Chutes et coups


Cela me fait penser qu’en vieillissant, on s’aperçoit que nos parents avaient raison sur bien des choses, mais il fallait que nous les expérimentions pour comprendre
Nuage

 

Chutes et coups

 

On peut vous donner tous les conseils du monde, certaines leçons ne s’apprennent qu’avec des chutes et des coups

Richard Gere

Cette entreprise vous fera tourbillonner dans de magnifiques créations en verre lors de votre décès.


Je ne crois pas faire ce genre de chose, car je ne veux pas être incinérée. Cependant, c’est magnifique ces oeuvres d’art fait avec des cendres de personnes décédées
Nuage

 

Cette entreprise vous fera tourbillonner dans de magnifiques créations en verre lors de votre décès.

 

L’entreprise Artful Ashes, basée à Seattle, aux États-Unis, aide les proches durant le processus de deuil en créant des objets commémoratifs uniques en verre pour les décédés.

En utilisant l’art du soufflage de verre, Artful Ashes collecte une cuillère à soupe de cendres de votre proche et l’inclut dans un orbe ou un cœur de verre.

Proposé par Gaz metro

“Nos artistes capturent l’essence de l’esprit de votre proche en un tourbillon de couleurs et de cendres, scellé pour toujours dans une magnifique pièce d’art en verre”, écrivent-ils.

“Ces extraordinaires pièces vous réconfortent durant le deuil, vous permettant de la tenir et de chérir vos souvenirs.”

Les cendres apparaissent en suivant un motif enroulé enchevêtré avec des couleurs effervescentes. Chaque pièce commémorative est accompagnée d’un message gravé avec le nom du proche.

oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-01oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-02oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-03oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-04oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-05

oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-06oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-07oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-08oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-09oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-10

oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-11oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-12oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-13oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-14oubliez-les-cercueils%e2%80%89cette-entreprise-15

Elles mesurent approximativement 8,9 cm sur 8,9 cm et pèsent 6,35 kg. Selon quelqu’un qui en a acheté une sur Reddit, elle coûte environ 135 €, mais vous pouvez trouver plus d’informations ici. Vous pouvez également les suivre sur leur page Facebook.

http://bridoz.com/

Le Saviez-Vous ► Le chat qui avait écrit dans un journal scientifique


C’est spécial, une histoire réelle qui fait sourire ! Ce chat aurait participé à un journal scientifique. Malgré la découverte de la supercherie, sa renommée a continué à grandir
Nuage

 

Le chat qui avait écrit dans un journal scientifique

 

Hiding behind his words | PSEUDO via Flickr CC License by

Hiding behind his words | PSEUDO via Flickr CC License by

Elise Costa

En 1975, un visiteur se rend au département de physique de l’Université du Michigan. Il tient à rencontrer les deux auteurs d’un article qui a particulièrement retenu son attention. Seulement, c’est impossible. Si le premier auteur est en déplacement, il s’avère que le second est en réalité un chat. Retour sur la carrière du fameux F.D.C. Willard.

Jack H. Hetherington est un homme respecté et respectable. Il est chercheur en physique et mathématiques à l’Université du Michigan. En septembre 1975, il écrit un papier sur le comportement des atomes à basses températures intitulé «Two-, Three- and Four Exchange Effects in bbc 3He». 3He est le petit nom de l’Hélium 3, qui serait apparu peu après le Big Bang. Jack H. Hetherington compte bien envoyer cet article à la tout aussi respectée et respectable revue Physical Review Letters.

Mais d’abord, il fait ce que tout auteur fait avant de soumettre un texte à publication: il le fait relire. Y a-t-il des incohérences, des erreurs, dans ses recherches ? Bien lui en a pris. Son collègue, avec son regard neuf, remarque que quelque chose ne colle pas. Jack H. Hetherington a écrit tout son papier à la première personne du pluriel:

«Nous prenons seulement en considération trois niveaux d’échange…» ; «Nous notons que la température T donnée détermine e2… ».

Or, lui explique le collègue, le périodique n’accepte de publier des papiers contenant le «nous» qu’à condition d’être effectivement cosignés par plusieurs auteurs.

Qui est F.D.C. Willard?

 

En 1975, Microsoft vient à peine d’être crée. Pour écrire un papier formel, il faut se mettre devant sa machine à écrire et taper les touches qui viendront une à une déposer l’encre sur le papier. Autrement dit en cas de syntaxe qui laisse à désirer ou de fautes d’orthographes, il n’y a pas mille solutions: l’auteur doit tout retaper. Le papier d’Hetherington ne fait que trois pages mais c’est l’apanage des génies que de mettre leur intelligence au service de leur flemme. Au lieu de tout reprendre, le scientifique trouve une parade. Un co-auteur qu’il connaît très bien et qui l’a aidé à sa façon: son chat siamois Chester. Il ne peut pas apposer le simple nom de «Chester» à côté du sien, alors il décide d’écrire «F.D.C. Willard». Soit Felis Domesticus Chester, fils de Willard (Felis Domesticus étant l’autre nom du chat domestique).

L’article passe et le jour où le visiteur arrive à l’Université du Michigan pour féliciter les auteurs, la supercherie est publiquement dévoilée. Les éditeurs du «Physical Review Letters» ne sont pas très jouasses à l’idée de s’être fait berner, mais il se trouve que le papier d’Hetherington est vraiment bon. Et puis Hetherington n’est pas dupe. Il sait aussi que si ses recherches sont intéressantes, elles marqueront d’autant plus les esprits qu’elles auront été réalisées par un chat.

L’homme pousse le vice jusqu’à réimprimer son papier avec cette fois la signature de Chester (soit deux-trois empreintes de coussinets). Le doyen en physique de l’Université du Michigan, Truman Woodruff, envoie même une lettre à Jack H. Hetherington l’invitant à convaincre F.D.C. Willard –alias Chester– de rejoindre leur équipe en tant que professeur honoraire.

Auteur à part entière

 

L’histoire aurait pu s’arrêter là. Cinq ans plus tard, en 1980, le nom de F.D.C. Willard se retrouve pourtant dans une revue française. Dans le numéro 114 de «La Recherche», il est cité en tant qu’auteur d’un nouveau papier sur l’Hélium-3 («L’hélium-3 solide: un antiferromagnétique nucléaire»). L’animal a pris du gallon. Il n’est plus co-auteur, mais auteur à part entière. Comment le chat, alors âgé de douze ans, a-t-il pu remettre le couvert?

Derrière l’article se trouve bien sûr Hetherington. Sauf qu’alors, il n’est plus vraiment le seul à l’écrire. Ils sont plusieurs chercheurs français et américains à avoir rédigé le papier. Le problème, c’est qu’à la date butoir ils ne sont pas parvenus à un terrain d’entente. Qu’arriverait-il si les points mis en exergue venaient à être faux? La réputation d’Untel ou Untelle pourrait être mise en jeu! Afin de mettre tout le monde d’accord, Hetherington a proposé de signer sous le nom de F.D.C. Willard. Car qui pourrait en vouloir à un chat de s’être trompé?

Chester le siamois s’est éteint peu de temps après sa dernière publication. Les éditions APS reconnurent, lors du poisson d’avril 2014,

 qu’«aucun chat depuis Schrödinger n’avait eu une telle opportunité en physique».

Il a aujourd’hui sa propre page wikipédia.

Elise Costa

http://www.slate.fr/

Ces vidéos aident des jeunes en surpoids


Comment parler aux jeunes de l’embonpoint, c’est important d’en parler, mais comment sans pour autant qu’ils se sentent attaquer et perdent ainsi leur estime de soi. Le circuit de l’hôpital Sainte Justine de Montréal pour enfant se sont attaqué à ce problème avec des vidéos qui j’avoue celle présentée ici mérite d’être regardé …
Nuage

 

Ces vidéos aident des jeunes en surpoids

 

Le Centre CIRCUIT de l’hôpital Sainte-Justine a produit une série de vidéos éducatives mettant en scène la famille fictive Labelle-Morin, afin de soutenir les jeunes en surpoids à gérer cette situation.

Depuis 2010, le centre intervient auprès de 300 familles d’enfants en surpoids avec des stratégies pour améliorer leur estime de soi. Afin de rejoindre un plus large public, il mise sur ces vidéos, dont la plupart abordent le sujet avec un ton humoristique.

Celle qui parle d’émotions a le plus retenu l’attention. Un père qui y désamorce habilement, par le jeu, une situation délicate avec sa fille adolescente.

En moins d’un mois, la vidéo « Ce qui a de la valeur est à l’intérieur » a enregistré plus de 1,4 million de visionnements, en majorité chez les femmes et les jeunes filles de 14 à 55 ans (80 %).

« Moi, je pense que c’est un sujet qui vient toucher beaucoup de jeunes filles et sûrement quelques garçons parce qu’on est vraiment dans une société où on fait la promotion du corps parfait, du corps mince », réagit la jeune comédienne Léonie Doucet-Pichette, 14 ans, qui en était à sa première prestation professionnelle.

J’ai moi-même eu quelques difficultés et je me suis dit : « ça va peut-être m’aider à montrer aux autres filles qu’on est belle, peu importe qu’on soit ronde ou qu’on soit mince ». – La jeune comédienne Léonie Doucet-Pichette

Son vis-à-vis, le comédien Pierre Gendron, qui est aussi père de famille dans la vie, ajoute qu’à l’ère des médias sociaux l’apparence a pris une importante démesurée.

« Quand tu es comédien, tu deal avec ça même si c’est pas toujours évident. Mais, pour les jeunes, c’est pas mal plus compliqué. Alors juste ce que cette petite vignette-là fait ressortir, je pense que c’est venu chercher beaucoup de monde. »

Contre la souffrance psychologique des enfants

« On s’est rendu compte qu’il y avait une souffrance psychologique énorme chez les enfants qui souffrent d’embonpoint et qu’il fallait la soulager », explique le Dr Jean-Luc Bigras, cardiologue pédiatrique et codirecteur du Centre CIRCUIT.

En utilisant une approche différente, celle de la fiction, il estime que les jeunes en surpoids peuvent plus facilement discuter de leur problème avec les membres de leur famille, regagner leur estime de soi et commencer à trouver des solutions.

« Les enfants en ressortent grandis », dit-il.

À l’origine, le Centre CIRCUIT intervenait auprès des enfants et des familles en leur proposant surtout un programme de remise en forme et de saine nutrition. Progressivement, de la formation sur les aspects psychologiques du problème de surpoids, sous forme d’ateliers de groupe, a été ajoutée.

Ces vidéos sont considérées comme un outil efficace pour rejoindre le public cible du Centre CIRCUIT, soit les familles.

« On veut que les parents et les enfants abordent le sujet du surpoids d’une autre façon, plus positivement », explique le cardiologue-pédiatre.

Au total, cinq vidéos sont actuellement disponibles sur le site du centre et une quinzaine d’autres le seront progressivement.

 

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Viols, meurtres… la Russie propose une téléréalité sans aucune limite


Cela prend bien un milliardaire pour faire des émissions de téléréalité à l’extrême ou tout est permi et que les candidats acceptent d’être tué, mutilé, violé tout cela pour gagner plus 1 million de dollars. D’autres pays ont fait des téléréalités extrêmes, mais jusqu’ou l’homme peut se conduire en sauvage inhumain ?
Nuage

 

Viols, meurtres… la Russie propose une téléréalité sans aucune limite

 

  • Par Yohan Blavignat

L’émission Game2: Winter sera diffusée en 2017 en Russie. Filmés 24 heures sur 24, les candidats devront survivre dans le froid sibérien, au milieu des ours et des loups. Et pour y parvenir, tout est permis.

La téléréalité va-t-elle dépasser toutes les limites? Une émission russe, à cheval entre le film Hunger Games et Koh-Lanta, et qui ne sera diffusée qu’en 2017, crée déjà la polémique, rapporte notamment The Guardian. Intitulé Game2: Winter, ce programme, né dans l’esprit du milliardaire russe Yevgeny Pyatkovsky, consiste à proposer à 30 candidats de survivre en milieu sauvage dans des conditions extrêmes. La règle du jeu est simple: il n’y a aucune règle… ou presque. Pour survivre, et espérer gagner ce «jeu», les participants sont autorisés à tout, et devront même signer des formulaires en cas de décès avant de s’engager.

Alors que le casting de l’émission a débuté, les avertissements de la production sont clairs:

«Chaque participant donne son consentement, disant qu’il accepte le risque d’être mutilé, voire tué. 2000 caméras, 900 hectares et 30 vies. Tout est permis. Combats, alcool, meurtre, viol, tabagisme, tout.»

Chaque candidat aura à sa disposition une Go Pro pour s’enregistrer et filmer ce qu’il subit. L’émission sera diffusée en ligne 24 heures sur 24.

Au-delà des risques d’affrontements entre participants, la rudesse du climat sibérien mettra à rude épreuve les candidats. Car l’émission sera tournée en hiver. Une saison où la température descend régulièrement en dessous des -40°C. De plus, ils devront survivre dans l’habitat naturel des ours et des loups. Le gagnant se verra remettre un prix de 1,6 million de dollars.

La police pourra intervenir… en 30 minutes

D’après le Siberian Times, les couteaux seront autorisés, mais les armes à feu interdites. La police pourra également intervenir si l’un des candidats commet un crime pendant l’émission.

«Vous devez comprendre que la police viendra vous chercher, est-il écrit sur le règlement. Nous sommes sur le territoire de la Russie, et nous obéissons aux lois de la Fédération de Russie».

Mais compte tenu du terrain de l’émission, les forces de l’ordre mettront près d’une demi-heure pour arriver sur place. Dans le quotidien russe, le milliardaire à l’origine de ce projet explique toutefois qu’il «refusera toute réclamation des participants, même s’ils devaient être tués ou violés».

Les participants devront être âgés d’au moins 18 ans et «mentalement sains», selon le règlement. «Le spectacle promet d’être international», a encore déclaré Yevgeny Pyatkovsky. «Cinq pays ont exprimé le souhait de le diffuser à leur public.»

Selon lui, 60 personnes ont déjà présenté une demande pour participer, dont un Américain.

D’autres émissions de téléréalité avaient déjà fait parler d’elles dans le passé pour leur caractère extrême.

Aux États-Unis, Born in the Wild (Né en pleine nature) proposait de suivre le quotidien de femmes sur le point d’accoucher en pleine nature, seules et sans assistance médicale.

Sur la chaîne australienne SBS, l’émission Go Back Where You Come From (Retourne d’où tu viens) permet à ses participants de vivre dans des camps de réfugiés en Syrie, en Irak ou en Birmanie. Dans un épisode, les candidats ont subi une attaque de l’État islamique dans un camp syrien.

Enfin, la Serbie propose actuellement une téléréalité sans aucune limite, mêlant bagarres, sexe, alcool et conflits en tout genre.

http://www.lefigaro.fr/

Pour uriner proprement dans la rue, des bacs à fleurs spéciaux seront installés à Paris et à Nantes


Alors que nous les femmes, nous allons dans les toilettes publiques malgré des envies pressantes, les hommes vont directement dans la rue. Pour essayer de modérer ces mauvaises habitudes, on songe à des urinoirs (Uritrottoir) pour rendre cela écologique
Nuage

 

Pour uriner proprement dans la rue, des bacs à fleurs spéciaux seront installés à Paris et à Nantes

 

Le HuffPost avec AFP

Satisfaire une envie pressante tout en faisant du compost. Conçu par une agence de design nantaise, « l’Uritrottoir », mi-pissotière de rue, mi-jardinière, doit s’installer début janvier à Paris et au printemps à Nantes dans des lieux à risques d’épanchements urinaires, sauvages et nauséabonds.

« Les pipis partout, les mercredis, jeudis, vendredis et samedis soirs, sont une problématique majeure des centres-villes, souligne Laurent Lebot, l’un des cogérants de l’agence Faltazi. Et les services de propreté de la ville passent un temps fou à les nettoyer, avec des produits et des détergents agressifs et une quantité d’eau importante ».

Déjà conceptrice d’un urinoir sec champêtre à destination des festivals, qui se présentait sous la forme d’un entonnoir, l’agence nantaise a imaginé une mini-vespasienne citadine « écologique et économique » pour « civiliser les pipis » sauvages de rue.

Le pipi et la paille

Composé de deux bacs en aluminium, l’un rempli de paille ou de sciure de bois, l’autre de fleurs, l’Uritrottoir « est l’association de deux déchets, l’urine et la paille. Le mélange de carbone et d’azote donne du fumier qui, une fois composté, sera utilisé comme engrais pour l’horticulture », décrit son associé, Victor Massip.

La SNCF et la ville de Nantes ont déjà passé commande, et deux premiers modèles expérimentaux seront installés tout début janvier aux abords de la gare de Lyon à Paris, puis trois au printemps dans des « rues à pipi » de la cité des ducs de Bretagne, sur des sites qui doivent encore être définis par la municipalité, en concertation avec les riverains.

Toilettes connectées pour ne pas déborder

Ces toilettes sèches de rue seront par ailleurs connectées, la présence de capteurs permettant de contrôler à distance le niveau d’urine dans la caisse et éviter ainsi tout débordement, tout en épargnant aux prestataires chargés de la collecte de l’urine des déplacements inutiles si les bacs ne sont pas pleins.

« On va solutionner le pipi sauvage, mais derrière il y a une dimension écologique. Le type qui a une envie pressante et qui cherche un recoin pour ses petites commissions, maintenant va uriner utile », se réjouit Laurent Lebot.

L’Uritrottoir existe en « version XXL pour 600 pipis », haute de 1,20 mètre, en version « 300 pipis », ou encore en format triangulaire adapté aux recoins, selon ses concepteurs.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Un Russe publie une annonce: «j’irai en prison à votre place» contre de l’argent


Il y en a qui ont des biens drôles d’idées pour de l’argent, surtout qu’en Russie, les conditions carcérales ont l’air à être plutôt difficiles et la corruption est souvent dénoncées. Enfin, preuve que dans les petites annonces ont peut tout trouver
Nuage
 

 

Un Russe publie une annonce: «j’irai en prison à votre place» contre de l’argent

 

AFPQC  |  Par Agence France Presse

Un Russe a publié sur un site populaire de petites annonces une offre peu conventionnelle: servir de « remplaçant » à quelqu’un qui doit purger une peine de prison, a rapporté jeudi un journal de Saint-Pétersbourg.

« Je purgerai les peines allant jusqu’à 5 ans de prison à votre place », écrit cet homme qui se présente comme un retraité sur le site internet de petites annonces Avito.ru, selon le journal en ligne Fontanka.ru.

« J’assumerai toutes les responsabilités et ferai les dépositions nécessaires. Merci ne pas proposer des affaires liées à des actes de violence », poursuit le message.

Pour son « service », le retraité demandait un paiement de 2500 à 3000 roubles par jour de détention (entre 54 et 65 dollars).

Le journal, qui a publié une capture d’écran de l’annonce, a ajouté que celle-ci a été retirée du site peu après la publication de son article.

La Russie compte environ 640 000 prisonniers pour une population de 143 millions d’habitants. Les conditions d’incarcération et la corruption du système pénitentiaire sont régulièrement dénoncées par les ONG et les défenseurs des droits de l’Homme

http://quebec.huffingtonpost.ca/

L’inhalation d’un produit pour dépoussiérer les ordinateurs inquiète


On aura tout vu ! Prendre un dépoussiérant pour les claviers pour avoir des sensations. Et en plus, on peut en mourir ! En 2015, un jeune du Québec est mort à cause de ce produit
Nuage

 

L’inhalation d’un produit pour dépoussiérer les ordinateurs inquiète

 

RCQC  |  Par Radio-Canada.ca

Respirer un produit en aérosol servant à nettoyer les claviers d’ordinateur peut s’avérer un jeu très dangereux. Les cas de jeunes qui inhalent du dépoussiéreur, vendu sous le nom Dust Off, se multiplient. Le Bureau du coroner et le Centre antipoison du Québec sonnent l’alarme.

« Le phénomène semble en croissance, même si nous n’avons pas de données précises à ce sujet », soutient la Dre Maude Saint-Onge, qui est directrice médicale au Centre antipoison de Québec.

Les jeunes respirent ce produit qui contient du difluoroéthane pour son effet euphorisant.

« Ça peut causer une altération de l’état de conscience, de la somnolence, mais aussi augmenter les risques de trouble cardiaque. Donc, on peut vraiment faire un arrêt cardiaque là-dessus », prévient la Dre Saint-Onge.

Elle souligne que des canettes du produit sont régulièrement retrouvées autour des centres jeunesse et des écoles. Le Centre antipoison répond à environ 40 à 50 cas d’exposition à ce type d’hydrocarbure chaque année.

«Il y a beaucoup plus de jeunes, et parfois des moins jeunes, qui vont en abuser parce que, malheureusement, c’est facilement accessible bien que ce soit très toxique.» ― La Dre Maude Saint-Onge, directrice médicale, Centre antipoison de Québec

Un adolescent décédé

En avril 2015, un adolescent de 15 ans de Saint-Marc-des-Carrières, près de Québec, a été retrouvé mort après avoir inhalé du difluoroéthane. Une canette de dépoussiéreur se trouvait près de lui.

L’an dernier, le coroner Luc Malouin recommandait au ministère de la Santé de « prendre les mesures appropriées pour contrer cette problématique ».

Un premier avis de la Santé publique a été émis en avril 2015 à la suite du dépôt du rapport.

Cette « mode » n’est pas à prendre à la légère, dit le coroner en entrevue à Radio-Canada. « À partir du moment ou un jeune l’essaie, il en parle à ses amis et là, la nouvelle se répand et de plus en plus d’amis essaient ça, sans réaliser à quel point ça peut être dangereux », déplore le coroner.

Le produit, peu coûteux, est facilement accessible en vente libre.

Sensibiliser plutôt qu’interdire

Interdire le produit ne réglera pas le problème toutefois, selon le coroner Malouin. Le difluoroéthane se retrouve dans une multitude de produits, dont le fixatif pour cheveux.

Une adolescente de Saint-Eustache a été trouvée inconsciente l’année dernière après avoir inhalé un produit détachant qui contient du difluoroéthane, comme le dépoussiéreur.

« Il y a de ce gaz-là dans tellement de produits qu’on utilise tous les jours, que de dire « on va mettre ça sous clé », ça ne règle pas le problème. »

Il faut davantage miser sur la sensibilisation, croit le coroner Malouin.

Certains commerçants conservent déjà les produits contenant du difluoroéthane derrière le comptoir pour en réduire l’accès.

http://quebec.huffingtonpost.ca/