Recommencement


Oui, chaque jour se répète, les semaines se suivent et les années passent. Mais chaque jour est un défi à relever
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Recommencement

 

“La vie étant un éternel recommencement, seule l’acceptation de la défaite signifie la fin de tout. Tant et aussi longtemps que l’on sait recommencer, rien n’est totalement perdu.”

Fleurette Levesque

Etats-Unis : deux Youtubeuses goûtent le piment le plus fort du monde…


Ce piment est semble-t’il est 7 000 fois plus forts que le piment rouge du Chili. Elle équivaut à une bombe lacrymogène. Il y en a plusieurs sur YouTube qui relève le défi de manger du piment le plus fort possible. A vrai dire, je trouve personnellement stupide et je crois que pour certaines personnes, cela pourrait être dangereux
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Etats-Unis : deux Youtubeuses goûtent le piment le plus fort du monde…

 

 

Lizzy Wurst (à d.) et Sabrina Stewart sont deux Youtubeuses américaines qui se sont lancé un défi insensé : croquer dans le piment le plus fort du monde, de son petit nom le « California Reaper ».

Le Saviez-Vous ► Comment le monde est perçu par nos amis les chats ?


Le seul point qui m’a surprise est la vision du chat, je croyais vraiment qu’ils avaient une supervision
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Comment le monde est perçu par nos amis les chats ?

 

Vous rêvez d’être un chat ? C’est tout à votre honneur. Mais avant, il y a quelques petites choses – du détail – qu’il vous faut impérativement savoir…

«Tout le monde veut devenir un cat parce qu’un chat quand il est cat retombe sur ses pattes.»

Oui, mais attention : être un félin n’est pas si simple. On a beau aimer très fort la boule de poils miaulant qu’il est, il y a fort à parier que nous ne soyons pas prêts à endurer tout ce qu’il endure…

Ce que voient les chats

Première raison : sa vision. Le chat n’est certes pas une taupe, mais quand même ! Bien qu’il soit nyctalope (il parvient à voir dans le noir) grâce au nombre élevés de bâtonnets (cellules capables de réfléchir la lumière) présents au fond de son œil, il est incapable de distinguer ce qui se trouve à moins d’une dizaine de centimètres de son museau… surtout si c’est immobile ! Heureusement que ses vibrisses sont là et que son champ de vision est plus large que le nôtre, hein ?

Par ailleurs, il distingue très mal les couleurs…

Ce qu’entendent les chats

Ensuite, son audition. Rien ne lui échappe. Jamais. Doté d’une importante acuité auditive, il pourrait presque entendre nos pensées puisqu’il peut capter des fréquences allant jusqu’à 60000 Hz. D’autant plus que ses oreilles, toujours en mouvement ou presque, lui permettent de détecter précisément d’où viennent les bruits et… ce sont ses nombreux neurones qui finissent ensuite par devoir tout analyser. D’ailleurs, le saviez-vous ? Le chat perçoit 11 octaves alors que nous, humains, ne dépassons pas les 9…

Ce que sentent les chats

De la même façon qu’aucun bruit n’échappe au chat, il ne loupe aucune odeur ni fragrance ni parfum. Autant dire qu’il se doit donc d’avoir l’estomac solidement accroché ! Son odorat est en effet 100 fois supérieur au nôtre grâce à ses près de200 millions terminaux olfactifs (contre seulement 5 millions pour l’Homme).

Les goûts des chats

Toutefois, gustativement parlant, ce n’est vraiment pas tout à fait ça… Déjà, globalement, les aliments sont moins goûtus pour lui que pour nous. En plus, comme ses cousins tigres et guépards, ce dernier ne dispose pas des gênes pouvant lui permettre de percevoir le goût du sucre. Inutile donc de lui en donner… surtout lorsque l’on sait qu’il a une préférence pour tout ce qui est acide et/ou salé (de toute façon, c’est dangereux pour eux) ! Il ne faut d’ailleurs pas perdre de vue qu’il est un carnivore strict…

http://wamiz.com/

Des scientifiques ont identifié un nouveau goût


Ah bien, des études pour détecter d’autres saveurs que le sucrée, salée, acide et amer. Ils ont trouvé !
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Des scientifiques ont identifié un nouveau goût

 

Sucré, salé, acide, amer. Si nous sommes tous familiers avec les quatre saveurs primaires, nous le sommes beaucoup moins avec l’umami (que l’on retrouve dans la viande ou le fromage), considéré comme la cinquième de la liste.

Un article publié fin août dans la revue Chemical Sciences lève le voile sur une sixième saveur : «starchy» (un adjectif anglais qui signifie qu’un aliment est riche en féculents). Il pourrait même s’agir de la septième, puisque fin 2015, la même revue publiait une étude expliquant que le gras, lui aussi, avait un goût unique, «l’oleogustus».

Juyun Lin de l’Université de l’État de l’Oregon, qui a mené l’étude sur les féculents, explique au magazine New Scientist que chaque culture a une source majeure de glucides complexes tels que l’amidon dans son régime (le riz en Asie, le pain ou les pâtes en Occident) :

«L’idée selon laquelle on ne peut pas goûter [ces aliments] n’a pas de sens».

«C’est comme manger de la farine»

L’amidon est composé de chaînes de molécules de glucose qui, au contact d’enzymes dans notre salive, se divisent en chaînes plus simples assimilables par le système digestif. Ce sont ces chaînes simplifiées de glucose qui donnent un goût sucré à l’amidon.

Pour leur étude, l’équipe de Juyun Lin a donné différents types de solutions contenant des glucides à des volontaires. Ceux-ci ont été capables de détecter un goût semblable à celui de l’amidon dans ces solutions.

«Les Asiatiques nous disaient que ça avait le goût du riz, tandis que les Caucasiens nous le décrivaient comme similaire au pain ou aux pâtes. C’est comme manger de la farine», précise-t-elle.

Les volontaires ressentaient même ce goût quand on leur donnait un composé qui bloque l’action des récepteurs de la langue qui détectent le goût sucré. C’est la première fois qu’on arrive à prouver que l’amidon a une saveur qui lui est propre, affirme Juyun Lin.

Des critères à remplir

Pour que cette nouvelle saveur soit officiellement considérée comme primaire, elle doit répondre à une liste de critères. Celle-ci doit être reconnaissable, avoir ses propres récepteurs pour être identifié par la langue, et provoquer une sorte de réponse physiologique utile. Si le premier critère a clairement été validé par cette étude, l’équipe de l’Université n’a pas réussi à identifier de récepteurs spécifiques à l’amidon.

Concernant la réponse physiologique, il faut prouver que cette saveur a une utilité pour l’organisme humain. Les féculents étant une source d’énergie très précieuse, leur détection par notre langue est effectivement très utile, conclut New Scientist.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Un monstre marin du Jurassique sort de sa réserve


Le monstre du lac Loch Ness existe-il vraiment ? En tout cas, il a déjà existé il y a 170 millions d’années, et il n’avait vraiment pas l’air très amical
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Un monstre marin du Jurassique sort de sa réserve

 

Image numérique diffusée par l'université d'Edimbourg le 11 janvier 2015 montrant un dessin d'artiste d'un reptile marin Dearcmhara shawcrossi identifié à partir de fossiles trouvés sur l'île de Skye et ayant vécu il y a 170 millions d'années (c) Afp

Image numérique diffusée par l’université d’Edimbourg le 11 janvier 2015 montrant un dessin d’artiste d’un reptile marin Dearcmhara shawcrossi identifié à partir de fossiles trouvés sur l’île de Skye et ayant vécu il y a 170 millions d’années (c) Afp

Emprisonné depuis un demi-siècle dans une gangue de pierre, un gros ichtyosaure a pu enfin en être extrait puis étudié.

 

Quatre mètres de long, un gros ventre, une tête pointue ornée de centaines de dents et deux gros yeux globuleux: le monstre marin du Loch Storr, vieux de 170 millions d’années, a été exfiltré des réserves du Muséum national d’Écosse où il attendait, depuis 50 ans, son heure de gloire. Le fossile a été découvert en 1966, sur l’île de Skye en Écosse, par le directeur d’une usine électrique voisine.

Mais « pendant un demi-siècle, le musée l’a gardé en sécurité, car nous n’avions pas l’expertise nécessaire pour le libérer de la roche très dense qui l’entourait et pour l’étudier », explique à l’AFP Steve Brusatte de l’Université d’Edimbourg.

 C’est désormais chose faite : Nigel Larkin, conservateur et restaurateur de fossiles, a dégagé le monstre de la roche qui l’emprisonnait depuis des millions d’années. Puis le paléontologue Steve Brusatte et ses collègues Nick Fraser et Stig Walsh du musée national d’Écosse l’ont identifié comme étant un ichtyosaure, une famille de reptiles marins éteinte depuis.

Ils ont pu reconstituer une image claire de l’énorme créature qu’ils présentent comme un « joyau de la couronne de la préhistoire écossaise ». 

Le féroce prédateur, digne des pires monstres de films d’horreur, rodait dans nos océans il y a 170 million d’années, à l’époque où les dinosaures dominaient le monde.

« Les gens sont obsédés par le mythe du monstre du Loch Ness qui est totalement faux. Mais, ils ne réalisent pas que de vrais monstres marins ont existé ! », explique Steve Brusatte. « Ils étaient plus grands, plus effrayants, plus fascinants que Nessie », précise le paléontologue.

Les ichtyosaures ont brusquement disparu des océans des dizaines de millions d’années avant les derniers dinosaures, après un long règne de 157 millions d’années. Selon les chercheurs, cette découverte permettra d’en savoir un peu plus sur l’évolution de ces gros reptiles au cours du Jurassique moyen, une période qui a laissé peu de traces fossiles.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Le réchauffement climatique mine nos océans


Les océans ont absorbé 93 % de la chaleur pour nous protéger, mais n’est pas sans conséquence pour l’écosystème marin. Même si nous ne pouvons pas revenir en arrière, essayons au moins de diminuer ou retarder les effets négatifs
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Le réchauffement climatique mine nos océans

 

Le rapport affirme également détenir des preuves selon... (Photo AFP)

Le rapport affirme également détenir des preuves selon lesquelles le réchauffement des océans «provoque une augmentation des maladies chez les populations végétales et animales».

KERRY SHERIDAN
Agence France-Presse
HONOLULU

Le réchauffement climatique abîme les océans comme jamais, diffusant des maladies aux animaux comme aux êtres humains et menaçant la sécurité alimentaire partout dans le monde, met en garde un rapport scientifique publié lundi.

Les recherches ont été menées par 80 scientifiques de douze pays, ont précisé des experts réunis à Honolulu pour le congrès de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

« Nous savons tous que les océans font vivre la planète. Nous savons tous que les océans nous fournissent une respiration sur deux », a souligné le directeur général de l’UICN, Inger Andersen.

« Et pourtant nous sommes en train de rendre malades ces océans », a-t-il ajouté devant la presse réunie pour ce congrès qui a attiré 9000 dirigeants et défenseurs de l’environnement.

Le rapport, intitulé « Explications sur le réchauffement océanique », est « l’étude la plus complète, la plus systématique qui ait été entreprise sur les conséquences de ce réchauffement des océans », souligne l’un de ses principaux auteurs, Dan Laffoley.

Les eaux de la planète ont absorbé plus de 93 % de la chaleur supplémentaire résultant du réchauffement depuis les années 1970, limitant la chaleur ressentie sur la terre, mais modifiant radicalement le rythme de la vie dans les océans, a-t-il soulevé.

« Les océans nous ont protégés et les conséquences de cela sont énormes », ajoute ce vice-président de la Commission mondiale des zones protégées de l’UICN.

Migrations vers les pôles

L’étude, qui portait sur tous les écosystèmes marins d’importance, du microbe à la baleine et jusqu’aux fonds océaniques, a mis en évidence que des méduses, des oiseaux et du plancton avaient migré en direction des pôles et du froid, parcourant jusqu’à 10 degrés de latitude.

Ces migrations climatiques sont « de 1,5 à 5 fois plus rapides que tout ce que nous voyons sur le sol », estime M. Laffoley. « Nous sommes en train de changer les saisons dans l’océan. »

La hausse des températures va probablement changer le taux de masculinité chez les tortues, car des femelles sont plus susceptibles de naître quand il fait plus chaud. La chaleur favorisera aussi la propagation des microbes dans les eaux du globe.

« Quand on a une vision complète, on voit un ensemble de conséquences totales et inquiétantes », analyse M. Laffoley.

Le rapport, dont plus d’un quart des constatations sont inédites, contient des études montrant que le réchauffement climatique affecte les systèmes météorologiques et provoque de plus en plus de tempêtes.

Le rapport affirme également détenir des preuves selon lesquelles le réchauffement des océans « provoque une augmentation des maladies chez les populations végétales et animales ».

Des agents pathogènes tels que la bactérie vectrice du choléra ou la prolifération d’algues toxiques peuvent engendrer des maladies neurologiques comme la ciguatera, intoxication alimentaire découlant de la consommation de poissons des zones tropicales et dont le réchauffement marin favorise donc le développement. Des pathologies tout aussi dangereuses pour l’homme.

« Nous ne sommes plus des observateurs non concernés », a commenté Dan Laffoley. « Sans le vouloir, nous nous sommes mis dans le tube d’essai dans lequel l’expérience est en cours ».

Ainsi, le réchauffement des océans a tué des récifs coralliens à un rythme record, ce qui a pour effet de réduire le nombre d’espèces de poissons, privés de leur habitat naturel.

« En Asie du Sud-Est, on attend une baisse des récoltes de la pêche maritime située entre 10 et 30 % à l’horizon 2050, comparé à la période 1970-2000 », affirme le rapport, qui souligne la nécessité d’agir rapidement par le biais des énergies renouvelables.

« Nous devons diminuer drastiquement les gaz à effet de serre », a estimé Carl Gustaf Lundin, directeur des programmes marin et polaire à l’UICN. « Il n’y a aucun doute sur le fait que nous sommes la cause de tout cela. Nous savons quelles sont les solutions. »

http://www.lapresse.ca/

Des plantes pourront-elles pousser un jour sur Mars ?


Avec une installation adéquate, quelques légumes pousseraient sur Mars. C’est bien beau, mais  l’être humain ne pourra survivre à long terme avec ce maigre régime.
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Des plantes pourront-elles pousser un jour sur Mars ?

 

© Wieger Wamelink, université et centre de recherche de Wageningue

© Wieger Wamelink, université et centre de recherche de Wageningue

Nous savons qu’il y a de l’eau gelée sur Mars. Et que la planète Rouge possédait autrefois une atmosphère. L’une des questions logiques, pour une éventuelle installation humaine, porte donc sur l’agriculture : pourra-t-on y cultiver des plantes terrestres ?

La réponse est oui… en quelque sorte. Des écologues néerlandais ont testé quatorze espèces dans un sol reproduisant les propriétés chimiques de la surface martienne. Il contenait tous les nutriments essentiels à la croissance des végétaux, dont le phosphore, l’azote, le potassium, le calcium et le fer. Durant plusieurs mois, de nombreuses plantations, comme les carottes ci-dessous, ont survécu.

Mais ce qui fait défaut au sol martien, c’est la capacité de rétention d’eau ; ses particules brûlées par le soleil sont trop fines pour garder l’humidité. Cultiver le sol martien serait-il facile, sur le plan pratique ?

« Non », répond Wieger Wamelink, spécialiste de l’écologie des sols.

L’air de Mars est trop pauvre en oxygène, son climat trop froid et la planète n’a pas de champ électromagnétique pour protéger la vie végétale des forts niveaux de rayonnement. Les colons de Mars devront cultiver leur nourriture sous des dômes ou des tentes renforcées, explique le scientifique. Mais ils pourront au moins utiliser le sol déjà présent.

Daniel Stone

http://www.nationalgeographic.fr/

Des guêpes alliées des frênes


L’agrile de frêne d’origine asiatique qui fait tellement de dégâts va maintenant avoir un prédateur naturel, une guêpe qui est aussi asiatique. Si vous la voyez, elle est très différente de nos guêpes et elle ne pique pas. Cependant, on ne peut qu’espérer qu’introduire une nouvelle espèce ne sera pas à son tour une source d’ennui
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Des guêpes alliées des frênes

 

Les guêpes Tetrastichus planipennis et Oobius agrili sont utilisées pour lutter contre l'agrile du frêne.

Les guêpes Tetrastichus planipennis et Oobius agrili sont utilisées pour lutter contre l’agrile du frêne.   PHOTO : RADIO-CANADA

Des centaines de millions de frênes en Amérique du Nord sont morts depuis la découverte, en 2002, de l’agrile du frêne, un insecte exotique envahissant qui cause des ravages. Voilà qu’un projet de recherche redonne un peu d’espoir : des guêpes importées d’Asie pour lutter contre l’insecte vert.

Toutes les deux semaines, pendant l’été, une équipe de la Ville de Montréal, en collaboration avec le Service canadien des forêts, installe, dans trois boisés de la métropole, des bûchettes et des fioles contenant deux espèces de guêpes originaires d’Asie : Tetrastichus planipennis et Oobius agrili.

« C’est tout petit, elles ne posent aucun danger pour les humains, les animaux. Ça ne pique pas », précise Maryse Barrette, entomologiste au Service de l’environnement de la Ville de Montréal.

Les parasitoïdes ont un cycle de vie qui ressemble un peu au filmAlien. Elles vont pondre leur oeuf à l’intérieur de leur hôte, soit dans l’oeuf de l’agrile ou dans la larve de l’agrile, et se développer à l’intérieur en mangeant leur hôte, et le tuant éventuellement. Maryse Barrette, entomologiste au Service de l’environnement de la Ville de Montréal

Ce sont les Américains qui ont d’abord importé ces deux nouvelles espèces dans le cadre d’un vaste projet de recherche. Le département de l’Agriculture des États-Unis a produit jusqu’à présent plus de trois millions de guêpes dans ses installations, au Michigan.

Aux États-Unis, il y a certains sites qui ont reçu des parasitoïdes pendant plusieurs années et on commence à voir des résultats sur les populations d’agrile, une certaine baisse de population. L’entomologiste Maryse Barrette

L’introduction d’une nouvelle espèce exotique, aussi petite soit-elle, éveille toujours certaines craintes. Le cas de la coccinelle asiatique, importée massivement dans les années 80 pour lutter notamment contre les pucerons en agriculture, est encore bien présent dans la mémoire collective.

Dans le cas actuel, le risque que ces guêpes asiatiques deviennent nuisibles est faible, selon les chercheurs.

« Ces espèces-là ont été mises en quarantaine et ont été testées, contre une variété d’espèces qui étaient natives d’Amérique du Nord et apparentées à l’agrile, et on a vu que même lorsqu’elles n’ont aucun choix, elles préfèrent mourir que de s’attaquer à une autre espèce que l’agrile », explique l’entomologiste Maryse Barrette.

Pas une panacée

Les chercheurs s’entendent pour dire qu’on ne parviendra jamais à totalement éliminer l’agrile, mais ces guêpes pourraient aider à endiguer sa progression.

« Le but de la lutte biologique, ce n’est jamais d’éradiquer complètement le ravageur visé; c’est plutôt d’abaisser sa population à un niveau qui est moins dommageable », souligne Maryse Barrette.

C’est un outil parmi la trousse à outils qu’on a pour lutter contre l’agrile, mais ce n’est pas une solution miracle. L’entomologiste Maryse Barrette

http://ici.radio-canada.ca/