Notre manière de penser influence beaucoup notre bien-être
Nuage
Ce que l’on pense
Quand on pense négativement, on trouve des problèmes partout
Quand on pense positivement, on trouve des solutions partout
Auteur inconnu
Notre manière de penser influence beaucoup notre bien-être
Nuage
Ce que l’on pense
Quand on pense négativement, on trouve des problèmes partout
Quand on pense positivement, on trouve des solutions partout
Auteur inconnu
C’est de l’art éphémère, mais l’expérience en vaut la chandelle
Nuage
Quand l’écriture est apparu, le besoin de laisser des écrits s’est fait sentir. On commença sur la pierre, sur tesson de poterie, et même sur des os, puis le papyrus … Jusqu’au e-book aujourd’hui.
Nuage
Codex Sancti Paschalis | Christopher John via Flickr CC License by
Repéré par Camille Malnory
A l’heure du débat ebook-papier, rappelons que le tout premier livre n’a pas fait consensus dans l’ancienne Rome.
Ebook ou livre papier ? La bataille du support numérique contre le bon vieux livre relié est toujours d’actualité et les deux camps ont leurs ardents défenseurs. D’un côté, ceux qui arguent que l’ebook est une révolution du monde du livre: il est pratique, léger et on peut en avoir plein à porter de mains sur une tablette. De l’autre, ceux pour qui le livre doit rester en papier, parce qu’il sent bon, qu’il décore les appartements et que les pages qui craquent quand on les tourne font partie du plaisir de la lecture. Si le marché numérique est encore plutôt confidentiel –l’ebook représentait 2.3% du chiffre d’affaires des éditeurs en 2014–, ne doutons pas que notre façon de lire changera dans les années à venir.
Le bouquin n’en est cependant pas à son premier débat. Il y a près de 2000 ans, une nouvelle forme de livre faisait son apparition et provoquait lui aussi des débats, comme le rappelle la BBC.
Au premier siècle de notre ère, les Romains étaient déjà familiers avec l’écriture, et donc avec la lecture. Les monuments étaient gravés de lettre capitales, les citoyens lettrés écrivaient sur des tablettes de cire et les bibliothèques regorgeaient d’ouvrages de philosophie et d’art. Sauf que le livre n’était ni carré, ni relié, ni même en papier. Il s’agissait de rouleaux de papyrus faisant en général trois mètre de long. Compliqué alors de le lire debout, la meilleure technique à l’époque consistait à s’asseoir derrière un bureau. Autre défaut du papyrus: la matière est fragile, se déchire et résiste très mal à l’humidité et aux variations de température.
Le premier livre après le papyrus
Et puis vient le codex, grande révolution dans l’histoire du livre, qui pallie à tous les défauts du rouleau de papyrus: petit, relié, protégé par une couverture et fait en parchemin, beaucoup plus solide. Le poète Martial (environ 40 ap. JC-100 ap. JC) est le premier à l’évoquer dans ses Épigrammes (écrits entre 84 et 86 après JC):
«Toi, qui aspire à ce que mes petits livres puissent être partout avec toi et qui veut avoir des compagnons pour un long voyage, achète ceux-ci, avec de petites pages en parchemin: donne tes rouleaux aux grands auteurs –une seule main peut me tenir.»
Si on ne connaît toujours pas la vraie origine du codex, reste qu’il a été un immense pas en avant pour le livre. Mais les Romains se déchirent à cause de lui. D’un côté, les païens et les Juifs veulent conserver leur bon vieux rouleau de papyrus, qu’ils ont l’habitude d’utiliser. De l’autre, les Chrétiens s’enthousiasment pour ce nouveau support pratique. On connaît la suite: les païens et les rouleaux de papyrus se sont lentement éteints jusqu’au VIe siècle. Le codex et plus tard le livre tel qu’on le connaît ont donc fait leur chemin dans nos sociétés.
Aujourd’hui, l’ebook est-il le nouveau codex, le support qui va faire disparaître le papier, comme cela a été le cas pour le rouleau de papyrus? On ne le sait pas encore. Pour le moment, on retourne à la lecture de Guerre et Paix… sur papier.
Comment nous fait pour survivre, surtout enfant !!? Je revois ma petite Sydney qui à chaque fois qu’elle échappait un macaroni par terre, elle descendait du banc pour aller chercher le fugueur et le manger sans se poser la question si c’est bien ou pas ! Bon, c’est sûr que nous sommes capables de faire la part des choses. On ne laissera pas un enfant manger quelque chose qui est tombé dans un sol douteux, quoique le test du tapis m’a quand même vraiment surprise
Nuage
PHOTO : ISTOCKPHOTO/MARK DEIBERT
Manger de la nourriture tombée au sol n’est pas sécuritaire, même si elle est ramassée dans les 5 secondes, montre une étude américaine.
Un texte d’Alain Labelle
Parfois les bactéries se transfèrent en moins d’une seconde, affirme le Pr Donald Schaffner, un expert américain en sécurité alimentaire de l’Université Rutgers. Ainsi, peu importe à quelle vitesse vous ramassez de la nourriture au sol, elle risque d’être contaminée.
Cette notion populaire de la « règle des cinq secondes » concernant la nourriture tombée au sol tient au fait que si elle est reprise rapidement, les bactéries n’ont pas eu le temps de se transférer. Pr Donald Schaffner
Le Pr Schaffner et son étudiante Robyn Miranda ont vérifié cette théorie, et il appert qu’elle ne tient pas la route.
Ils expliquent que l’humidité, le type de surface et le temps de contact contribuent à la contamination croisée.
Le duo a testé quatre types de surfaces (acier inoxydable, carreaux de céramique, bois et tapis) et quatre aliments ( melon d’eau, pain, pain et beurre, bonbon). Il a également examiné quatre temps de contact différents (moins d’une seconde, 5 s, 30 s et 300 s) .
Ils ont déposé sur les différentes surfaces des bactéries Enterobacter aerogenen, des « cousines » non pathogènes de la Salmonella qui se trouvent naturellement dans le système digestif humain.
Résultats
Le melon d’eau a été le plus contaminé, et le bonbon gélifié le moins.
Le Pr Schaffner explique que le transfert des bactéries de surfaces à un aliment semble être le plus prononcé pour les aliments humides. Ainsi, plus la nourriture est humide, plus le risque de contamination est élevé.
Également, sans surprise, plus le temps de contact est grand entre l’aliment et la surface, plus le transfert de bactéries est grand.
Petite surprise cependant : les tapis présentent un taux de transfert plus bas que les tuiles ou l’acier inoxydable alors qu’il varie beaucoup pour le bois.
La topographie de la surface et de la nourriture semblent jouer un rôle important dans le transfert des bactéries. Pr Donald Schaffner
Ces résultats sont publiés dans l’Applied and Environmental Microbiology journal de l’American Society for Microbiology.
Il y en a qui collectionnent des timbres, ce neuropathologiste a collectionner des cerveaux pendant une période de 1951 jusqu’au milieu des années 1990. Pour une raison d’argent, une partie de la collection fut donnée pour étudier les maladies mentales.
Nuage
PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE
MARINE LAOUCHEZ
Agence France-Presse
Duffel
C’est une collection bien particulière qui a atterri cet été sur les étagères de l’hôpital psychiatrique de Duffel, dans le nord de la Belgique: environ 3000 cerveaux, fruit de la sélection assidue d’un médecin anglais sur plus de quarante ans.
Baignants dans le formol ou figés dans de la paraffine, lobes frontaux, hippocampes et autres zones clés de cet organe majeur de notre système nerveux, parfois un cerveau entièrement conservé: voilà le trésor acquis par le Dr Manuel Morrens, directeur de recherche de l’hôpital, et que son équipe partage avec l’école de médecine de l’Université d’Anvers (nord).
«À notre connaissance, c’est la plus grande collection de ce genre au monde», sourit-il.
Constituée à l’origine de quelque 8500 cerveaux, la collection rassemblée par le neuropathologiste britannique John Corsellis à partir de 1951 et poursuivie jusqu’au milieu des années 1990 a bien failli disparaître pour cause de… pression foncière à Londres. Continuer d’héberger cette vaste collection dans la capitale devenait trop coûteux.
L’hôpital de Duffel a ainsi pu récupérer 3000 cerveaux, tandis qu’une partie du reste a été donnée à d’autres équipes de recherche à l’étranger.
En Belgique, les cerveaux seront exploités à des fins de recherche principalement sur la dépression et la schizophrénie, dans ce coin tranquille de Flandre.
Chacun d’eux est accompagné d’un dossier médical tenu à jour jusqu’au décès du patient.
La collection, rare, est très précieuse pour les chercheurs.
«Il est très dur d’obtenir des tissus de nos jours. D’habitude, on étudie le fonctionnement du cerveau plutôt grâce à des échantillons de sang. Là «avec cette collection de cerveaux, on peut y accéder directement», explique Manuel Morrens à l’AFP.
Les secrets du cerveau
En effet, à l’époque du Dr Corsellis (décédé en 1994), des considérations éthiques plus souples rendaient probablement plus aisée la constitution de ce type de collection, les autorisations nécessaires alors étant plus facilement obtenues.
L’un des principaux avantages de travailler sur des cerveaux de cette époque est que pour beaucoup d’entre eux, ils n’ont pas été affectés par des traitements médicaux, inexistants à l’époque.
«La recherche contemporaine est gênée par le fait que les cerveaux, en général, ont été prélevés sur des patients qui ont subi des traitements (médicamenteux)», relève le Dr Morrens.
Au contraire, avec cette collection, «nous allons pouvoir étudier la maladie dans sa forme la plus pure», s’enthousiasme-t-il.
«L’enquête» post-mortem sur ces cerveaux pourrait permettre de révéler certains secrets qui échappent encore aux scientifiques, selon Violette Coppens, chercheuse postdoctorale à Duffel.
«La psychiatrie est un champ de recherche relativement nouveau en terme d’investigations scientifiques», se réjouit-elle.
La biopsychiatrie, qui se spécialise dans la compréhension des troubles mentaux en termes de fonction biologique du système nerveux, n’a en effet commencé à croître en importance que dans les années 1980-1990. Et le cerveau, organe le mieux protégé – et donc le moins accessible du corps humain – est plus difficile à étudier.
De ces milliers de cerveaux, Violette Coppens et ses collègues prélèveront des coupes, qu’ils étudieront au microscope à la recherche d’inflammations.
Sur l’écran de la chercheuse ce jour-là apparaît une partie de cervelet dont la matière blanche a été teintée afin de mieux observer les cellules qui la composent.
La recherche actuelle sur les vivants reste limitée par la technologie, souligne Mme Coppens. Les scanneurs et IRM ne peuvent pas, par exemple, repérer quels types de protéines ou d’enzymes sont activés par les maladies.
«Est-ce que l’inflammation du cerveau peut provoquer ou aggraver ou influencer, d’une façon ou d’une autre, le cours médical des désordres mentaux ?», s’interroge Violette Coppens, les yeux rivés sur les méandres pourpres créés par la teinture.
C’est la question à laquelle l’équipe belge du Dr Morrens tentera de répondre après l’observation et la comparaison de milliers de prélèvements.
Un hécatombe de limule au Japon, sans savoir vraiment la raison. Est-ce les changements climatiques ? Peut-être, mais il est quand même surprenant que ces invertébrés marins ont quand même survécu depuis des millions d’années et sont maintenant en difficultés
Nuage
Ces animaux à la carapace en forme de fer à cheval, qualifiés de fossiles vivants tant ils ont traversé les âges, et connus pour la couleur bleue de leur sang, se rendent régulièrement sur les plages du sud et de l’ouest du Japon pour y pondre.
PHOTO ARCHIVES AP/GIZMODO.COM
Agence France-Presse
TOKYO
Des centaines de limules, ces invertébrés marins parmi les espèces les plus anciennes de la planète, ont été retrouvées mortes sur les côtes du sud du Japon, une hécatombe inhabituelle qui suscite nombre d’interrogations parmi les spécialistes.
Ces animaux à la carapace en forme de fer à cheval, qualifiés de fossiles vivants tant ils ont traversé les âges, et connus pour la couleur bleue de leur sang, se rendent régulièrement sur les plages du sud et de l’ouest du Japon pour y pondre.
Chaque fois, un certain nombre meurent, mais cette année une association de protection des limules créée en 1978 par des passionnés a constaté des pertes inhabituellement élevées chez cet arthropode marin, a indiqué jeudi à l’AFP un responsable de la ville de Kitakyushu près de laquelle se trouve un lieu de ponte.
« Ce groupe a repéré environ cinq à dix limules mortes par jour pendant la période de ponte et a donc commencé à les compter », a raconté ce responsable, Kenji Sato, précisant que le nombre total de limules mortes trouvées était de 500. Huit fois plus que la normale, selon le quotidien Asahi Shimbun.
Ces animaux appelés au Japon « kabutogani », littéralement « crabe au casque de guerrier », sont classés par le ministère japonais de l’Environnement parmi les « espèces menacées », mais il n’y a pas d’obligation particulière à les protéger, d’après un responsable du ministère de l’Environnement.
Les autorités locales ont fait appel aux spécialistes pour tenter de déterminer la cause de ces décès en grand nombre, sans obtenir de réponse consensuelle, a expliqué M. Sato.
Des universitaires ont évoqué « un manque d’oxygène dû à la hausse de la température des océans ou un parasite ou bien une maladie spécifique aux limules », a-t-il ajouté.
Malgré son nom français de crabe des Moluques, ou américain de « horseshoe crab », il ne s’agit pas d’un crabe. Il s’apparente en fait aux araignées ou aux scorpions. Recouvert d’une carapace en forme de fer à cheval où percent seulement des yeux minuscules, son corps est prolongé d’une sorte de dard inoffensif. Il peut atteindre 50 cm de long et vivre jusqu’à 30 ans.
La résistance exceptionnelle des limules leur a permis de tenir tête aux grandes périodes glaciaires ou à des cataclysmes, faisant remonter cette espèce à plusieurs centaines de millions d’années. Son surprenant sang bleu est la seule substance dans le monde permettant de détecter les toxines nocives pour l’homme dans les médicaments.
Il est clair que nous faisons face à des grands changements sur les écosystèmes sur terre et dans les océans. Pour le moment, ce qui est faisable rapidement est de protéger plus drastiquement les animaux marins qui risquent de disparaitre pour qu’ils puissent reprendre le dessus malgré les changements climatiques
Nuage
Un grand requin blanc.
JEAN-LOUIS SANTINI
Agence France-Presse
Washington
Les humains risquent de provoquer une extinction sans précédent sur Terre en chassant de manière excessive les grands animaux marins, tout en laissant proliférer les petits et donc de bouleverser durablement les écosystèmes océaniques, ont mis en garde des scientifiques.
Pour leur étude publiée mercredi par la revue américaine Science, ils ont analysé les cinq grandes extinctions survenues sur la planète.
Cette «sixième extinction», déjà engagée, est sans pareil à cause de la propension à chasser et à pêcher les plus grandes espèces marines comme la baleine bleue, le thon rouge ou le grand requin blanc.
La disparition progressive de ces prédateurs situés au sommet de la chaîne alimentaire est dévastatrice pour l’écologie des océans, ont prévenu ces scientifiques de l’université Stanford en Californie.
«Nous avons constaté que la menace d’extinction dans les océans aujourd’hui est fortement liée aux animaux de grande taille», a indiqué Jonathan Payne, un paléobiologiste de la faculté des sciences de la Terre de cette université.
«Cela s’explique très probablement par le fait que l’industrie de la pêche cible en priorité les plus grandes espèces pour la consommation» car c’est plus rentable, a-t-il ajouté.
Si ce phénomène n’est pas surveillé étroitement, «un grand nombre d’espèces des plus grands animaux marins finiront par disparaître», a relevé M. Payne.
Les chercheurs ont examiné 2497 groupes de vertébrés et de mollusques marins des 500 dernières années, et les ont comparés à ceux d’une période remontant jusqu’à 445 millions d’années. En se concentrant particulièrement sur les 66 derniers millions d’années.
«Nous avons analysé les collections de fossiles qui montrent clairement que ce qu’il se passe actuellement dans les océans est vraiment différents que dans le passé», a souligné Noel Heim, un chercheur membre de l’équipe du professeur Payne.
«Notre analyse indique que plus un animal est grand, plus son risque d’extinction est élevé», a précisé ce dernier.
«Les études sur les fossiles indiquent que ce phénomène n’existait pas auparavant», a ajouté Judy Skog, directrice du programme des sciences de la Terre à la National Science Foundation, qui a financé cette étude.
Extinction des mammouths
Selon elle, ces résultats devraient être pris en compte dans les décisions sur la gestion des ressources océaniques comme la pêche.
La tendance à cibler les plus gros animaux a déjà été constatée pour les espèces terrestres. Ainsi, des éléments montrent que les hommes préhistoriques sont responsables de l’extinction des mammouths et d’autres espèces de la mégafaune.
Les écosystèmes marins avaient été épargnés jusqu’à relativement récemment car les humains ne pouvaient chasser et pêcher qu’au large des côtes, faute d’avoir la technologie nécessaire pour une pêche au grand large à l’échelle industrielle.
Mais il n’est pas trop tard pour inverser la tendance si des mesures de conservation sont mises en oeuvre, ont jugé les scientifiques.
«On ne peut pas faire grand chose pour rapidement inverser le réchauffement ou l’acidification des océans, de graves menaces auxquelles il faut faire face, mais on peut modifier les traités internationaux sur la chasse et la pêche», a estimé M. Payne.
«Les populations de poissons peuvent récupérer beaucoup plus rapidement que le climat», a-t-il fait valoir.
Au cours des cinq dernières années, la communauté internationale a commencé à prendre des mesures agressives de conservation des écosystèmes marins en établissant des zones protégées pouvant contribuer à la préservation des espèces menacées.
Le président américain Barack Obama vient par exemple de créer la plus grande réserve marine au monde, dans le Pacifique, qui abrite quelque 7000 espèces parmi lesquelles les baleines bleues, albatros à queue courte, ou encore des phoques moines endémiques de Hawaï.
On trouve également à Papahanaumokuakea, autour de l’atoll de Midway (Hawaï) du corail noir, qui peut vivre plus de 4500 ans, record absolu pour une espèce marine.
La seule utilité qu’on pourrait donner à ce genre d’escaliers est que ce sera un très bon cardio, sauf que réussir à monter tout en haut, il faudra être drôlement en forme
Nuage
Par Damien Choppin
Déjà comparé à un panier de basket ou à un nid d’abeille, cet escalier géant qui ne mène nulle part ne laissera personne indifférent.
Dévoilé par son designer Thomas Heatherwick jeudi 15 septembre, cette structure de 15 étages de haut, comportera 154 volées d’escaliers connectées entre elles, soit presque 2500 marches selon ArchDaily.
À titre de comparaison, il faut gravir 1665 marches pour atteindre le dernier étage de la Tour Eiffel.
La structure, baptisée « Vessel » (« le vaisseau »), sera recouverte d’une enveloppe d’acier poli couleur bronze et trônera au milieu d’un parc arboré, entouré de nouveaux grattes-ciel.
Le parc doit ouvrir en 2018, ce qui vous laisse le temps de vous entraîner avant d’essayer de grimper ces milliers de marches.
Forbes Massie-Heatherwick Studio
Forbes Massie-Heatherwick Studio
Forbes Massie-Heatherwick Studi