Conséquences


C’est clair que nos actes a des conséquences autant sur notre santé, notre avenir et sur les autres. Mais quoi qu’il en soit nous sommes responsables de nos actes
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Conséquences

 

Tous nos actes ont des conséquences positives ou négatives selon leur nature.

Dalaï Lama

Les façons les plus inspirantes par lesquelles l’humanité a respecté le monde naturel


On coupe des arbres pour construire des maisons, des blocs appartements autres édifices, alors qu’on pourrait au moins en garder quelques-uns pour faire partie du décor. Moi, j’ai toujours rêvé d’avoir un arbre faisant partie de la maison
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Les façons les plus inspirantes par lesquelles l’humanité a respecté le monde naturel

 

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Le Saviez-Vous ► Top 10 des aliments les plus dangereux du monde


Tout dans la nature n’est pas consommable, alors que d’autres denrées, il faut une attention particulière pour les consommer. Faut-il vraiment risquer de se rendre malade ou pire, en mourir ?
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Top 10 des aliments les plus dangereux du monde

 

Si vous voyagez, personne ne vous oblige à goûter à certaines spécialités locales qui peuvent s’avérer fatales.

Le fugu ou poisson-globe (Japon)

Le fugu  est un poisson très consommé au Japon mais qui contient un poison violent : la tétrodotoxine, une moléculeneurotoxique produite par le foie, qui entraîne une paralysie pouvant aller jusqu’au décès. Le poisson-globe est connu pour se gonfler d’eau quand il se sent menacé. Sa commercialisation est réglementée pour éviter les accidents. D’après The Independant, cinq personnes sont décédées en 2015 en mangeant du foie de fugu.

Un poulpe vivant : le sannakji (Corée du Sud)

Le sannakji est une spécialité de Corée du Sud qui consiste à manger un poulpe encore vivant. Le problème est que les tentacules peuvent continuer à s’agripper, même après la mort de l’animal. Des cas d’étouffements sont possibles : il y aurait ainsi six décès par an.

Un fromage : le casu marzu (Italie)

Le casu marzu (ou « fromage pourri ») est un fromage traditionnel italien, provenant de Sardaigne, dans lequel des larves vivantes servent au processus de maturation du fromage. Le risque est que ces larves ne soient pas détruites par les sucs gastriques et restent dans l’intestin, provoquant douleurs abdominales, nausées et diarrhées.

Le manioc (Amérique du Sud)

Les racines de manioc doivent être correctement préparées pour éviter l’intoxication. © An NGuyen, Shutterstock

La racine de manioc contient de la linamarine, qui, mangée crue, peut libérer du cyanure dans l’intestin. La racine doit donc être correctement cuite pour ne pas présenter de danger. En 2005, 27 enfants sont décédés aux Philippines en mangeant du manioc servi à leur école.

La grenouille taureau ou ouaouaron (Namibie)

La grenouille taureau est une grenouille africaine, plat traditionnel en Namibie, qui contient des molécules toxiques, les jeunes grenouilles étant les plus dangereuses. La toxine conduit à une déficience rénale.

Le ackee (Jamaïque)

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee est un fruit emblématique de la Jamaïque qui contient des graines noires toxiques. La molécule toxique est l’hypoglycine, qui provoque des vomissements. En 2011, il y aurait 35 cas d’empoisonnement. Les fruits peuvent être mortels s’ils sont consommés crus et pas suffisamment mûrs.

Un coquillage : les palourdes de sang (Chine)

La palourde Tegillarca granosa vit dans des milieux pauvres en oxygène, ce qui fait qu’elle renferme souvent des virus et des bactéries. Ce coquillage peut ainsi transmettre les agents des hépatites A et E, de la dysenterie et de la typhoïde.

Un poisson fermenté : le fesikh (Égypte)

Le fesikh est un poisson qui a séché au soleil et qui a fermenté longtemps dans le sel. Il est traditionnellement consommé en Égypte lors de la fête de Cham el-Nessim, le jour du printemps. Chaque année, des Égyptiens sont hospitalisés après une intoxication alimentaire. Il existe un risque de botulisme à cause de la mauvaise conservation de ce poisson.

Les feuilles de rhubarbe (monde entier)

Ne mangez pas les feuilles de rhubarbe ! © photogal, Shutterstock

Les feuilles de rhubarbe contiennent de l’acide oxalique qui est toxique pour les reins où il forme des cristaux. Les symptômes de l’empoisonnement sont des nausées, des diarrhées, des problèmes pour respirer, des douleurs à l’œil, une urine rouge, des brûlures de la bouche et de la gorge.

Le pangium edule (Asie du Sud-Est)

Ce fruit est toxique à cause du cyanure d’hydrogène (HCN) qu’il contient. Il doit être correctement cuit et préparé avant consommation.

http://www.futura-sciences.com/

Le scorbut réapparaît en Australie


Une maladie qu’on voyait souvent chez les marins, faute d’avoir des fruits et légumes frais. Cette maladie était pourtant presque disparue, revient simplement par des mauvaises habitudes alimentaires. C’est assez spécial
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Le scorbut réapparaît en Australie

 

Le scorbut a été diagnostiqué chez 12 patients,... (PHOTO AFP)

Le scorbut a été diagnostiqué chez 12 patients, tous guéris après une cure de vitamine C.

PHOTO AFP

 

Agence France-Presse
Sydney

Le scorbut, maladie associée aux navigateurs au long cours du temps de la marine à voile, fait une réapparition surprise en Australie en raison de mauvaises habitudes alimentaires, ont expliqué mardi des chercheurs.

Le scorbut, causé par une carence en vitamine C, faisait des ravages parmi les marins qui passaient des mois entiers en mer, en raison des difficultés de stockage ou d’approvisionnement en fruits et légumes frais.

La maladie considérée comme quasi disparue fait son retour en Australie sans rapport apparent avec l’origine sociale des patients, explique Jenny Gunton, directrice du Centre de recherches sur le diabète, l’obésité et l’endocrinologie de l’Institut Westmead de Sydney.

Elle s’est penchée sur la question lorsque plusieurs de ses patients ont présenté des plaies qui ne guérissaient pas.

«Quand je les ai interrogés sur leur régime alimentaire, une personne ne mangeait que très peu, voire pas de fruits ou de légumes frais, les autres mangeaient des légumes mais les faisaient trop cuire, ce qui détruit la vitamine C», dit-elle. «Cela montre qu’on peut manger beaucoup de calories sans consommer suffisamment de nutriments».

Le scorbut a été diagnostiqué chez 12 patients, tous guéris après une cure de vitamine C.

La vitamine C est indispensable à la fabrication du collagène, élément nécessaire à la formation du tissu conjonctif. Les carences peuvent provoquer des hématomes, des hémorragies de la peau et des gencives, des douleurs articulaires, des défauts de cicatrisation et, à terme, la mort.

On trouve la vitamine C dans des fruits ou légumes comme les oranges, les fraises, les brocolis etc.

La chercheuse, qui a publié une étude dans le journal international Diabetic Medicine, ajoute que les personnes obèses ou en surpoids peuvent aussi être atteintes.

Les origines sociales ne semblent pas jouer de rôle dans la prévalence de la maladie. Les personnes ayant de mauvaises habitudes alimentaires se retrouvent parmi toutes les classes sociales, dit-elle.

«Ces résultats suggèrent qu’en dépit de la masse d’informations disponibles sur l’alimentation, il y a toujours plein de gens – de toutes origines – pour qui le message ne passe pas», déclare Mme Gunton. «Le corps humain ne peut synthétiser la vitamine C alors nous devons manger des aliments qui en contiennent».

Les autorités sanitaires n’ont pas le réflexe de dépister le scorbut, souligne-t-elle, les appelant à inverser la tendance.

D’autres études ont montré que ce problème ne se limite pas à l’Australie mais touche aussi d’autres pays développés comme la Grande-Bretagne.

http://www.lapresse.ca/

La maladie de Raynaud: le froid qui fait mal aux doigts


Il y a plus de femmes que d’hommes et ceux qui en souffrent sont surtout dans les pays froids. La maladie de Renaud donne froid aux doigts
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La maladie de Raynaud: le froid qui fait mal aux doigts

 

Il faisait froid lors d'un des derniers discours d'Obama pour sa première campagne, en Pennsylvanie en octobre 2008. REUTERS/Jason Reed

Il faisait froid lors d’un des derniers discours d’Obama pour sa première campagne, en Pennsylvanie en octobre 2008. REUTERS/Jason Reed

Elle se caractérise par une insensibilité et une douleur pénible aux doigts provoquées par le froid. Reconnaître ses symptômes est facile: les doigts deviennent blanc ivoire. Mais que faire en pratique?

C’est la maladie du froid par excellence –du froid et parfois du stress. Depuis très précisément 150 ans, elle est connue des médecins sous le nom de «maladie de Raynaud».

Son diagnostic peut aisément être fait par ceux qui en souffrent soit, dit-on, entre 5% et 10% de la population. C’est, par temps de froid, une brutale et très désagréable sensation: les doigts deviennent à la fois douloureux et insensibles. Ils sont bientôt pâles, ivoires, comme morts. Les deux mains sont touchées de manière symétrique.

C’est en quelque sorte avoir l’onglée plus facilement que ses semblables. La vie ne reviendra dans ces extrémités qu’au bout de quelques minutes (quelques dizaines parfois) sous l’effet de la chaleur. Dans certains cas, les orteils, mais aussi le nez, les lèvres et les lobes d’oreilles peuvent être concernés. On ne confondra pas avec les engelures et leurs papules violacées et douloureuses. Les symptômes sont suffisamment caractéristiques pour que l’on ne se trompe pas sur la nature du mal.

C’est aussi une expérience particulièrement désagréable pour tous ceux qui en sont atteints –toutes celles plus précisément, puisque la maladie de Raynaud touche le plus souvent les femmes (70% à 90%).

Par définition, c’est aussi une maladie que l’on rencontre nettement plus fréquemment dans les pays froids.

Une asphyxie

En cas de doute, on peut faire le test de la «provocation au froid» en plaçant les deux mains en immersion dans de l’eau glacée et en observant ensuite les changements de couleur.

Une étude menée il y a quelques années en France auprès d’une petite centaine de patients volontaires a montré que le nombre de crises augmente de manière significative lors des refroidissements de la température en cours de journée ou encore en période automnale, lorsque le taux d’humidité relative augmente dans l’atmosphère. L’hiver, le nombre des crises double lorsque la température diminue significativement au cours de la journée (avoisinant les 0°C) avec une humidité relative supérieure à 80%.

Pourquoi un tel phénomène? La brutale sensation de froid et la douleur sont dues à une réduction puis à l’arrêt de la circulation sanguine dans les extrémités des doigts. Et cet arrêt est lui-même la conséquence de la constriction des artérioles qui assurent l’arrivée sanguine dans ces territoires excessivement sensibles. C’est ni plus ni moins une asphyxie. La douleur disparaîtra lorsque ces artérioles auront retrouvé leur lumière et que le sang circulera à nouveau, apportant chaleur et vie.

Quand l’accident asphyxiant survient au niveau du cœur, l’arrêt de la circulation sanguine artérielle provoque un infarctus. Plus haut, au niveau du système nerveux central, c’est l’accident vasculaire cérébral. Ici, plus en périphérie, au niveau des doigts c’est une sensation de picotement, d’engourdissement et de brûlure.

Les conséquences ne sont en rien comparables à celles sur le cœur et le cerveau. Après réchauffement, les doigts passent de la couleur ivoire au bleu-violet, les douleurs s’accentuent souvent quelques instants avant de finalement disparaître.

Les médecins classent la maladie de Raynaud dans les «acrosyndromes».

Ils la définissent aussi comme un «trouble vasomoteur paroxystique» correspondant à «un arrêt brutal et transitoire de la circulation artérielle dans les extrémités digitales, se traduisant par des modifications de coloration des doigts associées des sensations de doigts morts». Le phénomène peut être décomposé en phase «syncopale» (doigts blancs), phase «cyanique» (doigts bleus) puis de «dilatation réactionnelle» (doigts rouges).

Attention à ne pas confondre la maladie de Raynaud et le «syndrome» du même nom. Dans le premier cas, le phénomène est dit «primaire» (sans cause particulière). Dans l’autre, il est la conséquence de différentes affections (dont des maladies professionnelles «maladie des engins vibrants», usage intensif des claviers, expositions répétées au froid, intoxication par le chlorure de polyvinyle).

Comment se réchauffer?

Que faire en pratique? Se protéger du froid bien sûr. Porter des gants protecteurs conservant la chaleur. Une solution simple pour réchauffer les doigts privés de sang consiste à les plonger dans de l’eau tiède jusqu’à obtenir leur revascularisation.

En cas de gêne importante (ou faute de disposer d’eau tiède), on peut accélérer le retour du sang via la force centrifuge en décrivant avec le bras de grands arcs de cercles. Des petits dispositifs adaptés («chaufferettes») peuvent aussi se révéler très utiles. 

Dans tous les cas, la consommation de tabac est formellement contre-indiquée. Fumer déclenche le resserrement des vaisseaux sanguins, ce qui augmente le risque de crise, ainsi que l’intensité et la durée des symptômes. De plus, le tabagisme augmente le risque d’obstruction des petits vaisseaux.

Différentes spécialités pharmaceutiques peuvent également être utilisées (vasodilatateurs, inhibiteurs calciques, dérivés nitrés) ainsi que certaines médications moins officielles (extraits de ginko biloba, acupuncture, etc.). En toute hypothèse, le syndrome de Raynaud justifie une prise en charge nettement plus médicalisée pour diagnostiquer et traiter la maladie sous-jacente.

Jean-Yves Nau

http://www.slate.fr/

Soldes: Greenpeace met en garde contre la mode prêt-à-jeter


C’est vrai qu’on dépense sans trop se poser des questions sur l’impact de cette surconsommation envers l’environnement. Pas parce qu’un vêtement est en vente que nous devons l’acheter si nous n’en avons pas besoin
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Soldes: Greenpeace met en garde contre la mode prêt-à-jeter

 

Greenpeace met en garde contre la surconsommation de vêtements, source de « graves impacts environnementaux ».

La « fast-fashion » génère déchets, pollutions, gaz à effet de serre et ne peut pas, à ce stade, être solutionnée par le recyclage, selon l’ONG.

« Les vêtements font partie des articles les plus vendus » pendant le « Black Friday « , ces soldes organisées aux États-Unis après le jour de Thanksgiving et également pratiqués dans de nombreux pays.

« Il est difficile de résister à la bonne affaire, mais la +fast-fashion+ signifie que nous consommons et jetons les vêtements plus vite que la planète ne peut le supporter », souligne Kirsten Brodde, à la tête de la campagne « Detox my Fashion » menée par l’ONG depuis 2011.

La production vestimentaire mondiale a doublé ces 15 dernières années. Une personne achète 60% de vêtements de plus qu’il y a 15 ans, et garde chaque pièce deux fois moins longtemps, selon une enquête McKinsey citée par Greenpeace.

Les marques ont multiplié le nombre de collections, tandis que, du Brésil à l’Inde ou la Grande-Bretagne, les prix ont moins augmenté que pour les autres biens de consommation courante, alimentant la frénésie: en 2014, pour la première fois, le nombre de pièces produites sur un an a dépassé 100 milliards, soit presque 14 par humain!, selon la même étude.

Or les impacts écologiques sont nombreux: pollutions chimiques issues des usines ou des pesticides utilisés dans les champs de coton, usage intensif d’eau et d’énergies sources de réchauffement.

Le boom du synthétique est particulièrement problématique, note Greenpeace, notamment le polyester qui émet plus de CO2 que le coton, a du mal à se dégrader et peut contenir des microfibres de plastique, poison des océans.

Et « le recyclage est un mythe! », pas encore au point techniquement comme commercialement, ajoute l’organisation.

Des stocks de vêtements d’occasion sont exportés vers les pays du Sud, mais leur usage limité par leur qualité souvent piètre.

Pour l’ONG, « les marques doivent repenser leur modèle du jetable et produire des vêtements durables« .

« En tant que consommateurs, nous avons aussi ce pouvoir: avant d’acheter, nous pouvons tous nous demander +ai-je vraiment besoin de ça?+, ajoute Mme Brodde.

Pour un seul jean, ce sont 13 000 litres d’eau qui sont utilisés!

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Japon: 5000 poissons figés dans une patinoire glacent l’opinion


Il semble que les poissons étaient déjà morts et étaient impropre à la consommation. Ces poissons pourraient quand même servir a quelques choses de plus constructives
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Japon: 5000 poissons figés dans une patinoire glacent l’opinion

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      Des employés ont disposé 5000 poissons morts, achetés au marché local, pour ensuite les ensevelir sous l’eau qui deviendra patinoire.

      PHOTO SPACE WORLD/FACEBOOK

      Agence France-Presse
      Tokyo

Un parc d’attractions japonais, qui proposait de glisser sur la glace tout en contemplant sous ses pieds 5000 silhouettes de poissons congelés, a fermé dimanche sa patinoire après s’être attiré une volée de critiques.

Le gestionnaire du parc Space World, situé à Kitakyushu dans le sud-ouest du pays, avait ouvert ce lieu insolite le 12 novembre, mais très vite le concept a été jugé sinistre et immoral.

« Des voix se sont élevées pour dénoncer le fait d’utiliser des créatures comme un jouet et de gaspiller de la nourriture », a expliqué lundi à l’AFP un porte-parole de la compagnie, Koji Shibata.

« En interne, nous avions eu des discussions sur la moralité de cette idée » avant de nous y rallier, a-t-il précisé, alors que les pauvres bêtes étaient déjà mortes lors de l’achat à un marché local de poissons et considérées comme impropres à la consommation.

« Nous voulions que nos clients expérimentent la sensation de patiner sur la mer, mais après avoir reçu des critiques, nous avons décidé d’arrêter », a justifié le responsable Toshimi Takeda.

Il avait exprimé la veille à la télévision ses « profonds regrets » face à la tournure prise par l’affaire.

La glace va désormais être fondue, une opération qui pourrait prendre une semaine, avant la tenue d’une cérémonie d’hommage aux poissons en présence d’un prêtre shintoïste. « Nous l’avions planifiée » avant ce tollé, a-t-il assuré.