Souvent, le silence est mieux que la parole, mais si on parle, il faut réfléchir à la portée des mots
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La franchise
La franchise n’est pas de dire ce que l’ont pense,mais de penser ce que l’ont dit.
Inconnu
Dans un deuil, il n’y a pas juste le chagrin que nous vivons, mais le corps entier vit ce deuil et répond à sa façon devant cette perte que nous aimions
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1. Le cœur
Les risques de crise cardiaque augmentent, grâce au trio gagnant : élévation du rythme cardiaque, de la tension artérielle, et hypercoagulation. D’après une petite étude parue dans la revue Circulation, le risque est multiplié par 21 dans les 24 heures qui suivent la mort d’une personne chère, et reste plus élevé que la normale jusqu’à une semaine après le drame. Une autre étude, publiée dans le Journal of the American Medical Association Internal Medicine, met aussi en garde contre les accidents vasculaires cérébraux et les caillots sanguins qui peuvent migrer jusqu’aux poumons.
Le «syndrome du cœur brisé», dont vous avez peut-être entendu parler, est bien réel. Il est heureusement peu fréquent et rarement fatal. Cette cardiomyopathie, également connue sous le nom de syndrome de tako-tsubo, se traduit par un soudain affaiblissement du ventricule gauche, le principal responsable du pompage. Elle est plus répandue chez les femmes. Étonnamment, de nouvelles études indiquent qu’elle peut aussi survenir après un événement extrêmement heureux.
2. Les glandes surrénales
Attendez-vous à être victime d’insomnie et de troubles de la digestion pendant environ six mois. En effet, les glandes surrénales sécrètent plus de cortisol, l’hormone du stress bien connue pour perturber sommeil et digestion.
3. Le système immunitaire
Votre vaccin contre la grippe pourrait bien s’avérer moins efficace. Après un vaccin, le corps est censé produire des anticorps, mais des chercheurs ont constaté, à l’occasion d’une étude parue dans Brain, Behavior and Immunity, que les personnes âgées qui avaient perdu quelqu’un dans les 12 derniers mois présentaient une réaction moins forte. De manière générale, le vaccin contre la grippe est moins efficace chez les plus de 65 ans, mais la différence était encore plus marquée après une période de deuil.
4. Le cerveau
Après la perte d’un être cher, le chagrin ne s’apaise pas avec le temps dans 7 à 10 % des cas. S’il continue à affecter votre quotidien pendant au moins 12 mois, on parle alors de trouble du deuil complexe persistant. Celui-ci ferait baisser les résultats des tests cognitifs tels que les associations de mots, et réduirait la taille du cerveau, d’après une étude publiée dans Psychological Medicine. Logique, quand on sait que le stress chronique, y compris de type affectif, est associé à une diminution de la matière grise dans certaines zones critiques du cerveau.
Ce n’est pas un scoop : quand on est en deuil, on n’est capable de penser qu’à la personne disparue. Ce problème de concentration pourrait provoquer des trous de mémoire. Comparés à ceux qui n’étaient pas en deuil, les sujets ayant perdu leur conjoint six mois auparavant avaient plus de mal à se rappeler les détails d’une histoire, juste après l’avoir entendue ou après un intervalle.
5. L’ensemble du corps
Le stress face à des situations ordinaires semble se prolonger plus longtemps. En effet, une étude parue dans le Journal of Affective Disorders suggère que, dans les cas de deuil avec complication, l’organe de réponse au stress le plus lent – le système nerveux sympathique – prend le dessus. En principe, c’est le système parasympathique qui s’en charge, et qui ramène rapidement le corps à la normale.
Les personnes en deuil sont davantage sujettes aux inflammations, ce qui pourrait expliquer l’augmentation des risques de décès, toutes causes confondues. L’inflammation chronique est en effet soupçonnée de jouer un rôle dans les cancers, les maladies cardiaques et le diabète.
C’est tenter les gens de laisser un camion blindé dont la porte arrière est grande ouverte et sans surveillance.
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Le voleur d’or capté par une caméra de surveillance à New York. Photo : YouTube
La police de New York a rendu publiques mercredi les images d’un vol inusité perpétré le 29 septembre dernier en plein coeur de Manhattan. On y voit un passant s’emparer d’un seau qui se trouvait dans un camion blindé ouvert.
RADIO-CANADA AVEC AGENCE FRANCE-PRESSE
Le seau contenait 40 kilos d’or d’une valeur de 1,6 million de dollars.
Les images de vidéosurveillance ont été rendues publiques dans le but de faciliter la recherche du service de police.
Le vol est survenu dans le quartier des diamantaires de Manhattan.
Le camion blindé, ouvert, n’était pas surveillé.
L’individu, toujours capté par des vidéos de surveillance, porte le seau dans ses bras sur des dizaines de mètres avant de le déposer par terre et de le reprendre par l’anse.
L’avis de recherche décrit l’homme comme étant d’origine hispanique. Il aurait entre 50 et 60 ans.
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Il y a plusieurs facteurs qui font que les femmes vivent plus longtemps que les hommes. Bien sûr, ces messieurs prennent plus de risques, mais d’autres causes comme la guerre, les métiers dangereux ou les hommes sont plus présents, etc
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PHOTO IVANOH DEMERS, ARCHIVES LA PRESSE
La Presse
Les hommes vivent moins longtemps que les femmes et ceci s’applique aussi à nos cousins primates, selon une nouvelle étude.
Les chercheurs ont analysé les données de six populations humaines dans plusieurs pays, tant de l’époque moderne qu’historique.
Ils ont découvert que, « malgré les importants gains dans l’espérance de vie des individus, l’écart entre les hommes et les femmes n’a pas rétréci », rapporte la coauteure de l’étude et professeure en biologie à l’Université Duke, Susan Alberts, située aux États-Unis.
Les femmes vivent plus longtemps que les hommes et le nombre d’années d’écart varie selon les groupes de population analysés.
Les scientifiques ont aussi étudié des populations de primates, comme les sifakas, les brachytèles, les gorilles ou chimpanzés pour mener à bien leurs conclusions.
La vie des femmes est plus longue et varie aussi moins dans le temps que celle des hommes. Susan Alberts l’explique entre autres en émettant l’hypothèse que les hommes prennent plus de risques.
C’est extraordinaire de voir la restauration d’une carte du XVIIe siècle qui est dans un piteux état reprendre vie dans les mains d’experts
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Comment une boule de tissu devient un vestige du XVIIe siècle.
Quand une carte datant du XVIIe siècle est arrivée en boule à la Bibliothèque Nationale d’Écosse, une petite équipe s’est mise en tête de la restaurer.
«J’étais horrifiée, je n’avais jamais vu quoi que ce soit dans un état si détérioré. Je pensais que l’on ne travaillerait pas dessus», raconte Paula Williams conservatrice à la Bibliothèque Nationale d’Écosse.
Mais si rien que toucher à cette carte sans la détruite semblait quasi-impossible, l’équipe de la Bibliothèque Nationale a finalement trouvé un moyen de sauver cette vieille carte et en restaurer petit à petit une très grande partie.
«La transformation est vraiment impressionnante, ils ont pris ce qui était concrètement des ordures et ont réussi à rassembler tous les petits morceaux de tissu et de papier et essentiellement sauver l’histoire», résume Gizmodo, qui a repéré les vidéos.
Vous pouvez regarder le processus étrangement relaxant et filmé par Trina Mckendrick un peu plus haut, ou cliquer ici, pour en savoir plus sur toute l’histoire de cette carte.
Nos chats sont plus résistants au froid, surtout s’ils sont habitués de sortir dehors. Malgré tout faut quand même faire attention à certaines petites choses
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Crédits photo : Shutterstock
Les chats craignent-ils le froid, la neige ? Peuvent-ils tomber malade ou attraper un rhume lorsque l’automne laisse peu à peu place à l’hiver ?
Que les propriétaires de matous se rassurent, les chats supportent mieux le froid que nous autres humains, grâce à leur température corporelle plus élevée (38,5°C en moyenne). Si votre félin est habitué à partir à l’aventure à l’extérieur, il continuera peut-être à sortir durant l’hiver. Mais pas d’inquiétude, car s’il le fait, c’est en toute connaissance de cause. Dès qu’il aura besoin de retrouver la chaleur de la maison, il rentrera de lui-même.
Il est donc important qu’il puisse revenir quand bon lui semble sur le canapé ou au coin du feu, grâce à une chatière par exemple.
La neige est-elle dangereuse pour le chat ?
Si votre chat est un aventurier, et qu’il se met en tête d’aller batifoler dans la neige, prenez bien soin de ses coussinets à son retour. Car ils sont très sensibles et pourraient s’abîmer s’il reste trop longtemps les pattes dans la neige, ou s’il marche sur de sel de déneigement.
Essuyez-lui donc les pattes lorsqu’il rentre de ses escapades, rincez-les à l’eau tiède, et si besoin est, n’hésitez pas à lui appliquer un baume réparateur.
Une alimentation adaptée ?
Si votre félin passe ses journées au chaud, vous n’aurez rien à changer en matière d’alimentation. Mais s’il ne peut s’empêcher de sortir malgré le froid, il est en revanche recommandé de lui offrir des repas plus riches en protéines. Poisson et viande seront donc les bienvenus, surtout si le chat est jeune ou âgé.
N’oubliez pas non plus de lui laisser de l’eau à volonté. A la maison, le chauffage risque en effet d’assécher l’air, et de provoquer une déshydratation.
Quand le froid réveille les douleurs
L’hiver, lorsque les températures chutent, les douleurs dues aux rhumatismes par exemple, ou à l’arthrose, se réveillent chez nos compagnons à 4 pattes. On évitera donc de laisser son chat près des fenêtres, portes, et autres sources de courants d’air. Installez plutôt son panier près d’un radiateur.
Si votre chat se met à tousser, il est possible qu’il ait attrapé un rhume, mais il peut s’agir d’un autre virus. Ne perdez donc pas de temps pour l’emmener chez le vétérinaire.
Avoir des assurances pour les frais médicaux, mais être obligé de chercher des fonds quand une opération qui pourrait améliorer grandement sa qualité de vie, est jugé comme une chirurgie esthétique, est franchement idiot En tout cas, je doute que ce gars est retourné vers le barbier qui lui a coupé les deux côtés du cou, il y a 12 ans
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Keith Crowell. Photo GoFundMe
Un simple rasage chez le barbier a causé une affreuse réaction cutanée chez Keith Crowell: depuis 12 ans, des masses de chair se développent dans son cou.
Le résident du Wisconsin souffre de chéloïde, une sorte de bourrelet qui se forme sur une cicatrice. Les excroissances se forment de chaque côté de son cou et sont douloureuses, a-t-il expliqué à la station américaine WITI.
«J’ai eu une mauvaise réaction quand je suis allé chez le barbier et qu’il m’a coupé des deux côtés du cou», a raconté l’homme qui vit avec ce problème depuis 12 ans.
À deux reprises, des chirurgies ont été effectuées pour retirer les masses de son cou. Près de 40 lb de chair ont été enlevées à chaque fois, mais les chéloïdes sont revenues.
L’homme ne demande qu’à vivre une vie normale. En raison de ces excroissances, il a de la difficulté à dormir, à avaler et à entendre.
Il a trouvé un chirurgien qui pourrait procéder à une opération qui réglerait définitivement sa situation. Toutefois, son assureur ne veut pas lui payer la chirurgie, prétextant que son problème n’est qu’esthétique.
«Je ne crois pas que c’est seulement esthétique. On parle de ma qualité de vie, ici», plaide M. Crowell.
L’homme a mis en ligne une campagne GoFundMe pour amasser des fonds pour payer pour son déplacement, son hébergement, l’opération et sa convalescence. Il espère ainsi amasser 50 000 $.