Le Coca Cola


Et oui, c’est les modes, la société, la publicité qui décident de ce que nous faisons, sur nos opinions, ce que nous achetons
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Le Coca Cola

 

 

Ne vous moquez pas trop des ânes qui avancent derrière une carotte. Les humains achètent un Coca parce qu’il y a leur nom dessus

Inconnu

Le Saviez-Vous ► D’où viennent les taches de rousseur?


Personnellement, j’aime bien mes tâches de rousseurs qui apparaissent lors de la belle saison.
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D’où viennent les taches de rousseur?

D'où viennent les taches de rousseur?

Le soleil est le premier responsable des taches de rousseur.Photo Fotolia

Parfois sources d’inquiétudes, voire de complexes, les taches de rousseur (ou éphélides) ne sont pourtant que d’inoffensives petites lésions cutanées de couleur qui se révèlent sous l’action du soleil. Vous n’en avez pas? C’est simplement que toutes les peaux ne réagissent pas de la même manière à  l’exposition solaire.

LES TACHES DE ROUSSEUR, UNE ACCUMULATION DE MÉLANINE

Le premier responsable des taches de rousseur est donc le soleil. Pour se protéger des rayons UV, la peau dispose de mélanine, le pigment responsable de sa coloration qui se répartit de façon uniforme comme une barrière de protection.

Mais il arrive que des cellules de la peau se concentrent à  certains endroits, provoquant une accumulation de mélanine. Ce sont ces pigments en «excès» qui forment des petites taches pouvant aller du orange clair au marron foncé et que l’on appelle des taches de rousseur.

Pourquoi ce phénomène se produit-il chez certaines personnes et pas d’autres. Eh bien, c’est une question de génétique: si l’un des parents a des taches de rousseur, leur enfant a de fortes chances d’en arborer aussi un jour. Ce qui implique le plus souvent une peau claire et donc plus sensible au soleil.

Car si les taches de rousseur ne sont pas visibles à la naissance, elles pointent le bout de leur nez au cours de l’enfance et sous l’effet du soleil. Une peau claire dispose de moins de mélanine, et va vouloir concentrer ses atouts pour former la barrière contre les rayons UV.

C’est aussi la raison pour laquelle les taches de rousseur peuvent s’estomper quand le soleil vient à  manquer.

http://fr.canoe.ca/

Des nanoparticules issues de la pollution retrouvées dans le cerveau


Les particules de magnétite qui proviennent de la pollution atmosphérique peuvent être reliées par des maladies cardiovasculaires et pulmonaires, mais les chercheurs pensent qu’ils pourraient aussi être en cause pour des maladies dégénératives du cerveau
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Des nanoparticules issues de la pollution retrouvées dans le cerveau

 

Les particules retrouvées dans le cerveau ressemblent aux... (Photo FRED TANNEAU, archives AFP)

Les particules retrouvées dans le cerveau ressemblent aux nanosphères de magnétite que l’on trouve fréquemment dans les particules en suspension dans l’air en milieu urbain, et issues la combustion de carburant, avance l’équipe de recherche.

PHOTO FRED TANNEAU, ARCHIVES AFP

De minuscules particules de magnétite, probablement issues de la pollution atmosphérique, ont été retrouvées dans le cerveau, selon une nouvelle étude, qui estime que ces nanoparticules pourraient jouer un rôle dans le développement de maladies neurodégénératives telles qu’Alzheimer.

« Ces résultats suggèrent que les nanoparticules de magnétite présentes dans l’environnement peuvent pénétrer dans le cerveau humain, où elles peuvent représenter un risque pour la santé », affirment les auteurs de cette étude, publiée lundi dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).

Il est encore trop tôt pour établir un lien de cause à effet avec la maladie d’Alzheimer, ont toutefois averti des experts extérieurs à l’étude.

Du fait de leur taille, de l’ordre du milliardième de mètre, les nanoparticules peuvent franchir des barrières physiologiques et se retrouver dans les poumons ou le sang.

Selon l’équipe de chercheurs basés au Royaume-Uni, au Mexique et aux États-Unis, les nanoparticules respirées par le nez parviendraient également au coeur du cerveau, via le nerf olfactif.

Des particules de magnétite, un oxyde de fer fortement aimanté, peuvent se former naturellement dans le cerveau, rappelle l’étude.Mais les caractéristiques des particules observées dans le cortex frontal de 37 individus (forme sphérique, taille très petite de moins de 150 nanomètres, surface lisse) suggèrent qu’elles se sont formées à très haute température, et donc pas à l’intérieur du corps humain.

« Ces particules ressemblent aux nanosphères de magnétite que l’on trouve fréquemment dans les particules en suspension dans l’air en milieu urbain », et issues la combustion de carburant, avance l’équipe de recherche.

Or, la magnétite est impliquée dans l’apparition dans le cerveau de dérivés réactifs de l’oxygène, des substances chimiques à l’origine de réactions d’oxydation associées au développement de maladies neurodégénératives comme Alzheimer, affirme-t-elle.

« Des travaux précédents ont mis en évidence une corrélation entre la quantité de magnétite dans le cerveau et la fréquence de la maladie d’Alzheimer », ajoute l’étude, citant deux publications de 2003 et 2008.

« On n’en sait pas encore assez pour établir si cette source externe de magnétite issue de la pollution de l’air peut être un facteur de cette maladie », a toutefois tempéré Joanna Collingwood, de l’université de Warwick.

« Je ne pense pas que l’on puisse dire pour le moment si cela cause la maladie d’Alzheimer, mais c’est une source de préoccupation, car les particules de magnétite ont été reliées à d’autres problèmes de santé tels que les maladies cardiovasculaires et pulmonaires », ajoute Peter Dobson, du King’s College de Londres, cité par le Science Media Centre.

http://www.lapresse.ca/

La virilité des hommes nuirait à l’environnement de la planète


Bon, est-ce vrai ? Enfin, beaucoup d’hommes recyclent, mais pour trouver des produits plus écolos … j’en connais au moins un, mon neveu
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La virilité des hommes nuirait à l’environnement de la planète

 

Selon les conclusions d’une étude sur les habitudes écoresponsables, les hommes ne semblent pas se soucier de l’environnement autant que les femmes.

Après une série de sept enquêtes différentes, le département de commerce de l’University of Notre Dame a trouvé « que les concepts de produits verts et de la féminité sont liés », résume le Journal of Consumer Research. Pour certains hommes, les produits verts seraient consommés uniquement pour les femmes.

Beaucoup d’hommes, pour conserver leur image de macho, évitent les produits qui sont bons pour l’environnement.

«Les stéréotypes féminins font en sorte que ces dernières se soucieraient plus de l’environnement que les hommes, a déclaré un des chercheurs au Washington Post. Le comportement des hommes n’est pas enclin à vouloir maintenir un environnement agréable pour les autres.»

Il n’y a pas que les hommes qui voient les produits verts en fonction du genre. Toujours d’après le Washington Post, une enquête initiale avec 127 étudiants avait révélé que la majorité des hommes, mais aussi des femmes, avait identifié les produits verts comme féminin.

Dans une seconde enquête, la majorité des étudiants avaient identifié un client avec un sac réutilisable comme plus « écologique » et « féminin ».

http://quebec.huffingtonpost.ca/

La douleur du membre fantôme décryptée par l’imagerie du cerveau


La douleur fantôme qui est souvent ressentie après une amputation n’est pas psychologique mais bien réelle. Grâce à l’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle, on peut voir que le cerveau ne fait pas son deuil du membre manquant
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La douleur du membre fantôme décryptée par l’imagerie du cerveau

 

Le cerveau conserve (à dorite) l'image précise de chaque doigt de la main amputée (à gauche) ©Kikkert et al

Le cerveau conserve (à dorite) l’image précise de chaque doigt de la main amputée (à gauche) ©Kikkert et al

Par Hugo Jalinière

Les personnes amputées connaissant la sensation du « membre fantôme » conservent une image cérébrale du membre perdu.

DOULEUR FANTÔME. Le cerveau conserve l’empreinte détaillée d’un membre amputé longtemps après le traumatisme. C’est ce qui expliquerait, au moins en partie, la survenue chez nombre de personnes amputées des douleurs dites du membre fantôme, un syndrome caractérisé par des sensations parfois très vives ressenties dans un membre disparu. C’est ce que vient d’établir l’équipe du laboratoire Main et Cerveau du département des neurosciences de l’université d’Oxford (Angleterre) qui publie ces résultats dans la revue eLife. En scrutant le cerveau de deux personnes amputées de la main depuis plus de 25 ans et souffrant toujours de vives douleurs dites du membre fantôme, les chercheurs ont découvert que celui-ci conservait une image très précise du membre manquant longtemps après l’amputation.

Le cerveau ne fait pas son deuil du membre amputé

« Nous souhaitions observer l’activité cérébrale sous-jacente aux mouvements fantômes pour voir comment elle se distingue de celle de personnes pouvant effectivement bouger leur main », explique le Dr Tamar Makin co-auteur de l’étude.

Pour cela, les chercheurs ont utilisé l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) qui permet d’observer l’activité cérébrale en direct. Ils ont demandé à deux personnes respectivement amputées depuis 25 et 31 ans et ressentant toujours la présence d’un membre fantôme de bouger leurs doigts, inexistants donc.

« Si l’activité cérébrale liée à la main gauche était certes moins forte chez les personnes amputées, les modèles spécifiques composant l’image de la main dans le cerveau correspondaient bien à ceux observés chez des personnes possédant leurs deux mains », détaille Sanne Kikkert, première auteure de ces travaux. 

Des observations que l’ont retrouve dans les images ci-dessus (©Kikkert et al./University of Oxford Hand Brain Lab) où chaque couleur correspond à l’empreinte cérébrale d’un doigt précis : rouge pour le pouce, jaune pour l’index, vert pour le majeur, bleu pour l’annulaire et rose pour l’auriculaire. 

« Il était jusqu’à présent admis que ‘l’image cérébrale de la main’, localisée dans le cortex somatosensoriel, ne pouvait être maintenue que par des stimuli sensoriels réguliers provenant de la main,rappelle Tamar Makin.

Les manuels enseignent que cette ‘image’ serait effacée en l’absence de stimuli. Mais si c’était le cas, les personnes ayant enduré une amputation devrait présenter une activité cérébrale extrêmement basse, voire pas d’activité du tout, liée au centre original de la main dans le cerveau », poursuit le chercheur. Or ce n’est pas du tout le cas selon ces dernières observations. Reste à vérifier ces résultats sur davantage de patients.

Notons que le syndrome du membre fantôme qui touche environ 2/3 des amputés est moins fréquent lorsque le handicap survient chez les plus jeunes. Ce qui s’expliquerait par une plus grande plasticité d’un cerveau jeune, plus à même de faire son « deuil » d’un membre perdu, et d’effacer cette image.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Les animaux pourraient avoir leurs propres viaducs sur l’autoroute 10


Si cela peut aider, les animaux et les automobilismes y gagnerons sûrement
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Les animaux pourraient avoir leurs propres viaducs sur l’autoroute 10

 

Viaduc pour animaux aux États-Unis

Viaduc pour animaux aux États-Unis   PHOTO : THE CHICAGO CURVE

Des corridors pour animaux pourraient voir le jour au-dessus ou sous l’autoroute 10 dans les Cantons-de-l’Est. L’organisme Corridor appalachien planche sur le projet depuis quelques années.

« Nous sommes un groupe avec des préoccupations de protection de la biodiversité sous l’angle de l’écologie et de la protection faunique », indique la directrice générale de Corridor appalachien, Mélanie Lelièvre.

On sait que dans la région, dans le prolongement des monts Sutton, il y a de très grands massifs forestiers qui abritent de nombreuses espèces, de grands mammifères comme l’orignal, l’ours, le coyote et le pékan. Mélanie Lelièvre

Ces animaux ont à traverser du nord au sud, et pour les inciter à le faire au bon endroit, il serait possible de clôturer l’autoroute.

« Avec tout un travail d’analyse, on pourrait recommander des passages fauniques en des endroits critiques sur l’autoroute afin de permettre à la faune de passer de façon sécuritaire et on réduirait du même fait les colisions avec les usagers. »

En 2015, on a dénombré 150 accidents qui sont survenus avec des animaux sur la portion d’autoroute entre les sorties 78 et 115, près des monts Shefford et Bromont.

L’organisme a fait une demande d’aide financière à Québec afin de poursuivre son projet, auquel le ministère des Transports participe également.

http://ici.radio-canada.ca/