduisant le risque d’erreur humaine, selon une étude produite par ses inventeurs.

Traditionnellement, les médecins utilisent un stéthoscope pour écouter les bruits anormaux venant des poumons. Mais s’ils diagnostiquent le paludisme ou la tuberculose, qui peuvent aussi induire une détresse respiratoire, l’erreur peut se révéler fatale pour le patient.

«Le problème que nous essayons de résoudre est de diagnostiquer la pneumonie à un stade précoce, avant que cela ne devienne sérieux. Et nous essayons aussi de résoudre le problème du manque d’effectifs dans les hôpitaux, parce qu’actuellement le ratio docteur/patient dans le pays est de un pour 24 000», explique Olivia.

Selon Brian, leur matériel devrait bientôt être introduit dans les principaux hôpitaux d’Ouganda, avant d’équiper les centres de soins plus isolés.

«Une fois que l’information obtenue est emmagasinée dans le « cloud » (en ligne), ça signifie qu’un médecin qui n’est même pas dans la zone rurale, qui n’est même pas sur le terrain, peut avoir accès à l’information concernant n’importe quel patient et cela aide à prendre une décision en toute connaissance de cause», ajoute-t-il.

Ils travaillent également à faire breveter leur équipement, qui a été retenu parmi les candidats pour le prix africain 2017 de l’Académie royale britannique d’ingénierie.

«Une fois que ça marchera (en Ouganda), nous espérons que ce sera lancé dans d’autres pays africains et dans d’autres endroits du monde où la pneumonie tue des milliers d’enfants», indique Olivia.

Selon l’Unicef, la plupart des 900 000 décès annuels d’enfants de moins de cinq ans dus à la pneumonie ont lieu en Asie du Sud et en Afrique subsaharienne.

C’est plus que les principales autres causes de décès infantiles, comme la diarrhée, le paludisme, la méningite ou le sida.

http://fr.canoe.ca/

Les personnes vulgaires apparaissent comme plus honnêtes


Cela expliquerait probablement l’élection de Donald Trump, mais pour ma part, une personne qui insulte et qui lance des jurons en toute occasion et ce même si c’est une personne connue du public, ne m’inspire aucune confiance,.. Bien sûr, les beaux parleurs non plus n’ont pas plus l’air plus honnête. Bref, pour moi, Donald Trump est un vrai mystère le pourquoi qu’il soit devenu Président
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Les personnes vulgaires apparaissent comme plus honnêtes

 

Donald Trump | Gage Skidmore via Flickr CC License by

Donald Trump | Gage Skidmore via Flickr CC License by

Repéré par Xavier Ridel

C’est le résultat d’une nouvelle étude qui explique en partie l’élection de Trump.

Quelqu’un qui jure beaucoup serait-il jugé plus honnête que les autres? C’est la question à laquelle tente de répondre une étude, relayée par Mashable.

«Nous avons trouvé une relation cohérente entre les jurons et l’honnêteté, avancent ainsi les chercheurs. La vulgarité est associée à un moindre degré de mensonges au niveau individuel, et à une plus grande intégrité au niveau de la société.»

L’étude, appelée Frankly, We Don’t Give A Damn, s’est divisée en trois parties. D’abord, 276 participants ont été réunis dans une pièce, et ont dû dire s’ils juraient souvent, et s’ils se considéraient comme honnêtes. Les profils et statuts de 74.000 utilisateurs de Facebook ont ensuite été analysés, avant que les chercheurs ne se penchent sur le cas des États-Unis en tant que nation. Les résultats sont concluants, mais les chercheurs précisent:

«Dans notre article, l’honnêteté signifie l’expression authentique du soi, dans les interactions avec autrui. […] Nos conclusions ne doivent pas être interprétées comme affirmant que plus une personne est vulgaire, plus elle aura des comportements éthiques, sérieux ou moraux.»

 

L’une des nombreuses compilations d’insultes de Trump se trouvant sur Youtube

De quoi sans doute aider à expliquer la victoire de Donald Trump sur Hillary Clinton, lors de l’élection présidentielle américaine. Le candidat républicain s’est démarqué grâce à son franc-parler, jusqu’à l’insulte. Gregory Guy, professeur de linguistique à l’université de New York, n’a pas pris part à l’étude mais note à ce propos:

«L’idée que les gens interprètent le juron comme une marque de véracité est quelque chose que je trouve assez convaincant. […] On l’a vu avec Trump, qui dit des choses outrageuses. […] Les électeurs pensent que c’est là un facteur d’authenticité.»

http://www.slate.fr/

Les fourmis ont un GPS très sophistiqué


Les fourmis ne cesseront jamais de nous étonner. Elles sont petites mais très intelligentes. Elles savent reconnaitre les lieux et guidé par le soleil pour se rendre à la fourmilière, et même si elles marchent de reculons
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Les fourmis ont un GPS très sophistiqué

 

Les fourmis sont apparemment capables de reconnaître le... (PHOTOS.COM)

 

Les fourmis sont apparemment capables de reconnaître le monde autour d’elles quelle que soit la direction à laquelle elles font face.

Agence France-Presse
Washington

Les fourmis possèdent un système de navigation GPS très sophistiqué qui leur permet de se diriger sans problème même en marchant à reculons quand elles transportent de lourdes charges de nourriture, ont découvert des chercheurs.

Pour se guider et retrouver le chemin de leur fourmilière, ces insectes utilisent la position du soleil et leur mémoire visuelle des lieux, expliquent ces entomologistes dont l’étude est publiée jeudi dans la revue américaine Current Biology.

Ces scientifiques ont observé que les fourmis marchant à reculons s’arrêtaient à certains moment pour regarder autour d’elles afin de vérifier les alentours et utiliser cette information pour établir leur itinéraire en fonction du soleil.

Cette découverte suggère qu’elles sont capables de saisir les interactions spatiales dans le monde extérieur, pas seulement par rapport à elles-mêmes.

Cette capacité remarquable d’ajustement pour naviguer pourrait être une source d’inspiration pour créer de nouveaux logiciels d’ordinateur visant à guider des robots, estiment ces chercheurs.

Bien que les fourmis marchent généralement en avant quand elles transportent de petits morceaux de nourriture, elles se déplacent souvent à reculons pour tirer de lourdes charges vers leur fourmilière.

Ces observations suggèrent que les fourmis sont apparemment capables de reconnaître le monde autour d’elles quelle que soit la direction à laquelle elles font face.

Elles peuvent aussi maintenir leur cap en se déplaçant dans toutes les directions, en avant, en arrière ou latéralement.

«Les fourmis ont un petit cerveau relativement dont la taille est inférieure à une tête d’épingle mais elles peuvent malgré cela naviguer sans problème dans des conditions difficiles», relève le professeur Barbara Webb de l’université d’Edimbourg.

«Comprendre leur comportement nous donne de nouveaux éclairages sur le fonctionnement de leur cerveau et peut nous inspirer pour concevoir des systèmes robotiques reproduisant leurs fonctions cérébrales», ajoute-t-elle.

Pour comprendre comment ces insectes font face à différents obstacles et ajustent leur trajet pour retrouver le chemin de leur fourmilière, ces chercheurs ont mis à l’épreuve des fourmis du désert dans leur environnement naturel.

Ils ont notamment constaté que des fourmis allaient dans la mauvaise direction quand un miroir était utilisé pour altérer leur perception de la position du soleil.

Cette étude internationale a été également menée par une équipe de scientifiques de l’université nationale australienne et du Centre national français de la recherche scientifique (CNRS).

http://www.lapresse.ca/

Oui, même lorsqu’il fait froid, il faut aérer sa maison


J’ouvre mes fenêtres à tous les jours, même les jours les plus froids. En hiver, il faut vraiment qu’il fasse très froid, pour que je ne laisse pas une petite fente de ma fenêtre ouverte pour la nuit et mon thermomètre de ma chambre est toujours fermé. Je n’aime pas me réveiller et marché sur le sol froid, mais par contre pour dormir, c’est mieux
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Oui, même lorsqu’il fait froid, il faut aérer sa maison

 

Le HuffPost  |  Par Marine Le Breton

    C’est compliqué de sortir de son lit quand il fait si froid. On n’a qu’une envie, rester au chaud sous sa couette ou se coller devant un feu avec un café bouillant. Alors, ouvrir les fenêtres pour aérer, c’est hors de question!

    Pourtant, renouveler l’air des pièces de son appartement, ou de son bureau est indispensable, quelle que soit la saison.

    À chaque moment de pollution, on le répète : l’air intérieur est plus pollué que l’air extérieur.

« Il y a plus de risques à ne pas aérer sa maison qu’à ouvrir sa fenêtre et à laisser entrer peut-être de l’ozone, des particules diesel. Le confinement dans une maison est source d’augmentation d’humidité relative, de moisissures, de rétention des allergènes et éventuellement des polluants chimiques qu’on peut trouver dans une maison », explique au Monde Frédérice de Blay, professeur de pneumologie au CHU de Strasbourg, recommandant d’aérer chez soi au moins 15 à 30 minutes par jour.


Ouvrir la fenêtre et fermer le chauffage

    Les tapis, produits ménagers, poils d’animaux, l’humidité, sont autant de sources de pollution de l’air intérieur.

    Vous avez peur que la température chute de trop chez vous alors que vous avez enfin réussi à vous réchauffer? Ne vous inquiétez pas.

    « On peut assurer une bonne aération de son logement sans gaspiller trop de chaleur en ouvrant ses fenêtres, radiateurs fermés, pendant cinq à dix minutes par jour », affirme aussi L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie en France.

    Pas convaincus? Sachez qu’en n’ouvrant pas vos fenêtres, vous aurez aussi plus de risques de tomber malade cet hiver.

    « Les environnements confinés et peu ou pas ventilés concentrent les polluants atmosphériques qui sont facteurs d’irritation des voies respiratoires supérieures, voire aggravant les risques d’infections », explique Manuel Rosa-Calatrava, directeur adjoint du Laboratoire de Virologie et Pathologie Humaine interrogé par Le HuffPost.

    Allez, on enfile une polaire et des chaussons et on ouvre ses fenêtres!

    http://quebec.huffingtonpost.ca/