Papillon


Un papillon, c’est petit et généralement, il ne reste pas longtemps au même endroit et pourtant, nous aimons les voir voltiger. C’est un peu comme le bonheur, il vient et il passe, mais il laisse son empreinte en nous
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Papillon

 

 

Le bonheur est un papillon. Si nous le chassons, il nous échappe ; mais si nous nous asseyons tranquillement, il vient voleter au-dessus de nos têtes.

Nathaniel Hawthorne

Ce photographe réalise des clichés de grenouilles qui ne ressemblent en rien à ce que vous avez déjà vu.


Tanto Yensen est un photographe indonésien qui fait de magnifiques photos de grenouilles. Il semblerait que les photographies ne sont pas des montages, ce qui est encore plus impressionnant pour certaines d’entre elles
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Ce photographe réalise des clichés de grenouilles qui ne ressemblent en rien à ce que vous avez déjà vu.

 

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http://bridoz.com/

Le Saviez-Vous ► Les plans loufoques de la CIA pour éliminer Castro


Aux nouvelles télévisées chez moi, à l’annonce de la mort de Fidel Castro, on avait signalé qu’il avait échappé à pas moins de 600 attentats. Est-ce vrai ? En tout cas, la CIA a pour son actif plusieurs complots qui n’ont jamais vraiment été mis en action
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Les plans loufoques de la CIA pour éliminer Castro

Tueurs à gages, cigares et stylos empoisonnés, coquillages explosifs, combinaison de plongée contaminée : la CIA a déployé des trésors d’imagination dans ses plans pour assassiner Fidel Castro, grand ennemi des Etats-Unis durant la guerre froide, révèlent divers documents des services secrets.

Un document déclassifié de la CIA, une enquête d’un inspecteur général de l’agence de renseignement et un rapport datant de 1975 du comité chargé de contrôler le fonctionnement et les actions des différents services de renseignements américains (Commission Church) révèlent les complots fomentés par les espions, dont certains n’ont jamais dépassé la phase de test en laboratoire…

Fidel Castro, lui, a toujours insinué avoir réchappé de plus de 600 complots visant à l’assassiner.

Epiler le barbu

Les premiers plans n’envisageaient même pas de tuer Castro et s’apparentent plutôt à des blagues d’étudiants.

La Commission Church écrit qu’entre mars et août 1960

« la CIA élaborait des plans pour contrer le charisme du tribun en sabotant ses discours ».

L’idée de pulvériser du LSD dans les studios télé avait été avancée puis abandonnée, la drogue étant considérée comme peu « fiable ».

Les services techniques de la CIA avaient ensuite mis au point un traitement chimique sur une boîte de cigares censé procurer une certaine confusion, espérant que Castro s’allume un havane avant de prononcer son discours et se ridiculise ainsi publiquement.

La commission a également découvert un plan censé « détruire l’image de l’homme barbu » grâce à un puissant produit dépilatoire qui lui aurait fait perdre sa barbe. L’idée était d’en asperger les chaussures du « Comandante » dans un hôtel lors d’un voyage à l’étranger, mais le déplacement de Castro a été annulé.

Cigare mortel

Le rapport de la Commission Church a découvert « des preuves concrètes d’au moins huit complots visant à assassiner Castro entre 1960 et 1965 ».

 Une boîte des cigares favoris de Castro avait ainsi été traitée avec « une toxine botulique pouvant tuer si un cigare était porté à la bouche ».

Les cigares ont été remis à une personne non-identifiée en février 1961, mais rien ne dit s’il y a eu une tentative de les remettre à Castro.

Tueurs à gage

En 1960, la CIA a recruté des membres de la mafia, leur promettant 150.000 dollars en cas de succès.

L’agence du renseignement souhaitait un assassinat par arme à feu mais les mafieux suggéraient alors une méthode plus discrète: inoculer du poison dans une boisson ou de la nourriture.

Une pilule contenant une toxine botulique avait alors été confiée à un officiel cubain, Juan Orta, qui devait être payé en retour par la mafia des casinos. Mais après plusieurs mois d’attente, Orta a abandonné la mission, selon un mémo de la CIA.

Le complot de la pilule empoisonnée a été ravivé après le fiasco de la Baie des Cochons en 1961 mais a été abandonné deux ans plus tard.

Coquillage explosif

En 1963, naît l’idée d’un « coquillage piégé » déposé à l’endroit où Castro pratiquait la plongée, mais les services techniques de la CIA ont considéré le projet « irréaliste ».

– Equipement de plongée contaminé –

La CIA comptait sur James Donovan, un juriste américain qui négociait avec Castro la libération des prisonniers de la Baie des Cochons, pour lui remettre une tenue de plongée « contaminée ».

Une tenue imprégnée d’un champignon causant une maladie chronique de la peau, le pied de Madura, et un système respiratoire infecté avec la tuberculose a été mis au point mais n’a jamais quitté les laboratoires de la CIA.

Stylo empoisonné

La CIA a remis à un haut responsable cubain qui souhaitait éliminer Castro, un stylo avec une seringue hypodermique empoisonnée « tellement fine que la victime ne ressentirait même pas la piqure », selon la Commission Church.

Mais ce haut responsable s’est plaint que la CIA ne lui donne pas « quelque-chose de plus sophistiqué » et ne l’aurait pas emporté avec lui.

Le silencieux

Plus tard la CIA devait fournir à ce haut responsable un pistolet et un silencieux, mais en juin 1965 les contacts avec ce dernier ont été rompus « pour des raisons de sécurité ».

http://quebec.huffingtonpost.ca/

L’assiette du futur dévoilée à Paris


Si on se pose cette éternelle question en 2030 : qu’est-ce qu’on mange ce soir ? Les réponses pourraient être très différentes a ce que nous mangeons aujourd’hui
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L’assiette du futur dévoilée à Paris

 

Que mangerons nous en 2030? Des insectes (notre... (PHOTO AFP)

Que mangerons nous en 2030? Des insectes (notre photo), des microalgues et des aliments «zéro déchet».

PHOTO AFP

 

PASCALE MOLLARD-CHENEBENOIT
Agence France-Presse
Paris

Que mangerons nous en 2030? Entre autres, des insectes, des microalgues et des aliments «zéro déchet», répond le Festival de l’alimentation qui se tient samedi et dimanche à la Cité des Sciences à Paris.

Pour sa première édition, cette manifestation pédagogique et ludique se penche sur les défis de la demande alimentaire et de la gastronomie de demain. Plusieurs chefs, notamment Thierry Marx, des designers culinaires, des associations et des start-up ont été invités à présenter leurs idées, voire à les faire déguster.

Titulaire de la chaire «cuisine du futur» à l’Université Paris-Sud, Raphaël Haumont va dévoiler au grand public ses travaux.

«Il est impératif d’imaginer une cuisine durable car la population mondiale dépassera 9 milliards de personnes en 2050», déclare à l’AFP ce chercheur en physicochimie de la matière.

Afin de limiter les déchets, «il faut utiliser au maximum les coproduits», souligne-t-il. «On peut par exemple tout manger dans une orange, peau comprise», relève M. Haumont qui travaille avec le chef Thierry Marx au sein du Centre français de l’innovation culinaire où ils élaborent ensemble les textures et saveurs de demain.

Il a ainsi mis au point une «confiture d’orange instantanée « zéro déchet »». En mélangeant la purée de fruit avec des pectines spéciales riches en calcium, on obtient immédiatement, sans cuisson ni ajout de sucres, un gel très goûteux. Très pratique pour les sportifs et les randonneurs.

Le scientifique élabore aussi des contenants alimentaires «zéro plastique» à base d’algues. Il réalise des canettes végétales comestibles prometteuses. Elles ont été testées en apesanteur lors d’un vol parabolique avec l’astronaute Thomas Pesquet il y a quelques mois à bord de l’Airbus A310 Zero G de la société Novespace.

Mais pour Raphaël Haumont, «l’avenir de l’alimentation se trouve surtout dans la mer», notamment avec les algues.

Mayonnaise sans oeuf

Georges Garcia, président et fondateur d’Alg&You, est lui aussi convaincu des vertus des microalgues: sa jeune entreprise veut lancer une «révolution» en permettant à tout un chacun de produire chez lui de la spiruline fraîche, très riche en protéines. On en trouve dans le commerce sous forme de compléments alimentaires en comprimés.

La start-up a développé une sorte de «yaourtière à spiruline», en partenariat avec un groupe d’électroménager. Avec un sachet de spiruline, des nutriments, de l’eau et de la lumière, il sera possible de récolter 20 grammes de spiruline bien verte par jour, explique à l’AFP M. Garcia.

À consommer fraîche ou à utiliser comme condiment ou comme ingrédient pour des sauces.

Le public du festival pourra se faire une idée du potentiel de cette microalgue en testant une mayonnaise verte réalisée sans oeuf, mais avec de la spiruline.

«Côté gustatif, c’est à s’y méprendre», assure M. Garcia.

Seront présentées également des pâtes à tartiner salées ou au chocolat.

«La spiruline est la protéine végétale écologique de demain», estime M. Garcia qui est en train de lever des fonds pour pouvoir démarrer la production en petite série de cet équipement en 2017.

Les insectes comestibles, autre source précieuse de protéines, sont également les vedettes du festival.

«Deux milliards d’êtres humains mangent depuis longtemps des insectes, mais culturellement, les Européens sont réticents à en manger», souligne Raphaëlle Browaeys de la start-up Jimini’s qui s’est donné pour mission de «faire entrer petit à petit les insectes dans notre alimentation».

«Les insectes ont le pouvoir de réduire considérablement l’impact environnemental de notre alimentation», explique l’entreprise.

La marque propose des produits apéritifs autour de criquets, de molitors (vers de farine) et de grillons déshydratés, déclinés en différentes saveurs. Et pour les fêtes de fin d’année, elle a étoffé sa gamme avec des grillons à la truffe et des molitors au pain d’épices.

http://www.lapresse.ca/

Le langage des signes pourrait devenir la 3e langue officielle du pays


Je trouve que c’est une très bonne idée, reste à savoir si cette 3 ème langue sera accepté au Canada, déjà que parfois, le français n’est pas toujours respecté. Personnellement, je crois que la langue des signes devraient être une langue universelle partout dans le monde
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Le langage des signes pourrait devenir la 3e langue officielle du pays

 

La ministre Carla Qualtrough est accompagnée d'une interprète qui traduit ses propos en langue des signes.

La ministre Carla Qualtrough (à droite) est accompagnée d’une interprète qui traduit ses propos en langue des signes. Photo : La Presse canadienne / Justin Tang

Le gouvernement fédéral envisage de désigner une troisième langue officielle : la langue des signes.

LA PRESSE CANADIENNE

Selon une note obtenue par La Presse canadienne en vertu de la Loi sur l’accès à l’information, Ottawa se penche sur sa reconnaissance en Nouvelle-Zélande, en Écosse, en Finlande ainsi qu’en Suède.

La note à l’intention de la ministre responsable des Personnes handicapées, Carla Qualtrough, souligne que dans un passé pas si lointain, la langue des signes était interdite dans les salles de classe.

Les Canadiens sourds, malentendants ou qui communiquent ainsi par choix ont recours à la langue des signes québécoise (LSQ) ou à sa version américaine, l’ASL.

Si les libéraux vont de l’avant, tout service fédéral devra être assuré en français, en anglais et en langue des signes.

Lorsqu’elle a été interrogée sur le sujet, jeudi, Mme Qualtrough a dit vouloir se pencher sur « les obstacles à l’inclusion des Canadiens ayant un handicap ou une limitation d’activité ».

Je tiens vraiment à m’assurer que cette culture, cette langue, soit protégée dans une certaine mesure. Carla Qualtrough, ministre des Sports et des Personnes handicapées

En 2010, le Canada a ratifié la Convention des Nations unies relatives aux droits des personnes handicapées, qui invite les pays à élever la langue des signes à ce rang.

Des consultations sont en cours quant à une loi fédérale sur l’accessibilité qu’Ottawa cherche à adopter vers la fin de 2017.

http://ici.radio-canada.ca/