Une bonne nouvelle


Une bonne nouvelle

 

 

Aujourd’hui, nous avons été à St-Hippolyte pour aller voir la famille de mon fils Alexandre et souligner les 1 an de Évan et les 2 ans de Thalie. Bientôt la famille s’agrandira en décembre par un autre garçon, ils auront donc, 2 filles et 2 garçons

Puis mon bébé et sa femme ont annoncé officiellement  (moi, je le sais depuis fin juillet) qu’ils attendent leur premier bébé prévu le 1 er avril. Donc, si nous faisons le compte avec les deux filles de ma fille, cela me fera 7 petits enfants …

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"Anti-Nobel": des rats en pantalon et un homme-chèvre dans la cuvée 2016


Beaucoup connaissent les prix Nobel, c’est le tour du prix Ig Nobel qui sont des recherches souvent inutiles, mais qui peut-être font réfléchir, quoiqu’il a déjà eu des recherches futiles qui ont pu s’avérer utile plus tard … Qui sait vraiment ?
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« Anti-Nobel »: des rats en pantalon et un homme-chèvre dans la cuvée 2016

 

La sexualité d’un rat est-elle affectée par son pantalon? Un homme peut-il vivre comme une chèvre? Les pierres ont-elles une personnalité? Voilà quelques-uns des sujets de recherche récompensés jeudi à Harvard par les iconoclastes « Anti-Nobel ».

Chaque année, le comité des « Ig Nobel Prizes » (prononcer Higuenobel) distribue des prix à des équipes de chercheurs pour des travaux « qui font rire, puis réfléchir« , selon la formule consacrée de l’événement.

Lors de la 26ème cérémonie du genre, organisée à Cambridge (nord-est des Etats-Unis), sur le campus de la prestigieuse université de Harvard, le prix de reproduction est allé à un chercheur de l’université du Caire, Ahmed Shafik, pour ses travaux sur la sexualité des rats en pantalon.

L’étude, dont la publication remonte à 1993, avait conclu qu’un rat portant un pantalon contenant du polyester était moins actif sexuellement que ceux faits uniquement de laine ou de coton. Le chercheur est décédé en 2007.

Parmi les dix lauréats, a également été récompensé, dans la catégorie biologie, le Britannique Thomas Thwaites, qui a passé trois jours dans la peau d’une chèvre.

Vainqueur du prix de biologie, ce designer de formation avait obtenu une bourse du Wellcome Trust, un fonds de recherche en biologie, pour financer son projet.

Il a fabriqué des prothèses lui permettant de marcher longtemps à quatre pattes, avec des mouvements comparables à ceux d’une chèvre, y compris en pente car il a réalisé son expérience dans les alpes suisses.

Il a également mangé de l’herbe, cuite à la cocotte-minute, lors des trois jours qu’a duré son expérience.

Thomas Thwaites a partagé son prix avec un autre homme devenu animal, le Britannique Charles Foster, qui a essayé d’imiter le style de vie d’un blaireau, d’un renard, d’un cerf, d’une loutre et d’un oiseau.

Les deux hommes se sont vus octroyer, comme tous les lauréats présents, un trophée en forme de grande horloge ainsi qu’un billet de dix mille milliards de dollars zimbabwéens, d’une valeur inférieure à un centime d’euro.

Comme chaque année, les récompenses ont été remises par de vrais lauréats du prix Nobel, au nombre de quatre jeudi.

Dans la catégorie économie, l' »anti-Nobel » a été attribué à une équipe de trois chercheurs, deux Néo-Zélandais et un Britannique qui se sont intéressés à la personnalité des pierres.

Ils ont ainsi cherché à appliquer à des morceaux de roche le concept marketing de personnalité des marques, qui consiste à attribuer à des marques des traits de la personnalité humaine.

L’étude a montré que des personnes mises en contact avec les pierres pouvaient leur attribuer des caractéristiques de la personnalité humaine.

Les chercheurs en ont conclu que le concept de personnalité des marques devait être appréhendé avec beaucoup de prudence.

Lors de la cérémonie agrémentée par des lancers d’avions en papier ou par un mini-opéra sur la création d’une seconde, le comité a aussi décerné le prix de chimie à Volkswagen.

En l’absence d’un représentant, le constructeur automobile allemand a été récompensé pour avoir « résolu le problème des émissions polluantes excessives des automobiles en produisant (…) moins d’émissions à chaque fois que leurs voitures étaient testées ».

http://www.lepoint.fr/

Les algues, est-ce si bon que ça?


Il y a souvent engouement pour des aliments prétextant qu’ils ont des super propriétés. Ce qui peut-être vrai, mais c’est la quantité ingérée qui peut porter à confusion. De toute manière, cela permet une variété dans l’assiette
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Les algues, est-ce si bon que ça?

 

 

Le Huffington Post Québec  |  Par Catherine Lefebvre

 

On dit des algues qu’elles sont une excellente source végétale de protéine, gorgées de vitamines et minéraux et nettement plus riches en calcium que le lait. Pourtant, quand on fouille un peu, il faudrait en manger bien plus que quelques feuilles de nori autour de nos sushis pour profiter de ses atouts nutritionnels.

On se calme!

Premièrement, il faut arrêter d’évaluer la teneur en protéines des aliments sous forme de pourcentage. Cela fonctionne bien avec la viande, puisque 100 g de viande cuite est une portion de consommation plutôt normale. Mais en ce qui a trait aux algues et à plusieurs autres végétaux, cela équivaut souvent à des portions bien au-delà de ce que nous avons l’habitude de manger. Selon le fichier canadien sur les éléments nutritifs de Santé Canada, les algues contiennent grosso modo 35% de protéines. Sous cet angle, ça ressemble au bœuf. Par contre, 100 g d’algues séchées équivaut à 1,5 L. Ça fait beaucoup d’algues à manger d’un coup pour faire le plein de protéines. Alors que dans une tasse de varech (kelp en anglais) crue, comme les salades d’algues dans les restaurants de sushis, il y a à peine 1,5 g de protéines. Il n’y a pas de quoi troquer vos légumineuses pour de la laitue marine. Le scénario est semblable du côté des vitamines et minéraux. Certes, 100 g d’algues séchées contient environ 400 mg de calcium. C’est légèrement plus élevé que dans un verre de lait. Encore une fois, il faudrait se gaver d’algues pour obtenir le même apport en calcium qu’en buvant un simple verre de lait.

Les réels avantages nutritionnels des algues proviennent surtout de leur teneur en iode, en folates et en fer.

L’impact environnemental

Comme les arbres, les plantes et les fleurs qui nous entourent, les algues contribuent énormément au maintien de l’écosystème marin. Mais contrairement aux végétaux poussant sur terre, les algues n’ont évidemment pas besoin d’être arrosées et elles poussent amplement sans fertilisant. De plus, elles n’occupent pas d’espace sur les terres agricoles qui se font de plus en plus rares dans plusieurs endroits dans le monde.

De plus, les algues absorbent non seulement l’azote, mais aussi le CO2 de manière plus efficace que les arbres. Si bien que Dana Goodyear du magazine américain The New Yorker décrit le varech comme l’équivalent alimentaire des voitures électriques. Or, dans un contexte où la plupart des techniques de pêche et d’agriculture vont pratiquement contre nature, la production d’algues pour la consommation humaine prend tout son sens.

En somme, la leçon à retenir est que les algues sont un légume marin fort intéressant d’un point de vue d’agriculture durable. Et comme tous bons légumes, elles sont plus que les bienvenues dans notre assiette. Mais, il ne faudrait tout de même pas s’attendre à ce qu’elles comblent tous vos besoins nutritionnels en une seule bouchée.

http://quebec.huffingtonpost.ca/