Les plus heureux


Envier les autres, nous rends malheureux, vouloir des choses qui ne sont pas, pour le moment, possible, nous rends malheureux. Sachons que si nous croyons que c’est mieux ailleurs, c’est souvent une illusion. Apprenons à vivre simplement
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Les plus heureux

 

 

« Les gens les plus heureux n’ont pas tout ce qu’il y a de mieux.
Il font juste de leur mieux avec tout ce qu’ils ont. »

Auteur inconnu

Truc Express : Nettoyer les joints de carrelage,


 

J’ai essayer ce truc et cela fonctionne bien
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Nettoyer les joints de carrelage

 

VOUS AUREZ BESOIN:

-De Lysol bleu pour laver les toilettes
-D’un chiffon propre
-D’un chiffon humide

COMMENT FAIRE:

1) Appliquez le Lysol grâce au bec de la bouteille sur les joints du carrelage
2) Frottez avec un chiffon propre
3) Rincez avec un chiffon humide

http://www.trucsetbricolages.com/
 

Des archéologues ont peut-être trouvé le plus vieil objet en or du monde


Les archéologues ont découvert une petite perle en or issue probablement de la première civilisation humaine il y a 6 mille ans
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Des archéologues ont peut-être trouvé le plus vieil objet en or du monde

 

Capture d'écran Twitter

Capture d’écran Twitter

Repéré par Camille Malnory

Vieux de 6.000 ans, il viendrait d’une des premières civilisations urbaines du monde.

Une toute petite perle d’or de quatre millimètres qui pourrait être une découverte archéologique de première importance: il s’agit peut-être du plus vieil objet en or dont on ait la trace en Europe voire dans le monde.

La pièce a été trouvée sur le site des fouilles d’un village préhistorique du sud de la Bulgarie datant de 4.500-4.600 avant J.-C. Et c’est qui excite tant les archéologues: une telle découverte ne s’était pas produite depuis 1972. À cette époque, ils avaient exhumés des ruines de Varna, près de la mer Noire, des kilos de bijoux, sceptres et diadèmes datant d’environ 4.300 avant J.-C., ce qui constituait une découverte majeure.

«Je n’ai aucun doute sur le fait que cet or est antérieur à celui de Varna, explique Yavor Boyadzhiev, professeur associé à l’Académie de Sciences de Bulgarie, à Reuters, repris par CBC News. C’est une découverte importante. C’est peut-être une toute petite pièce d’or mais elle est assez grosse pour entrer dans l’histoire!»

D’après les chercheurs, la perle aurait été fabriquée sur le site même des fouilles, près de Pazardjik (sud-ouest de la Bulgarie): elle a été découverte dans les ruines d’une maison de ce que les chercheurs pensent être la première colonie urbaine d’Europe, venus de l’ancienne Anatolie vers 6.000 avant J.-C.

«Nous avons ici une vieille ville selon les critères mésopotamiens, mais nous sommes 1.000 avant l’âge Sumer», explique Boyadzhiev.

L’âge Sumer est considéré comme la plus ancienne civilisation connue, datant de la fin du IVe millénaire avant J.-C. Les Sumériens vivaient en Mésopotamie, dans l’actuel Irak.

Avec la pièce d’or, Yavor Boyadzhiev et son équipe ont également trouvé une centaine de figurines en céramiques représentant des oiseaux, ce qui indiquerait qu’ils étaient vénérés par ce peuple. La colonie aurait disparu après des attaques de tribus barbares vers 4.100 avant J.-C. Après avoir été expertisée (et son âge confirmé), la perle sera exposée dans le Musée d’histoire de Pazardjik.

http://www.slate.fr/

Un bébé vient au monde dans son sac amniotique


Un cas très rare qu’un des jumeaux puisse naitre avec son sac d’amniotique. En février 2016 un cas semblable s’est produit au Venezuela
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Un bébé vient au monde dans son sac amniotique

 

Un bébé vient au monde dans son sac amniotique

Le bébé dans son sac amniotique.Capture d’écran Gentside Découverte

La naissance d’un bébé est toujours un moment très particulier. Mais pour cette Brésilienne, l’évènement a été encore plus extraordinaire. Le 6 août dernier, celle-ci a accouché de jumeaux à l’hôpital Santa Casa de Misericàrdia situé à Sao Paulo, sauf que l’un des bébés a réservé une étonnante surprise. Il a vu le jour encore dans son sac amniotique.

Le sac amniotique également appelé «poche des eaux», est une enveloppe qui se forme dès les premières semaines de grossesse autour de l’embryon. Son rôle est de protéger le foetus jusqu’à l’accouchement, en le maintenant dans le liquide amniotique. Bien qu’elles soient fines et transparentes, les membranes du sac amniotique sont très résistantes.

Néanmoins, quand vient le moment de l’accouchement, la poche se rompt le plus souvent. C’est ce qu’on appelle «la perte des eaux». Il arrive cependant que le sac amniotique doive être rompu de façon artificielle ou encore plus rare qu’il reste complètement intact jusqu’à la naissance. C’est ce qui s’est produit pour l’un des jumeaux.

UNE NAISSANCE SUR 80 000

Cet évènement est rarissime et n’intervient qu’une fois sur 80 000 naissances. L’une des sages-femmes de l’équipe a pu filmer le bébé recroquevillé dans son sac et les images sont assez remarquables. Par transparence, on peut voir le petit bouger et même apercevoir son cordon ombilical

«C’était magique… Passionnant pour toute l’équipe!», a écrit la sage-femme dans la description relayée par la page Facebook, Céu de Borboletas.

En février 2016, une Espagnole avait déjà donné naissance à un bébé encore dans son sac amniotique.

http://fr.canoe.ca/

Des paraplégiques de longue date retrouvent une capacité de mouvement, une percée «sans précédent»


Des avatars, la réalité virtuelle et l’exosquelette a permis de faire une rééducation chez les paraplégiques de plusieurs mois pour avoir des résultats intéressant et devenir un peu plus autonome
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Des paraplégiques de longue date retrouvent une capacité de mouvement, une percée «sans précédent»

 

Des paraplégiques, paralysés depuis des années, ont retrouvé des sensations et le contrôle partiel de leurs jambes, voire pour certains une vie sexuelle, des résultats « sans précédent » obtenus grâce une rééducation cérébrale et physique innovante, ont annoncé jeudi des chercheurs.

« Jusqu’à présent, personne n’avait observé la récupération de ces fonctions chez un patient tant d’années (3 à 13 ans) après un diagnostic de paralysie complète » des membres inférieurs, assure le Dr Miguel Nicolelis, spécialiste des neurosciences de l’université américaine Duke (Caroline du Nord) qui a dirigé cette étude publiée dans la revue Scientific Reports.

Ces avancées « surprenantes » et « sans précédent » ont été obtenues au bout d’un an avec ce qu’on appelle une interface cerveau-machine (système de liaison directe entre le cerveau et un ordinateur), sans aucune implantation de puce, d’électrodes ou de stimulateur dans le corps.

Chacun des huit patients paralysés des deux jambes a dû s’imaginer en train de marcher à l’aide d’un avatar virtuel. Ce qui a permis de faire réapparaître la représentation des membres inférieurs dans son cerveau, ont constaté les chercheurs qui mènent ce projet au Brésil.

La rééducation a probablement réactivé des nerfs de la moelle épinière qui avaient survécu au traumatisme à l’origine de la paraplégie (accident de voiture, chute…).

« Il peut s’agir d’un petit nombre de fibres nerveuses résiduelles, mais suffisantes pour véhiculer des signaux de la zone du cortex moteur du cerveau à la moelle épinière », explique le Dr Nicolelis.

La rééducation a combiné une immersion intensive dans la réalité virtuelle, renforcée par des signaux visuels et tactiles (donnant la sensation de toucher le sol) reçus par le patient et des exercices physiques, notamment sur tapis roulant. Le matériel inclut également des exosquelettes, des structures de soutien du corps pour la marche activées par la pensée.

Un casque d’électrodes sur le crâne du patient permet de capter les signaux associés aux mouvements envoyés par le cerveau, afin de permettre aux logiciels informatiques de les déchiffrer.

Sentir son bébé

Avec cet entraînement, les patients ont pu effectuer des mouvements volontaires.

Au bout d’un an, les sensations et le contrôle musculaire de quatre patients s’étaient suffisamment améliorés pour que les médecins requalifient le niveau de leur paralysie, de paraplégie totale à partielle. Au bout de vingt mois, ce nombre est passé à sept, a précisé le responsable de l’étude.

La plupart des patients ont également bénéficié d’une amélioration du contrôle de leur vessie et du fonctionnement de leur intestin, réduisant ainsi leur dépendance aux laxatifs et aux sondes, et donc le risque d’infections, l’une des principales causes de décès parmi eux.

Les meilleurs résultats ont été enregistrés chez deux femmes, paralysées depuis plus de dix ans et sans aucune sensation dans la partie inférieure de leur corps. (…) l’une d’entre elles bouger volontairement ses jambes, soutenue par une sorte de harnais.

Une de ces patientes peut maintenant s’asseoir et conduire. L’une d’elles a aussi pu, « pour la première fois, sentir son bébé (son 2e enfant) et les contractions » lors de son accouchement, selon le chercheur.

Des patients masculins ont également fait état d’une amélioration de leurs performances sexuelles.

« Certains d’entre eux ont récupéré la possibilité d’avoir des rapports sexuels, des érections », a ajouté le Dr Nicolelis.

Une autre étude est prévue pour déterminer combien de temps il serait souhaitable de poursuivre cette rééducation, même allégée.

Récemment, un tétraplégique américain de 24 ans, Ian Burkhart, était parvenu à utiliser sa main pour saisir un objet ou prendre son café, à l’aide d’un logiciel et d’une puce implantée dans son cerveau pour convertir sa pensée en action. Ce qui impliquait aussi des câbles encombrants, contrairement à cette nouvelle méthode.

Celle-ci pourrait être testée dans l’avenir sur des patients paralysés depuis peu. Elle pourrait par ailleurs bénéficier à d’autres pathologies (AVC, maladies dégénératives), selon les chercheurs, qui prévoient une réduction de son coût pour permettre sa diffusion.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Réduire le risque de cinq maladies grâce à l’activité physique, selon une étude


Une explication avec une mesure que nous ne sommes pas habituées d’utiliser cependant le message est clair que bouger, faire des exercices améliore notre santé et peut nous protéger de certaines maladies
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Réduire le risque de cinq maladies grâce à l’activité physique, selon une étude

 

L’exercice physique quotidien est bon pour la santé et, pour peu qu’il soit suffisant, contribue à réduire de 20% le risque de développer cinq maladies: cancers du colon et du sein, diabète, AVC et maladie cardiaque, selon une nouvelle étude publiée mercredi.

L’analyse, parue dans le Bristish Medical Journal (BMJ), est basée sur 174 études publiées entre 1980 et 2016 portant sur l’activité physique totale et au moins l’une de ces cinq pathologies.

Les chercheurs utilisent une mesure : l’équivalent métabolique de l’effort (MET en anglais). Le métabolisme est la conversion en énergie de ce que l’on boit et mange. Un MET d’une heure correspond à l’énergie dépensée au repos qui est nécessaire au fonctionnement du corps, par exemple, en restant assis dans un fauteuil à regarder la télévision pendant 60 minutes.

La plupart des gains de santé, avec de fortes réductions de risque de maladie requièrent au moins une activité soutenue (3 000 à 4 000 MET minutes par semaine), selon les chercheurs.

Il s’agit de niveaux d’activité physique largement plus élevés qu’un des minimums recommandés par l’Organisation mondiale de la santé, qui est de dépenser par semaine, au moins 6 fois l’énergie d’une personne qui reste assise pendant 100 minutes.

Une personne peut atteindre cette activité (3000 MET minutes par semaine) en intégrant différents types d’activité physique dans sa routine quotidienne – par exemple, monter les escaliers pendant 10 minutes, passer l’aspirateur pendant 15 minutes, le jardinage pendant 20 minutes, courir pendant 20 minutes, et marcher ou faire du vélo durant 25 minutes.

Par rapport à une existence passée sur le canapé, un niveau d’effort physique encore plus élevé (8 000 MET minutes) le risque de diabète et de cancer du sein est réduit de plus de 20%.

Pour le cancer du côlon, les maladies cardiaques et accidents vasculaires cérébraux, ce risque diminue de plus d’un quart.

Flâner tranquillement brûle deux fois plus d’énergie que de rester assis, laver les vitres ou passer l’aspirateur 3 fois plus et un jogging vigoureux 8 fois.

« L’étude du BMJ reste une approximation quantitative, même si la démarche est originale » et les données utilisées sont « très disparates », relève auprès de l’AFP le professeur Philippe Autier (International Prevention Research Institute, Lyon, France) qui souligne dans le BMJ les limites de l’étude.

En particulier, elle ne permet pas de dire si des réductions de risque seraient différentes avec une activité physique intense de courte durée ou une activité plus légère mais plus longue.

Le message à retenir c’est qu’en augmentant les efforts physiques, les gains de santé peuvent croitre rapidement, résume le Pr Autier.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

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