Je pense que c’est une réalité, l’argent change le monde, du moins plusieurs, alors que la pauvreté peut montrer notre humanité ou le contraire
Nuage
Vices et vertus
La prospérité découvre nos vices, et l’adversité nos vertus.
Francis Bacon
Je pense que c’est une réalité, l’argent change le monde, du moins plusieurs, alors que la pauvreté peut montrer notre humanité ou le contraire
Nuage
Vices et vertus
La prospérité découvre nos vices, et l’adversité nos vertus.
Francis Bacon
Depuis toujours, certaines personnes aiment le risque. Parmi eux, des téméraires qui s’amusent pour montrer leur talent d’équilibriste, alors que d’autres, les hauteurs font partie de leur travail. Toutes ces personnes n’avaient aucune protection en cas de chute
Nuage
Une collection de photographies anciennes qui montrent des gens inconscients qui s’amusent ou travaillent à quelques centimètres du vide.
Le Titanic n’avait aucune chance face au iceberg qu’il a rencontré et a causé des milliers de morts. Ce qui est encore plus surprenant, c’est que cette rencontre s’est préparée y a 100 mille ans au temps que l’iceberg s’est détaché du Groenland
Nuage
Une équipe de chercheurs britanniques a découvert que l’iceberg responsable du naufrage du Titanic s’était détaché du Groenland 100.000 ans auparavant. Selon leur étude, il était bien plus gros lors de sa formation qu’en 1912.
La tragédie du Titanic remonte à la nuit du 15 avril 1912. L’événement dramatique s’est inscrit dans l’histoire aux côtés des naufrages les plus importants et meurtriers avec plus de 1.500 victimes.
Si les coupables sont nombreux, notamment parmi les membres de l’équipage du célèbre paquebot britannique, l’élément responsable en partie de ce désastre est cet iceberg massif immergé partiellement sous les eaux de l’océan Atlantique, au large de Terre-Neuve. Plus de 100 ans après, une équipe de scientifiques dévoile certains secrets du gigantesque bloc de glace.
Un iceberg vieux de 100.000 ans
Les chercheurs dirigés par Grant Bigg de l’Université de Sheffield au Royaume-Uni, sont en effet parvenu à calculer l’âge du coupable. Les résultats, censés être dévoilés le 18 mars prochain à l’occasion de la Fête de la Science de Cambridge, ont été anticipés dans une interview accordée au Sunday Times.
Selon les propos des auteurs rapportés par le journal, la gigantesque masse de glace se serait détachée du glacier du Groenland il y a près de 100.000 ans. Ces estimations, à un siècle près, ont été réalisées à partir d’observations relevées non seulement aux alentours de 1912 mais aussi plus récemment.
« Nous avons créé un modèle mathématique sur ordinateur pour calculer les itinéraires des icebergs sur n’importe quelle année donnée », a expliqué Grant Bigg.
« Nous nous somme basés sur ce que nous savions en matière de courants océaniques et l’avons intégré à des données météorologiques de cette année calculées sur la base des vents dominants », a poursuivi le directeur des travaux de recherche.
Bien plus gros à sa naissance
C’est grâce à cette méthode que les scientifiques ont réussi à préciser l’origine de l’iceberg.
« Nous pensons que le vêlage [la séparation] de l’iceberg est survenu depuis la région de Qassimiut, sur la côte sud-ouest du Groenland », a indiqué le chercheur.
L’iceberg aurait ensuite dérivé pour terminer en 1912 au large de la côte atlantique de l’Amérique du Nord.
Ces résultats contredisent la théorie selon laquelle l’iceberg coupable se serait détaché en 1908 au cours d’un hiver doux et aurait voyagé durant l’hiver 1911-1912 où les températures ont été bien plus froides. Mais les scientifiques ne se sont pas arrêtés là, ils ont aussi estimé la taille de l’iceberg. Au moment du naufrage, le morceau mesurait un peu plus de 120 mètres dont seulement 30 mètres émergeaient au-dessus de la surface de l’eau.
Sa masse quant à elle, atteignait les 1,5 million de tonnes. Si ces mensurations peuvent sembler impressionnantes, l’iceberg était bien plus massif lors de sa formation, affirment les spécialistes. Il approchait les 500 mètres de long pour une masse de 75 millions de tonnes, d’après leurs calculs.
© Gentside Découverte
Les scientifiques pensent que les oiseaux de mer qui se nourrissent de plastique ne sont pas attirer par la vision, mais l’odeur qui ressemblerait au plancton
Nuage
(Agence Science-Presse) Pourquoi les oiseaux de mer avalent-ils autant de plastique? Peut-être parce que ça sent bon.
Étonnamment en effet, un bouchon de plastique, après quelques jours en mer, va dégager une odeur similaire au plancton —assez, du moins, pour attirer l’attention de l’oiseau de mer. L’odeur provient des algues qui « colonisent » les objets en question.
Si cette conclusion se confirme, elle ira à l’encontre d’une croyance répandue, selon laquelle les oiseaux repèrent plutôt ces objets grâce à leurs couleurs vives. Or, les biologistes en doutent, tant ces oiseaux s’orientent beaucoup plus par leur odorat que par leur vision.
S’appuyant sur les chimistes, qui savent que l’odeur en question est celle du sulfure de diméthyle (DMS), le biologiste Matthew Savoca s’est penché sur les oiseaux de mer que l’on sait depuis peu être les plus susceptibles d’avoir l’estomac rempli d’objets de plastique —et il a constaté qu’ils sont aussi les plus susceptibles de sentir le DMS. Une expérience en mer consistant à accrocher des centaines d’objets de plastique à un filet, pour les récupérer trois semaines plus tard, a permis aussi de confirmer en laboratoire que ces objets, ou plus exactement les micro-algues qui s’y sont accrochées, dégagent une certaine quantité de DMS. L’étude est parue le 9 novembre dans la revue Science Advances.
Quand un enfant manque à l’appel, on peut alerter la police au moment qu’on croit à une disparition. Chez les adultes, on se fit à la dangerosité de la disparition. Une chose importante au niveau des réseaux sociaux, on partage ceux qui viennent de source officielle en cliquant sur le lien avant de partager, on vérifie les mises à jour de cette disparition,à savoir si la personne est retrouvée ou toujours rechercher, ainsi, on évite certains détails que la population n’a pas à savoir ou que la disparition vire en boucle alors que l’affaire est élucidée
Nuage
Contrairement à la croyance populaire, il n’est pas nécessaire d’attendre 24, 48 ou même 72 heures avant de signaler la disparition d’un proche. Tout dépend du «niveau de dangerosité» de la situation. Par exemple, si une personne atteinte d’un trouble mental lourd manque à l’appel, mieux vaut avertir les autorités le plus rapidement possible.
«On peut faire une recherche rapide à l’endroit où la personne a été vue pour la dernière fois et demander immédiatement de l’assistance au poste du quartier», indique Jean Couture, relationniste du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
Il faudra alors donner le plus d’information possible aux policiers. Le dernier endroit fréquenté, le nom de la personne (et surnom, s’il y a lieu), les vêtements qu’elle portait avant de disparaître, les problèmes de santé dont elle souffre, la plaque d’immatriculation de sa voiture, et les endroits qu’elle visite souvent sont un bon lieu de départ.
Si un enfant manque à l’appel
Le Réseau Enfant-Retour accompagne les familles d’enfants disparus et diffuse les avis de disparition dans un large réseau de partenaires, et ce, en cas d’enlèvement ou de fugue.
Le Réseau conseille de vérifier s’il manque des vêtements, de la nourriture ou d’autres effets personnels au domicile de l’enfant; cela pourrait indiquer une fugue.
La première étape est de mettre sur pied, avec l’aide de la police, un groupe de recherche composé de proches, qui fouillera les endroits les plus fréquentés de l’enfant. Il faudra aussi s’assurer que quelqu’un est toujours présent pour répondre aux téléphones que l’enfant pourrait appeler.
Un formulaire est disponible sur le site du Réseau, à remplir en cas de disparition.
Attention aux publications virales
«Il faut faire attention aux réseaux sociaux», avance le porte-parole du SPVM.
Des informations révélées publiquement, sur des plateformes comme Facebook ou Twitter, peuvent s’avérer indésirables pour les personnes disparues.
«Je pense aux jeunes fugueuses. Les parents mentionnaient souvent qu’elles se droguaient et se prostituaient. Ces publications sont tellement partagées que si ces jeunes femmes se cherchent un emploi un jour, la première chose qu’on verra en faisant une simple recherche, ce sont ces informations.»
Le SPVM conseille aux proches de personnes disparues de demander de l’aide aux enquêteurs avant de propager la nouvelle sur les réseaux sociaux.
C’est triste de voir une montée en puissance du racisme aux États-Unis. Si Donald Trump était moindrement intelligent, il protesterait devant ce genre d’hommage. Une utopie ? C’est un changement radical de l’orientation de ce pays
Nuage
Le groupe raciste et suprémaciste de droite Ku Klux Klan annonce sur son site Internet la tenue le 3 décembre prochain, en Caroline du Nord, d’un défilé baptisé la « Grande Klavalkade Klan Parade » en hommage au vainqueur de la dernière élection présidentielle, Donald Trump.
Moi, j’ai eu mes premiers cheveux blancs à 18 ans, puis tranquillement, on aurait dit que je me faisais des mèches et aujourd’hui, ils sont presque tout blancs et je ne crois pas que cela soit génétique si je me fit à mes frères et soeurs
Nuage
Quand le facteur génétique n’est pas en cause, la raison d’une dépigmentation précoce des cheveux est peut-être environnementale ou liée à une maladie.
Certaines personnes remarquent leurs premiers cheveux blancs à l’âge de 30 ou 40 ans, alors que d’autres ont déjà des petites mèches argentées dès la vingtaine. Pourquoi ? Si vos parents sont passés par le même chemin que vous, au même âge, la cause est génétique. Il ne vous reste plus qu’à maudire votre ADN et vous faire une couleur, ou bien assumer fièrement votre look qui inspire la sagesse et la maturité (ce n’est pas prouvé scientifiquement). Mais si les membres de votre famille ont toujours leur couleur naturelle, voici quelques causes qui peuvent expliquer votre dépigmentation précoce :
Le stress
Les experts sont encore en train de débattre à ce sujet, indique le site Health, mais certaines études semblent prouver un lien entre le stress et l’apparition des cheveux blancs. Des travaux supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre ce mécanisme, mais de très nombreux témoignages apportent la preuve qu’une période de vie stressante a un impact sur la quantité de cheveux blancs. Il suffit de regarder des photos du président des Etats-Unis Barack Obama en 2009 et en 2016 pour voir à quel point sa vie à la Maison-Blanche a changé son physique.
La cigarette
Il n’y a rien de pire que le tabac pour la santé et l’aspect de la peau et des cheveux. Des études ont montré un lien entre la cigarette et l’apparition des cheveux blancs avant l’âge de 30 ans. La peau des fumeurs est ridée, et leurs cheveux le sont aussi, d’une certaine façon, car le tabac affecte les follicules pileux.
La santé
Dans certains cas plus rares, l’apparition précoce de cheveux blancs peut indiquer un problème de santé comme une maladie auto-immune qui touche la peau et les cheveux (vitiligo ou alopécie), un trouble de la thyroïde ou des glandes pituitaires, ou encore, un manque de vitamine B12 provoqué par une anémie. Tous ces facteurs ont un moindre impact comparé au facteur génétique, mais si votre famille proche n’a pas de cheveux blancs, c’est peut-être une bonne raison pour aller voir un médecin et vérifier que la thyroïde va bien, ainsi que le taux de fer dans le sang.
Il faut vraiment être aveugle pour ne pas voir les changements climatiques. Nous voyons les saisons qui sont différentes, des catastrophes naturelles qui augmentent et des maladies infectieuses qui sont de plus en plus présentes. Sans compter les animaux qui subissent des conséquences.
Nuage
Le réchauffement climatique aura un impact sur les migrations d’oiseaux.
PHOTO JENS MEYER, AP
JEAN-LOUIS SANTINI
Agence France-Presse
WASHINGTON
Quasiment tous les aspects de la vie sur la planète, des gènes aux écosystèmes dans leur totalité, sont affectés par le réchauffement du climat, faisant craindre des conséquences néfastes pour les populations humaines, conclut une étude publiée jeudi.
Selon ces chercheurs, plus de 80% des processus écologiques qui sont essentiels pour la santé des écosystèmes marins, d’eau douce et terrestres montrent des signes de stress et d’altération en réponse au changement climatique.
Ils citent par exemple un impact sur la diversité génétique ou les migrations saisonnières des oiseaux.
«L’ampleur des perturbations déjà provoquées sur la nature par le réchauffement est tout simplement époustouflante», juge le directeur de l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN), Inger Andersen.
Il cite des conséquences comme un accroissement des espèces nuisibles, une explosion des maladies infectieuses, une diminution de la productivité des pêcherie et une réduction des rendements agricoles.
«Nous avons maintenant des preuves qu’une hausse de seulement un degré Celsius sur la planète a des effets majeurs qui se font déjà sentir», explique Brett Scheffers, professeur adjoint à l’Université de Floride et chercheur à l’IUCN.
Il est l’un des co-auteurs de ces travaux parus dans la dernière livraison de la revue américaine Science. Ces chercheurs ont analysé les résultats de plusieurs études sur 94 processus écologiques.
«Cette hausse de la température entraîne des modifications physiologiques et physiques significatives chez les espèces comme un changement de leur taille ou les force à se déplacer vers de nouveaux habitats», dit-il.
Le réchauffement a ainsi provoqué des changements d’une telle ampleur que de nombreux écosystèmes deviennent méconnaissables, pointent les auteurs.
La toundra arctique est de ce fait de plus en plus dominée par des organismes vivants normalement dans des régions tempérées. Et les écosystèmes marins comptent aussi de plus en plus d’organismes tropicaux.
Un message clair aux dirigeants
Mais cette étude suscite aussi l’espoir qu’un grand nombre de réponses pourraient être exploitées pour le développement de mesures d’adaptation pour l’agriculture, l’élevage et les pêcheries, estiment ces scientifiques.
Dans des récoltes comme le blé ou le houblon, des variétés domestiquées sont croisées avec des variétés sauvages pour maintenir le potentiel d’évolution de ces plantes au changement climatique.
Le changement des processus écologiques peut aussi compromettre la capacité des écosystèmes à aider à minimiser l’impact du réchauffement climatique, préviennent les auteurs.
Des écosystèmes sains contribuent à l’adaptation au changement climatique en captant d’importantes quantités de dioxyde de carbone (CO2) régulant ainsi le climat et réduisant les risques liés aux réchauffement comme des inondations, la montée du niveau des océans ou des sécheresses.
«Les résultats de cette étude sont un message très clair aux responsables de la planète au moment où se tient la conférence sur le climat (COP22) à Marrakech (Maroc)», pointe Inger Andersen.
«Réduire les émissions de gaz à effet de serre et protéger les écosystèmes dont nous dépendons est une question pressante pour notre survie», ajoute-t-il.
«Ces travaux ont d’importantes implications pour les accords internationaux sur le réchauffement de la planète», insiste Wendy Foden, président du groupe sur le changement climatique de l’IUCN, qui est basé à l’université de Stellenbosch en Afrique du Sud.
Les engagements pris par les pays pour réduire leurs émissions de CO2 dans le cadre de l’accord de Paris en décembre 2015 limiteraient la hausse moyenne des températures du globe à environ trois degrés Celsius par rapport à l’ère pré-industrielle, relève-t-il.
«Or nous observons déjà des impacts sévères dans l’ensemble des écosystèmes avec une hausse de un degré», insiste-t-il.