Cela ne m’arrivera jamais


Une phrase qu’on entend souvent. Pourtant, comment de fois que la vie, nous fait comprendre que l’on ne doit jamais rien tenir pour acquis
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Cela ne m’arrivera jamais

 

 

Ne dites jamais « cela ne m’arrivera jamais » la vie a une drôle de façon de nous prouver parfois le contraire

Inconnu

Cette manucure comestible en chocolat est vraiment de trop


Si j’ai bien compris, ce n’est pas une mode (heureusement) mais un test fantaisiste d’une esthéticienne en Nouvelle-Zélande. De toute manière, ce genre de garniture ne tiendra vraiment pas longtemps. Vive le naturel
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Cette manucure comestible en chocolat est vraiment de trop

 

The Huffingotn Post  |  Par Jamie Feldman

Le chocolat est bon. L’art sur ongles est bien. Manger est bon. Mais la manucure en chocolat… on n’est pas certain.

L’esthéticienne néo-zélandaise et Youtubeuse Jessie, qui sévit sur NaileditNZ, a récemment décidé de faire quelque chose d’un peu fou. Au lieu de nous présenter une manucure au design impressionnant, elle a publié un tutoriel parodique mettant en valeur le chocolat.

En utilisant du glaçage au chocolat noir, du chocolat au caramel et le chocolat blanc, ainsi que des boules de chocolat argent qui sont « beaucoup trop grosses pour l’ongle », Jessie réussit à orner ses ongles de chocolat comestible.

Si ce n’est pas le fait que le glaçage sert habituellement à garnir les gâteaux qui vous dissuadera d’essayer cette manucure étrange, peut-être que sa technique de séchage le fera. C’est-à-dire se mettre les mains dans le congélateur pour empêcher le crémage de couler. Ouin.

Jessie termine la vidéo en faisant exactement ce qu’on ferait dans ce genre de situation : elle mange le glaçage directement sur ses doigts, ce qu’elle qualifie de « vraiment sympa ».

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Amusantes et surprenantes, ces statistiques de 1909


Des statistiques prix en 1909 au Canada et aux États-Unis. Le prix de certains produits alimentaires, le nombre d’automobile, meurtre, et taxe et bien d’autres. Nous pouvons constater que les temps ont bien changé
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Amusantes et surprenantes, ces statistiques de 1909

 

Claude Bérubé

Essayiste, conférencier et blogueur

Voici quelques statistiques retrouvées de 1909. Nous sommes en 2016, donc 107 ans se sont écoulés …Je vous les présente sans autre cérémonie. Pour votre simple amusement. Ou pour un haussement d’épaules. Surtout pour se rendre compte comment tout peut évoluer en un siècle avec nostalgie pour les plus vieux et surprise pour les plus jeunes. Je ne peux garantir leur authenticité, mais il y a sûrement beaucoup de véracité. Je les imagine américaines, mais si proches des canadiennes.

  • La moyenne d’âge des hommes était d’environ 47 ans.
  • L’essence pour une Ford 1909 n’était vendue qu’en pharmacie.
  • Seulement 14% des maisons possédaient une baignoire.
  • Seulement 8% des maisons avaient le téléphone.
  • Il n’y avait que 8000 automobiles dans le monde entier et seulement 144 miles de route étaient pavés.
  • Dans presque toutes les villes, la limite de vitesse était de 10 miles à l’heure
  • La plus haute structure au monde était la Tour Eiffel.
  • Le salaire moyen aux États-Unis était de 22 cents l’heure.
  • Le salaire moyen des travailleurs américains était de 200 et 400 $ par année.
  • Un professionnel comptable pouvait gagner 2000 $ par an, un dentiste environ 2500 $, un vétérinaire entre 1500 et 4000 $ et un ingénieur mécanique 5000 $.
  • 95% des femmes accouchaient dans leur demeure.
  • 90% des médecins n’avaient pas d’éducation collégiale. Ils avaient plutôt fréquenté, ce qu’on appelait, une école médicale condamnée par les médias du temps et les gouvernements comme étant sous standardisée.
  • Le sucre se vendait 4 cents la livre.
  • On obtenait une douzaine d’œufs pour 14 cents.
  • La livre de café était à 15 cents.
  • La plupart des femmes ne se lavaient les cheveux qu’une fois par mois, et elles utilisaient soit du Borax ou du jaune d’œuf comme shampoing.
  • Le Canada a passé une loi défendant à toutes personnes pauvres d’entrer au pays.
  • Les cinq principales causes de décès étaient : la pneumonie ou l’influenza, la tuberculose, la diarrhée, maladie du cœur et attaque cardiaque.
  • Le drapeau américain n’avait que 45 étoiles.
  • Il n’y avait que 30 résidents à Las Vegas.
  • Les mots croisés, les canettes de bière et le thé froid n’avaient pas encore été inventés.
  • Il n’y avait pas de Fêtes des mères ni des pères.
  • Deux adultes sur dix ne savaient ni lire ni écrire.
  • Seulement 6% de tous les Américains avaient obtenu leur diplôme de secondaire.
  • La marijuana, l’héroïne et la morphine étaient vendues à la pharmacie du coin comme médicaments.
  • Les pharmaciens disaient que l’héroïne nettoyait la complexion, donnait de l’énergie au cerveau, activait et régulait l’estomac et les intestins et qu’enfin, c’était l’ange gardien de la santé.
  • 18% des domiciles avaient au moins un ou une domestique ou servante à plein temps.
  • Il n’y eut que 230 meurtres rapportés dans tous les États-Unis
  • 95% des taxes que nous payons aujourd’hui n’existaient pas en 1909.

On peut facilement imaginer que dans un siècle, on lira nos statistiques actuelles avec le même amusement.

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À 66 ans, Wisdom attend son 41e petit


Un albatros vit à peu près 50 ans et pond un oeuf aux 2 ans, cet albatros à 66 ans et a pondu deux années de suite, Elle est tenace
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À 66 ans, Wisdom attend son 41e petit

 

Photo : Kupu Conservation Leadership Program/Kristina McOmber

Une femelle albatros surnommée Wisdom et âgée de 66 ans attend la naissance de ce qui serait son 41e rejeton, affirment des chercheurs du refuge faunistique national de l’atoll Midway, situé au nord-ouest d’Hawaï, aux États-Unis.

Un texte d’Alain Labelle

La ponte d’un œuf par Wisdom n’était pas attendue cette année puisque les femelles albatros ne se reproduisent habituellement pas deux années consécutives et qu’elle avait eu un petit l’année dernière.

Les biologistes du refuge expliquent que l’année sans oisillon donne le temps à ses oiseaux d’entretenir leur plumage et de le maintenir en bonne santé, ce qui est essentiel, puisque les albatros passent près de 90 % de leur temps à voler à la recherche de nourriture.

Pour une raison inconnue, Wisdom a choisi de pondre cette année. La dernière fois qu’elle a été observée, elle attendait le retour de son partenaire Akeakamai parti à la mer à la recherche de nourriture.

Les albatros ont habituellement une espérance de vie d’environ 50 ans. Le plus vieil oiseau jamais bagué, un Albatros de Sanford, est âgé de 70 ans.

Wisdom lors d'une précédente couvée

Wisdom lors d’une précédente couvée   Photo : Kupu Conservation Leadership Program/Kristina McOmber

La chef du groupe de bénévoles du refuge, Kristina McOmber, explique que Wisdom peut être identifiée grâce à sa bague rouge vif placée à l’une de ses pattes par des scientifiques.

C’est le biologiste Chandler Robbins qui a été le premier à observer Wisdom en 1956. Actuellement âgé de 98 ans, il continue de prendre régulièrement des nouvelles de l’albatros de Laysan (Phoebastria immutabilis).

L’ atoll Midway est composé de trois petites îles entourées de récifs de corail. Il constitue un paradis sans prédateur pour trois espèces d’albatros, mais également pour des phoques, des dauphins et des tortues.

http://ici.radio-canada.ca/

On a trouvé pour la première fois des nuages sur une exoplanète (et ils pourraient bien être remplis de rubis et de saphirs)


Imaginez qu’à 1000 années-lumières une exoplanète aurait des saphirs et des rubis. Surement que des explorateurs aimeraient bien aller sur cette planète, sauf, il fait trop chaud, une chaleur est a peu près 1927°C de quoi a refroidir les ardeurs
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On a trouvé pour la première fois des nuages sur une exoplanète (et ils pourraient bien être remplis de rubis et de saphirs)

 

HAT P 7B

Si vous vous rendez un jour sur HAT-P-7b, pensez à prendre un parapluie résistant, car les nuages pourraient y être remplis de rubis et de saphirs. Bon, il faudrait déjà pouvoir vous rendre jusqu’à cette planète, située à plus de 1000 années-lumière de la Terre. Et de toute façon, sa température en surface de 1927°C ne vous donnerait certainement pas envie de vous y poser.

Surtout qu’au lieu de belles gemmes, vous y trouveriez avant tout du corindon vaporisé, le minéral dont est composé les fameuses pierres précieuses. Mais c’est tout de même la première fois que l’on a réussi à détecter des nuages autour d’une exoplanète, soit un astre situé en dehors du système solaire, rapporte le New Scientist.

Dans une étude publiée dans Nature Astronomy lundi 12 décembre, des chercheurs expliquent comment ils ont réussi à observer la météo à près de 10 millions de milliards de kilomètres de la Terre. Ils ont pour cela analysé quatre ans de données recueillies par le télescope spatial Kepler, spécialisé dans la chasse d’exoplanètes.

Une planète double-face

En observant HAT-P-7b, une planète 40% plus grande que Jupiter, ils se sont rendus compte que sa luminosité changeait dans le temps. L’explication la plus logique, c’est que des nuages se baladent à sa surface. Mais comment des nuages peuvent-ils se former avec cette chaleur? Car il faut dire que cette planète est très, très près de son étoile: elle en fait le tour en seulement deux jours!

Sauf que comme la Lune par rapport à la Terre, HAT-P-7b montre toujours la même face à son soleil: elle tourne sur elle-même aussi « vite » qu’elle tourne autour de l’étoile. Du coup, les scientifiques pensent que des nuages peuvent tranquillement se former à l’abris, sur la « face cachée ». Ensuite, les différences de températures créent un fort vent qui envoie les nuages sur la face lumineuse où ils finissent par s’évaporer.

Quant à la composition des nuages, c’est pour le moment une suggestion des chercheurs. En effet, le corindon, qui compose les saphirs et rubis, « bout » à une température inférieure à celle de la planète. Il serait donc logique que ces nuages soient en partie composés de ce minéral. Mais il faudra de nouvelles études et de nouvelles observations pour en avoir le cœur net.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Payer avec des déchets


C’est une idée qui prend son chemin, d’abord un projet au Pérou et en Haïti et il pourrait s’étendre à d’autres pays pauvres. Peut-être qu’un jour cela sera une norme partout dans les pays riches
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Payer avec des déchets

 

iStockphoto

Photo: iStockphoto

Il pourrait bientôt y avoir plus de plastique que de poissons dans les océans. Et si on transformait ces déchets en monnaie d’échange pour renverser la vapeur?

Si la tendance se maintient, il pourrait y avoir plus de plastique que de poissons dans les océans d’ici 2050, selon une récente étude de la fondation britannique Ellen MacArthur. Le Canadien David Katz a la ferme intention de freiner cette tendance. Son idée? Transformer les déchets de plastique qui polluent les plages et les cours d’eau en monnaie d’échange pour aider les populations démunies.

«Le problème avec les déchets, c’est que les gens les perçoivent comme des déchets», dit ce résidant de Vancouver.

Son entreprise, The Plastic Bank, invite la population à récolter les déchets de plastique avant qu’ils atteignent les océans et à les rapporter dans l’un de ses centres de recyclage, en échange de biens — du combustible écologique pour la cuisson, par exemple. David Katz et ses associés revendent ce «plastique social» (c’est ainsi qu’ils le nomment) à des entreprises soucieuses de leur image. Après un projet-pilote au Pérou, l’entreprise a créé une trentaine de points de collecte en Haïti. Elle compte étendre le modèle dans le monde entier, en visant d’abord les pays pauvres.

http://www.lactualite.com/

Porter un masque pour se protéger de la pollution, c’est efficace?


     

    La pollution atmosphérique est un gros problème pour notre santé. Lors d’avertissement d’un pic de pollution, ce n’est pas le temps de faire du sport extérieur. Les masques peuvent-ils vraiment nous aider a affronter cette pollution ? On fait des recherches en Chine, car beaucoup en porte
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    Porter un masque pour se protéger de la pollution, c’est efficace?

    Le HuffPost  |  Par Sandra Lorenzo

Ne pas faire de sport et éviter de prendre sa voiture, les conseils des autorités en cas de pic de pollution atmosphérique sont bien connus. Mais, pour ne pas complètement arrêter votre vie, vous faites avec. Ainsi, sur votre vélo, sur le trottoir ou même dans votre voiture, l’idée d’acheter un masque antipollution a peut-être fait son chemin.

Mais vers quel modèle se tourner et sont-ils vraiment efficaces?

« C’est une question délicate », assure Christian George, directeur de recherche au CNRS, spécialiste de la pollution atmosphérique et des nanoparticules. « Une chose est sûre, si les particules fines sont difficiles à filtrer, ce n’est pas impossible. C’est en Chine que la recherche sur le sujet est la plus performante ».

Porter un simple foulard, c’est inutile?

Les particules fines ont des tailles très différentes. Les plus grandes mesurent jusqu’à 2,5 micromètres et les plus petites peuvent être jusqu’à 1000 fois plus fines.

« Dans les épisodes de pollution, assure Véronique Riffault, Professeure en sciences de l’atmosphère à l’École nationale supérieure des Mines de Douai, la majeure partie n’excède pas la taille d’un micromètre. » Les particules fines ne sont donc pas du tout filtrées avec un simple foulard. Cette méthode parce qu’elle limite les odeurs donne l’impression qu’elle est efficace, mais les mailles des tissus sont beaucoup trop épaisses ».

Pour vous en convaincre, voici la taille des particules par rapport au diamètre moyen d’un cheveu ou à la taille d’un grain de sable, selon une infographie en anglais de l’agence de protection environnementale des États-Unis.

Puis-je porter un masque de chirurgien?

Ces masques grand public peuvent être achetés en pharmacie et en magasin de bricolage.

« Ce sont les masques médicaux, comme ceux portés par les chirurgiens », détaille Véronique Riffault. Mais leur rôle se résume « à réduire l’émission de gouttelettes vers les personnes qui vous entourent et non de vous protéger de l’extérieur ».

Un masque qui filtre les particules, ça existe ?

Pour les autres masques, il faut s’intéresser à ceux dits « FFP ». Ils sont siglés FFP1, FFP2 et FFP3. Les masques FFP ou « filtering facepiece particles » (littéralement « pièce faciale filtrante contre les particules ») couvrent le nez, la bouche et le menton et répondent aux exigences de la norme EN149.

« Les masques FFP3 sont les plus filtrants. Ils filtrent 98% des particules. Attention cependant, impossible de les porter longtemps. Au bout de quelques dizaines de secondes, on accumule la respiration et la chaleur donc la transpiration. Ce n’est vraiment pas agréable », explique Véronique Riffault qui en porte en laboratoire.

Denis Charpin, chef du service des maladies respiratoires au CHU de Marseille interrogé sur Le Plus confirme:

« Ils sont difficilement supportables, au bout de quelques dizaines de secondes on transpire beaucoup. Il est impossible de les porter toute une journée. »

Mais attention, si leur pouvoir filtrant est réel, ils peuvent parfois être totalement inutiles.

« La forme du visage, la présence ou non d’une barbe, tout cela pose des problèmes d’étanchéité », rappelle encore Véronique Riffault. Et leur coût peut être assez élevé surtout qu’ils sont jetables.

Un avis que ne partage visiblement pas le médecin généraliste Jean-Luc Saladin au Havre. Lui-même cycliste porte un « confortable » masque FFP3. Il l’explique sur le blogue Vélib de la ville de Paris:

 « Ceux qui le souhaitent peuvent comme moi investir dans un masque filtrant professionnel (norme FFP3). Confortable, il protège des particules polluantes, mais pas des gaz et notamment des nitreuses qui relèvent d’une question plus globale de santé publique. »

Attention, ces masques ne filtrent pas les particules plus fines, celles qui sont capables de passer dans le sang.

Existe-t-il de mauvais masques?

Si certains masques ne protègent pas contre les particules fines, « ils sont au pire inefficaces », assure Véronique Riffault.

Ainsi donc difficile de conseiller le port d’un masque.

« Pour prendre soin de notre système respiratoire et cardio-vasculaire, mieux vaut éviter au maximum les efforts. L’activité physique augmente les inspirations et donc l’ingestion de particules fines dans tous les cas. Il faut fonctionner à bas régime en période de pic », préconise donc la spécialiste. « Si vous tenez vraiment à porter un masque et que vous trouvez un FFP3, mieux vaut également l’essayer hors des pics de pollution pour ne pas prendre de risques ».

Christian George précise aussi que ce n’est pas pendant les pics qu’il faut seulement s’inquiéter de cette pollution.

« L’exposition aux particules fines à faible dose et en continu pose de vrais problèmes ».

Les particules fines ne posent pas seulement problème pour notre système respiratoire, mais pour tout notre corps. Les plus fines d’entre elles parviennent en effet à passer dans le sang.

Selon le dernier rapport de l’Agence Européenne de l’Environnement publié en novembre 2016, 10% des citoyens européens en zones urbaines sont exposés à des concentrations supérieures aux valeurs limites.

« Selon les recommandations de l’OMS, c’est environ 80% de la population urbaine qui subit des concentrations trop importantes », rappelle Véronique Riffault.

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Victime du «syndrome du salon de beauté», un Britannique a fait un AVC après être allé chez le coiffeur


Un syndrome très rare, mais qui peut arriver chez un salon de coiffure, causé par un lavage de cheveux
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Victime du «syndrome du salon de beauté», un Britannique a fait un AVC après être allé chez le coiffeur

 

AFQC avec Le HuffPost  |  Par Agence France Presse

On l’appelle le « syndrome du salon de beauté ». Se faire laver les cheveux chez un coiffeur peut entraîner un accident vasculaire cérébral via une pression excessive sur le cou. C’est ce qui est arrivé à un Britannique, rapporte ce lundi 12 décembre le Times.

Dave Tyler, 45 ans, un habitant de Brighton, s’est effondré en 2011 au beau milieu d’un rendez-vous professionnel deux jours après être allé chez le coiffeur, selon le quotidien britannique.

Transporté en urgence à l’hôpital national de neurologie et de neurochirurgie de Londres, il s’est vu poser une question surprenante:

« Vous êtes-vous fait couper les cheveux récemment? »

Pression excessive créant un caillot de sang

Les médecins estiment qu’au moment où il se faisait laver les cheveux, son cou a pu être étiré et subir une pression excessive, endommageant une artère et créant un caillot qui s’est ensuite logé dans son cerveau.

Bien que très rare, ce « syndrome du salon de beauté » est étudié et des cas ont été rapportés dans les publications médicales depuis plus d’une décennie, écrit le quotidien britannique qui site deux exemples antérieurs, l’un à Poole (sud de l’Angleterre) en 2000 et un second en janvier 2014 à San Diego aux États-Unis.

Dave Tyler a passé trois mois à l’hôpital et marche aujourd’hui à l’aide d’une canne, mais ne pourra plus conduire parce qu’il souffre de troubles de la vue.

Il a attaqué le salon de coiffure, arguant que son cou n’avait pas été suffisamment protégé, mais a finalement obtenu 90 000 livres d’indemnités dans un accord ayant évité un procès, selon la même source.

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