Préoccupation


En fait, vivre au jour le jour tout en s’impliquant quand il le faut, faire de notre mieux, bouger, rencontrer les gens permet de vivre au présent
Nuage

 

Préoccupation

 

 

Si tu te préoccupes trop de découvrir ce qu’il y a de bon ou de mal dans ton futur, tu oublieras ta propre âme, tu te fatigueras et tu seras vaincu par l’énergie que tu as gaspillée en jugeant les autres.

Paulo Coelho

Truc maison ► Ce n’est pas toujours facile de choisir une pastèque mûre.


    Si un fruit que j’aime vraiment beaucoup est le melon d’eau. À l’épicerie, nous avons peut-être tendance à choisir les plus belles, pourtant ce ne sont peut-être pas les plus meilleurs
    Nuage

    Ce n’est pas toujours facile de choisir une pastèque mûre. !

    Que serait un été sans pastèque? Ce fruit rafraîchissant est un vrai classique de l’été, mais il n’est pas facile de choisir la pastèque parfaite – jusqu’à maintenant.

    Quand on essaye d’en choisir une, c’est un peu comme une loterie et parfois vous perdez.

    Les astuces ci-dessous ont été recueillies auprès des consommateurs et des producteurs eux-mêmes expérimentés, et devraient vous permettre de franchir cette épreuve et gagner la loterie à chaque fois!

    • Les tâches

        Les tâches sur la pastèque signifient que le fruit est arrivé à maturation. Une pastèque mûre a une couleur jaune ou orange-jaune crème – jaune ou blanche mais pas pâle.

        watermelon 1

        PRODUCEGUIDE.WORDPRESS.COM

        • Des tâches brunes

            Ces tâches nettes indiquent que la fleur de la pastèque a été pollinisée par les insectes plusieurs fois – cela rend le fruit plus sucré.

            watermelon 2

            MC THOMAS

            • La forme

                Il n’y a pas beaucoup de gens qui savent que les producteurs de pastèques séparent leurs fruits. Certaines sont plus grandes, plus allongées et ont une saveur aqueuse, tandis que les autres sont plus rondes avec un goût plus sucré.

                watermelin 3

                PINTEREST / PERFECTION.COM.AU

                • La taille

                    En effet, la meilleure taille est la taille normale. Ce qui importe n’est pas la taille d’une pastèque il faut juste qu’elle soit assez lourde pour sa taille.

                    watermelon 4

                    DEPOSITPHOTOS.COM

                    • Regardez la queue

                        En jetant un œil sur la queue avant d’acheter la pastèque vous pouvez déterminer s’il est mûr ou non. Une pastèque mûre a une queue séchée. Si elle est plutôt verte, il est préférable de choisir un fruit différent – cela signifie que la pastèque a été récoltée trop tôt et ne sera pas mûre.

                        watermelon 5

                        PEXELS.COM

                        • Donner une tape à la pastèque

                          L’astuce la plus classique est de donner à la face inférieure un léger coup. Si elle est juteuse et mûre, cela émettra un son creux. Les trop mûres ou pas assez n’émettront pas de son.

                          watermelon 6

                          PIXABAY / CONDESIGN

                          http://incroyable.co/

                          Les 6 signes que vous ne devez pas visiter un sanctuaire animal


                          Si nous respectons un temps, soit peu les animaux sauvages, et que nous voulons visiter un refuge, ou un sanctuaire, il est important que ces lieux respectent la nature de l’animal
                          Nuage

                           

                          Les 6 signes que vous ne devez pas visiter un sanctuaire animal

                           

                          Les 6 signes que vous ne devez pas visiter un sanctuaire animal

                          Un touriste dans le Temple des Tigres en Thaïlande.Capture d’écran Gentside Découverte

                          Sanctuaire pour éléphants en Thaïlande, pour paresseux au Costa Rica ou encore de chimpanzés au Congo… À travers le monde, les refuges pour animaux sauvages ne manquent pas.

                          Dans certains pays, ils sont même devenus des lieux très prisés des voyageurs. Mais tous ne se valent pas. Certains sont bien plus intéressés par le profit tiré des animaux que par le bien-être de ces derniers.

                          Le Temple des Tigres en Thaïlande en est un triste exemple. Si ce «sanctuaire» était déjà  dénoncé depuis plusieurs années par les défenseurs des animaux, une enquête menée en juin 2016 a dévoilé la face cachée derrière ce lieu où cohabitaient moines et félins. Malheureusement, il ne s’agit pas d’un exemple isolé et les structures autoproclamées «sanctuaire» fleurissent à travers le monde.

                          Le problème est qu’il n’est pas toujours facile de se rendre compte en visitant ce type de lieu s’il s’agit ou non d’un réel sanctuaire. Certains signes peuvent cependant y aider. Il existe évidemment des exceptions, mais les questions suivantes peuvent permettre d’apporter un début de réponse sur la nature des lieux.

                          1 – Y A-T-IL DES BÉBÉS ANIMAUX?

                          Les véritables sanctuaires ne pratiquent pas la reproduction des animaux pour la simple et bonne raison que cela leur donnerait des bouches en plus à nourrir, quand ils sont très souvent débordés. Généralement, les pensionnaires sont donc séparés ou alors stérilisés ou sous traitement contraceptif.

                          Bien sûr, il arrive souvent que les sanctuaires recueillent des bébés ou des femelles enceintes. Néanmoins, si un sanctuaire explique aux voyageurs qu’il pratique la reproduction dans un but de conservation, méfiez-vous. Ces animaux ne sont que rarement remis en liberté et servent le plupart du temps à alimenter le trafic.

                          2 – LES ANIMAUX SONT-ILS DRESSÉS OU ENTRAINÉS?

                          Voyez-vous des singes, des éléphants ou des tigres réaliser des tours? Si c’est le cas, fuyez. Les animaux sauvages ne sont pas naturellement obéissants. S’ils réalisent des choses inhabituelles à leur nature, c’est donc qu’ils ont subi un dressage passé par la privation de nourriture, un enchaînement voire pire. 

                          Les véritables sanctuaires ne sont pas des cirques qui exposent les animaux pour le divertissement de leurs visiteurs. À l’inverse, ils placent leurs pensionnaires dans des habitats proches de leur milieu naturel, ce qui implique que les animaux peuvent s’y cacher et choisir quand et comment ils veulent interagir avec des humains.

                          3 – LES ANIMAUX ONT-ILS SUFFISAMMENT D’ESPACE?

                          Le bien-être des animaux est ce qui doit alerter en premier. Pour cela, les visiteurs peuvent se fier à leur jugement. Un véritable sanctuaire cherche à offrir le plus d’espace possible permettant aux animaux d’exprimer leur comportement naturel. Les enclos sont créés pour ressembler à des habitats naturels, disposant des structures nécessaires pour les divertir.

                          Les animaux ne doivent évidemment pas être enchaînés ou attachés et doivent par exemple disposer d’espace pour courir, de structures à escalader ou de bassins pour se baigner si nécessaire. La propreté des enclos est également un facteur primordial. Si les enclos sont petits, sales et n’offrent même pas d’eau fraîche et propre à ses habitants, fuyez.

                          4 – LES ANIMAUX SEMBLENT-ILS EN BONNE SANTÉ?

                          Dire si un animal semble heureux ou non n’est pas toujours aisé. Toutefois, tout signe suspect doit alerter. Physiquement, si les animaux semblent maigres, malades ou présentent des blessures visibles et non soignées, cela peut en dire long sur leurs conditions de vie.

                          D’un point de vue psychologique, les pensionnaires doivent avoir des jouets, un terrain à  explorer pour combattre l’ennui. Si un animal montre des comportements répétitifs comme réaliser des va-et-vient dans son enclos ou secouer sa tête de façon répétée, il peut s’agir de comportements stéréotypés indicateurs de stress.

                          5 – LES SOIGNEURS INTERAGISSENT-ILS BEAUCOUP AVEC LES ANIMAUX?

                          Comme l’explique le site The Dodo, il n’y a évidemment rien de mal à faire des câlins à un mouton, un cheval ou une vache secourue. Mais quand il s’agit d’animaux sauvages et exotiques, un véritable sanctuaire préfère maintenir le contact humain à son minimum. En particulier lorsqu’il s’agit d’animaux dangereux comme des tigres, des lions ou des ours.

                          C’est pourquoi dans un véritable sanctuaire on ne voit généralement pas de soigneurs interagir avec les pensionnaires. Une mesure prise pour les soigneurs eux-mêmes comme pour les animaux. Cela permet de maintenir le comportement sauvage naturel et de ne pas habituer les spécimens à la présence de l’homme. Un facteur d’autant plus important lorsqu’ils sont ensuite réintroduits dans la nature.

                          D’étroites et récurrentes interactions entre les animaux et les soigneurs peuvent donc alerter quant à la véritable nature d’un sanctuaire. Néanmoins, il existe là encore des exceptions. Certains spécimens lient des relations étroites avec leurs sauveteurs. Quand il s’agit de jeunes animaux orphelins, il arrive aussi que les soigneurs servent de mère de substitution.

                          6 – LES VISITEURS PEUVENT-ILS INTERAGIR AVEC LES ANIMAUX?

                          Avec l’exhibition des animaux pour le divertissement, ce facteur est l’un des plus importants. Les véritables sanctuaires ne permettent pas aux visiteurs de toucher, câliner et encore moins prendre les animaux. En particulier lorsqu’il s’agit normalement d’animaux considérés comme dangereux.

                          Pire encore, si le sanctuaire offre la possibilité de prendre des photos avec les animaux, qu’il s’agisse de bébés ou de spécimens adultes, fuyez. Pour en arriver là, les bébés sont très souvent séparés de leur mère et les adultes drogués pour être plus calmes en présence des visiteurs. La possibilité de prendre des photos ne représente ainsi qu’une opportunité de plus de gagner de l’argent avec les animaux.

                          Évidemment, il existe là encore des exceptions. Certains sanctuaires se concentrent sur le sauvetage d’animaux de ferme qui sont naturellement plus habitués à l’homme. Si vous avez la possibilité de copiner avec une chèvre, cela n’est donc pas forcément suspect.

                          En résumé, si vous souhaitez éviter les faux sanctuaires, le mieux est encore d’être attentif et de vous fier à votre instinct. 

                          http://fr.canoe.ca/

                          e

                          Ginette et Jean-Guy, en voie de disparition


                          Mon prénom n’est pas encore en perdition quoiqu’en 2015, il n’y en a pas beaucoup ! Des prénoms disparaissent dans l’oubli, certains reviennent en force. Cela suit une mode, une personne connue qu’on aime ou juste comme ça, parce que cela nous plaît
                          Nuage

                           

                          Ginette et Jean-Guy, en voie de disparition

                          MARIE ALLARD

                          Berthe, Ginette, Jean-Guy et Réjean sont menacés de disparition. Au Québec, aucun bébé n’a reçu ces prénoms de 2010 à 2015, selon la Banque de prénoms de la Régie des rentes. Pas besoin de s’appeler Narcisse ou Marceline – parmi les prénoms les plus populaires au Québec entre 1825 et 1850 – pour avoir un « petit nom » désuet.

                          Le même phénomène s’observe en France. Aucune fillette n’y a été prénommée Monique en 2015, selon Le Figaro. Monique et Nathalie étaient pourtant les deux prénoms féminins les plus courants dans la population française à la fin du XXe siècle, d’après La cote des prénoms en 1999.

                          Le Québec comptait près de 85 000 Michel, en 2000. Un nombre record, selon Louis Duchesne, auteur du livre Les prénoms, paru chez Trécarré. Or, à peine 8 bébés ont été baptisés (au sens figuré) Michel dans la province, en 2015. C’est peu, comparé aux 754 William.

                          Chez les femmes, les Louise étaient les plus nombreuses en 2000, avec 55 700 représentantes. Vingt petites Louise se sont ajoutées en 2015. Loin des 615 Emma… Mais c’est mieux que Christiane, Ghislain ou Reynald, des prénoms snobés par tous les parents depuis 2010.

                          TROP PROCHES

                          « Il y a des prénoms qui ne sont pas revenus, parce que ça ne fait pas assez longtemps qu’ils ont été populaires, estime Nadine Descheneaux, coauteure du Guide des prénoms des (Z)imparfaites, paru aux éditions Goélette. Ce sont les noms des nos parents, de nos oncles, de nos tantes, de nos professeurs. Ils sont trop proches de nous. »

                          La propre mère de Mme Descheneaux s’appelle Jeannine, prénom qui brille par son absence ces dernières années. Même Karine – prénom le plus commun chez les filles en 1984, ex æquo avec Julie – a disparu, en 2015.

                          « Les prénoms qui reviennent sont plutôt ceux de la génération des grands-parents ou des arrière-grands-parents de ceux qui nomment les enfants, observe Mme Descheneaux. On les a moins connus, c’est plus flou. »

                          ALICE, PAS YVONNE

                          Mais pourquoi Alice (prénom féminin le plus populaire au Québec vers 1895) est de retour, contrairement à Yvonne, qui a dominé de 1896 à 1907 ? Plus de 470 Alice sont nées l’an dernier, contre… trois Yvonne.

                           « Il y a une sélection naturelle », rigole Mme Descheneaux.

                          « Il s’agit de la mode, indique Louis Duchesne. Comment expliquer la mode ? Les hauts et les bas ? Parfois, c’est une importation de la France ou des États-Unis. Parfois, c’est le fruit d’une ferveur religieuse, comme pour Jeanne d’Arc. Parfois, c’est un événement politique : le pic des Maurice en 1936 en est un exemple. »

                          Maurice Duplessis venait alors d’être élu premier ministre du Québec.

                          La terminaison des prénoms féminins semble jouer. À la fin du XIXe siècle, les prénoms se terminant par le son « a » étaient en vogue. Ils ont été suivis de ceux en « ette », pendant la première moitié du XXe siècle, note M. Duchesne dans son site http://www.lesprenoms.net.

                          40 %

                          En 1976, 40 % des filles recevaient un prénom finissant par le son « i », comme Mélanie, Julie et Annie.

                          L’an dernier, Emma, Léa et Olivia, les trois prénoms les plus populaires, étaient en « a ». Voilà peut-être pourquoi Éva est de retour, pas Paulette. Les prénoms plutôt courts (Zoé, Mia, Félix, Émile) sont aussi préférés des parents actuels, ce qui laisse reposer Émérentienne, Alphonsine et Adélard dans les cimetières.

                          L’AVIS D’UNE GUYLAINE

                          Guylaine Guay, auteure et chroniqueuse, n’a pas été étonnée « du tout » d’apprendre qu’aucun bébé né en 2015 ne porte son prénom.

                          « Ma mère aimait beaucoup la chanteuse Guylaine Guy, explique-t-elle. Je crois que bien des Guylaine de mon âge s’appellent ainsi à cause d’elle. »

                          « Je ne peux pas dire que je suis amoureuse de mon prénom, poursuit-elle. Mais comme mon nom de famille est Guay, que mon prénom et mon nom contiennent les mêmes lettres, je trouve que Guylaine Guay est assez cool. Certains me demandent si c’est mon nom d’artiste ! »

                          Avis aux futurs parents : bien des prénoms en péril n’attendent que vous pour renaître. Si Huguette ou Gratien vous demandent trop d’efforts, Pierre (seulement six sont nés en 2015), Jean (à peine cinq) et Lise (juste trois !) sont à considérer.

                          « L’avantage de choisir des prénoms rétros, fait valoir Mme Descheneaux, c’est que les enfants qui les portent sont assez uniques, sans avoir à les épeler. »

                          http://plus.lapresse.ca/

                          Pourquoi la taille de vos vêtements est une belle arnaque


                          Vous avez sans doute remarqué quand vous magasinez des vêtements, d’une marque à l’autre, la taille peut varier et c’est très souvent très frustrant et le pire c’est que cela est voulu pour cela
                          Nuage

                           

                          Pourquoi la taille de vos vêtements est une belle arnaque

                          © thinkstock.

                          « Ces chiffres ne veulent rien dire. »

                          Vous vous êtes déjà demandé pourquoi, dans un certain magasin, vous achetez vos vêtements en XS, et dans un autre, vous devez prendre une taille L? Cela n’a rien d’étonnant selon une enquête du site Vox. Il y a quelques jours, la journaliste Dion Lee a décidé d’acheter trois jeans de la même taille (4 aux USA, donc un 36 chez nous(Belgique ndlr)) chez trois enseignes différentes, Zara, Forever21 et Topshop. Et effectivement, les trois pantalons ne lui allaient pas du tout de la même façon: le premier était trop grand, le second ok mais le troisième trop petit.

                          Pourquoi est-ce si compliqué de trouver sa taille? Il faut revenir aux origines de la production de masse pour comprendre cette évolution, comme l’explique la vidéo de Vox. En 1939, le gouvernement américain a collecté les données de 15.000 femmes, toutes blanches et pour la plupart défavorisées (puisque l’expérience était payée), bref un échantillon pas très représentatif de la diversité des corps de l’époque, pour établir un système de tailles standardisées dès 1958. Très controversé, ce système a été mis à jour en 1970 puis abandonné. Mais par la suite, dans les années 70-80, les grandes marques ont commencé à populariser leur propre guide de tailles.

                          Les tailles sont devenues de plus en plus petites, tandis que les femmes ont globalement grandi et grossi. C’est ce qu’on appelle le phénomène du « Vanity sizing », destiné à flatter le client en lui faisant croire qu’il est plus mince qu’en réalité. Par exemple, quand une étiquette indique 38, le vêtement correspond en fait à un 40. Chaque marque s’adresse à son public cible et c’est pour cette raison que des tailles complètement incohérentes peuvent apparaître dans des magasins qui appartiennent pourtant au même groupe.

                          « Ce n’est pas votre faute, c’est la faute de l’industrie », assure le professeur Lynn Boorady, experte dans le domaine de la mode et du textile. « Les corps des femmes sont très bien comme ils sont. Ces chiffres sur les vêtements sont choisis au hasard, ils ne veulent rien dire. »

                           

                          http://www.7sur7.be/

                          Embrasser votre chien pourrait vous rendre très malade


                          Même si je n’ai pas de chien, je les aime beaucoup. Cependant que ce soit un chien ou un chat, aucun animal ne devrait nous lécher le visage. Et après une séance de câlins, il est important de se laver les mains pour éviter des contaminations
                          Nuage

                           

                          Embrasser votre chien pourrait vous rendre très malade

                           

                          Vanessa Hauguel

                          Même si entre votre chien et vous, c’est l’amour fou, il vaudrait mieux éviter ses bisous bouche-à-bouche.

                          Toutou, qui met son museau un peu partout, pourrait en effet vous transmettre certaines maladies parasitaires ou infectieuses, comme la leptospirose, latoxoplasmose, la giardiase, la cryptosporidiose et d’autres toutes aussi déplaisantes. 

                          Comme le souligne John Oxford, professeur en virologie et bacteriologie à l’Université Queen Mary de Londres, au Hippocratic Post :

                          «Il n’est pas seulement question de ce qui est contenu dans la salive. Les chiens passent la moitié de leur vie à fourrer leur nez dans des coins sales, ou à renifler les déjections des autres chiens, donc leurs museaux sont recouverts de bactéries, de germes et de virus en tout genre.»

                          Sceptique? Certains se souviendront peut-être du cas de cette femme britannique qui s’est retrouvée aux soins intensifs après une léchouille de son chien. Ce «bisou» lui aurait transmis la bactérie du nom de Capnocytophaga canimorsus, entraînant unesepticémie, ou sepsis, une infection du sang.

                          Évidemment, les risques de contracter ces différentes maladies sont relativement faibles, mais il faut rester vigilant, d’autant plus avec les enfants. Apprenez-leur à éviter de toucher la gueule du chien, à se laver les mains après avoir joué avec toutou, et bien sûr à fermer la bouche si jamais Fido leur fait un bisou canin.

                          http://www.sympatico.ca/

                          La chaleur élimine (presque) entièrement les punaises de lit des bagages


                          Il parait que c’est une découverte, mais il en a déjà été question au Québec d’utiliser la chaleur pour se débarrasser des puces de lits. Ce qui compte, c’est de ne pas ramener des puces de lit dans ses valises au retour à la maison
                          Nuage

                           

                          La chaleur élimine (presque) entièrement les punaises de lit des bagages

                           

                          Sur la pancarte : "Stop aux punaises de lit dès maintenant. Ne soyez pas une victime des punaises de lit." © RICHARD B. LEVINE/NEWSCOM/SIPA

                          Sur la pancarte : « Stop aux punaises de lit dès maintenant. Ne soyez pas une victime des punaises de lit. » © RICHARD B. LEVINE/NEWSCOM/SIPA

                          Par Anne-Sophie Tassart

                          Les chercheurs ont peut-être découvert un moyen pour lutter efficacement contre un véritable fléau : les punaises de lit.

                          SOLUTION. Les punaises de lit (Cimex lectularius L.) font vivre un enfer à de nombreux habitants. Ces petits insectes suceurs de sang trouvent refuge partout, se reproduisant à une vitesse effrénée et colonisant chaque pièce du domicile. Elles peuvent facilement entrer dans des bagages et se cacher dans les vêtements. Ainsi, elles sont transportées dans les avions, les hôtels et autres lieux de vie des voyageurs. Au fil du temps, ces parasites ont acquis une grande résistance aux insecticides rendant la lutte encore plus difficile. Dans une étude publiée le 1er août 2016 dans la revue Pest Management Science, des chercheurs ont expliqué avoir découvert un nouveau moyen pour lutter contre ce qui constitue un véritable cauchemar pour certains foyers. Lors de leurs expériences, les scientifiques ont placé pendant quelques instants un bagage à parois souples dans une pièce spécifique chauffée à des températures comprises entre 70 et 75°C.

                          Une survivante sur 250 

                          Le procédé s’est révélé être d’une étonnante efficacité : en six minutes, toutes les punaises de lit situées sur le bagage ont été éradiquées, même celles présentes dans les motifs décoratifs et la fermeture Eclair. Sur les 250 insectes qui avaient été introduits au cours de l’ensemble des expériences, seul 1 a réussi à se déplacer à l’intérieur du bagage et a survécu. En effet, les punaises de lit à l’intérieur d’un sac ou d’une valise sont isolés thermiquement contrairement à celles situées sur la surface qui sont plus vulnérables à la chaleur. Les chercheurs ont également remarqué qu’à température ambiante et sur une durée de 24 heures, seulement 3 % de punaises de lit se déplaçaient de l’extérieur du bagage vers l’intérieur. Loin d’être anodine, cette découverte signifie que le traitement de l’extérieur d’une valise serait quasiment définitif et que si les punaises avaient élu domicile seulement sur les parois, les vêtements se retrouvent globalement protégés d’une infestation. L’utilisation de la chaleur pour traiter les bagages semblerait donc une alternative efficace à l’utilisation de composés chimiques désormais impuissants face à ces parasites.

                          http://www.sciencesetavenir.fr/