Parole d’enfant ► Grandir


C’est fou comment Jézabelle pense à se marier et avoir des enfants. En autant qu’elle voit sa maman travailler à un poste important, elle peut forger son avenir
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Grandir

 


Grand-maman raconte

Je dis à Mlle – il faut que tu ralentisse pour grandir. Reste à 4 ans pendant 1 ans

-Non, parce qu’il faut que je grandisse pour avoir mes enfants et mon amoureux

Ana-Jézabelle, 4 ans/ 5 décembre 2016

Le Saviez-Vous ► Vous avez les yeux bleus ou verts? Ce n’est qu’une illusion


La couleur des yeux dépend de la mélanine et de l’absorption de la lumière, en bref, tout le monde a les yeux bruns
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Vous avez les yeux bleus ou verts? Ce n’est qu’une illusion

© thinkstock.

Selon la science, tout le monde a les yeux bruns.

Vous faites de vos yeux bleu lagon une véritable fierté? Mauvaise nouvelle pour vous, ils sont en fait bruns. Tous les yeux humains sont bruns à cause de la mélanine, ce pigment qui donne sa coloration plus ou moins foncée à notre peau et à nos cheveux, et qui est également présente dans nos yeux.

« Tout le monde a de la mélanine dans l’iris de l’œil, c’est la quantité dont nous disposons qui détermine la couleur de nos yeux », a expliqué le docteur Gary Heiting. « Il n’y a en fait qu’un seul type de pigment ».

La mélanine donne naturellement une couleur brun foncée, et a une capacité à absorber de la lumière. Si vous avez les yeux bruns, et donc beaucoup mélanine dans l’iris, la lumière sera absorbée, et non pas reflétée.

Au contraire, si vous avez peu de mélanine dans l’iris, la lumière sera moins absorbée et plutôt reflétée. Cette lumière dispersée réfléchit ensuite des longueurs d’onde plus courtes sur l’extrémité bleue du spectre des couleurs. Vos yeux bleus, ou verts, ne sont donc finalement « que » des yeux bruns qui absorbent moins de lumière.

Les fluctuations de lumière peuvent également provoquer un changement de couleur dans les yeux d’une personne, en fonction de l’endroit où elle se trouve. Il est donc tout à fait normal que vos yeux deviennent plus foncés ou plus clairs en fonction de la lumière.

Cela explique également pourquoi les bébés naissent avec les yeux bleus.

« Lors du développement de l’enfant, plus de mélanine s’accumule dans l’iris », a déclaré Heiting.

http://www.7sur7.be/

Un enfant malade arrive à amasser 3,5 millions $ pour d’autres enfants malades


Les enfants atteints de graves maladies sont tous des héros. Il y en a qui se démarque plus que les autres. Cet enfant par exemple atteint de cancer en phase terminale, malgré sa mort imminente, il a voulu faire la différence avec une idée hors du commun surtout pour les hommes pour des enfants atteints de pneumonie …
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Un enfant malade arrive à amasser 3,5 millions $ pour d’autres enfants malades

 

TIJN KOLSTEREN

Un garçon néerlandais de six ans en phase terminale de cancer du cerveau a réussi à réunir 2,5 millions d’euros (3,5 millions $CAN) pour aider d’autres enfants malades, alors qu’il n’en espérait à l’origine que quelques centaines.

Tijn Kolsteren, qui s’est vu diagnostiquer un cancer du cerveau en mai, a lancé il y a trois jours un appel visant à recueillir des dons après s’être peint les ongles.

« Avec sa campagne de décoration d’ongles avec du vernis il voulait aider les enfants souffrant de pneumonie », a expliqué la télévision publique NOS. « Cela a été un énorme succès : le disc jockey Armin van Buuren, le premier ministre Mark Rutte et beaucoup d’autres célébrités se sont fait peindre les ongles » pour cette occasion, a-t-elle précisé.

« Vernissez-vous les ongles, faites un don puis demandez à trois de vos amis de faire de même », pouvait-on lire sur la page consacrée à la cette opération.

La semaine dernière, la famille de Tijn a appris qu’une chimiothérapie n’avait pas réussi à réduire la taille de sa tumeur.

« Malgré cette mauvaise nouvelle nous voulions faire quelque chose pour des enfants qui n’atteindront peut-être même pas l’âge de six ans », a déclaré son père Gerrit.

« Nous avons développé cette idée ensemble : Tijn s’était déjà peint les ongles avec un ami, et il aimait ça », même si le fait de voir « des hommes se peindre les ongles est un peu tabou », a-t-il ajouté.

La presse néerlandaise a qualifié le jeune garçon de héros. Vendredi, le quotidien AD a publié sa photo habillé en superhéros, sous le titre « SuperTijn ».

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Une fois que le réveil a sonné, il n’y a rien de pire que de traîner quelques minutes au lit


Je déteste me faire réveiller par le réveil-matin, cependant, je me lève dès qu’il retentit, car pour le fermer, je dois me lever. Mieux, j’arrive à me conditionner de me réveiller avant que le son agressant se fait retentir
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Une fois que le réveil a sonné, il n’y a rien de pire que de traîner quelques minutes au lit

 

Un réveil. JEFF PACHOUD/AFP

Un réveil. JEFF PACHOUD/AFP

Repéré par Robin Panfili

Levez-vous. I-M-M-É-D-I-A-T-E-M-E-N-T. Appuyer sur Snooze ne rendra que les choses plus difficiles.

C’est un mauvais réflexe que tout le monde a déjà expérimenté. Réveillé, au petit matin, par la sonnerie agressive de votre réveil (ou de votre téléphone), vous balancez une fraction de seconde plus tard –après avoir jugé que vous méritez bien quelques minutes de sommeil en plus– maladroitement votre bras en direction de l’appareil afin de presser le bouton snooze qui, pour votre plus grand bonheur, vous offrira un court répit. Et, même si vous ne ressentez pas tout de suite les bienfaits de ces cinq minutes de repos supplémentaires, vous aurez tendance à penser que cela paiera tôt ou tard.

Or, malheureusement, il s’agit là d’une hypothèse erronée et d’un réflexe à proscrire, explique Dan Ariely, professeur de psychologie à l’université de Duke, aux États-Unis et spécialiste du comportement, dans un dialogue avec les lecteurs organisé par le Wall Street Journal. Repousser l’heure de votre réveil n’égayera pas votre matinée, explique-t-il. Bien au contraire, cela bouleverse votre cerveau et rend votre routine matinale plus douloureuse qu’autre chose. Pour Dan Ariely, la sonnerie de votre réveil ou de votre téléphone doit agir sur vous comme le signal qu’il est temps de se lever, à la manière du conditionnement théorisé par les expériences du médecin russe Ivan Pavlov.

Ne pas se laisser piéger

Comme le chien de cette expérience qui se mettait à baver au son d’une cloche car il avait compris que c’était le signe que sa gamelle était sur le point d’être servie, le réveil doit être, pour nous humains, le signe qu’il faut se lever sans attendre. Si vous vous levez systématiquement lorsque votre réveil se met en marche, selon le professeur, vos réveils seront bien plus faciles à digérer. En utilisant le bouton snooze, votre cerveau reçoit un message confus.

«Parfois, nous entendons le réveil et nous nous levons dans la foulée; parfois, nous l’entendons et nous le repoussons pendant dix minutes, puis vingt minutes, et ainsi de suite», explique-t-il.

Le New York Magazine résume:

«En d’autres mots, appuyer sur le bouton snooze rompt le lien mental entre le son de l’alarme et la nécessité de se lever, ce qui rend plus difficile la manière de déterminer quel est le bon moment de quitter votre lit.»

Fast Company s’était déjà intéressé, en 2013, à l’influence du bouton snooze sur le cerveau et, plus largement, sur l’organisme. La conclusion était plutôt claire: repousser l’heure de votre réveil ne comporte aucun bienfait à court-terme. Malgré la sensation de bien-être et l’illusion de se débarasser de la fatigue que l’on peut éprouver sur le moment, un sommeil ponctué de fréquentes interruptions n’a rien de très utile. Pire, il empêche d’attendre le sommeil profond, lui, véritablement réparateur qui vous fera vous sentir plus en forme.

Désormais, le mieux qu’il vous reste à faire est donc de régler votre réveil à l’heure où vous devez vraiment vous lever –et non quelques minutes avant, ce qui vous laisserait la possibilité de repousser l’heure– et quitter votre lit dès que ce dernier retentit. Sans exception. Essayez donc, votre corps vous en sera probablement reconnaissant.

http://www.slate.fr/

La solitude tue jusqu’à la santé


Il y a vivre seul et interagir avec les gens et l’isolement social qui est de s’enfermer dans sa solitude. L’isolement social entraine des conséquences sur la santé et la santé morale.
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La solitude tue jusqu’à la santé

 

Loneliness | Mattia Mionetto via Flickr CC License by

Loneliness | Mattia Mionetto via Flickr CC License by

Repéré par Camille Desmaison-Fernandez

L’isolement social est aussi dangereux que le tabagisme ou l’obésité. Mais il est parfois difficile d’admettre qu’on en souffre.

Depuis les années 1980, la proportion d’Américains qui se disent seuls a doublé, passant de 20 à 40%. Une récente étude du Crédoc recense qu’un français sur 10 n’a plus aucun contact avec les membres de son entourage familial et social.

Des chiffres d’autant plus inquiétants que la solitude est dangereuse pour la santé. Et le plus dur dans la maladie, c’est d’en souffrir seul. Dans son article pour le New York Times, Dhruv Khullar recense de nouvelles études qui montrent que la solitude est extrêmement nocive, notamment pour le sommeil, le système immunitaire et le stress. De plus, elle augmente de 29% le risque de maladie cardiaque, et de 32% le risque d’Accident Vasculaire Cérébral (AVC).

Les individus isolés sont deux fois plus susceptibles de mourir prématurément que ceux qui ont des interactions sociales plus fréquentes. Et cette vulnérabilité commence tôt: les individus qui étaient socialement isolés lorsqu’ils étaient enfants ont une moins bonne santé vingt ans plus tard.

Difficile à admettre, compliquée à traiter

 

Et la solitude est d’autant plus difficile à soigner qu’elle est compliquée à admettre. Dire que l’on est seul, c’est admettre son échec dans les domaines fondamentaux de la vie. Et demander à se faire aider, c’est accepter la solitude comme une pathologie.

Alors que chez les plus vieux, la solitude provient souvent de l’éloignement géographique de la famille –qui quitte la province natale pour le métro-boulot-dodo– chez les plus jeunes, elle est plus complexe à traiter.

La solitude d’un individu n’est pas forcément due à de mauvaises compétences sociales ou à un manque de soutien social. L’isolement peut être dû en partie à une sensibilité inhabituelle aux signaux sociaux. Les individus touchés par la solitude seraient plus à même de percevoir les signaux ambigus négativement dans les relations sociales, et vouloir s’en préserver en s’isolant.

Les liens sociaux constitutifs du bien-être

Les études ayant écumé le sujet s’accordent: la connexion humaine est centrale dans le bien-être. Pour préserver la santé de nos pairs, il est de notre devoir de maintenir ou créer des liens.

C’est pourquoi des chercheurs ont proposé un programme concret, le linkAges, un échange de service inter-générationnel, qui part du principe que tout le monde à quelque chose à offrir: des leçons de guitare, un partenaire de Scrabble, une virée chez le docteur. L’objectif: resserer les liens sociaux par un troc de services ponctuels.

 

http://www.slate.fr/

Cet enfant de la rue s’approche de la voiture pour mendier


Une histoire qui finit bien grâce aux réseaux sociaux. Un jeune orphelin a qui vit de mendicité est affecté par une femme malade, qui lui donnait l’argent qu’il avait réussi a mendier. Des gens ont pris des photos sur ce moment sur le fait et ils ont partagé sur les réseaux sociaux qui a changé la vie de cette dame et donner un avenir à l’enfant
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Cet enfant de la rue s’approche de la voiture pour mendier

 

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SPLENDOR MAG

 

Cette histoire particulièrement émouvante se passe à Nairobi au Kenya. Le petit John Thuo est l’un des nombreux enfants des rues qui tentent de survivre comme ils peuvent. Ces orphelins sont souvent pris pour des pick-pockets et des mendiants  sans vergogne mais John a prouvé que même un mendiant tout en bas de l’échelle sociale pouvait avoir un vrai cœur en or.

Un jour, alors qu’il demandait de l’argent à des conducteurs arrêtés, il a rencontré Gladys Kamande. Cette femme de 32 ans avait été victime de graves problèmes aux poumons et était obligée d’être branchée en permanence à une bombonne d’oxygène et à plusieurs appareils assez impressionnants qui lui permettent de respirer. Comble de malchance, lors de l’une des opérations, son nerf optique a été touché et elle est devenue aveugle.

Lorsque John a vu tous les appareils de Gladys, il lui a demandé à quoi ils servaient. En écoutant son histoire, des larmes ont commencé à couler sur ses joues. En tant qu’enfant des rues, la vie de John n’est pas facile mais en réalisant que celle de Gladys était très difficile, et surtout qu’il ne pouvait absolument rien faire pour l’aider, il n’a pas pu contenir ses pleurs.

John pria avec Gladys en espérant qu’elle obtienne les fonds nécessaire à ses opérations. Ensuite, il lui donna tout l’argent dont il disposait. Des conducteurs, témoins de la scène, prirent la photo et la partagèrent sur les réseaux sociaux.

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FACEBOOK

 

L’histoire de John et Gladys est devenue virale au Kenya et depuis la publication une collecte de fonds a été lancée. Plus de 3 millions de shillings ont été récoltés, soit la moitié de de l’argent nécessaire pour qu’elle puisse recevoir son traitement en Inde.

Mais la vie de John et Gladys a pris un tournant radical depuis ce jour. En effet, devant le geste émouvant de John, Gladys n’a pas pu oublier le jeune garçon et a décidé de tout faire pour l’aider à sortir de la rue. Les deux sont tombés d’accord pour que John retourne à l’école. Il lui a dit qu’il serait enchanté, du moment qu’il peut continuer à être proche d’elle car il la considère comme sa nouvelle maman

http://incroyable.co/

La bigorexie, cette étrange addiction au sport


On nous dit de faire du sport pour être en santé, ce qui est vrai. Cependant, des personnes ont des addictions au sport amateur et peuvent donc, avoir des problèmes physiques en essayant à d’aller au-delà de leurs forces
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La bigorexie, cette étrange addiction au sport

 

Êtes-vous atteint de bigorexie ? Si le sport est devenu une obsession, que vous pouvez courir jusqu’à épuisement, quitte à risquer une déchirure musculaire, vous êtes peut-être concerné par cette addiction récemment reconnue par l’OMS.

15 % des sportifs amateurs concernés

La bigorexie est un mot encore peu utilisé dans le langage courant, et pour cause : cette maladie, qui se caractérise par une addiction au sport, n’a été reconnue que très récemment par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). À l’heure où l’activité sportive est recommandée par toutes les autorités sanitaires et médicales pour prolonger l’espérance de vie et lutter contre de nombreuses maladies, il semblerait que certains soient devenus accros à leur dose quotidienne de sport.

Cette addiction concernerait aujourd’hui environ 15 % des sportifs amateurs qui s’adonnent à un exercice physique quotidien. Tous les sports ne semblent pas concernés, puisqu’on rencontrerait davantage de bigorexiques dans les milieux du culturisme et de la course à pieds.

Le déni, caractéristique de la bigorexie

Comment définir cette forme d’addiction ?

Pour Laurent Karila, porte-parole de l’association SOS Addictions, « on parle de bigorexie surtout quand il y a une perte de temps, de contrôle, qui est considérable et qu’il y a des conséquences derrière. Il n’y a pas forcément de consensus sur le temps, mais c’est sur une année de pratique sportive excessive au moins ».

« On devient malade ou addict lorsqu’on utilise un produit ou qu’on adopte un comportement pour ne pas souffrir », explique-t-il pour le quotidien l’Équipe.

Les principaux risques d’une telle addiction sont avant tout physiques. Les personnes atteintes de bigorexie chercheront sans cesse à dépasser leurs limites, jusqu’à l’épuisement. Les fractures, déchirures musculaires ou même AVC sont des risques non-négligeables de ce type de syndrome. Pour en guérir, les concernés doivent avant tout avoir conscience de leur état – le déni étant caractéristique de la bigorexie  –, avant d’entamer une démarche thérapeutique qui ne se fera pas sans consultation d’un psychologue ou d’un médecin addictologue.

http://www.passeportsante.net/