Pourquoi c’est si compliqué de prendre notre vie, notre bien-être, de bonnes habitudes en main ?
Nuage
Urgence
On dit qu’il faut prendre son mal en patience. Et si l’on prenait notre bien en urgence ?
Ludovic Soliman
Pourquoi c’est si compliqué de prendre notre vie, notre bien-être, de bonnes habitudes en main ?
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Urgence
On dit qu’il faut prendre son mal en patience. Et si l’on prenait notre bien en urgence ?
Ludovic Soliman
Pauvres spectateurs qui n’ont pas eu un spectacle sanglant dans une corrida en Espagne. Le matador sanguinaire n’a même pas eu le temps de combattre les deux bêtes. Les deux taureaux sont entré en collision, un face-à-face qui les as tué sur le coup. Un animal ne devrait jamais être tué pour amuser les hommes, ni pour le plaisir de tuer
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Comment vous décongelez vous aliments ? Certains vont le sortir un jour au moins à l’avance alors que d’autres utiliseront les micro-ondes. Alors que pour garder le goût mieux vaut utiliser l’eau et cela ne prend pas vraiment beaucoup de temps
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© thinkstock.
Selon des scientifiques, notre manière de décongeler nos aliments ne serait pas la meilleure.
Pour décongeler notre nourriture, les plus prévoyants d’entre nous sortent l’aliment du surgélateur et le font décongeler au frigo durant la journée. La solution d’urgence consiste à utiliser le micro ondes.
Selon des scientifiques, ces techniques ne seraient pas optimales pour la nourriture. Une info relayée par le site britannique Metro.
Susanne Ekstedt, une chercheuse suédoise explique que la meilleure manière de décongeler des aliments est de les mettre dans l’eau.
Après avoir emballé hermétiquement la nourriture dans du plastique, il suffit de la plonger dans un récipient d’eau tempérée, afin de préserver le goût de l’aliment.
« C’est quelque chose que les scientifiques savent depuis longtemps. Mais en général, cette technique est surtout utilisée par l’industrie alimentaire. De nombreuses personnes ne le savent pas », explique la scientifique.
« Il est vrai que la viande et la nourriture se conservent mieux au frigo s’ils décongèlent mais c’est vraiment meilleur de faire décongeler rapidement dans de l’eau si vous souhaitez consommer cet aliment rapidement », confirme Bjørg Egelandsdal, un professeur norvégien
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Il y a seulement deux entreprises qui sont brevetées pour faire des tests d’ADN chez le chien, dont une de ces entreprises est au Canada. Ces tests permettent de satisfaire la curiosité de certains propriétaires, aux éleveurs d’éviter certaines tares et aussi à distinguer mieux des chiens qui sont malheureusement interdits dans certaines villes
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STÉPHANIE VALLET
La Presse
En 2005, le génome complet du chien a été mis en lumière par des scientifiques grâce à l’étude d’une femelle boxer répondant au nom de Tasha. Alors que cette avancée est surtout un atout pour la recherche médicale humaine, au cours des dernières années, les tests ADN sur les chiens se sont popularisés, que ce soit en vue de prévenir des maladies génétiques par les éleveurs ou tout simplement pour connaître l’arbre généalogique de son animal.
Issu de croisements par l’homme ayant mené à 400 races différentes, le chien descend du loup gris d’Asie et il aurait été domestiqué il y a au moins 15 000 ans. Aujourd’hui, les tests ADN permettent de connaître toutes les races dont est issu votre chien et ainsi de mieux comprendre ses antécédents génétiques, y compris l’histoire de sa race, ses traits de personnalité et certaines maladies.
Située à Toronto, DNA My Dog est l’une des deux seules entreprises au monde à posséder le brevet du test permettant d’analyser l’ADN de votre chien afin d’en déterminer l’arbre généalogique à partir d’un simple échantillon de salive envoyé par la poste. Sa présidente Mindy Tenenbaum a mis sur pied cette entreprise en 2008 alors qu’elle travaillait avec des refuges.
«On identifiait la race des chiens de refuges pour les aider à être adoptés. Ça fonctionnait bien et on a décidé d’acheter le laboratoire pour faire les tests nous-mêmes», se souvient-elle.
Aujourd’hui, la majorité des clients de DNA My Dog font appel à ses services par simple curiosité.
«Le chien fait partie de la famille et on veut en savoir plus sur ses origines. C’est aussi intéressant pour des raisons d’éducation et de formation d’en savoir plus sur la race», lance Mindy Tenenbaum.
Au Québec, il vous en coûtera 72,42 $ pour recevoir les résultats du test en environ deux semaines grâce à un certificat sur lequel apparaîtra le pourcentage de races reconnues par les clubs canins internationaux présent dans l’ADN de votre compagnon à quatre pattes.
«Le niveau 1 indique si le chien est issu d’une race en particulier à 75 %. Un animal dit « mélangé » n’a habituellement pas de niveau 1 dans ses résultats. Au niveau 2, on retrouvera la race qui le compose de 37 à 74 %. Au niveau 3, de 20 à 36 %, au 4, de 10 à 20 % et enfin au niveau 5, celle qu’on retrouve à 9 % et moins.»
Si les résultats sont fiables à 99,97 %, il est nécessaire de bien suivre la procédure au moment de recueillir l’échantillon de salive qui sera envoyé pour être testé.
«Il ne faut pas nourrir son chien une heure avant de prendre l’échantillon. Il ne doit pas non plus avoir de contact avec un autre animal pendant cette période pour un résultat optimal. Vous devrez ainsi prélever deux échantillons pris en grattant l’intérieur de la joue du chien, puis laisser sécher», explique Mme Tenenbaum.
Au Québec, il vous en coûtera 72,42 $ pour recevoir les résultats du test en environ deux semaines grâce à un certificat sur lequel apparaîtra le pourcentage de races reconnues par les clubs canins internationaux présent dans l’ADN de votre compagnon à quatre pattes.
PHOTO FOURNIE PAR DNA MY DOG
Les pitbulls
Alors que le débat fait rage au Québec concernant l’interdiction des pitbulls, DNA My Dog reçoit plus que jamais des demandes d’identification par ADN de ce type de chiens.
«On travaille avec de nombreux refuges de pitbulls. Il est impossible d’identifier visuellement avec certitude ce type de chien», lance Mindy Tenenbaum.
Le pitbull n’est pas officiellement reconnu comme une race de chiens à part entière par les clubs canins, mais comporte néanmoins des caractéristiques génétiques récurrentes qui permettent de l’identifier clairement grâce à ce type de test ADN.
«Un chien de type pitbull doit être constitué d’un American Staffordshire terrier, d’un Staffordshire bull terrier ou de ces deux races. La plupart du temps, il est mélangé avec les races suivantes: boxer, bouledogue, Boston terrier et bull terrier.»
«On travaille avec des centaines de refuges pour savoir si les chiens sont des pitbulls pour les envoyer dans la bonne ville ou trouver la bonne famille», ajoute-t-elle.
Selon elle, n’importe quel chien croisé avec un boxer peut ainsi ressembler à un pitbull sans que ce soit forcément le cas.
Prévenir les maladies
Plus de 300 maladies d’origine génétique ont été repérées chez le chien. Au Québec comme à travers le Canada, des entreprises se spécialisent dans la réalisation de tests ADN visant à la prévention de ces maladies.
«Certains éleveurs font systématiquement tester leurs géniteurs et leurs portées pour éliminer certaines tares», explique David W. Silversides, du laboratoire de la faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal à Saint-Hyacinthe.
Ces tests permettent également de donner l’identité du mâle reproducteur en cas de doute afin que l’éleveur puisse produire des papiers d’identification officiels pour ses chiens.
Un jour, le soleil ne sera plus cet astre lumineux, mais une boule destructrice qui détruira la terre, mais nous aurons probablement disparu bien avant la chaleur intense qui enveloppera la planète bleue. Enfin, s’il n’y a pas un autre désastre qui nous arrivent avant
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Soyez rassurés: ce phénomène n’arrivera pas avant 5.000 millions d’années. © photo news.
Il ne reste plus « que » 5.000 millions d’années avant que la Terre ne soit totalement dévorée par le Soleil, indique un astrophysicien dans Business Insider.
Ce sont les conclusions tirées par Jillian Scudder, un astrophysicien de l’Université de Sussex.
Selon ses prévisions, « la Terre sera détruite par le Soleil plus tôt que prévu », comme on peut le lire dans Business Insider.
Mais soyez rassurés: ce phénomène n’arrivera pas avant 5.000 millions d’années et sera accompagné par une augmentation de température de 10% chaque 1.000 millions d’années.
« L’énergie émise par le soleil augmentera progressivement au fur et à mesure que l’étoile brûlera ses réserves d’hydrogène. C’est un processus naturel qui se produit dans toutes les étoiles depuis des milliards d’années. Les réactions nucléaires transformeront l’hydrogène en hélium, ce qui accélèrera à son tour le processus en émettant plus d’énergie », détaille Jillian Scudder.
Gaz à effet de serre
Il ajoute: « L’idée générale est que l’excès de chaleur du soleil provoquera plus d’eau et elle s’évaporera dans l’atmosphère. Elle agira en tant que gaz à effet de serre. Bien avant que le soleil n’épuise toutes ses réserves d’hydrogène, son rayonnement sera si intense que les molécules d’eau séparées dans l’hydrogène et de l’oxygène s’échapperont dans l’atmosphère. Le jour arrivera où le processus videra complètement l’eau de la planète. »
Dans 3.500 millions d’années, la radiation solaire sera 40% plus intense, ce qui sera déjà suffisant pour faire bouillir les océans. Il est peu probable que nous puissions rester si longtemps en vie pour admirer le spectacle.
Un bar à chat, j’aurais tendance à penser que c’est chouette, mais vue comme l’auteur, je ne suis plus aussi sur. Il faudrait une autre manière de procéder, être plus encadré, entre autres, les chats puissent se retirer librement sans être vus, ni touché par les clients. Par contre, je suis totalement contre, les bars aux animaux sauvages, ou des lapins.
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Au «Café des chats», à Paris, le 16 septembre 2013 FRANCOIS GUILLOT / AFP
Repéré par Camille Malnory
Alors que les bars à animaux commencent à pulluler dans plusieurs grandes villes du monde, plusieurs associations tirent la sonnette d’alarme: ce n’est pas un environnement pour eux.
La première fois que j’ai entendu parlé des bars à chat au Japon, je me suis dit que l’idée était franchement toute japonaise: caresser des chats en buvant un café tout en discutant avec des amis, jamais l’idée ne se démocratiserait ailleurs. J’avais tort. Il existe désormais des bars à chat un peu partout: à Londres, à Paris ou encore à Toulouse, Nice et Rennes. Je n’ai jamais été dans ce genre d’endroit mais après tout pourquoi pas, même si une pensée me turlupine. Si nous, humains, brûlons d’envie de caresser des chats, est-ce-qu’on a demandé leur avis à ces pauvres bêtes obligées de subir les calins toute la journée?
La BBC a rendu visite à Lauren Pears, la fondatrice d’un bar à chat à Londres. Elle assure que ses résidents –qui viennent tous de refuges– sont bien traités et que leur rythme de vie est respecté: interdiction de prendre des photos avec flash ou de réveiller les animaux endormis.
«Nous avons une méthode qui permet de vérifier l’activité de nos chats toutes les quatre heures. Nous gardons une trace de leurs mouvements, s’ils ont des interractions avec les gens ou d’autres chats, quand ils boivent ou d’autres choses de ce genre. Nous connaissons leur personnalité et nous saurions si l’un d’entre eux n’était pas heureux dans cet environnement», explique-t-elle.
Ce type de bars n’en finit pas de faire des émules. Rien qu’au Royaume-Uni, où il en existe déjà huit, trois autres doivent ouvrir d’ici la fin 2016, en attendant six de plus en 2017. La France suit et tout le monde n’est pas ravi de ce succès. Au Royaume-Uni, plusieurs associations de défenses se déchaînent contre le concept.
«Les bars à chats ne sont pas un environnement convenable pour les chats, parce qu’ils sont confinés dans un espace avec des gens qui changent sans arrêt. Il leur faut un environnement stable», explique Nicky Trevorrow, de l’association Cats Protection.
D’autant qu’il n’existe aucune réglementation sur l’espace attribué à chaque chat, qu’ils ne sortent jamais, et que se faire papouiller et pourchasser par des enfants (qui sont acceptés dans certains bars) est une grande source de stress. Dans beaucoup d’établissements comme celui de Lauren Pears, les animaux qui semblent soumis à trop de stress sont retirés du café et mis dans des espaces plus calmes, mais cela ne semble pas rassurer les associations.
Montrer sa personnalité
Certains bars à chats, comme le Kitty Cafe, sont même devenus des centre d’adoption.
«Le café permet aux chats d’interagir avec les autres et de montrer leur personnalité, ce qu’ils ne peuvent pas faire en cage. Trop de chats sont négligés dans les refuges parce qu’ils ne sont pas beaux», explique sa propriétaire Kate Charles-Richard, qui veut d’ailleurs ouvrir une franchise dans tous le Royaume-Uni.
Mais Nicky Trevorrow n’est pas convaincue.
«Je pense que les centres d’adoption doivent améliorer leurs installations, mais je ne pense pas que les bars à chat soient la réponse. Ils ne répondent pas aux besoins des chats.»
La RSPCA, association de défense, préfèrerait, elle, que les amoureux des félins en manque de calins deviennent bénévoles dans les refuges plutôt qu’ils se rendent dans les cafés à chat.
Reste que la tendance n’est pas prête de s’arrêter. Le Japon a récemment ouvert un bar à hérisson (ce qui est encore pire puisque rappelons-le, ce petit mammifère est sauvage) etun bar à lapin fait courir les foules à HongKong.
Notre cerveau ne demande pas mieux que de rester alerte malgré les années. Pour ce faire, nous avons besoin d’en prendre soin pour fabriquer de nouveaux neurones. Un bon équilibre de vie est donc un objectif peut importe l’âge
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Représentation d’un neurone sur fond noir. © SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA
Par Stéphane Desmichelle
Saviez-vous que, à n’importe quel âge, votre cerveau a le pouvoir de fabriquer en permanence de nouveaux neurones ? A condition de respecter quelques principes.
La production de nouveaux neurones ne s’arrête jamais. Des chercheurs ont observé que dans une région du cerveau impliquée dans la formation des souvenirs et la gestion des émotions – l’hippocampe -, les anciens neurones étaient remplacés par d’autres, fraîchement produits à partir de cellules souches. Et chacun de nous aurait ce potentiel, quel que soit notre âge. Rassurant. Sauf que, d’après le Pr Pierre-Marie Lledo, qui s’est exprimé lors de la deuxième édition du colloque S3 Odéon, les expériences chez les souris ont montré que cette capacité pouvait diminuer, voire même disparaître (en cas de stress) selon l’environnement. Au contraire, dans un environnement adapté, la neurogenèse chez les rongeurs a été multipliée par trois en quelques semaines. Le directeur du département de neurosciences à l’institut Pasteur nous livre six principes à respecter pour conserver un cerveau jeune jusqu’à la fin de ses jours.
1. Fuir la routine
Le cerveau se nourrit du changement. En effet, la stimulation provoquée par le changement entraîne les cellules souches à produire de nouveaux neurones.
Il faut, selon Pierre-Marie Lledo, fuir la routine, « respecter la libido sciendi, c’est-à-dire la soif de comprendre et d’apprendre ».
2.Lutter contre l’infobésité
Le cerveau est malléable et l’information invite directement les circuits à se régénérer. En revanche, la question à se poser est : quelle information ? L’écosystème numérique dans lequel nous vivons entraîne une avalanche d’informations certes… Trop selon le médecin.
« L’information qui nous fait juste savoir est absolument délétère, et n’incite pas le cerveau à produire de nouveaux neurones. Bien au contraire, ce dernier, bombardé d’informations, est alors condamné à l’anxiété ».
Concrètement, il est indispensable de trier cette information : choisir l’utile, celle qui nous fait comprendre, et se débarrasser de la futile, celle qui nous fait juste savoir.
3. Bannir anxiolytiques et somnifères
L’objectif des anxiolytiques et des somnifères est d’empêcher le cerveau, celui qui cherche à comprendre, de fonctionner. Leur consommation permet de mettre le cerveau en « marche automatique ». Leur utilisation chronique est donc une entrave à la production de nouveaux neurones.
4. Bouger !
« Il nous faut lutter contre la sédentarité car la science nous dit que, en cas d’activité physique, les muscles produisent des susbtances chimiques (nommés facteurs trophiques) qui, par voie sanguine, viendront agir sur le cerveau et particulièrement sur la niche de cellules souches », explique le Pr Lledo.
Il existe donc une corrélation directe entre activité musculaire et production de nouveaux neurones.
5. Cultiver l’altérité
Certaines parties de notre cerveau, que nous ne pouvons pas contrôler, ne sont engagées que lorsque ne nous sommes exposé à autrui.
C’est ce qu’on appelle globalement le cerveau social, ajoute le médecin. Plus vous allez cultiver votre altérité, et plus vous allez soigner votre cerveau car il sera enclin à produire plus de nouveaux neurones ».
6. Soigner le microbiote
Très récemment, les neurosciences, associées avec la microbiologie, ont montré qu’il y a une flore intestinale qui communique en permanence avec notre cerveau. Notre régime alimentaire a donc un rôle important : la consommation de fibres, un régime varié, incitent à la prolifération de certaines espèces bactériennes concourant justement à la prolifération de neurones. A l’inverse, une nourriture peu variée, riche en sucres, en graisses, favorise la prolifération d’espèces bactériennes qui ne permettront plus aux cellules de produire de nouveaux neurones, quel que soit l’âge.
Et le Pr Lledo de conclure sur une maxime de Goethe :
« Traiter les gens comme s’ils étaient ce qu’ils devraient être et vous les aiderez à devenir ce qu’ils peuvent être ».
A méditer…