Les morts


Les morts ont une histoire et leurs histoires sont des expériences laissées en héritage. Cependant que ce soit des petites histoires ou les grandes histoires des civilisations, ils semblent que les vivants ne retiennent pas les leçons
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Les morts

 

Les vivants n’apprennent rien aux morts mais les morts instruisent les vivants.

Chateaubriand

Le Saviez-Vous ► Pourquoi notre corps est toujours autour de 37°C?


Qu’est-ce qui règle notre température du corps ? Comment notre cerveau travail pour que cette température puisse être constante malgré a température extérieure ?
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Pourquoi notre corps est toujours autour de 37°C?

 

Pourquoi notre corps est toujours autour de 37°C?

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C’est un paramètre d’une prodigieuse constance. Quelles que soient les conditions extérieures, la température du corps humain reste, sauf cas exceptionnels, toujours autour des 37,5°C. Cette particularité est le fruit d’un phénomène biologique connu sous le nom de thermorégulation.

Celui-ci comporte un certain nombre de mécanismes sous-jacents qui permettent d’assurer à l’organisme une température fixe. Et comme pour beaucoup de fonctions physiologiques, le cerveau y joue un rôle tout à fait primordial.

L’hypothalamus dans le rôle du chef d’orchestre

Tout se passe au niveau de l’hypothalamus, une zone cérébrale de la taille d’une noix. Cette glande assure un rôle semblable à  celui d’un thermostat. Lorsqu’il fait chaud, elle envoie un message aux vaisseaux sanguins pour générer leur dilatation et que la peau transpire.

Cette réaction permet d’évacuer l’excédent de chaleur et maintenir la valeur constante de la température corporelle. Au contraire, quand il fait froid, l’hypothalamus engendre la contraction des muscles pour générer de la chaleur.

Pour ne pas que celle-ci se perde, la région cérébrale optimise également l’efficacité de la barrière épidermique (au niveau de la peau) en provoquant notamment la fameuse «chair de poule» avec les poils dressés et les frissons. Grâce à  ces stratagèmes, le corps ne souffre pas de la moindre variation des conditions météorologiques. 

Une température optimale pour le fonctionnement des cellules

Il convient en effet de préserver une température proche de 37,5°C, considérée optimale pour les fonctions métaboliques cellulaires. Elle permet aux réactions et cycles de se produire au sein des cellules à  la vitesse et l’intensité optimales.

Cette constante ne fluctue que dans certains cas: elle est généralement plus basse au réveil et plus haute en cas de fièvre. Avoir une température au-delà  de la moyenne est un signe que le système immunitaire travaille et se défend contre une infection. Selon les estimations, la température peut monter jusqu’à  43°C. Les cas au-delà  de cette limite sont relativement rares.

Le record de la plus haute température du corps humain documenté à  ce jour a été enregistré en 1980 sur un Américain nommé Willie Jones. Selon les archives, celui-ci serait arrivé à  46,5°C et aurait même survécu. La fièvre doit être source d’inquiétude lorsqu’elle est importante (plus de 38,5°C) ou prolongée (plus de trois jours). 

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Après les chats, les chiens ont désormais leur café


En France, il y a des bars à chat, mais maintenant un café est ouvert non pas avec des chats, mais avec des chiens. Parmi ses toutous certains pourront se faire adopter. C’est peut-être mieux avec des chiens, vu que les chats sont plus indépendants.
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Après les chats, les chiens ont désormais leur café

 

Après les chats, les chiens ont désormais leur café

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Depuis plusieurs années, les bars à chat fleurissent aux quatre coins du monde. Pour la première fois en France, le meilleur ennemi des félins domestiques aura aussi droit à son café, dans le Vieux Lille (Nord).

Réputés pour ne pas s’attacher aux êtres humains et procurer du bien-être grâce notamment aux fréquences de leur ronronnement, les chats sont devenus les coqueluches de plusieurs bars à Paris, Lyon ou encore Nantes. La fermeture récente du Café des Chats, dans le Marais, à Paris a abreuvé bon nombre de commentaires d’ailurophiles visiblement très déçus. La tendance porterait-elle désormais les chiens sur le devant de la scène?

Un café pour tous les amoureux de toutous doit ouvrir le 18 novembre, rue de la Barre, à Lille. Baptisée Waf, l’adresse doit consoler ceux en manque d’affection canine. Neuf spécimens se prêteront au jeu de cette nouvelle génération de lieux restaurateurs où l’on sirote un soda tout en prenant soin d’une boule de poil. Que les amis des animaux se rassurent, les chiens ne sont pas des attractions puisque trois chiens d’entre eux seront à adopter. Et bien sûr, les chiens extérieurs ne seront pas admis.

Chez Waf, les visiteurs boiront du thé ou du café, pas d’alcool, accompagné de pâtisseries. Pour passer à table, les consommateurs s’éloigneront de l’espace canin, pour des raisins d’hygiène.

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L’effet Trump ou comment l’élection présidentielle a changé le harcèlement chez les enfants américains


Un sondage chez les enseignants aux États-Unis pour voir l’impact de l’effet Trump au niveau de l’intolérance chez les enfants de la maternelle jusqu’au secondaire. Il semble que les résultats ne sont pas roses. Qu’il y aurait une augmentation d’intolérance,de racisme au niveau des écoles au pays américain.
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L’effet Trump ou comment l’élection présidentielle a changé le harcèlement chez les enfants américains

 

Le harcèlement est depuis longtemps un problème dans les écoles, mais quelque chose a changé chez les têtes blondes américaines, influencées par le discours haineux du candidat républicain à la présidentielle US, a constaté la semaine passée le magazine Rolling Stone dans un article évoquant le « Trump effect ».

© reuters.

« Sur 5.000 commentaires en retour, il y en avait 1.000 qui mentionnaient nommément Trump. Tous les autres candidats combinés -et c’était en mars, donc il y avait beaucoup d’autres candidats- obtenaient ensemble 167 commentaires au total. »

Maureen Costello, directrice du programme Teaching Tolerance du SPLC

« Trump est le candidat parfait pour un enfant de 12-13 ans; un mauvais comportement et répéter ce que Trump disait, ça semblait faire partie (du processus) de tester les limites. »

Maureen Costello

© reuters.

Un sondage mené auprès d’enseignants américains par l’organisation Southern Poverty Law Center (SPLC), qui combat la haine et l’intolérance, a établi une augmentation du harcèlement sectaire, particulièrement envers des groupes vulnérables tels que les immigrés, les musulmans et autres cibles du candidat républicain Donald Trump.

Phénomène national

Suite à une série d’événements lors de matches de basket ou de foot entre groupes distincts (notamment blancs et latinos), « nous avons rapidement élaboré un sondage. Pas scientifique. Nous avons posé seulement (quatre) questions (…) En outre, les professeurs pouvaient répondre ‘oui’ ou ‘non’ à (quatre) affirmations (…) Nous l’avons envoyé en mars, au moment des primaires, et il y avait encore une douzaine de candidats. En trois jours, nous avons eu 2.000 réponses. Et les gens ne cochaient pas seulement les ‘oui’ et les ‘non’. Nous avons eu plus de 5.000 commentaires », a expliqué Maureen Costello, directrice du programme Teaching Tolerance du SPLC, interrogée par Rolling Stone.

L’appellation « effet Trump » a été avancée « parce que sur ces 5.000 commentaires en retour, il y en avait 1.000 qui mentionnaient nommément Trump. Tous les autres candidats combinés -et c’était en mars, donc il y avait beaucoup d’autres candidats- obtenaient ensemble 167 commentaires au total.

Le phénomène était clairement dirigé par la campagne de Trump. Nous avons mis un nom sur quelque chose qui se passait à travers tout le pays », a-t-elle précisé plus loin dans l’interview.

De la maternelle au secondaire

« Les réactions négatives étaient réparties à travers les Etats », a noté la responsable, qui s’attendait à des différences régionales.

 « Les enseignants utilisaient des mots comme ‘terrifiés’, ‘briser le coeur’, ‘effrayés’. Et pas seulement pour les élèves, mais aussi leurs familles. Il n’y avait pas de modèle d’âge. Cela se passait de la maternelle au secondaire », a-t-elle développé.

 « Deux tiers des professeurs ont rapporté que leurs élèves immigrés étaient stressés. Les enfants entendaient des choses horribles comme ‘Je pense qu’on devrait tuer tous les musulmans’ (…) Et puis, il y a eu cette découverte étrange: les élèves afro-américains s’inquiétaient du fait qu’ils allaient être ‘renvoyés en Afrique’. D’abord, j’ai cru que c’était une donnée aberrante, puis je l’ai lu encore cinq fois », a relevé Mme Costello.

Tester les limites

« Il nous est apparu que le caractère du harcèlement changeait à partir de la rhétorique de l’élection. Il y avait beaucoup d’histoires d’un groupe d’enfants se liguant et scandant ‘Trump! Trump! Trump!’ ou ‘Faites un mur!’ ou ‘Expulsez-le!’ Et ce genre de comportement atteignait des sommets (à l’équivalent du) début du secondaire. Trump est le candidat parfait pour un enfant de 12-13 ans; un mauvais comportement et répéter ce que Trump disait, ça semblait faire partie (du processus) de tester les limites », a analysé la directrice du programme Teaching Tolerance, rappelant l’importance de donner des modèles positifs aux élèves et de leur renvoyer une image positive d’eux-mêmes.

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Régimes autoritaires, Otan, Moyen-Orient… les positions internationales inquiétantes


Comme plusieurs, ce matin, ce fut la déception du résultat des Élections Présidentielles aux États-Unis. Avec tout ce qu’il a dit sur ses positions internationales bien des choses pourront changer peut-être en pire. Par contre, il lui faut l’appui d’autres personnes qui pour arriver à ses fins, mais l’avenir pendant son mandat reste inconnu
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Régimes autoritaires, Otan, Moyen-Orient… les positions internationales inquiétantes de Donald Trump

 

Le HuffPost  |  Par Anthony Berthelier


L’élection surprise de Donald Trump a fait l’effet d’une bombe. Dans la nuit du mardi 8 au mercredi 9 novembre, le populiste républicain est devenu le 45e président des États-Unis, en disposant aisément de la candidate démocrate Hillary Clinton. Une victoire – inimaginable pour les médias et une partie de la population – qui inquiète sur le plan économique, social, environnemental mais aussi international.

Si le milliardaire a largement axé sa campagne sur les thèmes économiques et sécuritaires, il n’a pas manqué de faire plusieurs déclarations sur des dossiers internationaux brûlants. Des prises de positions souvent iconoclastes, et des liens controversés avec certains dirigeants de la planète qui, aujourd’hui, peuvent laisser craindre une détérioration de la – relative – stabilité mondiale.

La remise en cause de l’Otan

En avril 2016, le républicain avait qualifié l’Alliance atlantique « d’obsolète » et « dépassée ». Il avait clairement laissé entendre que l’engagement militaire des États-Unis aux côtés de ses alliés européens, pour répondre à une éventuelle agression russe contre ses voisins, dépendrait des moyens mis au pot commun par les Européens.

« Nous les protégeons, nous leur apportons une protection militaire et bien d’autres choses encore, et ils arnaquent les États-Unis. Et vous savez ce que nous faisons contre cela? Rien », avait-il lancé en meeting dans le Wisconsin.

Quelques mois plus tard, en juillet 2016, Donald Trump n’avait pas hésité à promettre le retrait des troupes américaines du Vieux continent si les États membres de l’Otan, comme les pays baltes, ne consacraient pas 2% de leur Produit intérieur brut pour la défense. Une remise en cause inédite de l’Alliance atlantique qui inquiète les Européens et ouvre la voie aux manoeuvres russes, selon le secrétaire général de l’Otan Jens Stoltenberg:

« Quiconque serait assis au Kremlin pourrait alors décider d’envahir les Etats baltes sans résistance. Cela rend le monde plus dangereux. »

Une certaine proximité avec les régimes autoritaires

Tout au long de la campagne, Donald Trump n’a cessé de louer les qualités du président russe Vladimir Poutine, affirmant d’ailleurs préférer le locataire du Kremlin à Barack Obama:

« Je pense que j’aurais une très bonne relation avec Poutine (…) Il a été un leader, beaucoup plus que notre président ne l’a été », lançait-il notamment en septembre 2016.

Le président-élu a depuis prévu de donner plus de latitude au Kremlin dans la guerre en Syrie, et de reconnaître l’annexion de la Crimée par la Russie. Des propos qui ont ulcéré Hillary Clinton, pointant une politique étrangère dangereuse qui isolerait les États-Unis sur la scène internationale.

Les démocrates se sont d’ailleurs régulièrement émus de l’ingérence directe et indirecte de la Russie dans la campagne américaine.

« Jamais dans l’histoire de notre pays nous sommes nous retrouvés dans une situation où un adversaire, un pouvoir étranger, fait tant d’efforts pour influencer le résultat de ces élections », accusait la démocrate alors que Vladimir Poutine avait soutenu implicitement le candidat républicain.

Plus largement, Donald Trump a toujours avoué sa préférence pour les régimes autoritaires. Le républicain a non seulement faire part de son admiration pour le leader nord coréen Kim Jong Un, mais il a suggéré une remise en question de l’engagement américain à défendre le Japon et la Corée du Sud. Incitant les deux pays – alliés de toujours des États Unis – de se doter de l’arme atomique.

Les accords sur le climat

Donald Trump est également climatosceptique. Une autre source d’inquiétude pour la communauté internationale. En mai 2016, le républicain parlait du réchauffement climatique comme d’un « canular », avant de promettre « d’annuler », une fois élu la ratification par les Etats-Unis de l’accord de Paris, entré en vigueur le 4 novembre.

Alors que l’accord sur le climat demande aux nations de se détourner des énergies polluantes et fossiles, Donald Trump a promis de relancer des projets d’oléoduc, de maintenir les centrales au charbon et de réduire les aides financières américaines aux politiques climatiques internationales, comme le soulève La Croix.

Des promesses qui effrayent la communauté internationale réunie en ce moment même à Marrakech au Maroc pour la COP22.

Cependant, Malgré les déclarations de Donald Trump, l’Onu assurait avoir « hâte de collaborer avec son administration, afin de faire avancer l’agenda climatique pour le bénéfice des peuples du monde » par la voix de Patricia Espinosa, la responsable climat à l’Organisation.

Des relations tendues avec l’Europe

L’Allemagne? « Infectée par le terrorisme ». La Belgique? « Un trou à rats ». La France? « Ce n’est plus la France ». On ne peut pas dire que durant sa campagne, Donald Trump se soit employé à entretenir de bonnes relations avec les pays européens. S’appuyant sur la vague d’attentats qui a secoué le continent, le républicain n’a cessé d’attaquer les nations européennes sur leur prétendu laxisme et sur leur politique migratoire.

Interview après interview, le milliardaire a dépeint une situation apocalyptique en Europe.

 Déclarant notamment que « la France n’est plus ce qu’elle était, et Paris non plus. Il y a des quartiers dont on a l’impression qu’ils sont devenus hors la loi, qu’ils sont, comme certains de vos essayistes l’ont écrit, des territoires perdus de la République. »

De quoi irriter les dirigeants du continent qui souhaitaient l’élection d’Hillary Clinton. Partagé entre « surprise » et « déception », le président du Parlement européen Martin Schulz a appelé à travailler avec le républicain:

« Ce sera difficile, ce sera plus dur qu’avec les administrations précédentes, mais il est le président librement élu. On va travailler avec lui comme avec tous les autres présidents. »

Ses positions ambiguës sur le Moyen-Orient

« Si vous regardez le Moyen-Orient, c’est le chaos total », avait jugé le candidat républicain lors de la campagne, en qualifiant de « désastre » la politique de l’administration Obama.

« Il est impossible de savoir ce que Donald Trump fera lorsqu’il prendra ses fonctions et quelles seront ses positions sur les Palestiniens ou les dossiers iranien et syrien », soulignait mercredi le quotidien israélien Haaretz, pour lequel « Trump est un voyage dans l’inconnu ».

Il faut dire que depuis le début de la campagne, le républicain n’a pas acté de position précise sur les dossiers brûlants du moyen-orient.

Seules certitudes, « The Donald » veut s’associer à la Russie de Poutine et la Syrie de Bachar-al-Assad pour « exterminer Daech ». D’ailleurs l’élection du républicain a été accueillie à Damas comme « une bonne surprise. » Le président-élu veut également « déchirer » l’accord sur le nucléaire conclu en juillet 2015 entre l’Iran et six grandes puissances.

Considéré comme une avancée majeure dans un dossier qui empoisonnait les relations internationales depuis plus de 12 ans, cet accord entré en application en janvier a vu l’Iran s’engager à limiter son programme nucléaire en échange d’une levée progressive des sanctions internationales.

Le mur à la frontière mexicaine

Promesse emblématique de sa campagne, Donald Trump veut ériger un mur entre le Mexique et les Etats-Unis. Le tout financé par l’État d’Amérique centrale. Le républicain souhaite également renégocier l’accord de libre échange nord-américain (Alena), trop favorable à ses yeux au voisin du sud.

Un nouveau coup de canif dans la relation entre les deux pays, pourtant « amis, partenaires et alliés » depuis des nombreuses années. L’annonce de la victoire du milliardaire a d’ailleurs provoqué un vent de panique et de colère au Mexique.

Le candidat républicain avait qualifié les Mexicains, durant sa campagne, de violeurs et de trafiquants de drogue, provoquant le mécontentement d’une partie de la population qui avait brûlé ses effigies durant la Semaine sainte.

 

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On sait maintenant pourquoi les écrans sont mauvais pour la santé


La lumière artificielle, les écrans d’ordinateur, de tablette, téléphone jouent des tours à notre horloge interne et qui peut occasionner des troubles de santé
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On sait maintenant pourquoi les écrans sont mauvais pour la santé

 

 ArtPrize / wsilver via Flickr CC Licence By

ArtPrize / wsilver via Flickr CC Licence By

Repéré par Myriam Lebret

«Nous avons besoin d’obscurité.»

Un grand nombre d’études ont fait le lien entre l’exposition à la lumière artificielle et des perturbations du rythme circadien, notre horloge interne. Ces dérèglements empirent avec l’utilisation d’écrans à LED et de lampes fluocompactes et ont été reliés à des problèmes de santé. On sait maintenant pourquoi, souligne Wired.

Dans un article scientifique du 16 mars, Richard Stevens, cancérologue à l’université du Connecticut, souligne que l’exposition à la lumière dans la nuit est reliée à l’augmentation du cancer du sein, de l’obésité et de la dépression. En 1996, il évoquait déjà les dangers de la lumière artificielle. Depuis, l’utilisation de lumière la nuit a encore augmenté. Wired rappelle que 95% des Américains utilisent régulièrement des écrans avant de se coucher.

Le système circadien synchronise les fonctions physiologiques (digestion, température du corps, activité du système immunitaire…) avec un cycle d’environ 24 heures, rythmé par le jour et la nuit. Mais c’est seulement durant ces 10 dernières années que les scientifiques ont découvert ce qui déclenchait le rythme circadien chez les mammifères. Il s’agit de cellules spécifiques de la rétine qui signalent la présence ou l’absence de lumière.

Ces cellules rétiniennes sont sensibles aux longueurs d’ondes bleues, qui correspondent au ciel de jour mais aussi aux lumières artificielles des LED et des lampes à économie d’énergie. Le système circadien croit alors qu’il fait jour, ce qui dérègle la production d’hormones.

Mais les perturbations du rythme circadien sont aussi liées au sommeil. En 2009, des volontaires ont vécu selon un cycle de 28 heures. Les scientifiques ont ensuite remarqué une altération de l’horloge circadienne et donc des fonctions physiologiques des participants. Pour Richard Stevens, une part de ce que l’on attribue aux problèmes de sommeil est une question de lumière:

«On peut se réveiller au milieu de la nuit sans que notre niveau de mélatonine ne change. Mais si on allume la lumière, la mélatonine chute. Nous avons besoin d’obscurité.»

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Dix personnes toxiques à éviter à tout prix


Reconnaitre les personnes toxiques qui vous empêchent d’avancer, qui nous paralysent dans notre cheminement est important pour éviter de tomber dans leur jeu et si possible les éviter
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Dix personnes toxiques à éviter à tout prix

 

Dr. Travis Bradberry

Auteur du best-seller Emotional Intelligence 2.0 et président de TalentSmart, premier fournisseur mondial d’intelligence émotionnelle

Les personnes toxiques défient toute logique. Certaines ne se rendent pas du tout compte de l’impact négatif qu’elles ont sur les gens qui les entourent, et d’autres ont l’air de trouver du plaisir à semer le chaos et à nous pousser à bout.

Il est important d’apprendre à gérer les différents types de personnes toxiques, mais souvenez-vous qu’elles ne valent pas la peine de perdre du temps et de l’énergie – et Dieu sait si elles en prennent. Les personnes toxiques sont source de difficulté, de conflit, et, pire que tout, de stress.

« Les gens vous inspirent ou vous aspirent… Choisissez-les bien ! «  – Hans F. Hansen

La capacité à gérer nos émotions et à rester calme sous la pression a un lien direct avec nos performances. TalentSmart a fait une étude sur plus d’un million de personnes et a constaté que 90% des personnes les plus performantes savaient bien gérer leurs émotions en période de stress ; elles gardent leur calme et maîtrisent la situation. Leur plus grand don, c’est leur capacité à utiliser l’intelligence émotionnelle pour identifier les personnes toxiques et les maintenir à l’écart.

On dit souvent que l’on est le produit des cinq personnes avec qui l’on passe le plus de temps. Si l’une de ces cinq personnes est toxique, vous découvrirez tôt ou tard à quel point cette personne vous empêche d’avancer.

Vous ne pouvez pas espérer prendre vos distances avec les personnes toxiques avant de les avoir identifiées. Le plus difficile, c’est de faire la part entre ceux qui sont juste embêtants ou compliqués de ceux qui sont vraiment toxiques. Voici les dix types de personnes toxiques qu’il faut éviter à tout prix pour ne pas devenir soi-même toxique.

1. La commère

Les commères trouvent leur bonheur dans le malheur des autres. C’est sans doute amusant de chercher le moindre défaut dans la vie personnelle ou professionnelle de quelqu’un, au début, mais avec le temps, cela devient fatigant, on commence à se sentir irrespectueux et méchant. Il y a trop de choses positives dans la vie et tellement à apprendre des personnes intéressantes pour perdre son temps à parler du malheur des autres.

2. Le caractériel

Certaines personnes ne maîtrisent absolument pas leurs émotions. Elles s’en prennent à vous et projettent leurs émotions sur vous, tout en pensant que c’est vous qui êtes responsable de leur mal-être.

Les personnes caractérielles sont difficiles à repousser parce que leur manque de contrôle vous fait culpabiliser. Quand la situation se complique, les personnes caractérielles déversent leurs émotions sur vous ; il faut absolument les éviter.

3. La victime

Les victimes sont difficiles à identifier parce qu’on commence toujours par avoir de la compassion pour elles. Mais plus le temps passe, et plus l’on comprend qu’elles ont besoin de nous tout le temps. Les victimes refusent toute responsabilité en faisant du moindre obstacle une montagne impossible à franchir. Elles ne pensent pas que les périodes difficiles sont des occasions d’apprendre et d’évoluer. Un vieux dicton dit :

« La douleur est inévitable mais souffrir est optionnel. »

Cela illustre tout à fait le côté toxique de la victime, qui choisit de souffrir tout le temps.

4. L’égocentrique

Les personnes égocentriques vous dépriment parce qu’elles sont distantes et froides. On se rend rapidement compte que l’on sort avec des personnes égocentriques : elles nous font nous sentir terriblement seul. Cela s’explique parce qu’elles n’ont aucun intérêt à entretenir un vrai lien avec quiconque. Nous ne sommes qu’un outil destiné à accroître leur estime d’elles-mêmes.

5. Le jaloux

Chez les personnes jalouses, l’herbe est toujours plus verte ailleurs. Même quand il leur arrive quelque chose de bien, elles n’en tirent aucun plaisir. C’est parce qu’elles comparent leur bonheur à celui du monde au lieu de simplement trouver une satisfaction dans ce qui leur arrive. Et, soyons honnête, il y aura toujours quelqu’un qui réussit mieux, quelque part. Passer du temps avec des personnes jalouses est dangereux parce qu’elles vous apprennent à dévaloriser vos propres réussites.

6. Le manipulateur

Les manipulateurs pompent tout votre temps et votre énergie sous la façade de l’amitié. Ils ne sont pas toujours faciles à gérer, parce qu’ils vous traitent en ami. Ils savent ce que vous aimez, ce qui vous rend heureux et ce qui vous fait rire, mais le problème, c’est qu’ils utilisent ces informations. Ils ne font rien sans arrière-pensée. Les manipulateurs cherchent toujours à obtenir quelque chose de vous, et si vous prenez du recul sur votre relation avec eux, ils ne font que prendre, prendre, prendre, sans jamais donner en retour, ou très peu. Ils font tout pour vous convaincre afin de mieux vous détruire.

7. Le Détraqueur

Dans la saga « Harry Potter » de J.K. Rowling, les Détraqueurs sont des créatures maléfiques qui aspirent l’âme du corps et laissent les gens dans un état inhumain. Quand un Détraqueur entre dans une pièce, tout devient sombre, il se met à faire froid et les gens se souviennent de leurs pires souvenirs. Rowling explique qu’elle a développé le concept des Détraqueurs à partir de personnes très nocives – le genre de personnes qui ont la capacité d’arriver dans une pièce et d’aspirer toute la vie.

Les Détraqueurs aspirent la vie en imposant leur négativité et leur pessimisme à toutes les personnes qu’ils rencontrent. Ils voient toujours le verre à moitié vide, et ils arrivent à instiller la peur dans n’importe quelle situation. Une étude de l’université Notre-Dame montre que les étudiants qui partagent leur chambre avec des colocataires pessimistes ont beaucoup plus tendance à développer des pensées négatives et même à déprimer.

8. Le pervers

Certaines personnes toxiques ont de mauvaises intentions ; elles trouvent du plaisir dans la souffrance et le malheur des autres. Elles sont là soit pour vous faire du mal, soit pour vous faire sentir mal, soit pour obtenir quelque chose de vous ; sinon, elles n’ont aucun intérêt à vous cotoyer. Le seul point positif avec ce genre de personnes, c’est que l’on peut comprendre leurs intentions assez rapidement, ce qui permet de s’en débarrasser plus facilement.

9. Les critiques

Les personnes critiques vous disent rapidement ce qui est bien et ce qui n’est pas bien. Elles sont très fortes pour trouver la chose qui vous passionne et vous la faire dénigrer. Au lieu d’apprendre des gens qui sont différents d’eux, les personnes critiques méprisent les autres. Elles étouffent vos passions et vos désirs d’expression, alors mieux vaut s’en éloigner et être vous-même.

10. L’arrogant

Les personnes arrogantes sont une perte de temps parce qu’elles prennent tout ce que vous faites pour un défi personnel. L’arrogance, c’est de la fausse confiance en soi : cela masque toujours une grande part de doute. Une étude de l’université d’Akron montre que les personnes arrogantes ont souvent des tas de problèmes au travail. Elles sont moins efficaces, plus désagréables et ont plus de problèmes cognitifs que la moyenne.

Comment se protéger une fois qu’on les a repérées

Les personnes toxiques nous rendent folles parce que leur comportement est irrationnel. Ne vous méprenez pas : leur comportement défie toute logique, donc pourquoi essayer de leur répondre et de se prendre à leur jeu ?

Plus une personne est irrationnelle, plus il devrait être facile d’éviter leurs pièges. N’essayez plus de les battre à leur propre jeu. Prenez vos distances et envisagez vos interactions avec eux comme des expériences scientifiques (ou alors, vous êtes leur psy, si vous préférez cette comparaison). Vous n’avez pas à réagir au chaos émotionnel – juste aux faits.

Garder ses distances nécessite d’être vigilant. Vous ne pouvez pas empêcher quelqu’un de vous pousser à bout si vous ne reconnaissez pas les faits quand ils se produisent. Parfois, vous vous retrouvez dans des situations où vous devez vous ressaisir pour choisir le meilleur moyen de vous en sortir. Pas de panique, vous avez le droit de prendre le temps pour le faire.

La plupart des gens pensent que, comme ils vivent ou travaillent avec quelqu’un, ils n’ont aucun moyen de contrôler ce chaos. C’est tout à fait le contraire. Une fois que la personne toxique est identifiée, son comportement devient prévisible et plus facile à comprendre. Cela vous permet de réfléchir de manière rationnelle pour savoir quand vous devez les supporter et quand vous n’avez pas à le faire. Vous pouvez poser des limites, mais il faut le faire consciemment et activement. Si vous laissez faire, vous allez vous retrouver dans des situations compliquées. Si vous posez des limites et que vous décidez quand et où gérer une personne compliquée, vous pouvez gérer le chaos. Le plus difficile reste de camper sur vos positions et de garder vos limites quand la personne essaie de les dépasser, ce qu’elle fait toujours.

 

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