La paix en soi


Nous sommes ce que nous sommes, mais si nous voulons vraiment s’épanouir, il faut avant tout s’accepter avec nos erreurs et réussites et tout le chemin que nous avons parcouru malgré certains passages difficiles, des mauvaises rencontres ou encore de ce que nous avons espéré et qui n’arrive pas
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La paix en soi

 

 » Tant que vous ne faites pas la paix avec qui vous êtes, vous ne serez jamais content de ce que vous avez. « 

Doris Mortman

Le Saviez-Vous ► La drôle d’histoire de la naissance du basket


Le basket-ball fut créé aux États-Unis lors d’un blizzard qui sévissait dans le Massachusetts. Il fallait occuper les élèves qui ne pouvaient pas sortir dehors pour dépenser leur énergie. Le créateur de ce jeu a pu voir de son vivant ce sport devenir une discipline Olympique
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La drôle d’histoire de la naissance du basket

 

James Naismith via wikimedia

James Naismith via wikimedia

Par Grégor Brandy Journaliste

Ou comment le blizzard américain a fait naître un des sports les plus plébiscités de la planète.

C’est une histoire que la plupart des fans de basket connaissent. En 1891, dans le Massachusetts, une tempête de neige s’abat sur la ville de Springfield. Sans le savoir, c’est lors de cet hiver que James Naismith, un professeur de gymnastique, va inventer le basket-ball. En 1939, le professeur avait été interrogé par We The People, une émission de radio new-yorkaise. Il y a quelques années, l’université du Kansas a mis la main sur cet enregistrement (qui est à ce jour le seul connu de James Naismith), où l’on peut entendre sa version de l’invention du sport:

«C’était l’hiver 1891, quand j’étais instructeur d’éducation physique à Springfield, dans le Massachusetts. Nous avons eu droit à un vrai blizzard. Pendant des jours, les étudiants n’ont pas eu le droit de sortir. Donc ils ont commencé à courir partout dans les couloirs. Nous avons tout essayé pour qu’ils restent calmes. Nous avons essayé de les faire jouer à une version modifiée du football américain dans le gymnase, mais au bout d’un moment ils en ont eu marre. Il fallait faire quelque chose. Et puis un jour, j’ai eu une idée.»

James Naismith décide alors d’amener les garçons dans la salle de gym, les sépare en deux équipes de neuf joueurs (le basket se joue aujourd’hui à cinq) et leur donne un vieux ballon de football. Il pose ensuite deux paniers de pêches vides en hauteur de chaque côté de la salle, et leur explique que l’idée consiste à envoyer le ballon dans le panier de l’équipe adverse.

«J’ai sifflé et le premier match de basket-ball a débuté.»

Seul petit problème, explique-t-il dans l’enregistrement près de cinquante ans plus tard: il n’y avait pas assez de règles.

«C’était ma grosse erreur. Les garçons ont commencé à se plaquer, se taper dessus, et à s’empoigner.»

Premier match, premier KO

Une petite bagarre générale s’ensuit au milieu de la salle. Quand il réussit enfin à les séparer, un des garçons est KO, un autre s’est démis l’épaule plusieurs autres ont un œil au beurre noir.

«Après ce premier match, j’avais peur qu’ils s’entretuent. Mais ils n’ont pas arrêté de me demander de les laisser rejouer. Donc j’ai inventé un peu plus de règles. Et la plus importante était que l’on ne pouvait pas courir avec le ballon dans les mains. Cela a mis fin aux plaquages et aux coups. On a essayé de jouer avec ces règles et il n’y a pas eu un seul blessé.»

Ce match a d’ailleurs été décrit en longueur par James Naismith. Il y explique d’ailleurs comment il en était venu à imaginer l’entre-deux pour lancer un match, car il permettait «d’éliminer la brutalité et donner à chaque camp une chance égale».

Ces treize règles ont depuis acquis un statut quasi-mythique dans le monde du basket. Le site basket-infos rappelait d’ailleurs pour leur 123e anniversaire en 2015, que le document originel sur lequel James Naismith avait été adjugé aux enchères pour un peu plus de quatre millions de dollars, en 2010.

Le premier match public a eu lieu le 11 mars 1892 entre les professeurs et les étudiants,comme le racontait alors un quotidien local.

Au final ce sont ces derniers qui se sont imposés sur le score de 5 à 1, devant un public «qui a suivi le match avec beaucoup d’intérêt et d’amusement».

 Depuis, le basket et ses règles ont largement évolué. La dernière version du règlement FIBA (la fédération internationale) compte 86 pages.

Pas les mêmes règles pour tout le monde

Le podcast Dunkumentaries (en collaboration avec 99% Invisible dans lequel j’ai entendu parler de l’enregistrement de James Naismith pour la première fois) racontait de son côté comment le championnat américain a autorisé le dunk, interdit le dunk, réintroduit le dunk, placé une ligne à trois points, pour faire évoluer le jeu.

D’ailleurs, les règles sont différentes entre le championnat nord-américain et le reste du monde qui suit les règles FIBA (même si l’on tend vers une certaine uniformisation ces dernières années –avec la découpe du match en quart-temps ou le recul de la ligne à trois points, par exemple). C’est ce qui explique que les joueurs américains ont parfois du mal à accepter les coups de sifflets des arbitres sur quelques actions lors des tournois internationaux (dont les Jeux olympiques), où s’appliquent les règles FIBA.

C’est d’ailleurs avec les JO que James Naismith finissait son interview, en 1939:

«En 1936, j’ai vu pour la première fois un match de basket au Jeux olympiques. Et tout a commencé avec deux paniers de pêches que j’avais placés dans une petite salle de gym, en 1891.»

 

http://www.slate.fr/

La route de la soie et des parasites


On sait aujourd’hui qu’avec la rapidité d’aller d’un pays à l’autre ainsi que le commerce peuvent amener des épidémies assez rapidement. Et cela a toujours été le cas, même dans les temps plus anciens à la différence, parasites ne pouvaient propager les maladies aussi vite que maintenant
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La route de la soie et des parasites

 

© Pomiti | Dreamstime.com – Riding Camel

(Agence Science-Presse) De nombreuses marchandises ont transité par la route de la soie : pierres précieuses, étoffes, métaux… et maladies infectieuses.

Au nord-ouest de la Chine, des scientifiques ont découvert des traces de parasites intestinaux dans des excréments humains vieux de 2000 ans, déposés sur des « bâtons d’hygiène », ancêtres de notre papier hygiénique.

Ces morceaux de bambous entourés de tissu constituent la première preuve de la prolifération des maladies infectieuses le long de la route de la soie. Ils ont été trouvés dans d’anciennes latrines à Xuanquanzhi, dans la province du Gansu, une antique station relais située à la limite orientale du désert du Taklamakan, qui a donné le gîte et le couvert à de nombreux voyageurs au cours des siècles.

 L’équipe sino-britannique explique dans son étude, publiée dans le Journal of Archaeological Science, avoir trouvé les œufs de quatre parasites différents, qui existent toujours aujourd’hui. Parmi eux se trouve la douve de Chine, un ver plat endémique des zones marécageuses que l’on contracte en mangeant du poisson infecté. Les chercheurs suggèrent que ce parasite devait provenir du Guangdong, une province du sud-est de la Chine située à 2000 kilomètres du lieu de la découverte, et aurait donc profité de cette route commerciale pour se répandre.

http://www.sciencepresse.qc.ca/

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Une fillette sourde apprend les signes à son chiot sourd


La surdité à la naissance existe aussi chez les chiens. Quoi de mieux que d’être adopté par un maitre lui aussi atteint de surdité pour communiquer avec le langage des signes
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Une fillette sourde apprend les signes à son chiot sourd

 

Julia est une fillette de 10 ans résidant en Californie. Walter est un chiot de 7 mois issu d’un croisement entre un chihuahua et un terrier. Les deux compagnons partagent le même handicap: ils sont atteints de surdité. Devenus inséparables, ils vivent désormais ensemble et communiquent à travers la langue des signes. Une histoire particulièrement touchante.

La rencontre entre les deux amis s’est faite grâce à la SPCA (Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux) de Pasadena, aux États-Unis. Le refuge avait accueilli la portée de Walter et s’était chargé de trouver à chacun une nouvelle famille. Si les frères et soeurs sont partis assez rapidement, le chiot a mis un certain temps avant d’être adopté, en raison de son handicap.

 

UN COUP DE FOUDRE

Chrissy, la mère de Julia, raconte avoir eu vent de son existence via une publication partagée sur la page Facebook de la structure. Elle explique:

«Je me souviens l’avoir vu, m’être déplacée et avoir su tout de suite qu’il serait des nôtres».

Selon la mère de famille, Walter présentait des réflexes similaires à ceux montrés par Julia quand elle était bébé.

Ne pouvant entendre, la petite fille se blottissait au creux du cou de Chrissy pour sentir son odeur. Et Walter en a fait de même quand la mère l’a pris dans ses bras. Elle n’a ainsi pas mis très longtemps avant de rapporter le chiot dans son foyer pour le présenter à sa fille. Le coup de foudre a été immédiat.

L’APPRENTISSAGE DE LA LANGUE DES SIGNES

Julia considère désormais Walter comme son «meilleur ami». Aidée par sa maman, elle lui apprend patiemment la langue des signes de manière à ce qu’ils puissent tous les deux se comprendre. D’après la SPCA, le chien sait déjà reconnaitre l’ordre «assis» et répondre à son nom. Il comprend également lorsque sa maîtresse l’interpelle pour lui donner à manger ou à boire.

Depuis quelques jours, l’histoire de Julia et Walter est devenue virale. Relayée par l’association de défense des animaux, elle a reçu de nombreux soutiens et témoignages de personnes dans la même situation. Les cas de surdité sont en effet fréquents chez les chiens et notamment chez 85 races comprenant notamment les dalmatiens, les bulls terriers ou encore les bergers australiens. 

http://fr.canoe.ca/

Un cerveau de 17 000 ans pour étudier les troubles du langage


Avec des ossements de 17 000 ans d’un enfant très bien conserver, les chercheurs pensent qu’ils pourraient trouver des réponses sur les troubles de langages, l’évolution de l’être humain et de l’alimentation
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Un cerveau de 17 000 ans pour étudier les troubles du langage

 

Le crâne de Romito 9, découvert dans une grotte de la région de Calabre, en Italie.

Le crâne de Romito 9, découvert dans une grotte de la région de Calabre, en Italie.   PHOTO : FABIO MARTINI VIA CBC

La découverte d’ossements de l’ère paléolithique d’un enfant âgé d’une dizaine d’années pourrait aider à démystifier certaines étapes du développement humain, allant de l’alimentation au développement du langage.

RADIO-CANADA AVEC CBC

Des archéologues ont découvert les ossements, vieux de 17 000 ans, en 2011, dans une grotte de la région de Calabre, dans le sud de l’Italie. Les restes de celui qu’ils ont baptisé Romito 9 étaient particulièrement bien conservés et entourés d’éléments de décoration élaborés comme des coquillages.

Ces attentions particulières accordées à la dépouille, combinées au jeune âge du spécimen, font en sorte que les ossements de Romito 9 sont dans un état de conservation exceptionnel, selon Fabio Macciardi, un neuroscientifique de l’Université de Californie Irvine.

« C’est un spécimen unique en son genre, il n’y a aucun autre échantillon venant de la même période qui est en aussi bon état », a-t-il expliqué.

Romito 9 en bonne compagnie

La grotte où a été retrouvé Romito 9 a servi d’abri à des individus de l’espèce Homo sapiens il y a de 23 000 à 10 000 ans de cela. Les scientifiques y ont aussi découvert les corps de huit autres chasseurs-cueilleurs, de même que des artéfacts et des gravures. Les autres squelettes exhumés présentaient toutefois tous des degrés de dégradation avancés par rapport au squelette de Romito 9.

Comme Romito 9 n’avait pas fini sa croissance au moment de son décès, les os de son crâne sont restés mous et ont permis « d’imprimer » la surface de son cerveau sur les parois de sa boîte crânienne. Les chercheurs espèrent donc reproduire le cerveau de ce spécimen en partie grâce à l’impression 3D.

Le modèle obtenu sera ensuite étudié et comparé avec des cerveaux d’enfants « modernes » pour tenter de comprendre le fonctionnement interne du cerveau humain au cours des différents stades d’évolution. Cela constitue une avancée significative, puisque les scientifiques sont normalement contraints de faire ce genre de recherches avec des cerveaux de singes.

Selon M. Macchiardi, si les humains possédaient tous le même nombre et le même type de gènes du temps de Romito 9, il existait fort probablement déjà des variations au niveau de la génétique. Ces changements, croit-il, pourraient notamment démystifier les différentes étapes du développement du langage.

« Nous savons que certains changements de l’ADN ne sont survenus que très récemment et qu’ils sont probablement responsables de quelques pathologies liées au langage », a-t-il dit.

Les chercheurs d’universités de Rome, de Florence et de Californie travailleront donc ensemble pour essayer d’analyser l’influence de la génétique sur le développement du cerveau, mais aussi sur l’évolution du régime alimentaire de nos ancêtres.

À long terme, ils espèrent que le fruit de leurs recherches permettra entre autres de découvrir des manières de traiter la dyslexie ou encore les troubles d’élocution.

http://ici.radio-canada.ca/

Comment déceler l’arthrose canine ?


L’arthrose, une affection dégénérative connue chez l’être humain, mais aussi des animaux tels que les chiens. Bien sur l’âge peut-être un facteur, mais des chiots peuvent aussi souffrir de cette affection
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Comment déceler l’arthrose canine ?

Un chien plus fatigué et qui a du mal à se lever sont des signes possibles d'arthrose canine. ©LAURA DOSS / AFP

Un chien plus fatigué et qui a du mal à se lever sont des signes possibles d’arthrose canine. ©LAURA DOSS / AFP

Par Morgan Kergoat

L’arthrose ne touche pas que les chiens âgés. Aussi est-il important de savoir reconnaître les signes avant-coureurs.

Faites le test !

ARTICULATION. Comme chez l’homme, l’arthrose canine est une affection dégénérative chronique qui touche les articulations : le genou (grasset), le coude, l’épaule, la hanche, ainsi que la colonne vertébrale. D’abord au niveau du cartilage, puis de l’os. L’animal manifeste des raideurs et de la douleur. Mais comment les détecter quand celui qui en souffre ne peut parler ? Voici un petit test, suivi de quelques explications.

TEST

 Votre chien montre-t-il un de ces signes ?

– Il a du mal à se lever.

– Il a du mal à se déplacer (marche, course, saut).

– Il a du mal à monter des marches.

– Ses membres sont raides, le chien les plie difficilement, surtout après un effort.

– Il boite lors des promenades.

– Il se repose plus que d’habitude.

– Il est moins vif, fait moins de fêtes.

– Il a moins d’appétit.

– Il se met à grogner quand on le touche ou le caresse.

Si le chien manifeste au moins un de ces signes, une consultation chez le vétérinaire s’impose. Celui-ci procèdera à un examen orthopédique qui permettra d’évaluer l’inflammation, la boiterie et la douleur de l’animal. Le diagnostic établi d’après cet examen clinique pourra par la suite être confirmé et affiné par des radiographies.

PRÉVENTION ET TRAITEMENT.

Il est recommandé de faire pratiquer un exercice régulier, mais non excessif, au chien, ainsi que de contrôler son poids (l’embonpoint fragilisant les articulations) via une alimentation adaptée. Ces mesures permettent de prévenir la maladie, mais également d’atténuer la douleur liée à une arthrose canine et à ralentir la progression de l’affection.

Quels chiens sont les plus à risques ? 

Les vétérinaires estiment que l’arthrose touche 1 chien sur 5… après l’âge d’un an seulement ! Toutefois, la fréquence de l’arthrose canine est supérieure chez les chiens âgés. Et si ce n’est pas une question de race, la taille du chien joue : la fréquence de l’arthrose est en effet supérieure chez les grandes races comme le Labrador, le Berger Allemand, le Dogue, etc. Ce qui ne veut pas dire que les petites races sont épargnées.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Deux chercheurs lancent l’alerte: les données du cerveau ne sont pas assez protégées


La technologie avance à grand pas, et le piratage ne suit pas loin derrière et parfois passe en avant. Des chercheurs veulent connecter le cerveau pour de multiples usages comme pour donner plus d’autonomie à des quadraplégiques mais cela peut devenir accessible pour tout le monde, le piratage pourrait créer de réelle problème de manipulation du cerveau
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Deux chercheurs lancent l’alerte: les données du cerveau ne sont pas assez protégées

 

Les interfaces cerveaux-machines pourraient être détournées à des fins malveillantes | Tim Sheerman-Chase via Flickr CC License by

Les interfaces cerveaux-machines pourraient être détournées à des fins malveillantes | Tim Sheerman-Chase via Flickr CC License by

Repéré par Camille Malnory

L’utilisation des interfaces cerveaux-machines pourrait vite s’avérer problématique.

Si vous avez faim, et qu’on vous montre une image d’un superbe plat de pâtes, votre cerveau envoie des signaux. Si on vous montre une image d’épinards bouillis et que vous détestez ça, votre cerveau réagit tout autant. Imaginez un monde, pas forcément si lointain, où quelqu’un pourra hacker ces données. Ne commençons pas tout de suite à nous inquiéter, cela est encore loin.

Aujourd’hui, les ingénieurs ont créé des interfaces cerveaux-machines (ICM) qui mesurent l’activité cérébrale et peuvent avoir de multiples utilisations. À long terme, les chercheurs veulent d’ailleurs utiliser cette technologie à des fins cliniques notamment pour permettre à des tétraplégiques de retrouver de l’autonomie. Pour autant, des chercheurs américains tirent la sonnette d’alarme: non réglementées, les ICM pourraient avoir une utilisation malveillante, raconte un reportage de Motherboad.

Pour Howard Chizeck, chercheur à l’université de Washington, il faut impérativement commencer à se pencher sur les questions de protection des données de notre cerveau.

«Il n’y a vraiment plus beaucoup de temps, si on ne le fait pas maintenant, ce sera trop tard», explique-t-il à la journaliste.

Mais que craignent-ils vraiment? Qu’un jour, l’utilisation des ICM se démocratisent dans la vie de tous les jours, notamment des applications de jeux, et soient détournées.

Récupération

En nous envoyant des images subliminales et en analysant les signaux de notre cerveau, des hackers pourraient récupérer les informations qui en découlent. Ou des publicitaires, sur le mode, «je te montre une image de burger-ton cerveau réagit bien-je t’envoie une pub de restaurant». D’après Chizek, cela pourrait même être utilisé par le gouvernement:

«La justice ou le gouvernement pourraient l’utiliser à de mauvaises fins –comme vérifier votre appartenance à l’opposition ou regarder si vous avez des activités illégales. Cet outil est comme un détecteur de mensonges mais, pour les pensées.»

Pour le moment, les connaissances scientifiques sur le cerveau ne sont pas complètes et on ne peut associer totalement stimuli du cerveau et pensée. Mais, Chizek et sa consoeur Tamara Bonaci préfèrent prévenir que guérir, car les recherches et la technologie sont de plus en plus pointues. En 2014, les deux chercheurs avaient déjà écrit un papier intitulé «Vie privée et sécurité dans les interfaces cerveaux-machines». Les deux scientifiques sont assez alarmistes sur le sujet:

«[Nos craintes] sont techniquement possible, dès que l’on met des électrodes sur la tête de quelqu’un, c’est possible.»

http://www.slate.fr/