Une raison


Nous croissons nombre de personnes dans notre vie, chacune de ces personnes laissent une empreinte sur nous.
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Une raison

 

 

Quand les gens entrent dans ta vie, il y a toujours une raison, vois-tu. Ils ne la connaissent peut-être pas eux-mêmes. Tu ne la connais peut-être pas toi-même. N’empêche qu’il y a une raison. Forcément.

Joyce Carol Oates

Ce pêcheur dévoile les incroyables créatures qu’il ramène des profondeurs de l’océan


Il y a un monde que nous connaissons très mal et pourtant, ils font partie de notre Terre. Ils ne sont pas visibles pour la plupart d’entre nous, mais des pêcheurs en haute mer voient des créatures vraiment étranges
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Ce pêcheur dévoile les incroyables créatures qu’il ramène des profondeurs de l’océan

 

 

 

Roman Fedortsov est confronté à des créatures extraordinaires lorsqu’il part en haute mer.

Ce pêcheur russe a créé un compte Twitter où il dévoile les photos des bêtes bizarres qu’il trouve en remontant ses filets. Certaines créatures marines sont hideuses, d’autres ne ressemblent juste à rien de connu… Le bestiaire de Roman Fedorstov fait le buzz sur les réseaux sociaux, où les internautes s’émerveillent de l’incroyable diversité de la faune qui vit dans les fosses marines.

http://www.ladepeche.fr/

Le Saviez-Vous ► Voici les douze parties du corps humain qui ne servent à rien Repéré par Boris Bastide


Certaines parties du corps si elles sont enlevées cela ne change pas vraiment la vie d’une personne. D’autres comme les dents de sagesse, sont des vestiges de nos ancêtres
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Voici les douze parties du corps humain qui ne servent à rien

 

Capture «Il était une fois la vie»

Capture «Il était une fois la vie»

Repéré par Boris Bastide

Attention, certaines prêtent encore à débat.

On ne s’était pas vraiment posé la question, mais un article de The Independent nous en apporte la réponse: quelles parties du corps humain ne servent (plus) à rien? Si certaines tombent sous l’évidence, d’autres sont beaucoup plus inattendues.

Revue de détail.

1. Les dents de sagesse. Une partie d’entre vous s’est certainement déjà fait retirer les dents de sagesse. C’est normal, elles ne servent à rien puisqu’il n’y a pas de place pour elles dans la bouche. D’après The Independent, elles auraient pu servir à nos ancêtres à mâcher certains aliments.

2. Les muscles auriculaires. Ces trois muscles sont situés autour du pavillon de l’oreille. Seul problème, contrairement à d’autres mammifères, nous ne savons pas faire bouger nos oreilles.

3. Les amygdales. Ces tonsilles peuvent être observées à droite et à gauche au fond de la gorge. Elles servent normalement à la défense contre les germes, mais ce rôle s’est tellement affaibli aujourd’hui que les personnes à qui on les a otées ne présentent pas plus de risques bactériologiques.

4. L’appendice. La fonction de cette excroissance liée à l’intestin est plus débattue. Si on a longtemps cru qu’elle ne servait à rien, certains avancent aujourd’hui qu’elle serait utile pour lutter contre certaines bactéries liées à de graves indigestions ou diahrées.

5. Le tubercule de Darwin. Cette saillie cartilagineuse située au bord de l’oreille est en réalité une anomalie congénitale. 

6. Les seins chez les hommes. Les hommes n’ont pas de montée de lait pour nourrir leur bébé. Mais comme le rappelle The Independent, c’est la forme du corps féminin qui sert de modèle.

7. Le pli semi-lunaire. Situé au bord de l’œil, ce repli n’a aucune utilité pour la vision.

8. Le coccyx. Cette soudure de quatre vertèbres à la forme triangulaire serait le vestige de l’époque où nos ancêtres avaient une queue. (pas sur que nos ancêtres avaient une queue mais bon nldr)

9. Les sinus. The Independent avance que les sinus font débat aujourd’hui car ils ne serviraient qu’à abriter des infections, du mucus et à causer des maux de têtes. Certains scientifiques avancent toutefois qu’ils aident à réchauffer et humidifier l’air inhalé, qu’ils sont déterminants dans la forme de notre crâne ou encore dans la résonance de la voix.

10. Les poils. Autrefois, ils servaient à tenir chaud, explique le quotidien britannique. Une utilité qui ne se fait plus du tout ressentir aujourd’hui.

11. La vésicule biliaire. Cet organe creux, situé dans l’abdomen contre le foie, sert en réalité à stocker de la bile en vue de sa restitution au cours de la digestion. Mais c’est vrai qu’il est la cause de bien des soucis de simples inflammations jusqu’au cancer.

12. Le muscle arrecteur du poil. C’est le muscle situé à la base de chaque poil. Selon The Independent, il servait autrefois à tendre le poil et permettre ainsi aux humains d’apparaître plus gros et volumineux aux menaces.

http://www.slate.fr/

2016: l’année où la désinformation a pris un nouveau visage


Aujourd’hui beaucoup d’études sont faites sur divers sujets et publiées sur des médias, des revues scientifiques. Le problème, c’est qu’il y a beaucoup trop de désinformations que ce soit en politique, études médicales, et autres, alors que nous devons avoir l’esprit critique, pour éviter de croire sans faire d’effort.
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2016: l’année où la désinformation a pris un nouveau visage

 

Depuis des années, les neurosciences répètent que notre cerveau est programmé... (PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE)

Depuis des années, les neurosciences répètent que notre cerveau est programmé pour croire plutôt que pour réfléchir.

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

 

PASCAL LAPOINTE
Agence Science Presse

Des auteurs qui observaient les manoeuvres de marketing antiscience des compagnies de tabac, puis des pétrolières avaient tiré la sonnette d’alarme il y a longtemps. Plus récemment, d’autres avaient documenté la montée de courants anti-establishment qui réduisaient « la science » au rang d’une opinion parmi d’autres. En 2016, Facebook a confirmé que les craintes de ces auteurs étaient en dessous de la réalité.

Le problème n’est pas seulement que « sur Facebook, les fausses nouvelles sont plus populaires que les vraies nouvelles », comme l’avait titré en octobre une enquête du magazine BuzzFeed.

S’il ne s’agissait que de fausses nouvelles sur des chats à cinq queues ou des pingouins volants, on en aurait ri lors des fêtes de fin d’année. Le problème est que ces fausses nouvelles sont devenues un symbole de la fragilité de ce que nous pensions naïvement être une société de plus en plus rationnelle. Et derrière cette « guerre à la science », c’est une fragilité de la démocratie elle-même qui surgit au grand jour.

On ne devrait pourtant pas en être si étonné. Voilà des années que les neurosciences répètent que notre cerveau est programmé pour croire plutôt que pour réfléchir. Un corpus de connaissances brillamment vulgarisé en 2012 par le psychologue Daniel Kahneman dans son livre Thinking Fast and Slow, qui parle d’un cerveau « lent » – celui qui soupèse, réfléchit avant d’agir – et d’un cerveau « rapide » – celui qui juge sur-le-champ. Et le rapide est toujours dominant.

Notre cerveau est une « machine à sauter aux conclusions ».

 Il a évolué chez nos ancêtres animaux pour prendre des décisions à grande vitesse, pas pour faire l’effort de réfléchir.

Notre cerveau « fonctionne d’abord sur le principe de la loi du moindre effort ».

Au-delà des neurosciences, ce n’est pas non plus comme si les signaux d’alarme avaient manqué en politique. Après tout, on vous parlait sur ce site, il y a déjà 10 ans, des manoeuvres de l’administration d’alors de George W. Bush pour s’ingérer dans les rapports scientifiques de son propre gouvernement sur le climat ou sur la pilule du lendemain. Le gouvernement canadien de Stephen Harper s’est fait maintes fois reprocher le même type d’ingérence dans la décennie qui a suivi. En remontant plus loin encore, le créationnisme à la sauce américaine a « évolué », pour remplacer son image d’une croyance religieuse par celle d’une « opinion » cherchant « légitimement » à s’insérer dans le débat. Et des politiciens sont tombés dans le panneau.

Mais ce qui a changé depuis 10 ans, et qui a explosé en 2016, c’est que les outils du numérique ont permis aux opinions les mieux financées – ou les plus bruyantes – de renforcer des chambres d’échos où leurs partisans n’écoutent plus que ce qui conforte leurs propres opinions. C’est ainsi que des climatosceptiques et des antivaccination en deviennent encore plus polarisés, convaincus que l’autre camp représente l’establishment désireux d’étouffer leur « point de vue ».

Le futurologue Nicholas Carr, dans son livre Utopia is Creepy paru cette année, écrit que là où les utopistes imaginaient il n’y a pas si longtemps un futur qui, grâce à l’internet, serait gouverné par l’intelligence et le partage d’information, il y voit pour sa part un présent gouverné par le marketing et la désinformation virale.

La solution est pourtant connue : il faut améliorer l’esprit critique du citoyen. Entre autres, celui des ados, nous rappelait une nouvelle étude le mois dernier.

Or, « améliorer l’esprit critique » n’a rien de révolutionnaire : la solution est connue depuis l’époque où les relationnistes des compagnies de tabac réussissaient à faire croire qu’un scientifique qui écrit dans le Wall Street Journal que le tabac ne cause pas le cancer, c’est la même chose qu’un scientifique qui publie une étude sur le cancer dans Nature.

« Améliorer notre esprit critique », cela signifie prendre conscience qu’on doit toujours douter d’une opinion, même si elle confirme la nôtre. Ça signifie aussi, apprendre à distinguer un fait d’une opinion. Et améliorer l’esprit critique en science, ce n’est pas décrocher un doctorat en physique : c’est entre autres apprendre ce qui distingue une étude fiable.

Avec le recul du journalisme scientifique depuis 25 ans, c’est loin d’être gagné, mais le mouvement de vérification des faits entrepris dans plusieurs médias ces dernières années, et auquel se rattache le Détecteur de rumeurs créé cette année, permet de rêver à un retour du balancier. Et si 2017 devenait plutôt l’année où la lutte à la désinformation aura pris un nouveau visage ?

http://www.lapresse.ca/

Les momies les plus vieilles du monde passent un scanner au Chili


Le peuple Chinchorro au Chili qui existait il y a plus de 10 000 à 3 400 avant notre ère, Ils momifiaient leurs défunts d’une façon assez étonnant. Ces momies seraient anciennes de plus de 7 000 ans, donc, plus vieilles que les momies égyptiennes
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Les momies les plus vieilles du monde passent un scanner au Chili

La tête était décorée d'un masque sur le... (Martin BERNETTI, AFP)

La tête était décorée d’un masque sur le visage, d’une perruque de cheveux naturels ou mélangeant des fourrures d’animaux, explique Veronica Silva (à droite), responsable du département d’anthropologie du Musée national d’histoire naturelle de Santiago.

MARTIN BERNETTI, AFP

GIOVANNA FLEITAS

Agence France-Presse

SANTIAGO DU CHILI

C’est une radiographie un peu particulière que vient de réaliser une clinique de Santiago du Chili : celle de quinze momies du peuple Chinchorro, considérées comme les plus anciennes au monde, afin de reconstituer leur physionomie.

Population de pêcheurs et chasseurs ayant vécu sur la côte du désert d’Atacama des années 10000 à 3400 avant notre ère, les Chinchorro ont été parmi les premiers à momifier leurs morts. Leurs momies ont 7400 ans d’ancienneté, au moins 2000 de plus que leurs homologues égyptiennes.

La semaine dernière, quinze d’entre elles – des enfants et des foetus principalement – ont passé un scanneur dans la clinique Los Condes, à Santiago.

L’opération a permis de les radiographier avec précision et de rassembler ainsi « des milliers d’images de moins d’un millimètre », explique à l’AFP le chef de radiologie Marcelo Galvez.

« L’étape suivante, c’est de faire la dissection de ces corps de manière virtuelle, sans les toucher, afin de nous assurer de pouvoir les conserver encore 500 000 ans », ajoute-t-il.

Pour cela, plusieurs ordinateurs ont déjà commencé à « reconstruire » en images l’aspect de ce peuple, en ajoutant aux momies des muscles, un nez, un menton… afin peu à peu de « voir à quoi ils ressemblaient physiquement, de voir en direct quelqu’un qui est mort il y a des milliers d’années », s’enthousiasme le docteur Galvez.

Les scientifiques cherchent aussi à mieux comprendre le processus complexe de momification qu’utilisaient les Chinchorro.

Fins connaisseurs de l’anatomie humaine, ils retiraient la peau et les muscles des cadavres, pour n’avoir plus qu’un squelette.

Ensuite, ils reconstituaient la forme du corps avec du bois et de la fibre végétale, le tout recouvert d’une couche d’argile, avant d’y remettre la peau et d’y ajouter des yeux et une bouche.

« Mieux comprendre » les Chinchorro

Pour finir, la tête était décorée d’un masque sur le visage, d’une perruque de cheveux naturels ou mélangeant des fourrures d’animaux, explique Veronica Silva, responsable du département d’anthropologie du Musée national d’histoire naturelle de Santiago.

« C’est la famille (du défunt) elle-même qui fabriquait la momie », affirme-t-elle.

Un processus qui a d’abord été appliqué aux foetus et aux nouveau-nés.

Il fallait pour cela respecter certaines règles générales même si chaque momie présente des caractéristiques uniques « avec des innovations technologiques et artistiques », les plus élaborées étant les plus récentes.

« Ce sont effectivement les corps momifiés artificiellement les plus anciens au monde », souligne-t-elle. « Les momies Chinchorro datent d’il y a 7.400 ans, ce qui veut dire que ce système de taxidermie des corps a été réalisé 2.000 ans avant même les premières momifications en Égypte ».

Le scanneur a d’ores et déjà offert une grande surprise aux chercheurs : la momie la plus petite ne contenait pas de corps humain.

« Elle n’a pas de structure osseuse et il s’agit donc d’une figurine qui pourrait être une représentation d’un individu que l’on n’a pas pu momifier », avance Veronica Silva.

Aucun mobilier funéraire n’a été retrouvé à côté des près de 180 momies découvertes depuis 1903, simplement disposées près de la plage Chinchorro – qui donne son nom au peuple en question -, ce qui laisse penser que les Chinchorro n’avaient pas de croyances liées à la vie après la mort.

Mettre un visage sur cette civilisation en décodant leur ADN et en identifiant quels traits génétiques sont encore présents chez la population actuelle, telle est l’ambition des chercheurs.

L’objectif est « de mieux comprendre leur mode de vie, de leur régime alimentaire jusqu’aux gènes qui seraient encore présents chez nous les Chiliens », souligne l’anthropologue.

http://www.lapresse.ca/

Pour entrer aux USA, il faudra renseigner votre compte Facebook


Est-ce vraiment une manière de pister d’éventuel terrorisme sur le sol américain chez les voyageurs ? Est-ce une atteinte à la vie privée ?
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Pour entrer aux USA, il faudra renseigner votre compte Facebook

© thinkstock.

Pour obtenir le document ESTA (Electronic System for Travel Authorization), précieux sésame qui doit être obtenu afin d’être autorisé à entrer sur le sol américain, les voyageurs sont désormais invités à indiquer leurs comptes sur les réseaux sociaux.

D’après Politico, la mesure qui était envisagée par le gouvernement américain depuis cet été est désormais effective. Son objectif? Identifier d’éventuelles menaces terroristes. Elle est donc entrée en vigueur ce mardi 20 décembre et ce en dépit de l’opposition de géants d’internet et de défenseurs de la vie privée.

Sur le site qui permet de remplir le document ESTA, les voyageurs de 38 pays exemptés de visa pour entrer aux USA sont invités via un menu déroulant à lister leurs comptes sur Facebook, Twitter, YouTube, Instagram ou LinkedIn, entres autres propositions.

Facultatif mais…

Pour l’instant, ces indications sont facultatives, comme le stipule le formulaire. Toutefois, étant donné la rigueur des douanes américaines, il n’est pas absurde d’imaginer qu’en cas de doute de la part des Etats-Unis, cette absence d’informations puisse constituer un motif de refus d’entrée sur le territoire américain, d’autant que le pays de l’Oncel Sam n’est pas tenu de motiver ce refus.

http://www.7sur7.be/

Peut-on transmettre la grippe à son chien, chat ou furet ?


C’est une bonne question ! Généralement, on ne contamine pas une animale domestique quand une grippe se déclare une grippe chez son maître, mais pas impossible. Pour le furet, la contamination est possible dans les deux sens
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Peut-on transmettre la grippe à son chien, chat ou furet ?

 

Ça y est, c’est officiel, la grippe est là, et elle est en avance, nous informe l’Agence nationale santé publique France dans son bulletin hebdomadaire. Et si elle touche les humains, peut-elle être contagieuse pour les chiens, chats ou encore furets ?

Le nez qui coule, la fièvre qui monte, une toux, des courbatures… La grippe n’est un plaisir pour personne. Et lorsqu’on l’attrape, on est bon pour passer quelques jours cloué au lit. Souvent, pendant notre convalescence, nous bénéficions de la présence réconfortante d’un animal qui vient se lover près de nous. Véritables bouillottes vivantes, nos chats et chiens contribuent ainsi, à leur manière, à notre rétablissement. Mais cette proximité n’est-elle pas dangereuse pour eux ? Ne risque-t-on pas de les contaminer ?

Mon chien ou mon chat peut-il attraper ma grippe ?

A priori, non. La grippe ne fait pas partie des zooanthroponoses (ou zoonoses inversées), ces maladies transmises de l’homme à l’animal. Les risques de transmettre la grippe à son chien ou son chat sont donc très limités. Il est cependant à noter que les virus évoluent vite : en 2009, un chat dont les maîtres avaient contracté la grippe H1N1 avait également été contaminé. Et même si ces cas sont extrêmement rares, ils ne sont pas à exclure.

« Etant un virus qui mute facilement et qui se combine, la grippe est dangereuse quand elle se retrouve dans un réservoir où elle n’est pas censée être. Mais il faut qu’il y ait beaucoup d’exposition pour qu’il y ait un vrai risque », explique le Dr vétérinaire Stéphane Tardif.

Tandis qu’un doute – aussi minime soit-il – persiste, des chercheurs de l’Iowa State University ou encore de l’OSY College ou Veterinary Medicine de l’Oregon travaillent actuellement pour identifier des cas d’animaux qui auraient contracté la grippe à cause de l’homme. Ces recherches pourraient permettre de mieux connaître les risques de contamination entre l’humain et l’animal domestique.

Contamination possible chez le furet

Le furet, en revanche, est susceptible d’être contaminé par la grippe et de la transmettre à son tour à l’homme (et vice-versa). Plusieurs cas d’influenza (autre nom de la grippe chez le furet) ont été recensés. Ce micro-organisme viral se transmet par le contact avec les sécrétions respiratoires d’un animal ou d’un homme infecté. Les symptômes chez le furet sont alors les mêmes que chez l’humain.

Des antibiotiques peuvent être prescrits par un vétérinaire à un furet en cas d’infections bactériennes secondaires, ainsi que des antihistaminiques pour combattre les éternuements. La grippe n’est pas dangereuse chez le furet adulte, mais peut être fatale pour aux nouveau-nés ainsi qu’aux furets les plus vulnérables (déjà faibles ou âgés).

https://wamiz.com/

Hausse du nombre de corps non réclamés


C’est triste qu’une personne meure et personne pour réclamer son corps ou pire, la famille refuse de s’occuper des obsèques. C’est d’avoir vécu peut importe comment, et de partir sans jamais avoir existé pour personne
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Hausse du nombre de corps non réclamés

 

Un cadavre à la morgue

Un cadavre à la morgue Photo : iStock/iStock

Une salle de la morgue de Montréal Photo : Radio-Canada/Anne-Andrée Daneau

À la morgue de Montréal, les familles sont accompagnées et ne sont jamais laissées seules en présence d’un corps mal en point.

Ce sont les préposés du coroner et les coroners eux-mêmes qui ont la tâche d’identifier les corps et de procéder à une autopsie dans certains cas.

Recevoir les corps, les peser, les identifier, vérifier les effets personnels… et ils sont mis ensuite dans un des frigidaires de la morgue.

Me Catherine Rudel-Tessier, Coroner en chef

Si les recherches ne donnent rien ou lorsqu’une famille refuse d’avoir le corps, à l’expiration d’un délai de 30 jours, le corps est considéré comme non réclamé.

C’est le ministère de la Santé et des Services sociaux qui est alors tenu de l’inhumer aux frais de l’État. L’an dernier, les frais pour disposer des corps non réclamés se sont élevés à plus de 226 000 $ pour l’ensemble du Québec.

Deux solutions sont alors possibles. Le corps non réclamé peut être proposé à une institution d’enseignement pour des fins d’enseignement ou de recherche. Le MSSS peut aussi autoriser l’établissement de santé où est entreposé le cadavre à contacter l’entreprise de services funéraires de son choix.

Avec les informations d’Anne-Andrée Daneau

http://ici.radio-canada.ca/