L’Imparfait


La perfection n’est pas de ce monde, ni de cet univers. Cependant, imperfection permet de découvrir sa vraie beauté, sa vraie valeur
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L’Imparfait

 

Je sais, je ne suis pas parfait …
Mais qui s’en soucie ?
Même la lune n’est pas parfaite. C’est plein de cratères.
Et la mer ? Même pas elle. Trop salée.
Et le ciel ? Toujours aussi infini …
Je veux dire que les belles choses ne sont pas parfaites
Elles sont spéciales !

Bob Marley

Quand un bébé déguisé en lion rencontre un vrai lion


Il y en a qui trouve cela drôle voir mignon de voir un bébé de 11 mois déguisé en lion lors d’une visite au Zoo d’Atlanta. Moi, personnellement, je trouve cela triste de voir ce lion piégé de la sorte devant des proies potentiel au lieu d’être dans un environnement habituel au lion
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Quand un bébé déguisé en lion rencontre un vrai lion

 

Le Saviez-Vous ► Atchoum


J’ai toujours un frisson quand une personne éternue près de moi et qui n’ont pas appliqué une simple règle d’éternuer dans un mouchoir ou dans le creux du coude. Les particules de mucus se propulsent à une grande distance
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Atchoum !

 

Brite Pauchet,

Savez-vous à quelle distance se rendent notre salive, notre mucus et notre morve lorsqu’on éternue ? À pas moins de 8 mètres! d’après les travaux de Lydia Bourouiba, physicienne et mathématicienne au Massachusetts Institute of Technology.

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Une professeure de Californie forcée de se cacher après une tirade anti-Trump


Déjà qu’être professeur n’est pas une profession facile, si en plus, ils risquent de menaces, de violences pour leur propos politique avec Donald Trump, c’est la loi du silence qui va régner pour eux
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Une professeure de Californie forcée de se cacher après une tirade anti-Trump

 

Donald Trump... (PHOTO DON EMMERT, AFP)

Donald Trump

PHOTO DON EMMERT, AFP

Agence France-Presse
LOS ANGELES

 

Une professeure d’université californienne, qui avait dit à ses étudiants que l’élection de Donald Trump était «un acte de terrorisme», vit cachée depuis que ses commentaires ont déclenché une série de violentes critiques et des menaces de mort.

Olga Cox, professeure associée de psychologie à l’université Orange Coast College de Costa Mesa, en banlieue de Los Angeles, a dû quitter la Californie après qu’une vidéo de sa tirade – secrètement enregistrée par l’un de ses étudiants – a été postée sur Facebook, déclenchant un raz-de-marée de critiques et menaces, selon le quotidien local Orange County Register.

Le syndicat qui représente Mme Cox a indiqué que l’enseignante et l’université avaient reçu plus de 1000 courriels et que Mme Cox avait également fait l’objet d’appels de menaces.

«Tu veux le communisme, va à Cuba (…), essaie de l’amener en Amérique et on te mettra une balle en pleine face», disait l’un d’eux, selon le président du syndicat Rob Schneiderman.

Selon lui, un autre courriel décrivait Cox comme une «cinglée» et promettait de diffuser son adresse.

Dans la vidéo publiée par les Jeunes républicains de l’établissement le 6 décembre, Mme Cox comparait l’élection du magnat de l’immobilier à «un acte de terrorisme» et critiquait les membres sélectionnés pour son gouvernement ainsi que le vice-président élu Mike Pence.

«Notre nation est divisée. Nous avons été agressés. C’est un acte de terrorisme», disait-elle aux étudiants.

«L’une des choses les plus terrifiantes pour moi et les gens autour de moi c’est que ceux qui sont à l’origine de cette agression se trouvent parmi nous», ajoutait-elle.

Beaucoup d’étudiants ont jugé ces commentaires offensants et l’association des Jeunes républicains a fait circuler une pétition pour demander son renvoi.

Lundi, plusieurs centaines d’étudiants et employés de l’université se sont rassemblés sur le campus pour lui apporter leur soutien, portant des panneaux en faveur de la liberté d’expression.

«Ça n’a rien à voir avec la liberté d’expression», a rétorqué l’un des étudiants qui s’opposent à elle, Vincent Wetzel, dans le Register, assurant que c’est «une enseignante qui abuse de sa profession», ajoutant que par ailleurs Mme Cox est une «bonne professeure».

Le syndicat d’enseignants a de son côté fait savoir que l’étudiant qui a enregistré Cox en cachette pourrait faire l’objet de poursuites, car cet enregistrement enfreint selon eux le code de conduite des étudiants.

Mme Cox devrait reprendre ses cours après les vacances de fin d’année. Des représentants de l’université et du syndicat n’ont pas répondu dans l’immédiat aux demandes de commentaires de l’AFP.

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Le jus de canneberge prévient et soigne les infections urinaires: faux


Longtemps, on nous disait que le jus de canneberge pouvait nous éviter des infections urinaires alors que c’est faux, enfin sauf peut-être celles qui souffrent d’infections urinaires à répétitions et seulement en guise de prévention
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Le jus de canneberge prévient et soigne les infections urinaires: faux

 

 

Agence Science-Presse) Vous avez avalé votre jus de canneberge ce matin et vous pensez être protégé contre les infections urinaires. Malheureusement pour vous, une nouvelle étude affirme ce que plusieurs autres ont affirmé avant elle : aucun impact mesurable.

D’où vient cette nouvelle information?

L’étude menée par une équipe de l’Université Yale et rapportée par plusieurs médias des deux côtés de l’Atlantique (notamment ici et ici), affirme que le jus de canneberge ne prévient ni ne soigne les infections urinaires courantes. L’étude est parue le 27 octobre dans le Journal de l’Association médicale américaine (JAMA)

Ce n’est pas la première fois que des études remettent en question les vertus proclamées du jus de canneberge. En fait, un large corpus de recherche était déjà arrivé la même conclusion. En 2012, des chercheurs britanniques avaient publié une revue scientifique de la question dans la revue Cochrane – il s’agissait là d’une troisième mise à jour des résultats de la première revue scientifique sur la question datant de 1998, et des mises à jour suivantes en 2004 et 2008.

Ce genre de revue scientifique s’appelle une méta-analyse: Cochrane synthétisait les résultats de 24 études, totalisant 4473 participants, qui portaient sur l’administration de jus de canneberge ou de comprimés de canneberges —dont 13 de ces études, totalisant 2380 participants, avaient comparé les deux. Dépendamment des études, les produits de la canneberge ont été comparés au placebo, à l’eau ou à l’absence de traitement.

Qu’est-ce qu’une infection urinaire?

Brûlures au moment d’uriner, douleurs au-dessus du pubis, fréquente envie d’uriner, frissons et urine trouble, les symptômes de cette infection affectent de nombreuses femmes. Selon la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada, de 50 à 60% des femmes adultes contracteront une infection urinaire au cours de leur vie. Mais les symptômes varient d’un cas à l’autre.

Les infections urinaires affectent plus souvent les femmes que les hommes en raison de leur morphologie : l’urètre, le canal de sortie de la vessie, étant plus court, la circulation des bactéries en provenance des intestins se fait plus facilement. Dans près de 80% des cas, il s’agit d’attaques de la bactérie E. coli (Escheria coli). La plupart du temps, ces infections se résorbent d’elles-mêmes ou avec prises d’antibiotiques.

Des litres plus tard, pas d’avancées

Dans leur nouvelle étude, les chercheurs de Yale, aux États-Unis, ont donné, chaque jour pendant un an, l’équivalent d’un demi-litre de jus de canneberge (concentré et en comprimé) à 185 patientes âgées.

Résultat : aucune différence statistique entre le groupe traité avec des concentrés de canneberges et le groupe-contrôle.

« Il ne semble pas y avoir de découverte majeure digne de mention, [dans cette étude], mis à part que l’extrait de canneberge ne diminue pas les quantités de bactéries ou de cellules immunitaires dans l’urine, ni les taux d’infections, de mortalité, etc. Au final, le traitement n’était pas plus efficace qu’un placebo », confirme le microbiologiste et infectiologue de l’Université de Sherbrooke, Louis-Charles Fortier.

La prévention plutôt que le traitement

S’il n’y a pas d’impact sur le traitement, il est possible la canneberge ait un léger impact sur la prévention, mais uniquement « pour les femmes souffrant d’infections urinaires chroniques », lit-on dans l’édition 2012 de la revue scientifique Cochrane.

Le jus de canneberge, plus souvent consommé, semble toutefois moins efficace que les comprimés,. Les femmes qui développent des infections chroniques, poursuit le Dr Carmel, peuvent les utiliser à titre préventif, avant de passer aux antibiotiques. Une recommandation identique à ce qu’avait statué en 2015 l’Association américaine d’obstétrique et de gynécologie.

D’où vient le mythe ?

L’ingestion quotidienne de produits à base de canneberge pour lutter contre les infections ne date pas d’hier. Consommée durant des siècles par les autochtones, la canneberge a gagné une aura médicinale que les promoteurs de santé naturelle vantent encore aujourd’hui : antibactérienne, laxative, contre les crampes d’estomac, etc.

Avant la découverte des antibiotiques, on prêtait surtout au jus de canneberge la vertu d’acidifier l’urine grâce aux composés « phénoliques » du jus, censés tuer les bactéries —en rendant le milieu acide, ces composés inhiberaient la croissance des bactéries.

Avec la découverte des antibiotiques, les médecins ont plutôt choisi de recourir à ces médicaments pour traiter les infections urinaires mais aussi en prévention, pour les infections récurrentes. Boire beaucoup d’eau, changer de savon, penser à s’essuyer d’avant en arrière et uriner après les relations sexuelles sont d’autres conseils préventifs mis de l’avant par de nombreux urologues.

Le temps de passer à autre chose ?

Pourtant, plusieurs médecins n’ont pas délaissé la prescription de jus de canneberge à titre préventif.

« Ce n’est pas nocif», relève le Michel Carmel, urologue.

Face à la nouvelle étude, l’urologue convient qu’il serait sans doute temps d’arrêter d’en prescrire, sans toutefois décourager les patientes qui souhaiteraient poursuivre ce remède inoffensif.

« Ce sont des plus jeunes femmes qui viennent me voir. De 10 à 15% font de nombreuses infections chroniques. Par contre, les hommes n’ont aucune raison de poursuivre ce traitement », relève le Dr Carmel.

Nicolle Lindsay de l’Université du Manitoba va plus loin. Selon elle, il serait plutôt temps de passer à autre chose, écrivait-elle dans un éditorial accompagnant l’étude de Yale («Time to move on») : «malgré de nombreuses études cliniques cherchant à évaluer l’usage des produits de la canneberge pour la prévention des infections urinaires rapportées, les résultats ont été variables et l’efficacité, s’il en existe une, reste inconnue après presque un siècle».

Verdict

Après des décennies de recherche :

  • aucune donnée probante ne permet d’affirmer que les produits de la canneberge permettent de prévenir ou traiter les infections urinaires.
  • il est toutefois possible qu’ils préviennent les infections chez les femmes qui en souffrent de façon chronique.

Pour distinguer une étude fiable

Il est toujours bon de vérifier si une étude citée par un média est une méta-analyse ou une étude unique, cette dernière portant par définition sur moins de gens et rassemblant moins de données. Il est également de mise de prendre le temps de s’interroger sur le média qui rapporte cette étude et de consulter ses références – si elles sont disponibles, évidemment.

Isabelle Burgun

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Est-ce encore utile d’apprendre à écrire en lettres attachées?


Doit-on continuer a enseigné les lettres attachées dans nos écoles ? Surtout que l’usage des lettres détachées se retrouvent plus souvent dans notre quotidien, que ce soit dans les livres, l’ordinateur ? Moi, je crois que oui
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Est-ce encore utile d’apprendre à écrire en lettres attachées?

 

Photo d'une élève qui a écrit le mot « chat » en lettres attachées.

Le mot « chat » écrit en lettres attachées. Photo : Radio-Canada / Michel Bolduc

Alors que les écoles un peu partout au Canada et aux États-Unis délaissent les lettres attachées, le Conseil scolaire Viamonde, dans le sud de l’Ontario, n’enseignera que l’écriture cursive à ses élèves de 1re année à partir de septembre.

Un texte de Michel Bolduc

Dans un monde dominé par les ordinateurs et les caractères d’imprimerie, les bonnes vieilles lettres attachées ont toujours leur raison d’être, selon la surintendante de Viamonde, Sylvie Longo.

[Avec l’écriture cursive,] l’espacement entre les lettres et entre les mots est mieux respecté par l’enfant, l’inversion des lettres [comme b et d] est moins présente aussi.

Sylvie Longo, surintendante au Conseil Viamonde


Avantages : moins de risque de confondre les lettres p, q, b et d. Meilleure orthographe : l’accent est mis sur l’ensemble du mot, plutôt que chaque lettre. Inconvénients : plus difficile à apprendre que l’écriture script.

Écriture cursive, lettres attachées – Avantages et inconvénients. Photo : Radio-Canada / Vincent Wallon

Politiques variées

Alors qu’au Québec le ministère de l’Éducation laisse l’enseignement des lettres attachées « au choix » des écoles, l’Ontario « s’attend » à ce que ses élèves « maîtrisent » cette forme d’écriture en 5e année.

Toutefois, au Conseil public anglais de Toronto (TDSB) – la plus grosse commission scolaire au pays – seuls certains enseignants montrent toujours la cursive en classe, indique son porte-parole, Ryan Bird.

Avec l’usage grandissant des technologies et la nécessité de bien savoir écrire au clavier, l’écriture cursive ne retient plus l’attention comme il y a des années.

Ryan Bird, porte-parole de TDSB

De son côté, le Conseil scolaire de district catholique Centre-Sud (CSDCCS), dans le sud de l’Ontario, « n’a pas de directive administrative concernant l’enseignement de l’écriture cursive », ajoutant qu’il « s’agit de pratiques déterminées par les écoles ».

Avantages : apprentissage plus facile qu'avec l’écriture cursive. Les élèves y sont plus familiers dans les livres ou sur Internet. Inconvénients : moins bonne orthographe; l’accent est mis sur chaque lettre, plutôt que sur l’ensemble du mot.

Écriture script, lettres détachées – Avantages et inconvénients. Photo : Radio-Canada / Vincent Wallon

Parents en faveur

La mère de famille de Toronto Lisette Mallet se rappelle que l’apprentissage de la cursive a été « assez difficile » pour ses deux garçons.

Néanmoins, elle prône le maintien de l’enseignement des lettres attachées.

À un moment donné, il faut que la personne apprenne à signer son nom.

Lisette Mallet, mère de famille

De son côté, Anne Godbout raconte que ses deux filles étaient « fières » de lui montrer leurs lettres attachées, mais que l’enseignement de la cursive a vite été remplacé par d’autres matières à leur école de Toronto.

Quand [mes filles] écrivent à la main [plutôt qu’au clavier], elles ont tendance davantage à se rappeler de ce qu’elles sont en train de faire ou d’étudier et elles portent plus attention à leur orthographe, à leur grammaire.

Anne Godbout, mère de Toronto

Experts partagés

Qu’en pensent les experts?

« Il n’y a pas de recherches qui nous indiquent qu’un style [d’écriture] est meilleur que l’autre », affirme la professeure Natalie Lavoie, de l’Université du Québec à Rimouski (voir la vidéo ci-dessus).

La titulaire de la Chaire de recherche sur la persévérance scolaire et la littératie à l’UQAR ajoute, toutefois, que les experts s’entendent sur l’importance de ne plus enseigner aux enfants les deux formes d’écriture en même temps.

L’important, c’est de choisir [un seul style d’écriture].

Natalie Lavoie, professeure en éducation

Une fois que l’écriture est « automatisée », l’enfant peut se concentrer sur la syntaxe et l’orthographe, notamment, expliquent la professeure Lavoie et la surintendante Longo, du Conseil Viamonde.

Cela dit, la professeure Lavoie pense que les écoles devraient aussi consacrer plus de temps à enseigner aux élèves comment bien écrire au clavier, parce qu’ils y omettent souvent les accents et les majuscules, chose qu’ils font moins lorsqu’ils écrivent à la main.

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Le poulet mal cuit peut causer le syndrome de Guillain-Barré (paralysie)


Le poulet mal cuit serait peut-être responsable du syndrome de Guillain-Barré. de toute manière, il est important de bien cuire les aliments pour éviter les problèmes de santé
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Le poulet mal cuit peut causer le syndrome de Guillain-Barré (paralysie)

 

Une bactérie commune qui se trouve dans le poulet mal cuit peut provoquer le syndrome de Guillain-Barre (SGB), selon une étude publiée dans le Journal of Autoimmunity. Le SGB est la principale cause de paralysie neuromusculaire aiguë à travers le monde.

Il faut un certain bagage génétique combiné à une certaine souche de la bactérie Campylobacter jejuni pour déclencher cette maladie auto-immune, explique Linda Mansfield de l’Université d’État du Michigan, coauteure.

Plusieurs de ces souches de bactéries sont résistantes aux antibiotiques et les travaux des chercheurs montrent que le traitement avec certains antibiotiques pourrait aggraver la maladie.

Les chercheurs ont produit trois modèles animaux du SGB qui représentent deux formes du syndrome chez les humains. Plusieurs autres virus et bactéries sont associés au syndrome, dont le virus du Zika, soulignent les chercheurs. Les modèles qu’ils ont développés peuvent aider à étudier les causes suspectées et des traitements potentiels, expliquent-ils.

Ceux qui souffrent de SGB peuvent initialement avoir des vomissements et la diarrhée. Une à trois semaines plus tard, ils peuvent commencer à développer une faiblesse et des picotements dans les pieds et les jambes. Peu à peu, la paralysie peut se propager à la partie supérieure du corps et des bras, et un respirateur peut même être nécessaire.

Les traitements sont limités et échouent dans plusieurs cas. Dans la présente étude, l’utilisation de certains antibiotiques aggravait les signes neurologiques, les lésions et le nombre d’anticorps pouvant attaquer par erreur les propres organes et tissus de l’organisme.

Les chercheurs poursuivent leurs travaux sur des médicaments potentiels.

La bactérie campylobacter jejuni infecte plus d’un million de personnes chaque année aux États-Unis et est également connue pour déclencher d’autres maladies auto-immunes telles que la maladie inflammatoire de l’intestin et l’arthrite de Reiter.

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