Le Saviez-Vous ► Regardez la population humaine passer de quelques milliers à 7 milliards d’habitants


L’évolution de la population depuis a 200.00 ans en 10 minutes. Cela est impressionnant de voir qu’après J.C cela avance la population augmente, puis baisse pour remonter à l’époque industrielle. On prétend que dans 200 ans, nous seront 7 billons, peut-être mais avec les changements climatiques et les horreurs des hommes, peut-être que les prévisions seront à la baisse, mais les ressources de la terre le seront plus drastiquement aussi
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Regardez la population humaine passer de quelques milliers à 7 milliards d’habitants

 

Plus de 200.000 ans, résumés en six minutes.

7,4 milliards de personnes vivent actuellement sur la planète, selon les derniers décomptes, et ce chiffre pourrait atteindre 11 milliards à la fin du siècle, montrant un peu plus l’incroyable croissance humaine sur Terre.

Pour se rendre compte de cette évolution, le musée américain d’histoire naturelle a publié une vidéo sur YouTube, où l’on peut voir les êtres humains coloniser petit à petit la terre entière, à partir de l’Afrique, il y a 200.00 ans.

On y voit leur nombre augmenter lentement, pendant des millénaires, et puis, comme le raconte Slate.com, qui a remarqué cette vidéo, «tout cela change en 10.000 avant Jésus-Christ, avec le début de l’agriculture».

«Après les deux premières augmentations soudaines de population, on compte 170 millions de personnes en l’an 1. La carte se transforme alors en projection à plat et chaque petit point jaune correspond à un million de personnes, et l’on peut voir les premières civilisations —l’Empire romain, la dynastie des Huns— naître puis s’effondrer.»

La population augmente lentement et régresse subitement au XIVe siècle à cause de la propagation de la Peste noire, avant de grimper ensuite de plus en plus vite et d’atteindre son premier milliard vers le début du XIXe siècle. Avec la révolution industrielle, la Terre voit soudainement sa population croître de plus en plus vite, et la carte crépite toujours plus.

La vidéo poursuit avec des estimations jusqu’en 2100, et donne ensuite trois projections possibles en fonction de la natalité. Celle du milieu, si la natalité tombe à deux enfants par femme, donne 11 milliards de personnes vivant sur la planète, à la fin du XXIe siècle.

«Il a fallu 200.000 ans pour que notre population atteigne un milliard, et seulement deux siècles pour qu’elle atteigne les 7 milliards», conclut la vidéo.

Alors forcément, résume Slate.com, cela fait réfléchir.

«Cela rend les efforts actuels en matière de conservation, de contraception et de lutte contre la pollution encore plus importants. Le Global Footprint Network estime que notre civilisation utilise actuellement 1,6 fois les ressources générées par notre planète —c’est-à-dire qu’il faut 18 mois pour régénérer les ressources que nous utilisons en l’espace d’un an.»

Imaginez ce que ça donnera avec 4 milliards de personnes en plus

http://www.slate.fr/

À Moscou, on s’arrache le burger… au ragondin


Il y a des endroits dans le monde qu’on apprête le rat, mais en Russie, c’est le ragondin, un rongeur plus gros que le rat, il serait herbivore et propre… Mais l’idée d’y goûter un jour, me rebute
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À Moscou, on s’arrache le burger… au ragondin

 

 

Omniprésent au sud de la Russie, facile à cuisiner, bon marché et riche en nutriments, le gros rongeur est le nouveau mets tendance du tout-Moscou.

Vous n’en rêviez sûrement pas, les Moscovites l’ont fait quand même. La dernière mode en date au pays de Soljenitsyne, nous informe The Guardian, c’est le burger au rat. Enfin, plus exactement, le burger au ragondin. Vous savez ce gros rongeur aux longues moustaches et aux dents orange foncé.

D’aucuns diraient que le ragondin n’est pas très ragoûtant. Mais il en faut plus pour décourager le tout-Moscou, qui apprécie ses qualités nutritives et son prix abordable – comptez 550 roubles (8 €) le burger au très en vogue Krasnodar Bistro de Moscou. La bestiole, omniprésente dans le sud de la Russie où elle est consommée depuis les années 1990, est aussi un moyen tout trouvé de succomber à la mode du locavore.

« Les diététiciens le recommandent »

Les grands restaurants de la capitale ont en tout cas tous craqué pour lui cet automne. Et ils veulent mettre à mal les idées un peu préconçues que l’on se fait au sujet des rongeurs – qu’on appelle avec dédain « nuisibles ».

« Le ragondin est un animal très propre », indique ainsi Takhir Kholikberdiev, le chef du Krasnodar Bistro, au quotidien britannique. « Non seulement il est herbivore, mais il nettoie toujours ce qu’il mange avant de l’avaler. Il est en outre très riche en Oméga-3. De nombreux diététiciens le recommandent. »

Force est de constater qu’à l’image, le burger au ragondin a l’air plutôt appétissant.

« Le goût était assez bon », note le journaliste du Guardian, qui a croqué dans un de ces sandwichs. « Toutefois, en mâchant, on a parfois quelques flashs de moustaches frémissantes et de grandes dents oranges ».

Alors, tentés?

https://news.sfr.fr/

N’ouvrez surtout pas cette vidéo qui fera planter votre iPhone


Une vidéo (ce n’est pas celle qui est mise ici) circule sur Internet qui rend les IPhone inutilisables quelques minutes. Heureusement, il n’affecte pas le disque dur du téléphone
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N’ouvrez surtout pas cette vidéo qui fera planter votre iPhone

 

On vous aura prévenu. Sur Internet, circule actuellement une vidéo qui fait planter les iPhone d’Apple, comme l’explique sur sa chaîne YouTube EverythingApplePro (voir la vidéo ci-haut).

Cette vidéo, qui se présente sous la forme d’un banal fichier .mp4 représentant une personne sur un lit avec le mot « Honey » écrit sur l’écran, rendra totalement inutilisable durant plusieurs minutes votre téléphone intelligent si vous l’ouvrez. Le HuffPost a pu le constater en effectuant un test.

Selon The Telegraph, toutes les versions d’iOS sont affectées, de la dernière à iOS 5. N’ouvrez donc pas ce fichier infecté par un malware si on vous l’envoie, qui n’affecte pas cependant le disque dur de l’iPhone. Si vous veniez à ouvrir cette vidéo néfaste, il vous suffira de forcer l’extinction de votre appareil puis de le rallumer.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Deux élans se battent, emmêlent leurs bois et finissent coincés dans la glace


Il est normal lors de la saison de reproduction que les élans, orignaux, etc, se battent, Il est fréquent aussi que les bois s’entremêlent entre deux adversaires. Ce qui est, par contre, plus étonnant, c’est de retrouver deux élans coincés par leurs bois morts dans une rivière glacée
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Deux élans se battent, emmêlent leurs bois et finissent coincés dans la glace

 

Repéré par Grégor Brandy

Les deux animaux ont été retrouvés dans la glace d’un ruisseau, en Alaska, au début du mois de novembre.

Si l’on a l’habitude de voir des élans, autour d’Unalakleet, en Alaska, aux États-Unis, Brad Webster n’avait jamais vu de tel, raconte le Washington Post. Au début du mois de novembre, alors qu’il se baladait avec un ami, les deux hommes ont vu de gros bois et une bosse velue et marron sortir de la glace. En se rapprochant, ils en ont vu une autre bosse, et d’autres bois, coincés dans les premiers. Les deux élans étaient coincés dans un ruisseau partiellement gelé, à quelques centimètres loin de l’autre, «parfaitement préservés dans vingt centimètres de glace»:

«On était tous les deux ébahis, raconte Brad Webster, au quotidien américain. J’ai déjà entendu des histoires similaires à propos d’autres animaux, mais je n’avais jamais rien vu de tel.»

 

Le Washington Post explique qu’il est courant que les élans se battent lors des saisons de reproduction et qu’il arrive parfois qu’ils coincent leur bois dans ceux de leurs rivaux. Dans ce cas-ci, on pense que l’un des deux élans a réussi à tuer l’autre en lui perçant le crâne, mais qu’il a été attiré dans l’eau par son adversaire.

«Quand il est mort, c’est comme s’il avait gagné une bataille, mais perdu la guerre, parce que l’autre élan était désormais attaché à sa tête.»

Brad Webster est revenu sur les lieux de sa découverte deux semaines plus tard, en compagnie de plusieurs personnes, alors que la neige commençait à recouvrir la glace, poursuit l’agence de presse américaine AP. Ensemble, ils ont libéré les animaux morts de la glace, récupéré leurs têtes, et laissé le reste des carcasses sur place.

Histoire de s’en souvenir, Jeff Erickson, qui était arrivé un peu plus tard sur les lieux, a pris plusieurs photos (quelques heures après la première découverte, puis, lorsqu’ils sont revenus les libérer de la glace) et les a postées sur Facebook.

Des photos qui ont déjà fait le tour du monde, raconte Jeff Erickson à un journaliste indépendant. De quoi se rendre soudainement compte de la puissance que peut avoir internet.

«Elles sont partout. C’est assez effrayant de voir ce que fait internet quand ça devient viral.»

http://www.slate.fr/

Les enfants autochtones au coeur de l’enquête d’Ottawa


Une enquête sérieuse qui aurait dû se faire 20 ans plus tôt sur les disparitions des femmes autochtones, des enfants, des femmes ayant vécu des agressions sexuelles, des assassints et disparitions des femmes faisant partie des Premières Nations. Ces gens ont le droit à a sécurité et au respect
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Les enfants autochtones au coeur de l’enquête d’Ottawa

 

Le problème des abus sexuels à l'endroit d'enfants autochtones occupera une... (PHOTO ERICK LABBÉ, ARCHIVES LE SOLEIL)

PHOTO ERICK LABBÉ, ARCHIVES LE SOLEIL

KIRSTY KIRKUP
La Presse Canadienne
OTTAWA

Le problème des abus sexuels à l’endroit d’enfants autochtones occupera une place centrale dans l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées puisque ces agressions surviennent à une fréquence alarmante, soulignent plusieurs intervenants.

Au cours d’une enquête de La Presse canadienne qui s’est échelonnée sur plusieurs mois, plusieurs victimes et experts ont fait le lien entre les agressions sexuelles d’enfants autochtones et la vague de suicides qui secoue plusieurs communautés des Premières Nations au Canada.

Sharon Acoose avait à peine 3 ans et habitait Régina, en Saskatchewan, quand trois de ses oncles l’ont tour à tour violée.

Aujourd’hui âgée de 63 ans, elle a traversé une existence marquée par la consommation de drogues et d’alcool afin de noyer sa souffrance. Tombée dans la prostitution, elle a dû purger une peine d’emprisonnement. Ses agresseurs sont tous aujourd’hui décédés.

Les sévices sexuels et autres violences de ce type sont si fréquents dans les communautés autochtones qu’ils auront vraisemblablement une place prédominante au sein de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées, dont les audiences doivent commencer au début de 2017.

Le processus attirera certainement l’attention internationale, croit la commissaire en chef Marion Buller.

Un total de 1181 femmes autochtones ont été assassinées ou sont portées disparues entre 1980 et 2012, selon la première évaluation faite par la Gendarmerie royale canadienne (GRC) sur cet enjeu, en 2014. Un an plus tard, 32 autres cas d’assassinats et 11 de disparitions s’ajoutaient aux chiffres officiels.

La GRC avait par le fait même tracé un lien clair entre la violence familiale et les taux d’homicide.

Les femmes autochtones sont particulièrement vulnérables justement parce qu’elles sont des femmes et parce qu’elles sont autochtones, souligne la présidente de la Chaire de recherche canadienne en santé et bien-être des autochtones de l’Université Brandon, au Manitoba, Yvonne Boyer.

Dans un rapport sur la traite de personnes touchant les femmes autochtones qu’elle a cosigné en 2014 pour le ministère de la Sécurité publique, Mme Boyer a relevé que plusieurs des personnes entraînées dans cette forme d’exploitation ont aussi souffert, dans leur jeunesse, d’agressions sexuelles.

«Il y a des enfants qui sont agressés, des adolescentes qui sont violées et qui poursuivent leurs vies, et (la problématique) devient un comportement normalisé» souligne-t-elle en entrevue, ajoutant que plusieurs autres personnes n’ont jamais pu être entendues puisqu’elles y ont laissé leur vie.

Wally Oppal, qui a présidé la Commission d’enquête sur la façon dont les autorités de la Colombie-Britannique ont mené l’enquête criminelle à l’égard du tueur en série Robert Pickton, est aussi d’avis qu’il y a un lien indéniable entre les abus sexuels d’enfants et les enlèvements et assassinats de femmes autochtones.

Robert Pickton a été reconnu coupable, en 2007, du meurtre de six femmes et condamné à la prison à perpétuité. Il était également accusé d’en avoir tué 20 autres femmes. Plusieurs d’entre elles étaient autochtones.

Dans son rapport, M. Oppal a conclu que les femmes autochtones étaient beaucoup plus susceptibles de subir des violences d’un niveau élevé, en plus d’être surreprésentées dans les statistiques sur les personnes disparues.

Si Sharon Acoose se demande pourquoi le gouvernement fédéral n’a pas commandé une enquête 20 ans plus tôt, elle s’estime chanceuse d’être toujours vivante pour prendre la parole. Sa vie a pris une tournure dont elle n’espérait plus, alors qu’elle enseigne aujourd’hui le travail social à l’Université des Premières Nations du Canada, à Saskatoon.

«Je suis si chanceuse de pouvoir raconter mon histoire aux gens. J’aurais dû être morte à l’âge de 20 ans.»

http://www.lapresse.ca/